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tradition - Page 97

  • LES ORIGINES CELTES D'HALLOWEEN : LA SAMAIN

    Ce soir, 31 octobre, nombre d’enfants déguisés en petits diables, monstres ou sorciers vont venir toquer à votre porte pour réclamer des friandises en menaçant de vous jeter un sort si vous ne répondez pas favorablement à leur demande.

    Cette coutume est la plus connue de la fête d’Halloween, revenue en France depuis le début des années 2000. Mais saviez-vous que cette fête est d’origine celte et porte le nom de Samain ? Il y a plus de 3000 ans, les Celtes occupent les îles britanniques mais aussi la Bretagne et une grande partie de la Gaule.

    Selon eux, l’année est divisée en deux : la saison claire et la saison sombre.

    La Samain marque le passage entre ces deux périodes et une rupture dans les activités quotidiennes de la société avec la fin des combats pour les guerriers et la fin des travaux des champs pour les agriculteurs.

    C’est à l’issue de la Samain que débute la nouvelle année.

    Les Celtes ayant un calendrier lunaire, les cérémonies, qui durent une semaine, débutent 3 jours avant la pleine lune de novembre et se poursuivent trois jours après. 

    Elles rassemblent l’ensemble de la communauté autour des druides et de grands feux allumés au sommet des collines pour éloigner les mauvais esprits.

    En effet, selon les croyances, cette période voit les âmes des défunts retourner auprès de leurs familles. Les vivants se costument et se griment de manière effrayante pour se fondre parmi les revenants.

    À la fin des célébrations chaque famille se voit remettre une braise permettant de faire renaître le feu dans le foyer domestique. La flamme sacrée doit ensuite être maintenue jusqu’à l’automne suivant.

    Dans le monde romain, les mois d’octobre est également celui de la célébration des morts au cours des Feralia.

    Les familles se rendent sur les tombes de leurs ancêtres pour les honorer en apportant des vivres et des fleurs.

    Le lendemain, se déroule la fête des Caristia où les dieux domestiques fondateurs de la lignée, appelés dieux lares, sont honorés à leur tour.

    La christianisation du monde romain et gallo-romain entraîne l’interdiction de ces fêtes.

    Au VIIIe siècle, la fête de tous les saints, célébrée, depuis le VIIe siècle, le 13 mai, est déplacée au 1er novembre pour éliminer les résurgences des fêtes païennes.

    La nuit du 31 octobre au 1er novembre devient ainsi la veille de la Toussaint qui se dit en anglais : all hallow’s eve, et s’est transformé en Halloween.

    Cette date est pourtant marquée par certaines traditions païennes qui ont perduré au cours des siècles et jusque dans les années 1950-1960, notamment en Bretagne et dans le nord de la France.

    C’est le cas de la confection de lanternes creusées dans des légumes comme des navets ou des betteraves et décorées avec des figures effrayantes. Ces lanternes sont ensuite disposées dans les recoins sombres des villages pour effrayer les mauvais esprits.

    Si les citrouilles sont aujourd’hui privilégiées c’est parce qu’elles sont plus faciles à travailler !

    Ce soir, en donnant leurs friandises aux enfants, n’hésitez pas à leur raconter l’origine de cette fête multimillénaire, plus ancrée dans nos traditions et moins commerciale que l’on ne croit !
    Source cliquez ici
  • Des nouvelles de la croix de Ploërmel : la réaction s'amplifie

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    Source Breizh info cliquez ici

    La décision du Conseil d’État de donner raison à la Libre Pensée du Morbihan (une organisation d’extrême gauche laïque et jacobine) dans sa longue croisade afin de faire retirer la croix de la statue du Pape Jean-Paul II à Ploërmel fait réagir, en Bretagne comme ailleurs.

    La commune de Ploërmel a désormais 6 mois pour procéder au retrait de la croix – pas de la statue (NDLR : celle du Pape Jean-Paul 1er), ce qui, font remarquer certains, montre le niveau de cohérence des autorités judiciaires.

    De toute part, des citoyens appellent à s’opposer physiquement au retrait de cette croix, lorsque le jour J arrivera. Sur les réseaux sociaux, le hashtag #MontreTaCroix est particulièrement populaire. 

    La Pologne s’est officiellement élevée contre cette décision : « Le gouvernement polonais tentera de sauver de la censure le monument de notre compatriote, et nous proposerons de le transférer en Pologne, en cas d’accord des autorités françaises et de la communauté locale », a déclaré Beata Szydlo, la Première ministre polonaise, à l’agence PAP.

