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  • I-Média#166 : Pour BFM, rien n’est bon dans le cochon

  • LA TAVERNE DES PATRIOTES

    La Taverne des Patriotes est un serveur Discord qui permet de rassembler tous les patriotes, pour discuter, partager, débattre, faire des rencontres, tout ça dans la bonne entente et la compréhension de chacun. C’est un espace d’échanges et de projets basé sur la conceptualisation et la créativité que chacun peut venir proposer.

    Naturellement, ce serveur Discord n’est pas ouvert qu’aux patriotes. Tous les partis sont acceptés sous le titre « d’invité » du moment que le débat reste courtois.

    Discord est un service de messagerie instantanée et de communication vocale comparable à Skype.

    Ce service est totalement gratuit et ne nécessite aucune inscription payante. Il vous suffira de créer un compte et de le vérifier par mail. Vous pourrez alors personnaliser votre compte.

    Pour accéder à Discord, vous pouvez le faire simplement à partir de votre navigateur ou depuis l’application Windows. Si vous utilisez une tablette ou un smartphone, des applications sont disponibles sur l’Apple Store et Google Play.

    REJOINDRE LA TAVERNE

  • Changements en vue au FN

    6a00d83451619c69e201b7c91e4f00970b-250wi.jpgMarine Le Pen, la présidente du Front national, a fait sa rentrée politique ce samedi à Brachay en Haute-Marne. Lors de son discours (à écouter ici), elle a annoncé que le Front national aurait un nouveau nom à l'issue du Congrès du parti.

    "La nouvelle organisation portera un nouveau nom (…), que vous aurez choisi".

    Avant cela, elle aura mené une tournée des 95 fédérations, entamée dès la fin du mois de septembre. Devant ses partisans, elle a promis une "grande refondation" et un fonctionnement "renouvelé" et plus "décentralisé" du parti, dont le slogan affiché samedi était "En avant pour un nouveau front".

    Nouveau nom, nouveau fonctionnement, pourquoi pas, mais sur quels fondements ? Identité ou économisme ou un peu des deux ?

    Marine Le Pen a prononcé un discours résolument sécuritaire, axant la ligne de sa rentrée politique sur les thèmes du terrorisme et de l'immigration. Ces sujets ont été bien davantage traités que l'économie, abordée pendant quelques minutes pour vilipender Emmanuel Macron, rendu responsable de remplacer "les relations sociales par les relations économiques" avec ses ordonnances sur le code du travail.

    6a00d83451619c69e201bb09c186a2970d-200wi.pngElle a attaqué frontalement Emmanuel Macron, moqué en "Jupiter" qui n'aurait "pas fait tomber la foudre sur les fichés S".

    "Les islamistes nous agressent en raison de ce que nous sommes. (…) Je ne veux pas m'habituer au terrorisme".

    Et l'euro ? Marine Le Pen n'a pas du tout parlé de sortie de la monnaie unique, en passant très vite sur ce thème pour concentrer ses attaques sur Emmanuel Macron, Laurent Wauquiez, candidat à la présidence des Républicains, et Jean-Luc Mélenchon. Le dernier mènerait un mouvement "islamo-trotskiste" à la "bouillie idéologique" pour "agités", tandis que le second est implicitement accusé de faire "du sous-Sarkozy".

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Infatigable Henry Coston !

    La chronique de Philippe Randa

    Les Journées chouannes des 2 et 3 septembre dernier ont rendu hommage aux soixante ans de Lectures françaises et à son fondateur, Henry Coston (1910-2001). Invité par Françis-Xavier d’Hautefeuille à prendre la parole pour cet hommage, mais n’ayant pu m’y rendre car j’avais promis à Pierre Cassen d’être présent à l’anniversaire de Riposte Laïque qui fêtait ses 10 ans d’existence, voici mon témoignage personnel sur le fondateur de Lectures françaises.

    En 1979, Henry Coston, qui préparait un nouveau tome de son Dictionnaire des pseudonymes, envoya à mon père un questionnaire. Il désirait obtenir quelques renseignements et précisions le concernant.

    Surchargé de travail, mon père voulait remettre à plus tard sa réponse et c’est moi qui pris l’initiative de remplir le jour même ce questionnaire. Une question concernait ses opinions politiques. Elle était, bien sûr, facultative. Je précisais, en accord avec lui, celles de mon père, notamment qu’il avait été membre, pour les Deux-Sèvres où nous habitions, du comité de soutien à la liste de l’Eurodroite pour les élections européennes de cette année-là.

