Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

l'information nationaliste - Page 2671

  • À Drancy, Zemmour va au carton : il n’est jamais mieux servi que par la (triste) réalité

    capture-decran-2021-10-26-a-211108-845x475.png

    Lundi, pour la première de l’émission « Face à la rue » de Jean-Marc Morandini, Éric Zemmour est retourné dans la ville de son enfance, Drancy, en Seine-Saint-Denis.

    C’est, sans conteste, l’émission la plus importante, la plus significative de son  de précampagne. Et c’est sans doute pour cela que l’on veut réduire cette balade en Seine-Saint-Denis à une série de polémiques, de « punchline » et de gestes « honteux, déplacés », comme on peut lire sur les réseaux sociaux.

    Lire la suite

  • UE, migrants… La Pologne ne faiblit pas

    Assaillie par les migrants à l’est et par l’Union européenne sur la scène politique continentale, la Pologne résiste et affirme ses positions.

    Après que le tribunal constitutionnel polonais a jugé le 7 octobre dernier que les articles 1 et 19 du traité sur l’Union européenne n’étaient pas compatibles avec la Constitution du pays, l’instance continentale a durci le ton le 19 octobre par la voix d’Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne. Celle-ci a évoqué les risques encourus par la Pologne, à savoir des pénalités financières, Bruxelles menaçant même de ne pas verser les 36 milliards d’euros qu’elle lui avait promis pour son plan de relance post-Covid.

    Lire la suite

  • Agnès de Dunbar (1312 ? – 1369)

    Agnès de Dunbar (1312 ? – 1369)

    « Of Scotland’s King I haud my house,
    I pay him meat and fee,
    And I will keep my gude auld house,
    while my house will keep me. »

    « Du roi d’Écosse je tiens mon foyer,
    je lui paie viande et taxe.
    Et je protègerai mon foyer,
    comme mon foyer me protègera »

    Prononcées par Agnès Randolph, ces paroles annoncent d’emblée le caractère déterminé de cette comtesse écossaise. Son surnom de « Black Agnès » viendrait de la couleur corbeau de ses cheveux et de son regard sombre, contrastant avec son teint très pâle.

    Lire la suite

  • L'inquiétant paradoxe socialiste

    6a00d8341c715453ef0282e12bff41200b-320wi.jpg

    Le 24 octobre à Valence, à la tribune du 40e Congrès du PSOE, il revenait à Pedro Sanchez secrétaire général du vieux Parti socialiste des travailleurs d'Espagne, de conclure. Il s'exprima donc dans un grand mouvement de fausse contrition et d'euphorie authentique : "J'ai commis des erreurs, mais nous sommes parvenus à maintenir en vie notre projet politique. La social-démocratie, que certains considéraient comme un définitivement mise en échec, est désormais en excellente santé !"

    Lire la suite

  • Koursk, 1943 (Roman Töppel)

    Roman Töppel, docteur en histoire, est un spécialiste des conflits sur le front russe, à l’époque du Ier Empire comme lors de la seconde guerre mondiale.

    Koursk est entré dans l’histoire comme la plus grande bataille de chars de la Seconde Guerre mondiale. Mais au nord du saillant de Koursk, ce fut aussi un duel d’artillerie exceptionnellement massif.

    Lire la suite

  • Pas de pénurie de main-d’œuvre !

    2203603920.png

    Arnaud Raffard de Brienne

    Selon la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME), 44% des entreprises éprouveraient des difficultés à recruter faute de candidats adaptés à leurs besoins. Plus généralement, ce serait près de 270 000 postes vacants en France, au premier trimestre 2021, qui ne trouveraient pas preneurs. Par exemple, le secteur de l’hôtellerie et de la restauration aurait perdu, pour les raisons que l’on imagine, près de 240 000 salariés entre 2020 et 2021. Selon la Fédération nationale des transporteurs routiers (FNTR), il manquerait aujourd’hui 50 000 chauffeurs, ce qui n’est pas rien.

    Lire la suite

  • Louis Fouché : "Cette crise est le point d’orgue d’un système entier qui est malade" (video)

    2571982247.png

    « Cette crise est un point de départ pour nous permettre d’aller plus loin et de travailler sur ce qui se passe au niveau monétaire, au niveau de l’école, au niveau environnemental. Cette crise est le point d’orgue d’un système entier qui est malade, parce que des multinationales ont décidé de s’en emparer, de nous désemparer de notre capacité à décider de notre destin. Le vrai ennemi ce n’est pas le virus, le vrai ennemi ce n’est pas Laurent Alexandre, Emmanuel Macron, etc., on s’en fiche, ces gens sont des Playmobil dans les mains de multinationales qui, elles, ne se sont jamais cachées de leur projet, c’est-à-dire détruire les peuples, les États, la capacité d’organisation, séparer pour prendre tout le pouvoir, prendre tout l’argent. L’ennemi, il est défini, et à partir du moment où vous l’avez défini vous pouvez commencer à travailler, c’est-à-dire se remettre en lien et recommencer dans tous les champs de l’existant à reprendre le pouvoir sur votre existence ».


    Commandez le livre ICI

    Source : E&R

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2021/10/26/louis-fouche-cette-crise-est-le-point-d-orgue-d-un-systeme-e-6346112.html

  • L'après Merkel a commencé

    6a00d8341c715453ef02788052f445200d-320wi.jpg

    On doit évidemment regretter le peu d'écho médiatique, à Paris, de cette réunion du Conseil européen qui vient de se tenir à Bruxelles. Le Monde par exemple en avait préempté une future condamnation de la Pologne, au nom des prétendues valeurs chères aux lobbys pro LGBT et pro immigration.

    Or, il semble bien, à la lecture des conclusions n°15 à 24, adoptés par les 27 chefs d'État au soir du 22 octobre, que ce soit, en fait l'inverse qui s'est produit. Résumons-les : ce sont bien la Biélorussie et la Turquie qui ont fait l'objet d'un clair avertissement contre leur chantage migratoire, et s'agissant de Recep Tayyip Erdogan d'une dénonciations des provocations qu'il exerce en Méditerranée orientale en particulier contre les intérêts énergétiques de l'Europe.

    Lire la suite

  • À six mois de la présidentielle : taper sur l’Europe, même les anciens européistes s’y mettent !

    european-union-6405066-845x475.jpg

    Qui l’eût cru ? Autrefois, pour avoir une chance de se faire élire, il fallait rivaliser d’européisme ; aujourd’hui, c’est un peu le contraire. En effet, à six mois de l’échéance présidentielle, c’est à qui sera le plus eurosceptique ; exception faite, évidemment, d’Anne Hidalgo et Yannick Jadot, qui donnent peu ou prou l’impression de regarder passer l’Histoire comme les vaches le font des trains. Et d’Emmanuel Macron, tel qu’il se doit.

    Lire la suite