    « Notre grand compatriote, un grand Européen, est un symbole de l’Europe chrétienne unie. Le diktat du politiquement correct – de la laïcisation de l’Etat – laisse la place libre à des valeurs qui nous sont étrangères culturellement et qui mènent à terroriser la vie quotidienne des Européens » a déclaré Beata Sydlo, Premier ministre de Pologne.

    En Bretagne, plusieurs personnalités politiques ont réagi, et d’abord le maire de Ploërmel, Patrick le Diffon :

    « Le Conseil d’Etat a jugé sur le fond, il a concédé que la statue et l’arche ne posaient pas de problème. Pour la croix, c’est une application stricte de la loi. Une décision que je regrette. Voilà 12 ans que la statue est en place, qu’elle fait partie du paysage de la ville et du Pays de Ploërmel. Il y a le droit et la réalité des choses. (…) Mon souhait est de trouver une solution d’apaisement et que ce dossier se règle dans la sérénité.»

    Paul Anselin, ancien maie de la commune, initiateur de la pose de cette statue offerte par un artiste russe, a expliqué que «  Faire tomber une croix en Bretagne est invraisemblable (…) J’ai eu une peine immense. Comment penser enlever une croix en Bretagne, qui est une terre aux racines chrétiennes ? C’est quand même invraisemblable… Je considère que c’est une amputation de notre mémoire, et je ne l’accepte pas. Il y a une petite croix que j’ai fait ériger à l’endroit où sont tombés deux jeunes de Ploërmel assassinés par les nazis en 1944. On va l’enlever aussi, cette croix ? Mais où on va ? Je suis un homme tolérant, je suis décidé à ne pas reculer sur ce terrain des valeurs. Cette statue est là depuis onze ans, elle fait partie du patrimoine de la ville ! »

    Pour Gilles Pennelle, responsable du Front National en Bretagne, cette décision est « une offense à l’identité de la Bretagne et de la France (…) Alors qu’elle défend le port du burkini islamiste sur nos plages (voir son arrêt du 25 août 2016), cette institution fait preuve d’une rigidité étonnante à l’égard de l’identité chrétienne de la Bretagne et de la France.(…) Cet arrêt est extrêmement inquiétant et ouvre la boîte de Pandore à toute contestation par des

    associations sectaires, de la présence de croix le long de nos routes, sur nos monuments ou sur nos clochers. Nous ne pouvons pas accepter une telle décision.»

    David Cabas, secrétaire départemental de Debout la France, qui rappelle également la décision du Conseil d’Etat à propos du Burkini, « Cette croix fait partie de l’histoire du pays.  Dans un pays aux routes bordées de calvaires qui racontent notre Histoire, est ce que cette victoire d’un groupuscule de l’ultra gauche et de la libre pensée conduira à s’attaquer à tout le patrimoine culturel breton ? ». Ce dernier appelle à participer aux manifestations qui pourraient intervenir .

    Du côté de la droite bretonne, comme de la gauche, c’est le silence radio, tout comme du côté des organisations politiques régionalistes bretonnes.

    L’affaire de la statue du Pape de Ploërmel est toutefois loin d’être terminée, vu les réactions, très nombreuses, qui se multiplient en France et en Europe.

  • Les Assises de l’Enracinement avec la Ligue du Midi

    Dimanche 29 octobre de 9h30 à 17h00

    Déjà 250 inscrits…

    Assises de l'Enracinement

    Dernier arrêt avant le chaos !

    L’heure est grave : nous vivons actuellement les derniers soubresauts d’un pays à l’agonie. Nos politiques, sont incapables de s’entendre et d’unir leurs forces pour sauver la France et notre identité : montrez-leur que vous le ferez, avec ou sans eux !

    Formez-vous afin de mieux comprendre la situation dramatique que nous traversons, diffusez nos idées, montrez à “l’hyper classe nomade” que nous sommes toujours debout malgré les assauts répétés des lobbies qu’ils contrôlent.

    Notre pays, nos ancêtres, nos enfants seront alors fiers de votre prise de conscience et de votre combat pour sauver notre civilisation.

    Baisser les bras, c’est trahir… Combattre c’est résister !

    8 orateurs :

    Discours d’introduction d’Olivier Roudier

    Pierre Cassen : “La laïcité un particularisme français”

     Jean-Louis Harouel : “Droit des peuples contre libertés publiques”

     François Bousquet : “L’esthétisme, valeur d’enracinement”

    Ch Piquemal : “Transmission et héroïsme”

    Alain De Peretti : “Nos racines sont dans notre assiettes”

    Jean-Pierre Joseph : “Vaccins, transhumanisme : danger!”

