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  • Attaque islamiste à Strasbourg: le récit de la soirée

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    Trois personnes sont mortes et 12 ont été blessées, dont six sont en urgence absolue. Mardi soir, un homme de 29 ans, radicalisé et fiché “S”, a tiré en plein cœur de Strasbourg, à quelques pas du marché de Noël.

    Le tueur présumé, Chérif Chekatt, qui portait une arme de poing et une arme blanche, selon certaines sources, a été blessé par une patrouille de soldats de l’opération de sécurité Sentinelle. Il a quand même réussi à prendre la fuite et est actuellement activement recherché.

    Les autorités françaises ont décrété le plan “urgence attentat”, le plus haut niveau d’alerte. La section antiterroriste du parquet de Paris est saisie de l’enquête. En tout, d’après une source policière, 450 membres des forces de l’ordre, du Raid, de la police judiciaire, de la gendarmerie, plus des militaires, sont aux trousses du tireur. Ils sont épaulés par deux hélicoptères.

    https://fr.novopress.info/

  • Les « lépreux » donnent la leçon à Macron, la Pologne affiche la croissance la plus rapide de son PIB dans l’UE

    shutterstock_704626399-702x459.jpgSelon Radio Pologne , la ministre des Entreprises et de la Technologie, Jadwiga Emilewicz, s’est exprimée hier après que l’Office central des statistiques (GUS) ait révélé une croissance de 5,1% de l’économie polonaise pour le troisième trimestre de l’année.

    Le ministre a expliqué que le pays avait « des fondamentaux de croissance stables, avec une consommation intérieure dynamique et des investissements encourageants ».

    L’Office central de la statistique a révisé son estimation du PIB polonais à la mi-novembre de 5,2% à 5,3%. Le bureau a également signalé que l’économie polonaise avait progressé de 4,9% au dernier trimestre de 2017.

    Radio Pologne a indiqué que les « données macroéconomiques » montrent « que la Pologne a l’économie dont la croissance est la plus rapide dans les unions européennes », selon le ministre du gouvernement.

    Source : Voice of Europe

    https://lecrieuropeen.com/2018/12/04/les-lepreux-donnent-la-lecon-a-macron-la-pologne-affiche-la-croissance-la-plus-rapide-de-son-pib-dans-lue/

  • L'immigration, Macron et SOS Racisme

    6a00d8341c715453ef022ad3808687200c-320wi.jpgEmmanuel Macron, ce 10 décembre, dans sa courte allocution de 13 minutes, aura abordé de nombreux sujets, formulé de nombreuses propositions. Changeant légèrement de ton et d'allure, il s'est exprimé dans le style des exposés que l'on appréciait dans ma jeunesse, il y a plus d'un demi-siècle, à l'Institut d'Études politiques rue Saint-Guillaume. À l'époque, cependant, on devait s'en tenir à 10 minutes et construire en deux parties et deux sous-parties.

    Cette prestation comportait donc des longueurs. Elles enrobaient des propos parfois ambigus. On peut se demander s'ils ont été appréciés, dans leur subtilité, par les honnêtes gens qui saucissonnent sur les ronds-points à la veille de l'hiver.

    Comme souvent, venant des bons élèves de la technocratie, on y trouvait du bon et du nouveau. Le bon ne se révélait pas très nouveau, le nouveau ne semble pas très bon non plus. Olivier Dussopt, lui-même, secrétaire d'État auprès du ministre de l'Action et des Comptes public, évalue que les mesures annoncées coûteront à l'État entre 8 et 10 milliards d'euros. "Nous sommes en train de le préciser, de voir aussi comment nous allons le financer", a-t-il déclaré sur BFM TV. Si ce qu'il appelle "financement" ne se fonde pas sur une réduction sans doute supérieure de la dépense publique de l'État central, on entre dans un scénario économiquement catastrophique. On peut le redouter.

    Son propos sur l'immigration ouvre un autre débat.

    La jeune-vieille organisation de provenance trotskiste SOS Racisme mesure, dans ce registre, comme chacun devrait le savoir le degré de conformisme politiquement correct. Son président, heureusement dégagé de ses ennuis judiciaires, peut assumer le rôle du grand prêtre. Il pense que les propos présidentiels "n'augurent rien de bon".

    Voilà au moins qui pourrait constituer, pour certains des plus farouches opposants, un motif de satisfaction.

