Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Fin d’année cacophonique à l’Assemblée - Journal du vendredi 28 juillet

  • Le ministre du Travail aurait spéculé sur la suppression de 900 emplois dans le groupe Danone où elle dirigeait les ressources humaines

    Selon l'Humanité, Muriel Pénicaud, l'actuelle ministre du Travail, aurait réalisé en 2013 une importante plus-value boursière alors qu'elle était directrice générale des ressources humaines chez Danone, à la faveur de l'annonce de la suppression de 900 emplois, qui avait fait bondir le cours de l'action du groupe. Une pratique pas illégale mais jugée "scandaleuse" par les représentants syndicaux.

    Selon les comptes officiels de Danone, Muriel Pénicaud a choisi, le 30 avril de cette année, d'acquérir un lot de 55.120 actions pour 34,85 euros pièce, selon le principe des "stock-options" réservées aux dirigeants. Le prix de ces actions lui était garanti depuis quatre ans et avait été fixé en pleine crise financière, en 2009. La directrice a donc pu acquérir ses actions "bien en-dessous du cours de l'action ce jour-là", selon le quotidien, avant de les revendre "aussitôt pour l'essentiel, à 58,41 euros l'unité", réalisant au passage une plus-value d'environ 1,129 million d'euros.

    Les critiques résident dans l'explication du cours élevé auquel la ministre a pu revendre ses actions, après les avoir achetées à un prix très bas. L'annonce, quelques jours avant l'opération de Muriel Pénicaud, de la suppression de 900 emplois de cadres chez Danone - dont 230 en France - avait en effet fait bondir le cours de l'action du groupe.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Valse d’incompétence des députés macronistes qui votent contre leur propre proposition sans rien y comprendre

    La quantité d’incompétents propulsés à l’Assemblée Nationale grâce à l’effet Macron entretient de jour en jour les sujets de plaisanterie.

    Les débats à l’Assemblée nationale ressemblent à une foire sans nom et les présidents de séance alternent, plus incapables les uns que les autres, malgré le souffleur qui reste collé à leur oreille.

    Sommet du ridicule : la majorité LREM suivant le déroulé des votes des articles et des amendements sans en comprendre la différence, a voté contre un article validé par ses représentants en commission.

  • Au travail!

    Les dirigeants du Front National se sont retrouvés samedi et dimanche derniers à Nanterre  en séminaire à huis-clos. Une des réunions qui jalonneront, jusqu’au congrès prévu en février 2018, les travaux de réflexions et d’analyses auxquels seront associés les adhérents, afin de tirer tous les enseignements de la séquence électorale qui vient de s’achever, des bouleversements observés dans toutes les familles politiques, et bien sûr de rendre plus performant notre Mouvement. Un processus de clarification et d’affinement de nos positionnements, de notre programme, de notre mode de fonctionnement qui a permis notamment  à Bruno Gollnisch de faire entendre ses souhaits, ses vœux, les orientations qu’il juge bénéfique pour l’avenir de l’opposition nationale, populaire et sociale. N’ayant pas pour habitude d’alimenter les médias de propos off,  de divulguer  la teneur de débats qui dans cette phase préparatoire ont vocation à rester internes, Bruno s’est contenté d’esquisser quelques réflexions devant la presse qu’il aura l’occasion de présenter plus avant au moment opportun,  dans les mois qui viennent.

    Bruno Gollnisch  s’est d’ores et déjà réjoui de la bonne tenue et ambiance  de cette réflexion collective  – « il n’y a pas eu de sang versé sur les murs, en tout cas pas de mise en cause personnelle »- et a précisé que s’il était légitime que «(Florian Philippot)  n’impose pas tout à une maison plus vieille que lui et dont il est un hôte récent », « il  aurait tort de quitter le FN,  c’est un garçon intelligent et sincèrement patriote ». Bruno Gollnisch s’est donc félicité de la diversité des sensibilités, des approches qui s’est de nouveau manifestée lors de ce séminaire,  diversité qui est une vraie richesse à partir du moment ou le but, le bien commun visé est partagé par tous. « On ne sort pas du séminaire clonés les uns aux autres, mais nous sommes en phase sur l’essentiel,  la souveraineté de la France ». Une souveraineté qui passe aussi par  la sauvegarde de notre identité, de nos libertés, des valeurs constitutives de notre civilisation.