     Gérard Dussouy : “localisme / mondialisme”

    Julien Rochedy : “l’enracinement, une force de projection vers l’avenir”

    Philippe Milliau (TVLibertés) : “Des ailes pour l’avenir”

    Discours de clôture de Richard Roudier

    1 table ronde de 6 conférenciers régionaux et… les Brigandes

    des stands, de la musique, des projections vidéos, signatures d’ouvrages, service de restauration rapide, bar…

    Évènement couvert par T.V Libertés

    Vous avez encore une semaine pour bénéficier du tarif préférentiel de 15 € au lieu de 20 €

    https://liguedumidi.com/inscription-aux-assises-de-lenracinement/

    Paiement par paypal, CB ou chèque

    Renseignements:

    BP 1-7114

    30912 – Nîmes cedex 2

    Tél : 07 83 47 42 42

    Mail : liguedumidi@orange.fr

  • Action française • Provence : une jeunesse qui bouge et doit se défendre face à des casseurs voyous dits « antifas »

    Une réunion de rentrée où l'on a dû se défendre contre l'ultragauche radicale et violente

    Le samedi 14 octobre 2017, l’Action française Provence organisait une réunion de rentrée à Marseille. Un événement politique perturbé par une manifestation non-autorisée et violente de militants dits antifas.

    Découvrez le reportage - très explicatif - réalisé par Vincent Lapierre et son équipe. 

    Un document qui rétablit la vérité sur un événement dont de nombreux médias ont parlé comme sur les motivations profondes de cette nouvelle jeunesse royaliste qui, tout simplement, aime la France et la défend.  • LFAR

     12' 45"

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/
  • Cor Ignis, nouveau groupe de musique patriote

    Cor Ignis est un nouveau groupe de musique patriote, proche de l'Action française. Cor Ignis signifie en latin "Cœur Meurtri" et est à l'image de notre génération : sacrifiée et en révolte contre le monde moderne. Originaire de Provence, notre groupe propose des musiques folk, enracinées et alternatives. Voici leur premier clip, afin que vous puissiez vous en faire une idée :

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Une député du Front National s’exprime sur la refondation : « Pourquoi changer de nom ? Vive le Front National ! »

    Marie-Christine Arnautu, député européenne du Front National, militante de la première heure, s’exprime sur la question de changement de nom du Front National.

    Elle développe, dans cette vidéo, avec des arguments probants, son souhait de garder le nom de toujours. Et fustige quelques militants de la dernière heure partisans du changement de nom mais ignorants l’histoire du mouvement national, ses fondateurs, ses grands noms !

    Une déclaration forte et courageuse qui remet les choses à l’endroit :

    « Le changement du nom au nom de la dédiabolisation, à quoi cela servirait-il sinon à donner raison à nos détracteurs et à démontrer que nous acceptons l’idée d’avoir été ou d’être des diables, à plier face aux attaques iniques portées contre nous. »

    « Soyons fiers de ce que nous sommes, le Front National, fiers de ce nom qui porte en lui tant d’héroïsme, tant de sacrifices, tant d‘espoir et tant de force. »

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/une-depute-du-front-national-sexprime-sur-la-refondation-pourquoi-changer-de-nom-vive-le-front-national/82187/

  • Recomposition politique : lancement de la plateforme "Les Amoureux de la France"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Une pétition pour retrouver la Région Lorraine

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    La colère gronde dans les régions. Aujourd’hui la Lorraine. Polémia reprend ce texte publié le 21 octobre dernier par le Groupe BLE Lorraine sur AgoraVox et le soumet à ses lecteurs sous la forme d’une information. Cela veut dire que, en l’état, cette position d’une région n’est pas forcément cautionnée par notre fondation.
    Polémia

    Une pétition en ligne intitulée « Rendez-nous la Lorraine » a été lancée jeudi 18 octobre 2017. Celle-ci s’adresse à l’ensemble des sénateurs et députés lorrains, ainsi qu’aux quatre présidents des Conseil départementaux lorrains.

    Elle fait suite au dépôt de proposition de loi des sénateurs lorrains Jean-Louis Masson et Christine Herzog visant à organiser un référendum pour revenir à notre Région Lorraine et créer un Conseil Unique de Lorraine par la fusion des quatre départements lorrains.

    En l’espace de 48 heures, cette pétition a déjà recueilli plus de 500 signatures. Parmi les signataires, on retrouve notamment les sénateurs Masson et Herzog, qui soutiennent officiellement et publiquement cette initiative, ainsi que d’autres personnalités politiques de Lorraine, à l’image du Président du Parti Lorrain, Thomas Riboulet, mais aussi des représentants de la société civile et des citoyens.