    "Je veux aussi que nous mettions d'accord la nation avec elle-même sur ce qu'est son identité profonde. Que nous abordions la question de l'immigration" a déclaré le chef de l'État, sans plus de précisions.

    Cette allusion d'Emmanuel Macron à l'immigration lors de son allocution pour répondre au mouvement des "gilets jaunes" depuis le 17 novembre prouve, malgré son ambiguïté, au moins que, – dans son esprit, et selon certaines informations dont il dispose, – cette préoccupation existe bel et bien chez les protestataires de base.

    Elle intervient le jour même, ce 10 décembre, où la signature, au nom de la France, du pacte mondial sur les migrations de l’ONU formellement approuvé à Marrakech, provoque de nombreuses protestations de l'opposition, et semble, si l'on en croit les sondages, rejeté par 80 % des Français.

    Inutile de dire que les États-Unis s'y sont opposé, qu'il n'aura aucun effet en Chine ou en Russie, et que l'Europe l'aborde en ordre dispersé, alors même qu'elle paraît comme le seul espace vraiment concerné. Parmi les pays qui s'en sont retirés après l'avoir accepté le 13 juillet, on compte d'ores et déjà l’Autriche, l’Australie, le Chili, la Tchéquie, la République dominicaine, la Hongrie, la Lettonie, la Pologne et la Slovaquie.

    Le président de SOS Racisme, Dominique Sopo ne pouvait pas esquiver son soutien à cette démarche onusienne destinée de façon explicite à faciliter les déplacements transnationaux de la main-d’œuvre. Il a donc publié un communiqué titré "Les immigrés comme boucs émissaires ?"

    Il dit s'étonner que le président de la république ait évoqué l'immigration dans un discours où, toujours selon Sopo, "les questions posées étaient notamment celles de la répartition des richesses et des attentes de la jeunesse lycéenne".

    "Les propos avaient beau être le plus elliptiques possibles, remarque-t-il, chacun comprendra qu'ils n'augurent rien de bon. Que les choses soient claires : toute tentative consistant à jeter les immigrés en pâture des frustrations sociales sera combattue sans relâche par SOS Racisme", menace le redoutable Sopo, se disant "plus que perplexe" sur les termes employés.

    À suivre par conséquent.

    JG Malliarakis

    https://www.insolent.fr/

  • Gilets jaunes : Les hommes et les idées de demain seront sans-doute à rechercher hors du Système

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    Voici que la crise des Gilets jaunes, soudaine et pourtant venue de très loin, peu à peu gonflée jusqu'à l'éclatement par une extraordinaire accumulation d'infidélités à l'être de la France, à sa souveraineté, aux conditions de sa puissance, de laxisme, d'abus, de mépris, d'injustices et d'excessives ponctions sur le fruit du travail des Français, sur leur patrimoine, petit ou grand, voici donc que cette crise plonge les observateurs les plus avisés de la vie politique française et même ses acteurs les plus désintéressés et les plus clairvoyants dans un océan de perplexité. 

    On chercherait en vain, à cette heure, dans la presse et les médias, l'article, la réflexion, qui entreverrait une solution concrète à cette crise, ni, globalement, les remèdes à apporter aux problèmes de fond qu'elle pose. Car par-delà leurs soucis terre-à-terre, c'est un autre système économique, politique, et social, que postulent plus ou moins consciemment le mouvement de fond des gilets jaunes et le sentiment des quelque 70 ou 80% de Français qui les approuvent.  Un modèle plus « conservateur » que révolutionnaire, plus traditionnel que « progressiste » - au sens revendiqué d'Emmanuel Macron. 

    L'épuisement du Système dont Macron est apparu tour à tour comme l’adversaire et comme le continuateur ultime, semble désormais complet, sans rémission. Et, secondairement, l'autorité du président de la République apparaît ruinée. Radicalement. Le charisme a fait long feu. Le temps du Kairos est clos. Le quinquennat, dit-on parfois, est terminé. Mais de quelque côté qu'on tourne son regard, on ne voit pas à ce jour qui ou quoi pourrait émerger de cette crise. 

    1933274278.jpgOn a dit aussi, il nous semble à juste titre, que les événements auxquels nous assistons s'apparentent davantage à mai 1958 qu'à mai 1968, c'est à dire que nous assistons, certes à une contestation globale du Système dans toutes ses dimensions, mais aussi à la fin d'un régime politique qui s'effondre sur lui-même, sans homme de rechange crédible et sans recours évident comme ce fut le cas en 1958, qui rappela De Gaulle (photo, en mai 58), de même que, incapable face au désastre, le parlement de Vichy en 1940 s'en était remis à Pétain. La France d'aujourd'hui ne dispose pas de tels recours. 

