Communiqué du Printemps Français :
"Rythmes scolaires, gender à l’école : nos enfants ne sont pas des cobayes !
C’est le message affiché cette nuit par le Printemps Français devant les écoles primaires des vingt arrondissements parisiens. Le Printemps Français appelle à résister contre la pénétration de l’idéologie dans les écoles. Vincent Peillon prétend aménager les rythmes scolaires, mais il vise à détruire les rythmes familiaux. Vincent Peillon prétend favoriser la tolérance, mais il veut imposer le gender à l’école. NON, nos enfants ne sont pas de cobayes ! Pas question de nous voir imposer une réforme qui nie les rythmes biologiques des enfants pour en faire des zombies. Pas question de nous voir imposer l’enseignement d’une idéologie qui nie la différence entre garçons et filles, pour créer une société de robots indifférenciés. L’objectif de la réforme Peillon est clair : il s’agit de casser le rythme biologique des enfants pour les épuiser et les rendre malléables à tout endoctrinement, et de les arracher à leur famille en systématisant des activités extra-scolaires encadrées par les syndicalistes de l’Education Nationale. Créer un mouvement de jeunesse obligatoire a toujours été une priorité dans les dictatures. Avec ses changements de rythme, son enseignement de l’idéologie du genre et sa religion laïque à l’école, la réforme Peillon prépare-t-elle le terrain à la « Hollande Jügen » ? Hier, la constitution de la République Française a été mise à l’épreuve d’une tentation dictatoriale : peut-elle interdire une clause de conscience aux officiers d’Etat Civil opposés à la dénaturation du mariage ? Cette question engage notre démocratie. Aujourd’hui, après la circulaire Valls menaçant de prison les maires opposés au mariage unisexe, c’est la réforme Peillon qui s’attaque aux familles. Les apprentis dictateurs avancent leurs pions. Le Printemps Français appelle à leur résister. Tous avec le Printemps Français, pour la Liberté, la Justice et la Vérité ! On ne lâche rien !"