Avant-hier devant le Conseil d'Etat :
Christian Vanneste:
Charles Beigbeder :
François Billot de Lochner :
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Avant-hier devant le Conseil d'Etat :
Christian Vanneste:
Charles Beigbeder :
François Billot de Lochner :
Par ailleurs, les éditions Clovis publient cette année un autre roman jeunesse du père Francis Finn : Percy Wynn, dont voici le résumé :
"C'est la rentrée des classes au collège Sainte-Marie. Parmi les nouveaux élèves, un garçon nommé Percy Wynn n'est pas comme les autres : l'effort physique lui fait peur, il ne sait ni monter aux arbres, ni nager, ni même jouer au ballon ; il a lu tant de livres qu'on le compare à une bibliothèque vivante. Plus embêtant, il a un côté fillette qu'on ne pardonne pas dans une pension. Très vite, il devient donc le souffre-douleur des élèves les moins sympathiques du collège. Mais il fait la rencontre d'un ancien nommé Tom Playfair. Une amitié se tisse entre ces garçons profondément catholiques et tous deux "chics types". Les aventures vont commencer. Emporté dans ces péripéties et guidé par Tom, Percy va se transformer : il deviendra, rebondissement après rebondissement, un vrai garçon et un chrétien affermi. Mais à quel prix ?"
Gilbert Collard (Député Front National) : «Il y a 20 ans, on ne nous emmerdait pas à propos des crèches. Les laïcards sont des propagandistes du communautarisme. Ils ne font la guerre qu’à la croix ou la crèche. Je ne les ai jamais vus s’émouvoir qu’Anne Hidalgo fête à la Mairie de Paris une fête musulmane (le Ramadan) (…) J’ai jamais vu une crèche emmerder la voie publique, empêcher les gens de circuler, faire du bruit, empêcher l’accès à des commerces. Une crèche, ce n’est pas très grand. Une prière de rue, c’est une rue.»
– LCI, 7 décembre 2017, 8h26
Autres extraits …
Gilbert Collard : «Je soutiens la décision de Trump de reconnaître Jérusalem capitale d’Israël. Israël est un Etat qui a le droit de choisir sa capitale (…) Doit-on toujours céder au chantage et à la menace ? Macron doit avoir le courage de faire comme Trump.»
Gilbert Collard sur Jérusalem : «Macron est dans la demi-mesure, incapable de dire les choses comme elles sont. Je trouve désolant qu’on n’ait pas d’homme d’Etat courageux. Des mauviettes. Comment Israel peut-il vivre si on ne lui permet pas de choisir sa capitale ?»
J’étais présent, lundi soir, à l’inauguration de la désormais célèbre crèche de Béziers, interdite par le Conseil d’État, pour rendre tout naturellement hommage, avec tous les hommes de bonne volonté de ma ville, à ce symbole magnifique de la naissance de la Lumière, et – comme était annoncée une manifestation d’opposants (?) – pour voir en même temps jusqu’où certains peuvent aller aujourd’hui dans la sottise !
Je n’ai pas été déçu, ni dans un sens, ni dans l’autre.
D’un côté, une foule nombreuse qui a défilé pendant plus d’une heure, depuis la place de la Mairie jusqu’au lieu où elle était exposée, foule si dense que, lorsque je suis parti, la fin du cortège n’avait pas encore pu entrer. Une assistance venue applaudir et soutenir cette initiative de paix, croyants ou non-croyants, conscients du symbole que la crèche porte en elle.
Et puis au fond, dans un coin, sortis de la nuit, une dizaine d’opposants – trois pelés et deux tondus, deux pancartes et une vache -, devenus quarante par la grâce de Midi libre, journal multiplicateur des petits pains, et de temps à autre, on entendait la vache privée de foin qui agitait sa clarine en beuglant, et les vachers tentaient de l’imiter. Mais au bout de quelques minutes, on ne les entendit plus, couverts qu’ils étaient par les applaudissements et les bravos, avant de s’évanouir dans l’obscurité d’où ils n’auraient jamais dû sortir.
