[EN COUVERTURE] Crèches interdites, calvaires déboulonnés, croix démontées… Les laïcards en guerre contre l’héritage français >> http://bit.ly/2ygBqAU
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Ce soir, 31 octobre, nombre d’enfants déguisés en petits diables, monstres ou sorciers vont venir toquer à votre porte pour réclamer des friandises en menaçant de vous jeter un sort si vous ne répondez pas favorablement à leur demande.
Cette coutume est la plus connue de la fête d’Halloween, revenue en France depuis le début des années 2000. Mais saviez-vous que cette fête est d’origine celte et porte le nom de Samain ? Il y a plus de 3000 ans, les Celtes occupent les îles britanniques mais aussi la Bretagne et une grande partie de la Gaule.
Selon eux, l’année est divisée en deux : la saison claire et la saison sombre.
La Samain marque le passage entre ces deux périodes et une rupture dans les activités quotidiennes de la société avec la fin des combats pour les guerriers et la fin des travaux des champs pour les agriculteurs.
C’est à l’issue de la Samain que débute la nouvelle année.
Les Celtes ayant un calendrier lunaire, les cérémonies, qui durent une semaine, débutent 3 jours avant la pleine lune de novembre et se poursuivent trois jours après.
En effet, selon les croyances, cette période voit les âmes des défunts retourner auprès de leurs familles. Les vivants se costument et se griment de manière effrayante pour se fondre parmi les revenants.
À la fin des célébrations chaque famille se voit remettre une braise permettant de faire renaître le feu dans le foyer domestique. La flamme sacrée doit ensuite être maintenue jusqu’à l’automne suivant.
Les familles se rendent sur les tombes de leurs ancêtres pour les honorer en apportant des vivres et des fleurs.
Le lendemain, se déroule la fête des Caristia où les dieux domestiques fondateurs de la lignée, appelés dieux lares, sont honorés à leur tour.
La christianisation du monde romain et gallo-romain entraîne l’interdiction de ces fêtes.
Au VIIIe siècle, la fête de tous les saints, célébrée, depuis le VIIe siècle, le 13 mai, est déplacée au 1er novembre pour éliminer les résurgences des fêtes païennes.
La nuit du 31 octobre au 1er novembre devient ainsi la veille de la Toussaint qui se dit en anglais : all hallow’s eve, et s’est transformé en Halloween.
C’est le cas de la confection de lanternes creusées dans des légumes comme des navets ou des betteraves et décorées avec des figures effrayantes. Ces lanternes sont ensuite disposées dans les recoins sombres des villages pour effrayer les mauvais esprits.
Si les citrouilles sont aujourd’hui privilégiées c’est parce qu’elles sont plus faciles à travailler !
Source Breizh info cliquez ici
La décision du Conseil d’État de donner raison à la Libre Pensée du Morbihan (une organisation d’extrême gauche laïque et jacobine) dans sa longue croisade afin de faire retirer la croix de la statue du Pape Jean-Paul II à Ploërmel fait réagir, en Bretagne comme ailleurs.
La commune de Ploërmel a désormais 6 mois pour procéder au retrait de la croix – pas de la statue (NDLR : celle du Pape Jean-Paul 1er), ce qui, font remarquer certains, montre le niveau de cohérence des autorités judiciaires.
De toute part, des citoyens appellent à s’opposer physiquement au retrait de cette croix, lorsque le jour J arrivera. Sur les réseaux sociaux, le hashtag #MontreTaCroix est particulièrement populaire.
La Pologne s’est officiellement élevée contre cette décision : « Le gouvernement polonais tentera de sauver de la censure le monument de notre compatriote, et nous proposerons de le transférer en Pologne, en cas d’accord des autorités françaises et de la communauté locale », a déclaré Beata Szydlo, la Première ministre polonaise, à l’agence PAP.
« Notre grand compatriote, un grand Européen, est un symbole de l’Europe chrétienne unie. Le diktat du politiquement correct – de la laïcisation de l’Etat – laisse la place libre à des valeurs qui nous sont étrangères culturellement et qui mènent à terroriser la vie quotidienne des Européens » a déclaré Beata Sydlo, Premier ministre de Pologne.
« Le Conseil d’Etat a jugé sur le fond, il a concédé que la statue et l’arche ne posaient pas de problème. Pour la croix, c’est une application stricte de la loi. Une décision que je regrette. Voilà 12 ans que la statue est en place, qu’elle fait partie du paysage de la ville et du Pays de Ploërmel. Il y a le droit et la réalité des choses. (…) Mon souhait est de trouver une solution d’apaisement et que ce dossier se règle dans la sérénité.»
Paul Anselin, ancien maie de la commune, initiateur de la pose de cette statue offerte par un artiste russe, a expliqué que « Faire tomber une croix en Bretagne est invraisemblable (…) J’ai eu une peine immense. Comment penser enlever une croix en Bretagne, qui est une terre aux racines chrétiennes ? C’est quand même invraisemblable… Je considère que c’est une amputation de notre mémoire, et je ne l’accepte pas. Il y a une petite croix que j’ai fait ériger à l’endroit où sont tombés deux jeunes de Ploërmel assassinés par les nazis en 1944. On va l’enlever aussi, cette croix ? Mais où on va ? Je suis un homme tolérant, je suis décidé à ne pas reculer sur ce terrain des valeurs. Cette statue est là depuis onze ans, elle fait partie du patrimoine de la ville ! »
associations sectaires, de la présence de croix le long de nos routes, sur nos monuments ou sur nos clochers. Nous ne pouvons pas accepter une telle décision.»
