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tradition - Page 97

  • Action française • Provence : une jeunesse qui bouge et doit se défendre face à des casseurs voyous dits « antifas »

    Une réunion de rentrée où l'on a dû se défendre contre l'ultragauche radicale et violente

    Le samedi 14 octobre 2017, l’Action française Provence organisait une réunion de rentrée à Marseille. Un événement politique perturbé par une manifestation non-autorisée et violente de militants dits antifas.

    Découvrez le reportage - très explicatif - réalisé par Vincent Lapierre et son équipe. 

    Un document qui rétablit la vérité sur un événement dont de nombreux médias ont parlé comme sur les motivations profondes de cette nouvelle jeunesse royaliste qui, tout simplement, aime la France et la défend.  • LFAR

     12' 45"

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/
  • Cor Ignis, nouveau groupe de musique patriote

    Cor Ignis est un nouveau groupe de musique patriote, proche de l'Action française. Cor Ignis signifie en latin "Cœur Meurtri" et est à l'image de notre génération : sacrifiée et en révolte contre le monde moderne. Originaire de Provence, notre groupe propose des musiques folk, enracinées et alternatives. Voici leur premier clip, afin que vous puissiez vous en faire une idée :

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Une député du Front National s’exprime sur la refondation : « Pourquoi changer de nom ? Vive le Front National ! »

    Marie-Christine Arnautu, député européenne du Front National, militante de la première heure, s’exprime sur la question de changement de nom du Front National.

    Elle développe, dans cette vidéo, avec des arguments probants, son souhait de garder le nom de toujours. Et fustige quelques militants de la dernière heure partisans du changement de nom mais ignorants l’histoire du mouvement national, ses fondateurs, ses grands noms !

    Une déclaration forte et courageuse qui remet les choses à l’endroit :

    « Le changement du nom au nom de la dédiabolisation, à quoi cela servirait-il sinon à donner raison à nos détracteurs et à démontrer que nous acceptons l’idée d’avoir été ou d’être des diables, à plier face aux attaques iniques portées contre nous. »

    « Soyons fiers de ce que nous sommes, le Front National, fiers de ce nom qui porte en lui tant d’héroïsme, tant de sacrifices, tant d‘espoir et tant de force. »

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/une-depute-du-front-national-sexprime-sur-la-refondation-pourquoi-changer-de-nom-vive-le-front-national/82187/

  • Recomposition politique : lancement de la plateforme "Les Amoureux de la France"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Une pétition pour retrouver la Région Lorraine

    lorraine-588x330.jpg

    La colère gronde dans les régions. Aujourd’hui la Lorraine. Polémia reprend ce texte publié le 21 octobre dernier par le Groupe BLE Lorraine sur AgoraVox et le soumet à ses lecteurs sous la forme d’une information. Cela veut dire que, en l’état, cette position d’une région n’est pas forcément cautionnée par notre fondation.
    Polémia

    Une pétition en ligne intitulée « Rendez-nous la Lorraine » a été lancée jeudi 18 octobre 2017. Celle-ci s’adresse à l’ensemble des sénateurs et députés lorrains, ainsi qu’aux quatre présidents des Conseil départementaux lorrains.

    Elle fait suite au dépôt de proposition de loi des sénateurs lorrains Jean-Louis Masson et Christine Herzog visant à organiser un référendum pour revenir à notre Région Lorraine et créer un Conseil Unique de Lorraine par la fusion des quatre départements lorrains.

    En l’espace de 48 heures, cette pétition a déjà recueilli plus de 500 signatures. Parmi les signataires, on retrouve notamment les sénateurs Masson et Herzog, qui soutiennent officiellement et publiquement cette initiative, ainsi que d’autres personnalités politiques de Lorraine, à l’image du Président du Parti Lorrain, Thomas Riboulet, mais aussi des représentants de la société civile et des citoyens.

    Rappelons que le Grand Est a été imposé à la Lorraine sans concertation ni consultation de ses élus et encore moins de ses habitants. Comme l’a récemment démontré la Cour des Comptes dans un rapport, il n’a ni généré les économies mises en avant, ni simplifié le « mille-feuille » territorial français. Pire, la fusion des régions a même généré des surcoûts ! En Lorraine, territoire à l’identité affirmée, cette fusion a généré un sentiment inexpugnable d’inégalité de traitement manifeste au profit de l’Alsace. L’élection d’un nouvel Alsacien pour succéder à un autre au poste de président de région renforce cette impression. Sans compter l’attribution des différentes subventions.

