Je parlais de l’hypocrisie du pouvoir allemand.
Le pouvoir français n’est pas en reste.
Les dernières déclarations de Macron à la télé… américaine en sont une parfaite illustration.
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Je parlais de l’hypocrisie du pouvoir allemand.
Le pouvoir français n’est pas en reste.
Les dernières déclarations de Macron à la télé… américaine en sont une parfaite illustration.
Les prévisions se suivent, les estimations s'enchaînent, l'optimisme mesuré est de rigueur, mais la France, durablement touchée dans tous ses secteurs, est incapable de prévenir le prochain contre-coup de la crise.
La Banque de France a publié un avis pour expliquer que l’activité économique du pays allait se redresser dès le deuxième semestre de 2021 et s’accélérer fortement en 2022.
Bref, tout va bien et la crise de la COVID-19 n’aura été qu’une parenthèse dans un mouvement de croissance économique continu. Pour asseoir sa confiance, la Banque de France mise sur trois éléments principaux : la progression de la vaccination qui permettra de recouvrer un peu de liberté, l’accroissement de la consommation des ménages qui dilapideront leur épargne dans l’euphorie retrouvée et enfin la hausse de la productivité par tête. Grâce à tout cela, la croissance sera de 5,5 % en 2021 et encore de 4 % en 2022. Cette prévision est-elle réaliste ?
« Restrictions sanitaires en Allemagne : pas de test, pas de shopping ! »
C’est le titre de cet article assez effrayant de LCI.
Pourquoi effrayant ?
Parce que de deux choses l’une.
Soit les masques ne servent à rien et dans ce cas là le shopping est dangereux, soit le shopping n’est pas dangereux puisque le masque est efficace et dans ce cas présenter un test quotidien est d’une très grande lourdeur.
Marc Rousset
Le chiffre spectaculaire de la croissance chinoise de 18,2 %, au premier trimestre 2021, n’est qu’un trompe-l’œil, suite à un très faible premier trimestre 2020. Aux États-Unis, suite aux vaccins, à la relance gigantesque de Biden, à la politique laxiste de la Fed, il y aura un fort redémarrage, et même des risques de surchauffe, d’inflation de 3,7 %, avec un taux d’intérêt à 10 ans de 1,59 %, des mises en chantier de logements neufs au plus haut depuis 2006, mais le phénomène sera-t-il durable en 2022 et dans les années suivantes ?
Avec la crise provoquée par l’épidémie de Covid-19, les libertés fondamentales reculent un peu partout sur la planète. Est-ce un mal pour un bien sanitaire? Ou un crime qui profiterait à un petit nombre? Dans son ouvrage Oligarchie, crises et folie des grandeurs (éd. Jean-Cyrille Godefroy), l’essayiste Antonio Furone voit dans cette crise une chance pour une oligarchie mondialiste qui en serait la grande bénéficiaire. Pour faire le point, Sputnik donne la parole à son éditeur, Pierre-Yves Rougeyron, juriste et spécialiste en intelligence économique.
Valeurs actuelles publie une tribune de Xavier Bazin auteur du livre Big Pharma démasqué ! De la chloroquine aux vaccins, la crise du coronavirus révèle la face noire de notre système de santé dans laquelle il explique que les gouvernements se sont focalisés sur la recherche de vaccins et de molécules nouvelles et que des traitements et molécules anciens, peu rentables pour les industries pharmaceutiques, ont été dédaignés :
Cette courbe extraite du site Covid Tracker illustre la montée du nombre de cas dépistés positifs au Covid-19 depuis mars
C’est très simple. Parce que, aujourd’hui, la pandémie au Covid-19 explose au Brésil et, en particulier, du fait d’un variant apparu dans ce pays et dont les caractéristiques infectieuses sont particulièrement inquiétantes : plus contagieux, plus agressif que le virus initial et frappant tout particulièrement les plus jeunes avec une probable résistance à certains de nos vaccins. Or, du Brésil au département français de la Guyane, il n’y a qu’un pas seulement entravé par une frontière quasiment virtuelle et, surtout, réduite depuis longtemps déjà à l’état de… passoire !
Philippe de Villiers a longuement été interrogé dans Valeurs Actuelles. Extraits :
[…] J’ai découvert une chose inouïe : ce que nous avons vécu a déjà été joué. C’était le 18 octobre 2019, lors une rencontre inhabituelle de gens puissants, non mandatés, hors des circuits officiels des institutions multilatérales, qui s’est tenue à New York. Il ne s’agissait pas d’un colloque, mais d’un exercice de simulation d’une pandémie de coronavirus qui rassemblait Big Pharma, Big Data, Big Finance, la Fondation Bill Gates et le Forum de Davos. Ces nouveaux seigneurs composent une sorte de directoire d’influence mondiale, supérieur aux puissances publiques.
Ce week-end, les Français avaient des aigreurs d’estomac. Des remontées acides de déjeuners et dîners clandestins alors qu’il leur avait fallu renoncer au barbecue avec la tante Adèle et au petit verre de rosé sur la plage des Flots bleus.