David Cabas, secrétaire départemental de Debout la France, qui rappelle également la décision du Conseil d’Etat à propos du Burkini, « Cette croix fait partie de l’histoire du pays. Dans un pays aux routes bordées de calvaires qui racontent notre Histoire, est ce que cette victoire d’un groupuscule de l’ultra gauche et de la libre pensée conduira à s’attaquer à tout le patrimoine culturel breton ? ». Ce dernier appelle à participer aux manifestations qui pourraient intervenir .
Du côté de la droite bretonne, comme de la gauche, c’est le silence radio, tout comme du côté des organisations politiques régionalistes bretonnes.
L’affaire de la statue du Pape de Ploërmel est toutefois loin d’être terminée, vu les réactions, très nombreuses, qui se multiplient en France et en Europe.
Dimanche 29 octobre de 9h30 à 17h00
Déjà 250 inscrits…
L’heure est grave : nous vivons actuellement les derniers soubresauts d’un pays à l’agonie. Nos politiques, sont incapables de s’entendre et d’unir leurs forces pour sauver la France et notre identité : montrez-leur que vous le ferez, avec ou sans eux !
Formez-vous afin de mieux comprendre la situation dramatique que nous traversons, diffusez nos idées, montrez à “l’hyper classe nomade” que nous sommes toujours debout malgré les assauts répétés des lobbies qu’ils contrôlent.
Notre pays, nos ancêtres, nos enfants seront alors fiers de votre prise de conscience et de votre combat pour sauver notre civilisation.
Baisser les bras, c’est trahir… Combattre c’est résister !
8 orateurs :
Discours d’introduction d’Olivier Roudier
Pierre Cassen : “La laïcité un particularisme français”
Jean-Louis Harouel : “Droit des peuples contre libertés publiques”
François Bousquet : “L’esthétisme, valeur d’enracinement”
Ch Piquemal : “Transmission et héroïsme”
Alain De Peretti : “Nos racines sont dans notre assiettes”
Jean-Pierre Joseph : “Vaccins, transhumanisme : danger!”
Gérard Dussouy : “localisme / mondialisme”
Julien Rochedy : “l’enracinement, une force de projection vers l’avenir”
Philippe Milliau (TVLibertés) : “Des ailes pour l’avenir”
Discours de clôture de Richard Roudier
1 table ronde de 6 conférenciers régionaux et… les Brigandes
des stands, de la musique, des projections vidéos, signatures d’ouvrages, service de restauration rapide, bar…
Évènement couvert par T.V Libertés
Vous avez encore une semaine pour bénéficier du tarif préférentiel de 15 € au lieu de 20 €
https://liguedumidi.com/inscription-aux-assises-de-lenracinement/
Paiement par paypal, CB ou chèque
Renseignements:
BP 1-7114
30912 – Nîmes cedex 2
Tél : 07 83 47 42 42
Mail : liguedumidi@orange.fr
Une réunion de rentrée où l'on a dû se défendre contre l'ultragauche radicale et violente
Le samedi 14 octobre 2017, l’Action française Provence organisait une réunion de rentrée à Marseille. Un événement politique perturbé par une manifestation non-autorisée et violente de militants dits antifas.
Découvrez le reportage - très explicatif - réalisé par Vincent Lapierre et son équipe.
Un document qui rétablit la vérité sur un événement dont de nombreux médias ont parlé comme sur les motivations profondes de cette nouvelle jeunesse royaliste qui, tout simplement, aime la France et la défend. • LFAR
12' 45"
Cor Ignis est un nouveau groupe de musique patriote, proche de l'Action française. Cor Ignis signifie en latin "Cœur Meurtri" et est à l'image de notre génération : sacrifiée et en révolte contre le monde moderne. Originaire de Provence, notre groupe propose des musiques folk, enracinées et alternatives. Voici leur premier clip, afin que vous puissiez vous en faire une idée :
Marie-Christine Arnautu, député européenne du Front National, militante de la première heure, s’exprime sur la question de changement de nom du Front National.
Elle développe, dans cette vidéo, avec des arguments probants, son souhait de garder le nom de toujours. Et fustige quelques militants de la dernière heure partisans du changement de nom mais ignorants l’histoire du mouvement national, ses fondateurs, ses grands noms !
Une déclaration forte et courageuse qui remet les choses à l’endroit :
« Le changement du nom au nom de la dédiabolisation, à quoi cela servirait-il sinon à donner raison à nos détracteurs et à démontrer que nous acceptons l’idée d’avoir été ou d’être des diables, à plier face aux attaques iniques portées contre nous. »
« Soyons fiers de ce que nous sommes, le Front National, fiers de ce nom qui porte en lui tant d’héroïsme, tant de sacrifices, tant d‘espoir et tant de force. »
Francesca de Villasmundo