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  • Du 19 au 25 août : l'Université d'été d'Académia Christiana dans l'Orne

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    Communiqué d'Universita christiana :

    Nous voulons que notre pays renoue avec son âme française, c'est-à-dire avec notre histoire. Autrement dit : vivre de notre identité. Nous croyons que la tradition n’est pas le passé mais ce qui ne meurt jamais. Nous voulons que notre identité perdure. Provinciale, française, européenne et catholique, notre identité est une richesse. Nous ne sommes pas des conservateurs de musée, nous brûlons d’un ardent désir de vivre ici et maintenant de nos traditions millénaires.

    Nous voulons également la justice et militons pour un ordre politique régi par les lois qui transcendent la volonté des hommes. Notre norme, c’est le réel, c’est-à-dire la nature créée par Dieu. Enfin, parce que nous sommes catholiques, nous voulons que l’ordre politique n’ordonne rien qui soit contraire à la foi et n’interdise rien qui soit exigé par elle. Nous ne sommes pas les gardiens aigris d’un nouvel ordre moral, mais simplement les porteurs d’un ordre politique apte à servir le véritable bien commun.

  • Immigration : Salvini s’oppose au couple franco-allemand – Journal du mardi 23 juillet 2019

     

    Immigration : Salvini s’oppose au couple franco-allemand

    Un mois après l’affaire Carola Rackete, les divisions sur le sujet migratoire sont toujours vives. Alors que plusieurs pays européens se sont entendus sur la création d’un mécanisme de solidarité, le ministre de l’intérieur italien s’oppose toujours aux décisions de Paris et Berlin.

    Boris Johnson prend ses quartiers au 10 Downing Street.

    Comme prévu, le partisan d’un Brexit dur succède donc à Theresa May à la tête des conservateurs et au poste de premier ministre britannique… Le début d’un parcours qui promet d’être semé d’embûches.

    Souriez, vous venez de travailler 203 jours pour l’Etat !

    Aujourd’hui 23 juillet c’est le jour de libération fiscale, le jour où vous cessez symboliquement de travailler pour l’Etat et que vous récoltez enfin le fruit de votre labeur. Retour sur une gabegie fiscale française.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/immigration-salvini-soppose-au-couple-franco-allemand-journal-du-mardi-23-juillet-2019

  • Manifestation contre l’islamisme : Génération Identitaire fait condamner l’État

    « En novembre 2017, 2 ans après la tuerie du Bataclan, Génération Identitaire avait organisé une grande manifestation à Paris contre l’islamisme. Celle-ci a été interdite à la dernière minute par le préfet de police pour de prétendus risques de troubles à l’ordre public. Face à cette décision purement politique et cette atteinte à la liberté d’expression nous avons attaqué l’arrêté d’interdiction. Aujourd’hui la justice nous donne raison et condamne l’État à nous verser 1500€ de frais de justice. Cela ne couvre pas tous les frais engagés mais démontre bien que cet acharnement judiciaire sert à nous faire taire. Le tribunal a bien souligné que notre rassemblement ne présentait aucun danger et que nous agissions toujours sans violence ni dégradation pour éveiller les consciences. En écho à cette décision nous demandons la relaxe pour le procès de Defend Europe dans les Alpes. Nos militants ne doivent pas être condamnés à de la prison ferme pour avoir mis en évidence une défaillance de l’État ! »

    Youtube


    En parallèle: Romain Espino, porte-parole de Génération Identitaire annonce avoir été « censuré définitivement » du réseau social Facebook

  • La grande question des retraites. Partie 1 : Travail et retraites.