    128679143.jpgLa mondialisation a détruit les enracinements traditionnels, tué les métiers, anéanti notre agriculture, dépeuplé la France profonde, vidé les villes petites et moyennes de leurs habitants et de leurs commerces ; l'envahissement migratoire a créé une inquiétude identitaire sans précédent et un sentiment profond d'insupportable désappropriation ; des inégalités d'ampleur sans égale dans notre histoire ont creusé un fossé infranchissable entre l'ensemble des Français et quelques très riches sans légitimité parce que déconnectés d'un quelconque souci du bien commun ;  la financiarisation sans frein de la société moderne a dévalorisé le travail et réduit le citoyen à la condition de consommateur réifié, sans qualité et au bout du compte sans argent ; sans compter les fantaisies sociétales qui ont fini d'atomiser le corps social et choqué le bon-sens de nombre de Français :  mariage homo, négation des sexes, des peuples, des races, féminisme totalitaire, négation de l'autorité des parents sur leurs propres enfants etc. Tout ce qui vient d'être dit, à des titres divers, a séparé les Français quelconques de la minorité des « modernes ». D'où la révolte des premiers. 

    Qu'elle soit objet de tentatives de récupération - notamment des mélenchoniens - ou que vienne s'y greffer la violence extrême des casseurs de l'ultragauche et le surgissement des racailles de banlieue qui sont de simples pillards - choque naturellement une large majorité de Français, qui ont toujours fini par rejeter la chienlit. De sorte que si cette dernière devait s'installer, s'aggraver encore, le besoin d'un retour à l'ordre, comme toujours, ne manquerait pas de monter des profondeurs du peuple français. 

    Remise en cause et remise en ordre, là encore comme toujours, doivent aller de pair. Encore faut-il que la remise en cause soit cohérente et structurée. Et que la remise en ordre trouve à s'incarner dans des principes, des institutions et, finalement, dans des hommes, dont un prééminent, un chef digne de ce nom, qui conduisent la France à se retrouver elle-même. Il ne nous semble pas qu'elle les trouvera au sein des partis, décrédibilisés et méprisés comme jamais, ni dans les appareils syndicaux par manque absolu de représentativité, donc faiblesse extrême, ni, bien-sûr, parmi les hommes de communication et de médias, en qui toute confiance a disparu. Les hommes et les idées de demainseront sans-doute à rechercher hors du Système.   

    Retrouvez l'ensemble des chroniques En deux mots (108 à ce jour) en cliquant sur le lien suivant ... 

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/12/06/gilets-jaunes-les-hommes-et-les-idees-de-demain-seront-sans-doute-a-recherc.html

  • Gilets jaunes: la moitié des radars hors service depuis le début du mouvement

    Emmanuel Macron n’a pas évoqué le raz-le-bol des automobilistes dans son allocution.

    Depuis que la vitesse sur certaines routes secondaires a été rapportée à 80km/h. La colère de ces automobilistes se manifeste de manière spectaculaire depuis le début du mouvement des gilets jaunes. La moitié des radars sont hors d’usage depuis les premiers blocages du 17 novembre.

  • Un Pacte mondial pour l'invasion de l'Europe

    En pleine crise des gilets jaunes, Emmanuel Macron s'apprête à adhérer au nom de la France au « pacte mondial » de l'ONU ouvrant grand la voie à de nouvelles migrations. Les 10 et 11 décembre, à Marrakech, Emmanuel Macron entérinera au nom de la France - sans que les Français aient été consultés - le « Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières » des Nations-Unies, qui accélérera considérablement le remplacement des peuples européens.

    De nombreux chefs d'État, conscients du danger que ce texte représente pour leurs pays, se sont dissociés de cette initiative onusienne. Outre les États-Unis, la Hongrie, la Pologne, la République tchèque, la Croatie, la Bulgarie, l'Autriche, la Suisse, la Belgique, l’Australie et Israël sont sortis de ce piège. En revanche, le couple Merkel-Macron persiste à appuyer le profile président "français" et la chancelière "allemande" restant les deux principaux promoteurs de la mondialisation en Europe.