    Par retour du courrier, nous reçûmes le dernier livre d’Henry Coston dédicacé et une longue lettre chaleureuse dans laquelle le fondateur de Lectures françaises ne cachait pas sa surprise de découvrir parmi les auteurs du Fleuve Noir quelqu’un qui partageait une très grande partie de ses convictions. Henry Coston lui signalait d’ailleurs, ce qui ne surprendra pas leurs lecteurs, qu’il correspondait régulièrement avec deux autres auteurs vedettes de cette maison d’éditions : Claude Rank et Jean-Pierre Conty, ce dernier étant même un de ses abonnés.

    Lorsqu’en 1996, j’écrivais à mon tour à Henry Coston pour lui demander de relire la notice qui lui était consacrée dans mon Dictionnaire commenté de la Collaboration française, il me promit immédiatement de faire tout ce qui serait en son pouvoir pour faire connaître mon travail. Ce qu’il fit. Amplement. Je lui dois ainsi une grande part du succès que rencontra cet ouvrage. Idem pour le lancement de ma revue Dualpha. La caution d’Henry Coston, pour des milliers de lecteurs, est quelque chose qui compte.

    On a déjà écrit beaucoup – et l’on écrira encore énormément – sur l’ancien directeur de La Libre Parole, de Lectures françaises ou de Nous, les Françaises. Que ce soit sur ses qualités incontestables (son œuvre incontournable, son labeur de bénédictin, son extrême gentillesse, etc.), tout autant que sur ses obsessions parfois irritantes. Mais ce qui le définira toujours au plus juste sera son militantisme de chaque instant.

    Il est bon de rappeler qu’il lança une pratique essentielle, poursuivie par ceux qui ont succédé aux rênes de Lectures françaises : pas un livre, pas un journal, pas une association, un mouvement ou un parti – peu ou prou comme lui ennemi du régime – dont il ne signalait à ses lecteurs l’existence et l’action, sans oublier d’indiquer l’adresse où l’on pouvait se procurer les uns ou joindre les autres. Cela peut paraître dérisoire à certains, vulgaire à nombre de journalistes qui se font grande idée de leur talent (ils sont souvent les seuls d’ailleurs), mais combien de journaux – surtout les plus modestes – ont-ils vu ainsi, grâce à Henry Coston, leurs lecteurs augmenter, nombre de mouvements nationalistes leurs adhérents décupler, nombre d’éditeurs leurs ouvrages s’épuiser ?

    À la fin de sa vie, Henry Coston cherchait obstinément un successeur. Cette question le hantait littéralement. Je lui ai alors fait remarquer qu’il en avait eu bien davantage que tout autre. Lectures françaisesperdurait, alors que nombre de revues mouraient souvent avec leur fondateur, quand elles n’étaient pas rachetées par des gens aux convictions totalement étrangères… La Librairie française avait longtemps été dirigée par le nationaliste Jean-Gilles Malliarakis avant de fermer certes, mais de renaître, dans le même esprit militant, avec L’Æncre ou ensuite avec La Licorne bleue, Primatice, Facta, La (nouvelle) Librairie Française sans parler de la plus ancienne, la Librairie Duquesne.

    Oubliait-il aussi Yann Moncomble dont il avait mis le pied à l’étrier et qui publia une bonne dizaine de livres capitaux, dans la droite ligne de ses propres ouvrages ? Et Emmanuel Ratier avec lequel il avait cosigné certains livres et qui a poursuivi son œuvre avec sa lettre Faits & Documents et sa précieuse Encyclopédie politique française ?

    Quant à Richard Haddad, à la tête des éditions Godefroy de Bouillon, Roland Hélie à celles des édition Synthèse nationale, moi-même à celles des éditions Dualpha, L’Æncre et Déterna, ne permettons-nous pas à un public intéressé de se procurer les livres de nombre d’auteurs bannis de la grande distribution…

    — C’est vrai, il faut continuer, admettait-il.

    Si un jour l’un de nous se laissait gagner un instant par la lassitude, puissions-nous tous penser à l’infatigable Henry Coston.

    Source EuroLibertés cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • JEAN-MARIE LE PEN : JE SERAIS MARINE LE PEN, JE FERAIS CELA À L’AMÉRICAINE - JE ME SUIS TROMPÉE, MAIS JE VAIS RECTIFIER !

    Jean-Marie Le Pen s’apprête à publier ses mémoires. À cette occasion, celui qui a animé la scène politique française durant tant d’années se confie au micro de Boulevard Voltaire, répondant sans se dérober et avec l’éloquence qu’on lui connaît aux questions qui fâchent : le FN de 2017 a-t-il encore quelque chose à voir avec le FN de 1972 ? Un FN sans les Le Pen est-il possible ? Le FN pourra-t-il arriver au pouvoir seul ? Le FN doit-il revenir à ses combats originels pour gagner ? Quel est votre plus grand ennemi politique ? Votre pire souvenir ? Et bien d’autres encore…

    http://www.bvoltaire.fr/serais-ferais-a-lamericaine-me-suis-trompee-vais-rectifier/