« Je portais un voile bleu orné d’une couronne de fleurs et tenais deux morceaux de foie de bœuf dans les mains, symbole du petit Jésus avorté. » expliquait Héloïse Bouton (prostituée de son état, en dépit du slogan « ni pute ni soumise ») après sa profanation de l’église de la Madeleine il y a une semaine, visant à défendre le droit d’avorter.
Nous apprenons que la plainte aussitôt déposée par le curé n’a « pas eu de suites ».
La cofondatrice de la branche française des Femen, Inna Shevchenko (celle qui a inspiré les nouveaux timbres) en rigole encore: « Rien ne s’est passé, Éloïse n’a pas été appelée par la police. Cela montre combien l’Église est devenue faible en France… »
Elle n’a pas tort.
La complaisance du gouvernement à l’égard des Femen et leur impunité totale (en dépit de multiples profanations et agressions) en dit aussi long sur la haine antichrétienne qui anime les autorités politiques.
A comparer avec le hourvari médiatique et les gardes à vue suivies de contrôles judiciaires pour les quelques jeunes qui avaient occupé le toit d’une mosquée en construction…