    Bruno Gollnisch a donc simplement réitéré aux journalistes qui l’ont interrogé en marge de ce séminaire son  constat selon lequel « l’une de nos priorités c’est l’accueil de la vie et pas de chanter les louanges de l’avortement »,  mais aussi qu’il  « ne (pense)  pas que nous fassions peur sur les questions de l’immigrationJean-Marie Le Pen n’a jamais dit qu’il s’en prenait à la personne de l’immigré. Et même dans nos rangs, nous avons des filles et des fils d’immigrés ». La question  du changement de nom du Front National est aussi sur la table.  « C’est un nom tout à fait honorable a-t-il jugé,  il traduit quantité de sacrifices, de résistance à des persécutions, je ne vois pas en quoi un nouveau empêcherait la diabolisation ».

    Autre thème évoqué, et non des moindres, celui de l’euro. « Cette monnaie a certes trahi ses promesses, notamment celle d’être un obstacle à la hausse des prix, mais il faut adopter une communication moins anxiogène » a proposé Bruno Gollnisch. En politique, c’est ainsi, il n’est pas toujours évident (et électoralement payant) d’avoir raison, de voir juste  avant tout le monde;  a fortiori quand la propagande officielle matraque sur tous les modes et sur tous les canaux que la sortie de l’euro signerait une apocalypse économique. D’autant que pour prendre une autre question sur laquelle le FN a été furieusement  diabolisé, à savoir l’immigration,  les inconvénients majeurs générés par son caractère massif  sont perceptibles de manière beaucoup moins abstraite, de façon autrement plus  évidente  et sensible par l’ensemble de  nos compatriotes.

    Aussi, a-t-il suggéré, fort de l’adage gouverner c’est prévoir, une approche tactique différente consistant pour le Front National  à proposer  « un plan B de sortie de crise que l’on pourra dégainer quand cette monnaie mourra de sa belle mort, car comme l’a dit le prix Nobel Maurice Allais, comme le disent aujourd’hui de nombreux  économistes de renom dont les analyses ne sont jamais ou très peu relayées dans les médias français,  l’euro  n’est pas viable à terme ».

    De manière plus générale, le député frontiste entend rappeler aussi que contrairement à ce que l’on  peut lire ou entendre de la part de commentateurs qui n’ont pas travaillé le sujet dont il parle ou, ce qui n’est pas mieux, mentent délibérément, le FN a toujours nourri une réflexion et des propositions sur des sujets et des thèmes qui n’étaient pas réductibles aux questions de l’immigration et de l’insécurité.   Quand bien même ces deux questions-préoccupations là  sont en effet très structurantes du vote en faveur du Front National.

    A titre indicatif,  le dernier programme étoffé  publié  par le  FN en 2001  - il y a eu bien évidemment depuis des projets présidentiels portés par les candidats Jean-Marie Le Pen puis Marine - couvrait pleinement  le  champ des  questions civilisationnelles,  sociales,  économiques, fiscales, entrepreneuriales,  environnementales, européennes, les thématiques  de l’agriculture, de la famille, de la justice, de la Défense etc. Ainsi sur les 433 pages dudit programme, le chapitre immigration comportait seulement 30 pages ,  et celui sur la sécurité (hors défense nationale mais incluant la justice) 22 pages.  Un petit travail de mémoire est toujours nécessaire…

    Mémoire qui permet aussi de se souvenir que c’est en août 2012 que débuta pour  François Hollande l’inexorable érosion de sa cote de popularité, qui s’établissait à 50% de bonnes intentions à la rentrée de cette même année. Après le calamiteux épisode de l’humiliation du général de Villiers contraint à la démission sur fond de promesses budgétaires trahies pour nos armées,  manifestation éclairante du caractère du chef de l’Etat selon le  général Tauzin  ; alors que la rentrée promet d’être compliquée pour l’exécutif – levée de boucliers contre la loi travail,  l’augmentation de la CSG, la baisse de l’APL, la poursuite de l’immigration massive... - la chute d’Emmanuel Macron dans les sondages apparaît très brutale.