    Le gouvernement hongrois considère que « ce pacte incitera des millions de personnes à prendre la route ». Loin de le nier, les défenseurs du texte font valoir, comme le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, qu'il constitue « un pas sans précédent pour accroître la coopération internationale » et que « les migrants [à ne pas confondre avec les réfugiés, ndlr] sont un moteur extraordinaire de croissance. »

    Le texte lui-même vise à mettre en place une « approche globale pour optimiser les avantages de la migration » dont les Français font les frais tous les jours… L'exposé de ses « ambitions et principes directeurs » affirme d'entrée de jeu : « Par le présent Pacte mondial, nous nous engageons objectivement à améliorer la coopération en matière de migration internationale. Les migrations ont toujours fait partie de l'expérience humaine depuis les débuts de l'Histoire, et nous reconnaissons qu'à l'heure de la mondialisation, elles sont facteurs de prospérité, d'innovation et de développement durable et qu'une meilleure gouvernance peut permettre d'optimiser ces effets positifs. »

    Les migrations, « partie intégrante de la mondialisation »

    Cette belle collection de poncifs de contre-vérités a le mérite d'indiquer clairement la finalité du texte. Il s’agit de favoriser l'immigration de masse en la présentant sous un aspect édénique. Au chapitre de la « vision commune », on apprend que « les migrations font partie intégrante de la mondialisation, reliant entre elles les sociétés d'une même région et d'une région à l'autre et faisant de nous tous des pays d'origine, de transit et de destination. » Il s'agit donc bien d'effacer les frontières et les appartenances nationales.

    Une large place est également accordée au « développement durable » auquel les migrants; contribuent « aux niveaux local, national, régional et mondial » tout en enrichissant nos sociétés « grâce à leurs capacités humaines, économiques et sociales ». Le texte insiste aussi sur la nécessité d'informer les nouveaux arrivants sur leurs « droits, obligations et possibilités », tout en délivrant aux citoyens des pays d'accueil « des informations objectives, claires et fondées sur des données factuelles au sujet des avantages et des difficultés que présentent les migrations, en vue de démonter les discours trompeurs qui donnent une image négative des migrants » Les États sont ainsi invités à assurer la propagande de l'immigration, et à censurer, ce qui pourrait l'entraver, notamment « en cessant d'allouer des fonds publics ou d'apporter un soutien matériel aux médias qui propagent systématiquement l’intolérance, la xénophobie, le racisme et les autres formes de discrimination envers les migrants, dans le plein respect de la liberté de la presse »… Ça va sans dire.

    Cerise sur le loukoum, le Pacte prévoit de « promouvoir le respect mutuel des cultures, des traditions et des coutumes entre les communautés d'accueil et les migrants grâce à l’échange et à la mise en œuvre de pratiques optimales en matière de politiques, programmes et activités d'intégration, y compris en ce qui concerne les moyens de promouvoir l'acceptation de la diversité et de faciliter la cohésion sociale et l'inclusion. » Il ne s agit donc pas de favoriser l’assimilation, mais d'ouvrir les intelligences des populations indigènes, un peu trop engoncées dans leurs coutumes et traditions nationales, aux beautés du multiculturalisme.

    Nous en avons eu une illustration récente, avec l’acquittement, le 21 novembre, d'un immigré bangladais auteur d'un viol sur une adolescente de 15 ans, par ailleurs condamné à deux ans de prison avec sursis pour une agression sexuelle commise sur une autre jeune fille. Son avocate avait fait valoir à l'audience qu'il n'avait pas les « codes culturels » qui lui auraient permis de mesurer la gravité de son acte. Au Bangladesh, les violeurs encourent pourtant la prison à perpétuité. Cet immigré sera tout de même inscrit au fichier des délinquants sexuels voilà qui rassurera sans doute les jeunes Françaises. On n'a guère entendu Marlène Schiappa, ni les militantes féministes, s’exprimer sur cette affaire. Cette décision de justice rappelle l'affaire du réseau de migrants indo-pakistanais qui, en Grande-Bretagne, a pu impunément réduire pendant des années des centaines de jeunes anglaises à l'état d'esclaves sexuelles, sans être empêchés dé nuire par des autorités terrorisées à l'idée d'être accusées de racisme. Faut-il y voir l'un des « avantages de la migration »?

    Alain Hasso monde&vie 6 décembre 2018

  • Il est revenu sur sa parole

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  • Le Brésil va renoncer au pacte sur les migrants de Marrakech

    Le Brésil va renoncer au pacte sur les migrants de Marrakech

    Lors de la cérémonie de Marrakech, le Brésil était représenté par son actuel ministre des Affaires étrangères, Aloysio Nunes, favorable à l’accord.