    Il n’est pas possible de penser la question des retraites sans poser celle du travail, de ses finalités, de ses aspects et de ses possibilités. Or, trop souvent, les retraites ne sont évoquées que sous l’angle financier ou social, en oubliant que la retraite en elle-même est d’abord la sortie, plus ou moins ordonnée, du monde du travail et de la condition de travailleur, dernier terme que l’on limite trop aux seules classes populaires productrices dans l’idéologie marxiste en oubliant ces classes moyennes, voire supérieures, qui elles aussi sont engagées dans le processus de production de biens et de services, plus dans le secteur tertiaire et dans celui des échanges que dans les usines ou les champs. En fait, c’est le travail qui doit ou devrait déterminer les retraites (ce qui n’est le cas qu’en partie, paradoxalement), leur financement comme leur gestion sur le long terme, et cela nécessite aussi d’en examiner les conditions, autant d’accès que d’exercice et cela sans en oublier à la fois la nécessité et la motivation dans le champ économique comme social.
    Aujourd’hui, le travail « professionnel » recouvre un temps qui paraît bien moins long qu’il y a une quarantaine d’années, mais il apparaît aussi moins bien distribué, le nombre de chômeurs ou de travailleurs à temps partiel ayant fortement progressé quand, dans le même mouvement, l’accès à l’emploi salarié est devenu plus tardif et, souvent, moins assuré. Cela entraîne donc une fragilisation des modes de financement des retraites, sans oublier que l’espérance de vie s’est aussi élevée et que le nombre de retraités a, lui aussi, augmenté mécaniquement et, disons-le, heureusement ! Désormais, la charge des retraites est devenue « trop » lourde pour un monde de l’emploi qui, en comparaison et en proportion, s’est rétréci de façon fort embarrassante pour leur financement : de quatre cotisants pour un retraité au milieu des années 1940, nous sommes passés à moins de deux, ce qui, évidemment, change la donne initiale de la retraite par répartition. Cela est évidemment lié à la quantité horaire de travail fourni, mais aussi à la situation démographique moins favorable et qui « se retourne » avec l’arrivée des classes d’âge nombreuses à l’âge de la retraite quand la natalité, elle, s’essouffle. Tout cela est connu et évoqué à raison souvent, mais aussi à tort et à travers parfois. L’erreur serait de se contenter de ces données, importantes mais pas toujours suffisantes pour saisir tous les enjeux de la question et tracer des perspectives qui satisfassent autant l’économique que le social.

    Un des premiers leviers dans la résolution de la question des financements est celui de l’emploi : faire baisser le nombre de chômeurs, réellement et non artificiellement par des entourloupes comptables ou des radiations exagérées, est un premier moyen de répondre efficacement à cet enjeu du financement, et c’est là-dessus qu’il faudrait insister. Mais il semble qu’il y ait, qu’on le veuille ou non, un certain renoncement en France sur ce sujet, et cela depuis la fameuse phrase du président Mitterrand qui affirmait que « contre le chômage, on a tout essayé », phrase du fatalisme étatique par excellence et véritable scandale économique autant que social. Or, il reste beaucoup à faire, et le fatalisme est anti-politique quand il faudrait que, justement, le politique (à travers l’Etat souverain) reprenne la main, non par étatisme mais pour garantir son rôle de justice sociale et de protection de ses nationaux et citoyens-contribuables. De nombreuses pistes restent à creuser, en particulier à travers le redéploiement rural et la reconstruction d’un véritable tissu d’activités de productions et de services dans des zones aujourd’hui déclassées par la mondialisation et la métropolisation mais qui constituent ce que l’on pourrait nommer, sur le plan de la conquête démographique, économique et sociale, « le far-west français » (mais sans l’aspect destructeur des origines et des traditions locales que l’original états-unien a pu représenter). Là encore, au lieu de fermer des écoles de campagne (près de 400 cette année encore), il faudrait en ouvrir et en rouvrir, y compris avec un nombre d’élèves inférieur aux obligations administratives, et cela serait le meilleur moyen d'attirer de jeunes familles et de pérenniser leur installation, sachant qu’une école ouverte dans ces conditions particulières, c’est aussi le maintien ou la création de trois emplois en moyenne, pour l’enseignement proprement dit et pour l’entretien de l’établissement, autant ménager que technique et informatique. Ce n’est qu’un exemple de ce qui pourrait être fait, parmi mille d’entre eux et initiatives possibles en ce domaine.Un autre élément du travail à prendre en compte est son « temps long » et sa distribution avant de pouvoir accéder à la retraite professionnelle. Si les générations présentes travaillent moins que les précédentes, c’est aussi parce que leur productivité est plus élevée et qu’elles « rapportent » plus, mais souvent plus par leur consommation elle-même (et par les charges fiscales…) que par leur seule production. Mais la demande des générations actuelles s’est adaptée aux possibilités, jusque là assumées et garanties (mais cela est de moins en moins vrai, semble-t-il), de l’Etat-providence, devenu un « Etat-nounou » qui a fortement déresponsabilisé les populations tout en les aliénant de plus en plus à une société de consommation exigeante et addictive… Cette évolution a constitué un piège qui, désormais, paraît se refermer complètement sur ceux qui ont cru en les promesses d’un « bonheur si je veux », fondé sur l’individualisme et le « consommationnisme », devenu « consommatorisme » : ainsi, les retraités peuvent mal vivre, parfois, leur situation financière qui paraît les déchoir de ce statut confortable de consommateur et d’assuré social (qu’ils restent pourtant et malgré tout) de salarié (ou indépendant) cotisant. D’autre part, le travail n’a pas la même valeur ni le même statut selon les professions et les secteurs d’activité, et les hiérarchies des uns et des autres, sans oublier les fortes disparités dans les conditions mêmes du travail effectué : cela se ressent dans l’espérance de vie elle-même, et encore plus dans celle « sans incapacité », qui correspond à la « bonne santé », qui sont toutes deux très différentes selon que l’on est cadre, professeur ou ouvrier métallurgiste ou du bâtiment, et qui montrent un écart pouvant atteindre treize ans entre un travailleur « manuel » et un travailleur « intellectuel ».Sans doute ne faut-il pas oublier aussi la nature du travail effectué, qui peut être fort différent selon les étapes de la vie des cotisants, et l’évaluer ainsi à l’aune des différents aspects reconnus de pénibilité, ce qui renvoie également à la question de l’âge effectif de l’accès à la retraite qui, si l’on y réfléchit bien, ne peut être tout à fait le même selon les professions considérées. N’est-ce pas une erreur de vouloir imposer un âge légal de départ à la retraite et un nombre minimal d’années travaillées et cotisées ou, du moins, une certaine « injustesse » sociale qui pourrait bien être ressentie comme une véritable injustice ? Ces questions méritent au moins d’être posées, à défaut de trouver des réponses totalement satisfaisantes aujourd’hui.(à suivre : Le travail au-delà de l’âge légal de la retraite ; des propositions pour de nouvelles formes de financement ; la Monarchie royale et la question des retraites : quelles possibilités ? ; etc.)