Et je me disais : « Mais comment peut-on, lorsqu’on passe son temps – car c’est le leitmotiv de ces « ménardophobes » invétérés – à dire qu’on lutte contre la haine, comment peut-on venir sur une place, malgré le froid, malgré tout ce qu’il y a d’intéressant à faire dans la vie, simplement pour huer et siffler le petit Jésus, pour s’en prendre méchamment, bêtement, à un pauvre symbole de paix et d’amour ? Comment peut-on faire de misérables procès à la représentation de la Nativité, fût-elle dans un lieu dit public, comme si cela devait empêcher de célébrer l’amour et la lumière, qui sont porteurs entre autres des fameuses valeurs de la République ? »
C’est que ce symbole, matérialisé par quelques santons de bois ou de plâtre, et cette étable où un berceau de paille vide représente la prochaine venue de l’Enfant Jésus, la Lumière du monde, venu éclairer les ténèbres de la bêtise et du mal, ce symbole dérange tous ceux que l’intelligence, la tolérance et le bon sens font frémir de fureur, tous ceux qu’une idéologie sectaire et bornée enferme et pousse dans des retranchements sans issue, qui, croyant refaire le monde, le rendent encore plus absurde, tous ceux qui haïssent et censurent celui qui ne pense pas comme eux, tous ceux pour qui la liberté d’expression se limite à réciter les ritournelles de la conformité, et à se déclarer contre, lutteurs et résistants contre tout ce qu’ils imaginent et inventent, pour exister et monter des associations d’inutilité publique, le racisme, le sexisme, la xénophobie, le populisme… ah ! le populisme, quelle horreur ! Et comme ils détestent le peuple et les pauvres gens, les simples gens, pareils à ceux du poème oublié de Victor Hugo, plus proches de la lumière que tous les porteurs de théories…
Et que nous montre la crèche, précisément, sinon Celui qui est venu parmi le peuple, au milieu de ces pauvres gens, dans une étable, au plus bas de la condition humaine, pour nous aider à nous lever, comme Lazare, à ouvrir et tourner les yeux vers la lumière de l’intelligence et de la bonté, à fouler au pied les ténèbres de la bêtise et de l’intolérance ?
Alors vive la crèche, envers et contre tous les colporteurs de haine, vive la crèche de Béziers ! Qu’elle demeure, malgré l’interdiction des censeurs d’une République décadente, qu’elle demeure l’annonce publique, universelle, éternelle d’un symbole, païen et chrétien, d’un symbole planétaire, celui du « sol invictus » (le soleil invaincu), de la victoire de la lumière sur l’obscurité, et de Jésus sur les pharisiens de tous les temps, celui du salut de l’Humanité !
Après la guerre des crèches en 2016, un vent de fronde souffle en ce mois de décembre sur la France. De plus en plus d’espaces privés ou publics veulent la leur cette année, affichant fièrement ce symbole d’identité culturelle et de résistance chrétienne.
La crèche c’est festif. La crèche c’est artistique. La crèche c’est le savoir-faire artisanal et local. La crèche c’est bon pour les enfants… On n’a jamais avancé autant de bonnes raisons d’avoir une crèche ! Comme si les interdictions de ces dernières années, les poursuites en justice, les relents de haine inspirés de la Terreur avaient eu l’effet inverse de celui escompté.
Des écoles sous contrat comme celles de Clamart ont organisé dès le mois d’octobre des concours de crèches pour les enfants de sixième, récompensant la plus belle. Au centre commercial de Parly 2 (Le Chesnay) la crèche supprimée en 2011, avait fait sa réapparition. En 2017 elle ne se fait pas toute petite et on ne peut pas louper ses personnages grandeur nature. Bravo également aux jardineries Truffaut comme celle de Saint-Germain en Laye ou à ces boutiques parisiennes comme le charmant Au bon Chic, rue des Gâtines dans le 20e. C’est chez eux que nous irons en priorité faire nos achats de Noël.
A Béziers, Robert Ménard persiste et signe malgré le jugement du Conseil d’Etat. Il devait inaugurer lundi la crèche installée à l’Hôtel de Ville. Les personnages de la Nativité vont s’installer bien au chaud dans l’entrée de la mairie. « Touche pas à ma crèche » clame en une la dernière livraison du journal municipal.