    Mais le futur chef de la diplomatie brésilienne a annoncé que le Brésil se retirera du Pacte mondial pour les migrations, une fois que le président élu Jair Bolsonaro prendra ses fonctions le 1er janvier. Ernesto Araujo, le futur ministre brésilien des Affaires étrangères, a annoncé :

    « Le gouvernement Bolsonaro se dissociera du Pacte mondial pour les migrations qui vient d’être lancé à Marrakech, un instrument qui est inadéquat pour affronter le problème ».

    « L’immigration est bienvenue, mais elle ne doit pas être indiscriminée », « elle doit être au service des intérêts nationaux et de la cohésion de chaque société ». « L’immigration ne doit pas être traitée comme un sujet global, mais en accord avec la réalité et la souveraineté de chaque pays ». 

    Ernesto Araújo
     
    @ernestofaraujo

    2/O Governo Bolsonaro se desassociará do Pacto Global de Migração que está sendo lançado em Marraqueche, um instrumento inadequado para lidar com o problema. A imigração não deve ser tratada como questão global, mas sim de acordo com a realidade e a soberania de cada país. 

    4 833 personnes parlent à ce sujet 

    En Amérique latine, le Chili et la République dominicaine ont effectué la même démarche de retrait.

    Emmanuel Macron peut donc encore y renoncer et annoncer le retrait de la France de ce pacte.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-bresil-va-renoncer-au-pacte-sur-les-migrants-de-marrakech/

  • 2019 en France selon les Rothschild - hypotheses

  • Société • Gilets jaunes : « À contresens »

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    De cet excellent éditorial, nous distinguerons les deux réflexions qui suivent : « Le tournant que demande la classe moyenne avec ou sans jaune fluo est social, mais il n'est pas comptable » et encore : « Ballottée par les vents violents de la mondialisation et du multiculturalisme, elle crie pour ses fins de mois, mais l'angoisse qui l'étreint est celle de la fin d'un monde : le sien. » [Le Figaro, 6.12].  LFAR 

    En France, tout s'achève par des impôts. À entendre certaines voix de la majorité, même une révolte fiscale peut déboucher sur un nouveau prélèvement. Depuis que le gouvernement a annoncé qu'il était prêt à annuler la fameuse taxe, le concours Lépine des idées folles bat son plein. Rétablissons l'ISF, lance Marlène Schiappa (sans doute parce que sa disparition participe de l'inégalité femmes-hommes qu'elle est chargée de combattre)! Ajoutons une tranche supplémentaire à l'impôt sur le revenu, propose ingénument un député LaREM ! Encore un peu et le revenu universel reviendra sur la table…

    Même si elle s'affuble désormais du masque hideux de la fièvre robespierriste, il faut, pour comprendre cette révolte fiscale, remonter aux sources profondes qui l'ont fait jaillir. Confuse, contradictoire, indiscernable parfois, elle a toutefois pour premier slogan une phrase limpide : « Laissez-nous vivre de notre travail.» Rien dans une telle supplique ne contient la revendication d'un statut, d'une subvention, d'un impôt. La contradiction même soulignée par Emmanuel Macron entre la double exigence de service public et de baisse des impôts n'est qu'apparente. Elle dit plutôt que le contribuable ne s'y retrouve pas entre ce qu'il donne à la collectivité et ce qu'elle lui procure.

    Le tournant que demande la classe moyenne avec ou sans jaune fluo est social, mais il n'est pas comptable. Il a pour cause, c'est évident, l'inquiétude économique, mais, plus profondément, il exprime, et jusque dans son nihilisme destructeur, la nécessité d'un projet de civilisation. Si la « France moche », celle qu'on traverse dans les romans de Houellebecq, celle des quartiers périurbains, se réfugie, du pavillon au centre commercial, dans la consommation, elle cherche désespérément l'amitié du monde qui humanise la vie quotidienne : la sécurité, la sociabilité, la communauté d'expérience, les fêtes collectives, le foyer, la beauté. Ballottée par les vents violents de la mondialisation et du multiculturalisme, elle crie pour ses fins de mois, mais l'angoisse qui l'étreint est celle de la fin d'un monde: le sien.  

    Vincent Tremolet de Villers

    Vincent Trémolet de Villers est rédacteur en chef des pages Débats/opinions du Figaro et du FigaroVox 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/12/09/societe-gilets-jaunes-a-contresens-6111564.html