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1567:la-grande-question-des-retraites-partie-1-travail-et-retraites&catid=53:2019&Itemid=64

  • Une enquête sur les dîners de Macron avec le «Tout-Paris» aux frais de la République publiée

    unnamed.jpgL’affaire François de Rugy a «ressuscité» le passé. Des journalistes et figures de la vie politique sont revenus, pour FranceInfo, sur les dîners organisés par Emmanuel Macron à Bercy alors qu’il était ministre de l'Économie. Ils ont notamment évoqué certaines «similitudes» dans ces deux cas.
    Les dîners polémiques de François de Rugy ont rappelé aux journalistes et figures de la vie politique, interrogés par FranceInfo, les réceptions tenues à Bercy par Emmanuel Macron, à l’époque ministre de l'Économie.
    Selon eux, grâce à ces événements, le Président français a pu établir un solide réseau de contacts qui lui a été bénéfique pour construire sa carrière politique.
    «Il y a des similitudes»
    Pour Frédéric Says, éditorialiste à France Culture et auteur avec Marion L'Hour du livre Dans l'enfer de Bercy, il existe bien une ressemblance.

    «Il y a des similitudes […]. Pour François de Rugy, on parle d'une dizaine de dîners entre octobre 2017 et juin 2018 mais du côté d'Emmanuel Macron, c'était quasiment tous les soirs! C'était très très soutenu», a tenu à préciser Frédéric Says.

    «C'était impressionnant»
    Christian Eckert, l’ancien secrétaire d’État chargé du Budget au ministère des Finances et des Comptes publics, s’est aussi souvenu de ces réceptions.
    «Je ne sais pas si les dîners de Macron étaient comparables avec ceux de Rugy en terme de qualité des repas mais en terme de nombre et de fréquence, c'était impressionnant», a-t-il dit interrogé par FranceInfo.
    Le «Tout-Paris» invité
    Toujours d’après Christian Eckert, lors de ces dîners, le Président français s’entretenait avec des personnes de tous les domaines.

    «La salle à manger peut accueillir les journalistes, les acteurs, les "people", les chefs d'entreprise, les chanteurs, le Tout-Paris et bien au-delà, accourus le plus souvent par l'entrée discrète située quai de Bercy», a-t-il souligné.