    Selon l’enquête Ifop pour le JDD, le président de la république a d’ores et déjà perdu dix points de popularité ce dernier mois ( 54% de satisfaits), le pourcentage des Français  mécontents bondissant  de 33% à 43%, chute touchant aussi  le  Premier ministre LR  Edouard Philippe (de 64% à 56% de satisfaits.) Les observateurs rappellent à cette occasion que M. Macron est avec Jacques Chirac (en 1995) le chef d’Etat qui enregistre la plus forte dégringolade dans l’opinion  deux mois après son arrivée à l’Elysée.

    Nous sommes bien placés pour le savoir, la roue tourne très vite en politique.  Les espoirs,  du moins chez ceux de nos compatriotes, minoritaires, qui ont glissé dans l’urne un bulletin Macron et LREM en mai et juin derniers,  générés par le renouveau, la synthèse macroniste pourraient s’éteindre avec la même rapidité qu’ils sont apparus. Encore une fois, le choc du réel, le principe de réalité s’impose toujours à tous, d’autant que l’idéologie portée par Emmanuel Macron et ses soutiens politiques, médiatico-financiers, philosophiques, et ce n’est pas là un des moindres paradoxes de cette année électorale, est rejetée plutôt nettement par les Français.

    Quant à l’opposition républicaine au gouvernement,  ses trahisons en cascade, ses ambiguïtés (à tout le moins) laissent le champ libre au Mouvement national pour apparaître, plus que jamais comme une alternative sérieuse, crédible au Système, pour peu  que nous sachions  être pleinement audibles sur nos thématiques,  communiquer, argumenter intelligemment.

    Alain de Benoist l’indiquait en creux dans un récent entretien, « L’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron dit-il, qui symbolise la réunification du libéralisme sociétal de gauche et du libéralisme économique de droite, pourrait en principe favoriser une clarification en faisant comprendre une fois pour toutes que le libéralisme est intrinsèquement  progressiste  et non pas conservateur (…) . C’est ce qu’explique très bien Guillaume Bernard : La combinaison du libéralisme et du conservatisme peut, de prime abord, apparaître séduisante : le libéralisme pour l’économie, le conservatisme pour la société. Mais c’est méconnaître la doctrine libérale, qui s’appuie sur l’individualisme et le subjectivisme. C’est en soi et par soi que chacun détermine son bien. Il n’existe pas de valeur objective, mais uniquement des consensus issus de la rencontre de volontés. Le libéralisme porte en lui la destruction des traditions sociales, alors qu’il n’est nullement nécessaire de s’y adonner pour combattre la spoliation fiscale des familles et des entreprises. C’est ce qu’il faudrait comprendre si l’on veut gagner la bataille des idées. Les Républicains, eux, se veulent les représentants de la droite et du centre. Encore un oxymore !». Bataille des idées qu’il s’agit de gagner en ce qu’elle  précède en toute logique la victoire dans les urnes. Au travail!

  • Macron: faux libéral, vrai autoritaire

    Macron s’est complu dans ses premières déclarations publiques, comme son discours au Congrès de Versailles, à dénoncer les « démocraties illibérales ». Mais respecte-t-il lui-même le libéralisme?

    Il avait suffi qu’il débute sa campagne présidentielle avec une réputation de libéral pour prendre plusieurs longueurs d’avance sur ses concurrents: il a ainsi d’emblée conquis 10 % de voix de droite sans beaucoup perdre sur sa gauche grâce à ses connivences libertaires.

