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Un procès devant la cour d’assises des mineurs a été requis contre l’auteur du meurtre de Lilibelle, tuée à 14 ans lors d’une rixe entre bandes rivales à Saint-Cheron (Essonne) en février 2021, apprend-on mercredi auprès du parquet d’Evry.
Une vision historique du tristement célèbre accord de Münich qui nous permet de mieux comprendre pourquoi il fut signé par la France et l’Angleterre.
En signant les accords de Munich avec Adolf Hitler le 30 septembre 1938, les puissances européennes qu’étaient la France et l’Angleterre ont voulu passer ce message à l’Allemagne nazie : Engagez vous à l’est et l’on ne vous fera pas de mal, selon ce qu’a confié à Sputnik le professeur Grover Carr Furr de l’université d’État de Montclair.
L’accord de Munich, signé à l’aube du 30 septembre 1938 par la Grande-Bretagne, la France, l’Italie et l’Allemagne nazie (excluant l’URSS et la Tchécoslovaquie) a ouvert les portes à l’agression hitlérienne et entériné le début réel de la Seconde Guerre Mondiale.
Ce détroit est le passage obligé pour le commerce international du Koweït, du Qatar, des Émirats arabes unis, du Bahreïn, de l’Irak. Il est emprunté par l’Arabie saoudite.
À travers vingt-sept portraits choisis, passionnants et émouvants, d'hommes et de femmes catholiques, protestants et orthodoxes, Dominique Lormier retrace l'histoire de la résistance chrétienne face à Hitler. Il démontre ainsi l'incompatibilité du christianisme avec le nazisme, s'opposant en cela à la thèse défendue par Michel Onfray dans son ouvrage Décadence.
De Charybde en Scylla depuis les années Mitterrand, jamais la France n’avait connu un tel taux de violence. Emmanuel Macron culmine au sommet de cette Everest insécuritaire malgré les ronds de jambes d’un ministre de l’Intérieur dépassé par les événements et d’une Première ministre réduite aux déclarations rassurantes. Laurent Obertone avait déjà donné de la voix dans son premier ouvrage, La France orange mécanique… en 2013 ! Il fait ici le point pour Le Figaro.
Les élections européennes de 2024 rabattent les cartes : après le virage pro-européen de Giorgia Meloni, Salvini est resté seul parmi les dirigeants politiques italiens à soutenir la bataille contre l’Europe des technocrates et des bien-pensants.
Bien qu’appartenant à la même coalition de gouvernement, Meloni et Salvini sont opposés sur l’Europe
Les élections européennes de juin 2024 constitueront une étape décisive non seulement pour la gouvernance de l’Europe mais aussi pour les exécutifs nationaux, dont celui italien. En effet, lorsqu’ils parlent de l’Europe, Matteo Salvini et Giorgia Meloni se situent dans des camps opposés et semblent appartenir à des coalitions différentes.
C’est pratique, les préjugés, c’est comme les plats surgelés, pas besoin de se fatiguer : on sort vite fait le truc du congélateur, un coup de micro-ondes et zou, à table ! En politique, il est un préjugé qui a la vie dure et marche encore assez bien : le RN (ancien style : FN) serait une menace pour la démocratie. Un demi-siècle que ce mouvement politique existe, qu’il n’a jamais été interdit, qu’il se présente à toutes les élections, que d’ailleurs, la plupart du temps et pour l’instant, il a perdues, mais il serait un danger pour la démocratie. On est prié de prendre ça comme un théorème mathématique, mieux, un axiome, c’est-à-dire un postulat par définition indémontrable mais qu’il faut prendre comme une évidence, pour ne pas dire un dogme, puisqu’on est là dans une dimension quasi théologique. À l’autre bout de l’échiquier politique, le Parti communiste français, lui, héritier du stalinisme avec ses millions de morts, défenseur du pacte germano-soviétique en 40, ne souffre pas de tant de préjugés. C’est comme ça, faut faire avec.