    Rappelons que le Grand Est a été imposé à la Lorraine sans concertation ni consultation de ses élus et encore moins de ses habitants. Comme l’a récemment démontré la Cour des Comptes dans un rapport, il n’a ni généré les économies mises en avant, ni simplifié le « mille-feuille » territorial français. Pire, la fusion des régions a même généré des surcoûts ! En Lorraine, territoire à l’identité affirmée, cette fusion a généré un sentiment inexpugnable d’inégalité de traitement manifeste au profit de l’Alsace. L’élection d’un nouvel Alsacien pour succéder à un autre au poste de président de région renforce cette impression. Sans compter l’attribution des différentes subventions.

    D’une superficie de 23 547 km2, la Lorraine fait les trois quarts de la Belgique et est plus grande que plusieurs Länder allemands comme la Sarre, Brême, Hambourg ou encore la Rhénanie-Palatinat. La différence avec nos voisins fédérés, qui font partie d’une république fédérale et non d’un système centralisé comme en France, ne réside donc pas dans la taille critique des territoires, mais bien dans l’attribution des compétences et du budget. Le Grand Est a ainsi un budget annuel comparable à celui de la seule Ville de Bâle, à savoir environ deux milliards d’euros, qui est très éloigné de celui d’un Land comme la Bavière qui culmine à plus de soixante milliards d’euros par an.

    Au-delà de l’aspect culturel et historique, la Lorraine apparaît comme le bon échelon administratif et territorial, celui proche des citoyens. En fusionnant ses quatre départements, dont les compétences ont été réduites principalement aux champs d’action sociale, de véritables économies seraient réalisées. Un exemple parmi d’autres : il n’y aurait en effet plus qu’un seul Conseil Territorial et non plus quatre, soit quatre fois moins d’élus mais des élus représentatifs de chaque composante des territoires lorrains. Plus proche des habitants et plus économique, donc plus efficient, le retour d’une Région Lorraine est par conséquent souhaitable par la création d’un Conseil Unique comme le soutiennent les sénateurs Masson et Herzog. Cette pétition doit apporter du poids à toute initiative en ce sens

    Groupe BLE Lorraine 21/10/2017

    Source : agoravox.fr

    https://www.polemia.com/une-petition-pour-retrouver-la-region-lorraine/

  • Pas très "gender" : l'instinct maternel serait conforté scientifiquement

    Lu ici :

    6a00d83451619c69e201bb09d03a1d970d-800wi.jpg"Les pleurs des bébés activent des régions spécifiques, liées aux mouvements et à la parole, du cerveau de leur mère, relève lundi une vaste étude qui conforte la réalité biologique de l'instinct maternel. Selon cette étude menée dans onze pays et publiée dans les Comptes rendus de l'Académie américaine des sciences (PNAS), une mère entendant son enfant pleurer aura tendance à toujours avoir le même comportement: le prendre dans les bras et lui parler pour le rassurer.

    Comprendre ces réactions et les activités correspondantes dans le cerveau des femmes pourrait aider à identifier les risques de maltraitance encourus par les enfants, selon les chercheurs des Instituts nationaux américains de la santé (NIH) à l'origine de cette étude. Ces derniers ont étudié le comportement maternel et le cerveau - via des imageries par résonance magnétique (IRM) - d'un groupe de 684 femmes récemment devenues mères pour la première fois en Argentine, Belgique, Brésil, Cameroun, France, Israël, Italie, Japon, Kenya, Corée du Sud et Etats-Unis.

    Les interactions que celles-ci ont eu avec leur bébé de cinq mois ont été observées et enregistrées, afin de voir si elles répondaient aux pleurs de leur enfant en montrant de l'affection, en le distrayant, le nourrissant, lui changeant la couche, le prenant dans les bras ou en lui parlant. En analysant des IRM d'autres groupes de femmes, ces chercheurs ont constaté en outre que les jeunes mères et celles qui avaient eu plusieurs enfants activaient des régions similaires de leur cerveau lorsque leur bébé pleurait.

    L'étude constate que ces pleurs activent chez la plupart des femmes une région cérébrale liée à l'intention de se déplacer et de parler, ainsi que des zones frontales du cerveau impliquées dans le langage et la capacité de parler et d'interpréter des sons. "Ces résultats laissent penser que les réponses des mères aux pleurs de leur bébé sont bien programmées dans le cerveau et communes à l'ensemble des cultures", concluent les auteurs de l'étude.

    Celle-ci complète d'autres travaux montrant que le cerveau des femmes et celui des hommes répondent différemment aux pleurs d'un bébé, précise l'étude. Ainsi la nuit, les hommes semblent moins entendre les cris des bébés que les femmes plus enclines à se lever pour aller les réconforter. Même si les rôles parentaux ont évolué ces dernières décennies, ce sont toujours et le plus souvent les mères qui prennent en charge la plupart des tâches domestiques au quotidien et surtout celles liées aux tout-petits, selon d'autres études."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html