Vendredi, une crèche a été installée dans le hall du conseil départemental de la Vendée, à La Roche-sur-Yon. Une tradition qui dure depuis près trente ans mais qui depuis trois ans fait l’objet d’une persécution judiciaire à rebondissements à l’initiative des obsédés de la Libre-Pensée (qui ne trouvent en revanche rien à redire aux prières musulmanes de rue).
Les mairies FN en tête mais aussi des mairies LR et des Conseils régionaux installent leurs crèches. « Qu’ils viennent donc la démonter, s’ils l’osent ! » avait averti Julien Sanchez à Beaucaire. Pour protester contre l’interdiction de la cour d’appel de Douai (sur dénonciation d’un élu communiste) qui a déclaré illégale l’installation de la crèche de Noël à la mairie d’Hénin-Beaumont en décembre 2015, Steeve Briois a lancé un concours de la plus belle crèche et une pétition en signe de protestation : « Crèche de Noël interdite, nos traditions bafouées ».
Privé de crèche de Noël par le Conseil d’Etat dans l’Hôtel de région de Lyon, Laurent Wauquiez organise cette année une expo de santonniers pour détourner l’interdiction. Au Conseil régional des Hauts-de-France, lors de la séance plénière du 23 novembre, Mireille Chevet élue FN, a demandé au président Xavier Bertrand la mise en place d’une crèche. Rappelant sa totale conformité avec la loi de 1905, notamment par le jugement du Conseil d’Etat du 9 novembre 2016, elle a fait valoir la mise en valeur du savoir-faire local citant les associations concernées. Xavier Bertrand membre du Grand Orient de France, qui a obtenu sa présidence grâce à la gauche et à l’extrême gauche, a bien évidemment méprisé sa demande. La région Paca vient pourtant d’installer la sienne dans le hall du Conseil régional de Marseille. Le groupe FN en a félicité l’exécutif LR !
Caroline Parmentier
Article paru dans Présent daté du 5 décembre 2017
La Région PACA a installé une belle crèche :
Le groupe FN félicite l'exécutif LR :
Par Claire Polin, Présidente de SOS Éducation
Vous aimez Proust ? Vous allez adorer ça :
« En réalité, chaque lecteur·rice est quand il·elle lit, le·la propre lecteur·rice de soi-même. » (Le temps retrouvé)
Vous admirez Molière ? Vous allez être séduits par :
« Un·e sot·tte savant·e est sot·te plus qu’un·e sot·te ignorant·e. » (Les femmes savantes)
Vous admirez Victor Hugo ? Vous allez apprécier :
« La moitié d’un·e ami·e, c’est la moitié d’un·e traitre·esse. » (La légende des siècles)
Si rien n’est fait, si nous gardons le silence, si nous refusons de regarder en face ces graffitis de bas étage, voilà ce qui nous attend !
Cette machine à fabriquer des crétins a un nom : l’écriture inclusive.
Elle se définit elle-même comme une « graphie non-sexiste ». Parce que dans la langue française, on dit que le « masculin l’emporte sur le féminin » les dévots du féminisme voient dans cette règle une insulte insupportable faite aux femmes soumises à un affreux sexisme langagier. On réécrira donc Proust, Molière et Victor Hugo en novlangue pour les châtier d’avoir été des chauvinistes mâles. Sans oublier George Sand, Simone Weil et même Simone de Beauvoir (grand papesse du féminisme pourtant !) toutes coupables d’avoir baissé la tête sous le joug masculin.
Les promoteurs de l’écriture inclusive veulent imposer le « point milieu » pour créer des mots androgynes.
Par exemple, selon ces idéologues, vous ne devrez bientôt plus écrire « les électeurs » mais les « les électeur·rice·s »… Vous pourrez également vous extasier sur les autrices et autres travailleur·euse·s !
Cela pourrait faire sourire, s’il s’agissait d’une coquetterie de mauvais goût ou d’une mode excentrique.
Mais c’est bien plus dangereux.
Il s’agit en réalité d’une véritable tentative de prise de pouvoir.
En changeant les mots et la manière de les écrire, les promoteurs de l’écriture inclusive veulent faire main basse sur la manière même de penser.
Et ils visent particulièrement les enfants, plus malléables.
