On n'a pas tout dit, loin de là, sur le Sommet de Durban consacré au Changement Climatique. Les principaux producteurs de CO₂ continuant à garder leurs distances, rejoints même par le Canada et le Japon tandis que les pays les plus pauvres glapissent qu'ils attendent toujours les pactoles qu'on leur avait fait miroiter à Stockholm. Il leur fut bien promis quelques rallonges, ça ira mieux en 2015 ! On s'engagea cependant à limiter à 2 degrés l'augmentation de chaleur due aux activités humaines. Sur proposition de l'Europe une nouvelle structure juridique obligatoire encadrant les gaz à effets de serre serait signée en 2015 et s'imposerait à tous les pays en 2020. Promesses, promesses... On se sera surtout mis d'accord pour ne pas souffler mot du milliard d'habitants supplémentaires à venir.
l'information nationaliste - Page 2641
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Durban : le réchauffement climatique démasqué
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Entretien exclusif avec Cassandre Fristot : son analyse de son procès, sa foi, ses convictions, son adhésion à Civitas
Cassandre Fristot nous a accordé un entretien exclusif. Avec quelques semaines de recul, elle commente la tempête politico-médiatico-judiciaire au centre de laquelle elle s’est retrouvée pour une simple pancarte. Elle nous parle aussi de sa foi, de ses convictions, de son parcours, de ses soutiens. L’occasion de mieux découvrir une très belle âme.
1° Cassandre Fristot, l’acharnement judiciaire à votre encontre pour une simple pancarte brandie dans une manifestation à Metz cet été contre le passe sanitaire aura peut-être l’effet inverse a celui escompté car il a fait de vous une héroïne du camp national. Le ressentez-vous ?
Dans un premier temps, pas du tout ce n’est qu’à partir de la lecture des lettres de soutien, que je m’en suis rendue compte. Beaucoup se sont réjouis que par ma pancarte, le constat du mondialisme destructeur de notre patrie fut dénoncé publiquement. Or ce geste anodin d’hisser haut mon carton lors de la manif, ne demandait aucun courage puisque (croyant encore à l’effectivité du monde d’avant et à la liberté d’expression) je n’y voyais rien de répréhensible.
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Encore une fake news qui fut inventée par les Démocrates autour de Clinton
Décidément, ces jours-ci les choses se corsent pour ceux qui moquaient les tenants des “fake-news – infox”…certifiées par tous les fact-checkers de la bienpensance.
Ainsi, pour le fameux dossier du “Russiagate”, à savoir la prétendue collusion entre Trump et la Russie fondée sur le dossier “Steele”, il est aujourd’hui démontré qu’il fut basé sur le faux-témoignage d’un agent russe et acheté par Hillary Clinton et le Parti Démocrate…
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Nouvelle histoire des idées (Alain Blondy)
Le Professeur Alain Blondy a enseigné pendant plus de trente ans au CELSA (Paris-IV), ainsi qu’à l’université de Malte. Il est considéré comme l’un des spécialistes actuels du monde méditerranéen.
Au cours des siècles, l’être humain a développé son intelligence et sa raison pour lui permettre de mieux agir. Cette longue marche commence dès l’Antiquité grecque. Mais à partir du XIXe siècle; les idées ont cessé progressivement d’être des outils pour devenir des croyances et les idéologies ont tendu à vouloir remplacer les religions. Le divin a été délaissé pour le prétendu intellectuel.
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Plusieurs milliers de migrants illégaux envoyés par Loukachenko (Biélorusse) tentent de prendre d’assaut la frontière polonaise pour entrer dans l’UE (MàJ)
Mise à jour :
L’OTAN a jugé lundi « inacceptable » la manière dont la Biélorussie « utilise » la question migratoire, après l’afflux de migrants à la frontière de la Pologne, membre de l’Union européenne et de l’Alliance atlantique.
« L’utilisation des migrants par le régime (du président biélorusse Alexander) Loukachenko comme tactique hybride est inacceptable », a estimé dans un communiqué un responsable de l’OTAN, disant s’inquiéter de cette situation.
« Nous sommes préoccupés par la récente escalade à la frontière entre la Pologne et la Biélorussie. Nous appelons la Biélorussie à se conformer au droit international », ajoute-t-il.
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Scandale : ils discriminent les Français !
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Exclusif : Crise des migrants en Pologne. Pour Marine Le Pen, « la frontière polonaise, c’est la nôtre »
« Erdoğan se sert des migrants comme d’une arme. » Alors que d’impressionnants cortèges de migrants tentent de franchir la frontière entre la Biélorussie et la Pologne pour entrer en Europe, Marine Le Pen accorde à Boulevard Voltaire un entretien exceptionnel. La candidate à l’élection présidentielle tape du poing sur la table. Ces migrants, « il faut les renvoyer chez eux », assène-t-elle. Elle appelle de ses vœux une double frontière européenne et française. Tout l’inverse de la politique pratiquée aujourd’hui en Europe : « L’Union européenne veut de l’immigration supplémentaire », accuse-t-elle, alors même que « tous les pays du monde protègent leurs frontières ». Pour elle, les Français ont largement pris conscience de la menace migratoire, mais pas Emmanuel Macron. Entretien choc.
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Le libéralisme... Mais de quoi parle-t-on ?
Aujourd’hui, la simple évocation du mot « libéralisme » provoque des réactions plus passionnelles que raisonnées : les uns y voient la cause de tous nos malheurs, les autres la solution aux blocages de notre société ou, plus simplement, l’expression politique et économique de la « Liberté ». J’entends les uns et les autres, et il me semble nécessaire de préciser quel sens je donne à ce terme quand il m’arrive de l’employer, cela pour éviter des malentendus sur ce que je pense et sur ce que pourrait être une monarchie sociale, malentendus qui peuvent gêner la bonne compréhension de mes propos et le bon déroulement des débats.
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Décision et souveraineté
Dans cette vidéo, nous aborderons un nouvel aspect de la pensée de Carl Schmitt, à savoir sa conception de la souveraineté et de la décision politique. Ainsi qu’il l’écrit au début de son livre, Théologie politique, « le souverain est celui qui décide de la situation exceptionnelle ». Il s’agit en vérité d’une critique rigoureuse et forte du normativisme libéral qui entend soumettre le politique à un ensemble de règles juridiques.
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INCAPABLES DE RÉPONDRE À LA CRISE, ILS TENTENT D'ACHETER LA PAIX SOCIALE