    D’une superficie de 23 547 km2, la Lorraine fait les trois quarts de la Belgique et est plus grande que plusieurs Länder allemands comme la Sarre, Brême, Hambourg ou encore la Rhénanie-Palatinat. La différence avec nos voisins fédérés, qui font partie d’une république fédérale et non d’un système centralisé comme en France, ne réside donc pas dans la taille critique des territoires, mais bien dans l’attribution des compétences et du budget. Le Grand Est a ainsi un budget annuel comparable à celui de la seule Ville de Bâle, à savoir environ deux milliards d’euros, qui est très éloigné de celui d’un Land comme la Bavière qui culmine à plus de soixante milliards d’euros par an.

    Au-delà de l’aspect culturel et historique, la Lorraine apparaît comme le bon échelon administratif et territorial, celui proche des citoyens. En fusionnant ses quatre départements, dont les compétences ont été réduites principalement aux champs d’action sociale, de véritables économies seraient réalisées. Un exemple parmi d’autres : il n’y aurait en effet plus qu’un seul Conseil Territorial et non plus quatre, soit quatre fois moins d’élus mais des élus représentatifs de chaque composante des territoires lorrains. Plus proche des habitants et plus économique, donc plus efficient, le retour d’une Région Lorraine est par conséquent souhaitable par la création d’un Conseil Unique comme le soutiennent les sénateurs Masson et Herzog. Cette pétition doit apporter du poids à toute initiative en ce sens

    Groupe BLE Lorraine 21/10/2017

    Source : agoravox.fr

    https://www.polemia.com/une-petition-pour-retrouver-la-region-lorraine/

  • Pas très "gender" : l'instinct maternel serait conforté scientifiquement

    Lu ici :

    6a00d83451619c69e201bb09d03a1d970d-800wi.jpg"Les pleurs des bébés activent des régions spécifiques, liées aux mouvements et à la parole, du cerveau de leur mère, relève lundi une vaste étude qui conforte la réalité biologique de l'instinct maternel. Selon cette étude menée dans onze pays et publiée dans les Comptes rendus de l'Académie américaine des sciences (PNAS), une mère entendant son enfant pleurer aura tendance à toujours avoir le même comportement: le prendre dans les bras et lui parler pour le rassurer.

    Comprendre ces réactions et les activités correspondantes dans le cerveau des femmes pourrait aider à identifier les risques de maltraitance encourus par les enfants, selon les chercheurs des Instituts nationaux américains de la santé (NIH) à l'origine de cette étude. Ces derniers ont étudié le comportement maternel et le cerveau - via des imageries par résonance magnétique (IRM) - d'un groupe de 684 femmes récemment devenues mères pour la première fois en Argentine, Belgique, Brésil, Cameroun, France, Israël, Italie, Japon, Kenya, Corée du Sud et Etats-Unis.

    Les interactions que celles-ci ont eu avec leur bébé de cinq mois ont été observées et enregistrées, afin de voir si elles répondaient aux pleurs de leur enfant en montrant de l'affection, en le distrayant, le nourrissant, lui changeant la couche, le prenant dans les bras ou en lui parlant. En analysant des IRM d'autres groupes de femmes, ces chercheurs ont constaté en outre que les jeunes mères et celles qui avaient eu plusieurs enfants activaient des régions similaires de leur cerveau lorsque leur bébé pleurait.

    L'étude constate que ces pleurs activent chez la plupart des femmes une région cérébrale liée à l'intention de se déplacer et de parler, ainsi que des zones frontales du cerveau impliquées dans le langage et la capacité de parler et d'interpréter des sons. "Ces résultats laissent penser que les réponses des mères aux pleurs de leur bébé sont bien programmées dans le cerveau et communes à l'ensemble des cultures", concluent les auteurs de l'étude.

    Celle-ci complète d'autres travaux montrant que le cerveau des femmes et celui des hommes répondent différemment aux pleurs d'un bébé, précise l'étude. Ainsi la nuit, les hommes semblent moins entendre les cris des bébés que les femmes plus enclines à se lever pour aller les réconforter. Même si les rôles parentaux ont évolué ces dernières décennies, ce sont toujours et le plus souvent les mères qui prennent en charge la plupart des tâches domestiques au quotidien et surtout celles liées aux tout-petits, selon d'autres études."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html