    Quelques faux-semblants

    D’être issu de l’aile droite du Parti socialiste n’aurait pas suffi. La loi Macron de 2015 avait pour but d’ancrer cette réputation libérale, notamment auprès du patronat. Les réticences qu’elle a rencontrées au parti socialiste – au point de nécessiter le passage en force par le 49-3, n’ont fait que conforter l’image du jeune ministre.

    Lire la suite

  • Chalon-sur-Saône, samedi 5 août, le Parti de la France s'opposera à l'installation de migrants dans la ville

    20476456_1110331975766950_2589253479428417785_n.jpg

    Samedi 5 août à 14h, place de Beaune à Chalon-sur-Saône, le Parti de la France organise un rassemblement contre l'arrivée de migrants dans l'ancien hôtel Formule 1 de la ville. Merci à tous les patriotes qui peuvent s'y rendre de venir soutenir les militants du PdF face à l'invasion étrangère !

  • Dans Présent d'hier, un grand entretien avec Charles-Henri d'Elloy, auteur du livre "Les enfants de Maastricht". A ne pas manquer....

    8911-p3-charles-henri-d-elloy.jpg

    8912-20170729.jpgMarie de Lisle a interrogé Charles-Heni d'Elloy sur son nouveau livre. Un entretien qu'il faut lire absolument. Présent est en vente chez votre marchand de journaux ou en ligne en cliquant ici

    Pour commander le livre "Les Enfants de Maastricht" :

    Le commander en ligne cliquez là

    Bulletin de commande cliquez ici

    Dans "les bonnes librairies"

    MAAST 3.jpg

     

  • Les enjeux d’une chute de popularité

    mad-max_macron.jpg

    Emmanuel Macron vient d’enregistrer la seconde plus forte baisse de popularité d’un Président de la République trois mois après son élection, avec une baisse de 10 points[1]. Le record restant le cas de Jacques Chirac après son élection de 1995 (15 points). Ce n’est pas étonnant, et c’est même logique en un sens. Pourtant, la situation n’est pas ici comparable. La particularité de l’élection présidentielle qui a porté Macron à la magistrature suprême donne une signification spécifique à cette chute de popularité. Dans un monde de communication, rien n’est pire que d’avoir une mauvaise image. Et c’est ce qui est en train d’arriver à Emmanuel Macron. Car, si la prophétie auto-réalisatrice à fonctionné dans un sens, et a permis son élection, elle pourrait fort bien fonctionner dans l’autre sens.

    Le précédent de Jacques Chirac

    On se souvient de l’élection de 1995. Jacques Chirac, concurrencé par Edouard Balladur, avait du gauchir son discours, et faire campagne sur la « fracture sociale » pour l’emporter. Mais, dès son arrivée au pouvoir, il mit en œuvre une politique de droite classique, orchestré à l’époque par Alain Juppé. Cette politique devait aboutir à l’un des plus long et des plus durs conflits sociaux, à propos de la réforme des retraites. Ce conflit obligea le gouvernement d’Alain Juppé de retirer son texte, et déséquilibra toute la politique de Jacques Chirac, aboutissant à la dissolution, et à l’élection d’une majorité de « gauche » en 1997.

    En un sens, c’est un peu ce que l’on constate avec l’élection d’Emmanuel Macron. La réalité du Président n’est visiblement pas celle du candidat, et la distance entre les dires du candidat et les faits du Président égale celle de Jacques Chirac. Après avoir limogé 4 ministres en raison des soupçons que pesaient sur eux, il s’obstine à conserver sa ministre du travail qui traine cependant un lourd dossier derrière elle (l’affaire de Las Vegas). Il est revenu sur ses promesses qu’il s’agisse de l’enseignement supérieur et de la recherche ou du budget de la défense. Il paie ici au prix fort la démission du général Pierre de Villiers, l’ex Chef d’Etat-Major des Armées. Mais d’autres dossiers pèsent aussi lourdement sur sa politique comme l’annonce d’une forte augmentation de la CSG, l’annonce de restrictions budgétaires pour les collectivités locales, ou encore les tergiversations sur la suppression de la taxe d’habitation. Mais, le plus grave est, bien entendu, la réforme qu’il entend faire passer par ordonnances du Code du Travail, une réforme qui va considérablement aggraver la situation des salariés[2].

