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  • Dans 40 ans, la majorité de la population française deviendra inéluctablement « d’origine musulmane »

    De Charles Gave sur Causeur :

    "Pour une fois, je ne vais pas parler d’économie mais de démographiela beauté avec cette science humaine étant que l’on n’a pas besoin de faire des prévisions : ceux qui sont nés aujourd’hui seront là dans trente ans et ceux qui ne sont pas nés ne seront pas là. Cela est certain. Je ferai abstraction de l’immigration nouvelle qui va continuer sans doute dans les 30 ans qui viennent, et je ne prendrai donc en compte que les réalités connues aujourd’hui c’est-à-dire les naissances. [...]

    Ma première remarque est que je ne peux pas m’empêcher de penser que celui qui n’a pas d’enfant n’a pas la même notion du futur que celui qui en a eu. Pour celui qui n’a pas d’enfant, le futur s’arrête sans doute à la prochaine élection ou à sa mort. Après moi, le déluge… En Allemagne, 30 % des femmes de plus de 45 ans et 40 % de celles qui ont eu des diplômes universitaires sont sans enfant et le taux de fécondité (nombre d’enfants par femme) des populations locales hors immigrants est d’environ 1,4. La situation est la même en Italie, en Espagne, en Grèce au Benelux… Ainsi, en Italie ou en Grèce, 100 grands-parents ont en moyenne 42 petits-enfants, offrant ainsi l’exemple même d’une pyramide démographique inversée reposant non pas sur la base mais sur la pointe. Et tout le monde sait que si l’on met une pyramide sur la pointe, elle a une fâcheuse tendance à se casser la figure.

    Ce qui m’amène à ma deuxième remarque : les grands parents et les parents ont émis une dette étatique gigantesque lorsqu’ils étaient cent. S’imaginer que leurs petits enfants seront capables de rembourser cette dette alors même qu’ils ne seront plus que 42 relève de l’optimisme le plus béat, à mon humble avis. Poussons plus loin : ces 100 grands-parents sont tous logés, et parfois fort bien. Penser que l’immobilier va monter quand il n’y aura que 42 acheteurs pour 100 vendeurs est une idée intéressante mais dont j’ai du mal à comprendre la logique. Et c’est tout aussi vrai des voitures, des frigidaires, des chambres d’hôtel, des places de professeurs ou d’obstétriciens, ou que sais-je encore…

    Venons-en maintenant aux calculs actuariels. Imaginons que dans un pays les femmes liées à la population de « souche » aient en moyenne 1,3 ou 1,4 enfant/ femme tandis que la population d’origine immigrée (ce qui veut dire en Europe, principalement musulmane) ait un taux de fécondité de 3,4 à 4 enfants par femme. Postulons qui plus est que cette population nouvelle ne représente que 10 % de la population totale… Chacun va penser que « bien du temps » va se passer avant que la majorité ne bascule en direction de la population immigrée et que d’ici là tous ces enfants feront comme dans la chanson « et tout cela ça fait d’excellents français », après être passés par notre remarquable système éducatif. Tout dépend en fait de ce que l’on recouvre par la formule « bien du temps ». En fait, et si l’on retient mes hypothèses, le basculement se produira au bout de 30 à 40 ans. Dans 40 ans, il y aura autant de petits enfants issus des 90% que de petits enfants issus des 10%.  Et à ce moment-là, la majorité de la population française deviendra inéluctablement « d’origine musulmane ».

    Je ne dis pas que cela sera mal, ou que cela sera bien. Je dis simplement que cela sera fort différent et que nécessairement cela aura de l’influence sur le système politique. Et donc, dans 40 ans au plus tard, il est à peu près certain que la majorité de la population sera d’origine musulmane, en Autriche, en Allemagne, en Espagne, en Italie, en Belgique, en Hollande. Encore une fois, il ne s’agit pas de prédictions mais de calculs et je ne fais même pas appel à l’arrivée de nouveaux immigrants. Je ne verrai pas ce basculement, mais mes enfants le verront sans doute et certainement mes petits-enfants. Ce qui est arrivé à l’Espagne ou à l’Asie mineure aux Xe et XIe siècles va arriver à l’Europe au XXIe siècle, c’est une certitude.

    Quelques exemples : à Anvers, la majorité des enfants dans les classes du primaire aujourd’hui sont musulmans. C’est donc dire que dans 15 ans, la majorité des nouveaux entrants sur le marché du travail sera musulmane. A Bruxelles, la capitale de l’Europe, 25 % des nouvelles naissances sont musulmanes, au Pays de Galles, en Ecosse le nom le plus populaire à la naissance est Mohamed, et ainsi de suite.