OUI, JE M’ENGAGE CONTRE L’ÉCRITURE INCLUSIVE
Ils veulent détruire notre langue et notre héritage culturel
L’écriture inclusive est le fruit d’une union, hélas fertile entre des féministes hystérisées et des pédagogues militants, sectaires et intolérants. Il y a de cela quelques années, ils avaient essayé d’obtenir la suppression de l’épreuve de français au brevet. Leur argument était le suivant : cette épreuve discriminait les enfants de familles immigrées dont le français n’était pas la langue maternelle ! Une incursion en Absurdie qui souleva un tel tollé que ces handicapés de la pensée firent machine arrière.
Ils reviennent à la charge, avec plus de succès, hélas en brandissant l’écriture inclusive. Cette dernière ne s’avance pas seule. Elle est accompagnée par une grande sœur un peu plus âgée qu’elle : « la féminisation de l’écriture ».
Ainsi doivent être proscrites des expressions telles que « il fait beau » ou « que reste-il ?». Ce « il » odieux et dominateur servirait à assujettir durablement les femmes. On écrira donc : « elle fait beau » et « que reste-t-elle ? ».
Vous n’en croyez pas vos yeux ?
Jetez un œil sur les livres d’Isabelle Alonso écrits en « langue féminisée ». Ils ont été publiés par les éditions Héloïse d’Ormesson. Vous aurez un petit aperçu du désastre.
L’écriture inclusive et féminisée a ses grands prêtres et ses grandes prêtresses. Une partie d’entre eux siègent rue de Grenelle au ministère de l’Éducation nationale. Cela paraît fou mais c’est de là que partent la plupart des attaques sournoises et insidieuses contre la langue française. Nombreux par ailleurs sont les servant·e·s de cette religion réputée très tendance. On les trouve dans les médias, dans l’édition et dans les écoles.
Des pères Ubu, des mères Ubu bien plus grotesques que les créatures inventées par le génial Alfred Jarry.
Le but poursuivi par ces adorateurs de Sainte-Analphabète est de déposséder les habitants de notre pays de leur identité. Ce qui fonde notre appartenance à un peuple, à une nation, c’est bien sûr une mémoire historique commune mais aussi,et peut-être avant tout une langue. Faire disparaître le français est le but avoué, et non avouable des tricoteurs et tricoteuses du point médian.
Ainsi, c’est voulu, un peuple doit cesser d’exister. Pour être remplacé par des individus privés de toute identité et de toutes caractéristiques propres. Un monde orwellien de consommateurs voués à se précipiter sur les têtes de gondole des supermarchés mondialisés pour y acheter des produits « made in nulle part ».
OUI, JE M’ENGAGE CONTRE L’ÉCRITURE INCLUSIVE
Ils organisent un grand lavage de cerveau
Il faut commencer tôt pour fabriquer des zombies dociles. À l’école. Les éditions Hatier soucieuses de se conformer à l’air du temps viennent de publier un manuel pour les enfants de CE2. Voilà comment on y raconte notre Histoire.
« Grâce aux agriculteur·rice·s, aux artisan·e·s et aux commerçant·e·s, la Gaule était un pays riche. »
Hatier édite également le célèbre Bescherelle. On attend avec un intérêt certain les prochaines éditions !
Très critiqué, Hatier se défend. La langue, selon ces éditions doit s’adapter au nouvel environnement et « au monde qui change ». Peut-être que pour tenir compte de la diversité de nos territoires, cette vénérable maison prépare-t-elle des manuels en argot des cités, destinés aux établissements classés ZEP ?
Mais il y a scandale plus grand encore. 314 professeurs ont signé une pétition sur Internet dans laquelle ils refusent d’enseigner la grammaire française.
Ils annoncent leur volonté d’enseigner dorénavant l’écriture féminisée.
Ils disent vouloir aussi imposer à l’école la règle de proximité qui consiste à accorder les mots concernés… avec le terme le plus proche !
Ainsi, selon eux, plutôt que d’écrire « les maîtres et les maîtresses engagés », il faudrait écrire « les maîtres et les maîtresses engagées ».
Nous nous sentons donc autorisés à écrire, s’agissant des 314 : « ces maîtres et ces maîtresses sont des idiotes ». Si le ridicule tuait encore en France, ces enseignants seraient morts depuis longtemps… On peut en rire. Mais c’est de pleurer qu’on a envie. Les professeurs, signataires de la pétition, sont payés avec nos impôts. Ça leur crée quelques obligations à notre égard.