    Il n’est donc pas étonnant qu’Emmanuel Macron connaisse le même sort que Jacques Chirac en 1995. Et cela pourrait promettre un automne particulièrement chaud[3].

    Emmanuel Macron n’est pas Jacques Chirac

    Mais est-ce réellement la même situation qu’avec Jacques Chirac ? La grande différence est ici le pourcentage des électeurs inscrits sur le total des votants qui ont voté soit pour Emmanuel Macron soit, aux élections législatives pour le parti qu’i a créé, La République en Marche. De fait, Emmanuel Macron est certainement l’un des Présidents les plus mal élus de la Vème République, et il s’appuie sur une majorité parlementaire qui, elle aussi, est certainement la plus mal élue depuis 1958.

    Tout ceci rappelle une métaphore dont les économistes sont friands, celle de la « bootstrap economy »[4]. C’est, en fait, une métaphore avec un personnage de bande dessinée qui court vers une falaise, l’atteint, et continue à courir, jusqu’à ce qu’il regarde le sol sous lui. Et ce n’est qu’à ce moment qu’il tombe…En un sens, nous avons une Présidence qui repose largement sur un effet de « bootstrap ». La capacité d’Emmanuel Macron a exercer le pouvoir dépend largement de l’illusion du pouvoir qu’il peut donner. Si cette illusion se dissipe, alors il sera ramené à la réalité : un Président mal élu, appuyé sur une majorité encore plus mal élu que lui-même.

    Et, c’est pourquoi la chute de 10 points dans les sondages que l’on constate aujourd’hui est, pour Emmanuel Macron, bien plus inquiétante qu’elle ne l’était pour Jacques Chirac. De plus, Jacques Chirac pouvait se targuer d’une certaine expérience en politique, à la différence d’Emmanuel Macron. Pour ce dernier, les fautes qu’il accumule, et il commence à en accumuler depuis ces dernières semaines, vont se combiner dans une interrogation qui agira comme un acide sur sa Présidence : est-il digne d’occuper ce poste ? L’autoritarisme affiché du Président, et qui se révèle dans la direction de LREM commence déjà à provoquer des problèmes avec les « militants »[5]. Si nul ne conteste la légalité de son élection, sa légitimité est de moins en moins acquise

    Le dilemme des souverainistes

    Mais, Emmanuel Macron peut s’appuyer sur un élément qui pourrait le maintenir en place ; c’est l’absence d’une opposition crédible. Les « Républicains » (l’ex-UMP) sont divisés, et certains se sont d’ores et déjà ralliés. Les souverainistes des deux bords sont à la fois peu nombreux à l’Assemblée Nationale (du fait du mode de scrutin) et affaiblis par des problèmes de cohérence dans leurs positionnements, mais aussi par la guerre intestine qui les mine, et qui parfois les oppose. Pourtant, ils devraient savoir qu’ils n’ont aucun avenir tant qu’ils n’uniront pas leurs forces, et ceci n’impliquant nullement que les divergences qui les opposent doivent être oubliées. Mais le politique a ceci de différend avec la politique qu’il se concentre sur ce qui oppose le plus. La question du politique, c’est celle de la relation ami-ennemi. Sans une coordination entre les différentes forces d’opposition un pouvoir affaibli, décrédibilisé et progressivement dépourvu de légitimité, pourra se maintenir. C’est à cette vérité que les souverainistes devront, rapidement, se confronter.

    [1] lejdd.fr

    [2] fr.sputniknews.com

    [3] Voir mon interview-vidéo consacré à cette question : YouTube

    [4] Cette métaphore est prise très au sérieux, comme en témoigne des travaux comme lien – pdf 

    [5] bfmtv.com

    Source

    http://www.voxnr.com/12239/les-enjeux-dune-chute-de-popularite