    Venons-en à notre pays. Nos élites se congratulent tous les jours au prétexte que notre taux de fécondité par femme en France serait d’environ 2 enfants par femme, assurant ainsi le remplacement des générations, ce qui est une très bonne chose. Cependant, et pour des raisons que je n’ai pas à expliquer, il est interdit en France de recenser les différentes populations en fonction de leurs croyances religieuses et donc nul ne sait quel est le taux de fertilité des femmes françaises « arrivées récemment », comme il est convenu de les appeler. Habitant une partie de l’année dans la région d’Avignon et allant fréquemment pour des raisons professionnelles à Roubaix, à Toulouse ou dans l’est de Paris, j’ai du mal à croire que nous ne soyons pas déjà à 10 % de citoyens d’origine musulmane, et que ces 10 % auraient une fécondité par femme de seulement 1,4.

    La réalité est probablement que nous en sommes déjà à 90% de la population ayant un taux de fécondité des femmes de 1,4, comme partout ailleurs en Europe et que les 10% restantes doivent être à 4 ou à 5 enfants par femme (ce que je peux constater dans les zones commerciales autour d’Avignon), ce qui nous amène aux alentours de 1,8 pour le taux de fécondité « national » (1,4×0.9+4×10). Nous serions dans ce cas dans la même situation que nos voisins, la seule différence étant que nous aurions plus d’immigrés et/ou que ces immigrés auraient plus d’enfants. Et donc, le basculement arriverait plus tôt chez nous que chez eux.

    Une possibilité existe pour atténuer ce phénomène : que 10 % des jeunes femmes françaises depuis longtemps et en âge d’avoir des enfants décident, sans que personne ne comprenne pourquoi, un peu comme leurs grands-mères à partir de 1942, d’avoir quatre, cinq, six enfants, ce qui maintiendrait l’équilibre des populations. J’en vois quelques signes ici ou là dans les milieux très catholiques… [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • ANTI-CLERICAUX HIER, PRO-ISLAMISTES AUJOURD’HUI.

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    Pieter Kerstens

    Ces 40 dernières années, nous avons vécu une réelle « colonisation » de notre continent par des individus issus de terres lointaines, entreprise imaginée, planifiée, organisée et qui nous est imposée par des lobbies aux mains des mondialistes, souvent issus du capitalisme apatride.

    Par des études ou des rapports aussi vagues que sectaires, diverses organisations internationales nous matraquent épisodiquement de l’inéluctable obligation de recevoir des dizaines de millions d’immigrés du tiers-monde, au prétexte que ce « sang nouveau » nous sauverait de la décadence démographique, du vieillissement des peuples d’Europe et assurerait la survie de nos caisses de retraites…

    - Nul ne propose l’accroissement et le rajeunissement des populations de nos pays par une politique nataliste et des aides à la famille ou à la mère au foyer.

    - Nul ne s’élève contre le constat de 25 millions de chômeurs européens qui pourraient être mis au travail, sans l’aide d’un afflux de nouveaux immigrants extra-européens !

    - Nul n’envisage le rapatriement de millions de clandestins vivant sur notre sol en réels hors-la-loi, source d’innombrables conflits, de délits divers et de crimes crapuleux.

    - Nul ne songe à la fermeture de l’espace Schengen, véritable passoire au trafic d’êtres humains qui, au lieu de voyages périlleux, devraient se réfugier dans les pays voisins de leur patrie respective.

    Que dire de la désacralisation de nos églises et de la construction de milliers de mosquées en Europe ?

    Depuis plus d’un siècle, les laïcards, les libres penseurs, les francs-maçons et les socialauds-humanistes ont combattu la chrétienté, interdit la soutane dans les lieux publics (de même que les uniformes ou les tenues de pompiers), invectivé les religieuses en cornette et ont mis tout en œuvre pour vider les églises. Cela, décennies après décennies, urbi et orbi, de l’école maternelle jusqu’aux universités, en se servant de leurs dogmes laïcs pour combattre le clergé, partout, encore et toujours anti-chrétiens d’abord !

    Mais qu’attendent-ils donc maintenant pour brandir leur idéologie chérie et s’opposer à l’invasion islamique ?

    Pourquoi ne manifestent-ils pas avec autant de virulence envers les musulmans qu’ils ne le faisaient hier avec leur haine de la chrétienté ?

    Pourquoi tolèrent-ils effectivement la généralisation des sacrifices rituels -barbarie moyenâgeuse- quand ils combattaient les processions chrétiennes ?

    Pourquoi ne s’opposent-ils pas au port du voile islamiste, signe de soumission de la femme ?

    Pourquoi ces laïcistes gauchisants ne réclament-ils pas la fermeture des mosquées et le contrôle des imams prêchant contre les « valeurs de la République », sans parler de terrorisme ?

    L’heure n’est plus à la complaisance ni aux atermoiements : il faut réagir avec fermeté sous peine de disparaître ou d’accepter la servitude …(ou encore la dimmhitude).

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/09/07/anti-clericaux-hier-pro-islamistes-aujourd-hui-5977719.html