Ils sont également fonctionnaires de l’Éducation nationale, et c’est ce ministère qui fixe les programmes : l’écriture féminisée n’y figure pas ! Ils se placent donc dans l’illégalité la plus totale. Il nous parait inimaginable que les rectorats dont ils dépendent ne les rappellent pas à l’ordre, en leur précisant qu’ils doivent enseigner le français, pas leur lubie imbécile.
OUI, JE M’ENGAGE CONTRE L’ÉCRITURE INCLUSIVE
Ils n’avancent pas seuls
Ces enseignants et les éditions Hatier sont assurés du soutien enthousiaste de Marlène Schiappa, secrétaire d’Etat à l’égalité femmes-hommes.
Françoise Nyssen, ministre de la Culture, a quant à elle déclaré dans le journal le Point : « Comment cette écriture serait-elle compréhensible par des enfants en difficulté d’apprentissage comme les enfants dyslexiques ? ». Une argumentation consternante. Les enfants dyslexiques ? Mais non, madame la Ministre, pas seulement les enfants dyslexiques ! Tous les enfants !
On s’étonnera qu’une femme aussi cultivée ne se soit pas avisée que l’écriture inclusive qu’elle critique si mollement, représente une absurdité unique dans l’histoire de l’humanité. On a connu des parlers, des dialectes, des patois qui ne s’écrivaient pas. Mais jamais, au grand jamais on n’a vu une écriture qui ne se parle pas. Essayez de parler « inclusif » pour voir !
OUI, JE M’ENGAGE CONTRE L’ÉCRITURE INCLUSIVE
L’Académie Française est avec nous !
Fort heureusement, L’Académie française a dit, dans un texte où chaque mot a été pesé, ce qu’il fallait dire sur ce qu’elle appelle un « danger mortel ».
« Prenant acte de la diffusion d’une "écriture inclusive" qui prétend s’imposer comme norme, l’Académie française élève à l’unanimité une solennelle mise en garde. La démultiplication des marques orthographiques et syntaxiques qu’elle induit aboutit à une langue désunie, disparate dans son expression, créant une confusion qui confine à l’illisibilité. (…) Plus que toute autre institution, l’Académie française est sensible aux évolutions et aux innovations de la langue, puisqu’elle a pour mission de les codifier. En cette occasion, c’est moins en gardienne de la norme qu’en garante de l’avenir qu’elle lance un cri d’alarme : devant cette aberration "inclusive", la langue française se trouve désormais en péril mortel, ce dont notre nation est dès aujourd’hui comptable devant les générations futures. »
Voilà où nous en sommes.
Comme le résume Madame Hélène Carrère d'Encausse : « Cette écriture prend en otage les écoliers pour transformer notre langue à des fins idéologiques ! »
Agissons ensemble, dès maintenant !
Face à cette attaque — frontale et explicite ! — nous devons réagir tout de suite, pour le bien de nos enfants et petits-enfants.
Vous et moi, et tous les membres de SOS Éducation devons absolument mettre toute notre énergie dans ce combat.
C’est pourquoi nous lançons aujourd’hui cette grande pétition nationale : « Non à l’écriture inclusive ! ».
Je vous invite à signer cette pétition dès maintenant en cliquant ici :
OUI, JE M’ENGAGE CONTRE L’ÉCRITURE INCLUSIVE
Je sais que le ministre actuel est de notre côté. Il a même pris position contre cette initiative. Mais vous savez bien qu’il ne pourra pas faire grand-chose s’il n’est pas soutenu par un large mouvement populaire. Les promoteurs de la destruction de notre langue sont en effet très actifs et bien organisés. Ils sont présents au sein de l’Éducation nationale, dans les académies, chez les grands éditeurs, à la Mairie de Paris… et tentent de répandre leur lubie pseudo-féministe auprès du plus grand nombre.
Alors, signez cette pétition, et partagez-là à l’ensemble de vos contacts pour garantir la réussite de cette action.
Votre signature est très importante pour nous permettre de soutenir la position du Ministre Jean-Michel Blanquer, et de définitivement bannir l’écriture inclusive dans les écoles.
Par avance, un grand merci de votre soutien et de votre action pour nos jeunes.