    Parmi les invités figurent, par exemple, Dalil Boubakeur, alors président du Conseil français du culte musulman,....
    [...]
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    Sur le même thème lire aussi:
  • Passé-Présent n°247 : Les raisons de l’antisémitisme au début du XXème siècle

    Philippe Conrad accueille l’ancien journaliste Jacques Lambert, spécialiste des peintres de l’Ecole de Paris et auteur de biographies quasi définitives dont celle de Gen Paul, pour son livre L’antisémitisme dans le monde des arts et de la culture 1900-1945 (Editions de Paris -2019 – 304 p. – 20 €).
    Dans les domaines cinématographique, théâtral, littéraire, pictural, journalistique, comme ceux de la chanson ou du music-hall, l’auteur traite de l’antisémitisme dans cette 1ère partie du XXè siècle et analyse les raisons qui provoquent ce courant d’hostilité.

    Philippe Conrad s’entretient avec Eric Valin, auteur de Tuer l’Union Européenne pour Sauver l’Europe !!, ouvrage auto-édité (2019 – 142 p. -15 €).
    Avec ce pamphlet au titre claquant, Eric Valin expose les tares d’une Union Européenne incurable dans sa forme actuelle et propose comme remèdes un système confédéral, une démocratie référendaire, à l’exemple de la Suisse dont l’UE pourrait s’inspirer afin d’abolir ses pesantes contraintes et tendre vers une véritable Europe des Nations.

    https://www.tvlibertes.com/passe-present-n247-les-raisons-de-lantisemitisme-au-debut-du-xxeme-siecle

  • « Le JT de l’éco. Que deviennent mes crédits en cas d’effondrement ? » L’édito de Charles SANNAT

    Résultat de recherche d'images pour "le jt de l'éco"
    Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
    Je vous retrouve désormais comme tous les lundis ou presque avec la nouvelle vidéo du Vrai JT de l’éco et de l’or.
    Cette semaine, l’idée c’est de répondre à une question que vous êtes très nombreux à vous poser à savoir… 
    Que va-t-il se passer pour vos crédits en cas d’effondrement ou de faillite de votre banque ?! Grande question. 
    Globalement il vous faudra les rembourser dans presque tous les cas sauf un !! Explications !
    Nous parlerons également de l’actualité économique dominée par les baisses de taux à venir de la FED très difficiles à justifier et des contradictions des autorités monétaires. 
    Des contradictions qui en disent beaucoup plus que ce que l’on peut croire au premier abord.
    La banque centrale sait des choses, que nous ne savons pas… alors essayons de deviner.
    Essayons de deviner ce qu’il risque de se passer dans les prochains mois, et évidemment cela tourne essentiellement autour de l’énergie et des guerres pour l’énergie.
    Dans cette édition, je consacre d’ailleurs deux articles, l’un à la situation turco-chypriote, et l’autre à la situation libyenne avec 300 000 barils par jour de production portés disparus depuis vendredi dernier suite à la fermeture du plus gros puits.
    Nous évoquerons également les tensions dans le Golfe et les effets sur l’or.
    Bref, un JT passionnant !!!
    N’oubliez pas évidemment, de « partager » cette vidéo si le cœur vous en dit, vous pouvez aussi cliquer sur les pouces bleus car il paraît que c’est important et vous pouvez également vous abonner à la chaîne Youtube Insolentiae TV.
    Pour le reste, je vous retrouverai lundi prochain, après une semaine où il n’y aura plus d’éditions quotidiennes, car j’ai quelques jours de travail en retard, de trop nombreux mails et autres courriels en souffrance. 
    Bref, je vais consacrer cette semaine à la fin de la rédaction de mon dossier spécial effondrement, et au courrier des lecteurs. 
    Par avance, toutes mes excuses à celles et ceux à qui je ne pourrai pas répondre faute de temps. Je ferai de mon mieux.
    On se retrouve le lundi 29 pour une édition spéciale le vrai JT de l’éco.
    A très bientôt mes chers lecteurs. A très bientôt.
    Pour télécharger Présentation le vrai JT de l’éco et de l’or 19072019

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
    Charles SANNAT

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/07/le-jt-de-leco-que-deviennent-mes.html

  • La ‘droite’ portefeuille qui s’est réfugiée chez Macron va déchanter

    La ‘droite’ portefeuille qui s’est réfugiée chez Macron va déchanter

    Lu dans Présent :

    On a bien compris que la droite a choisi. Elle a désormais choisi ce qui lui apparaît comme le camp à même de préserver son portefeuille. Neuilly, les quartiers chics de Paris et des grandes villes ont choisi Le Maire et Darmanin : le camp du business contre le camp des loosers, en quelque sorte.

    Mais dans ce domaine, l’enchantement pourrait ne pas durer. La Cour des comptes vient en effet de tirer le signal d’alarme : elle constate que le gouvernement a accumulé promesses et annonces fracassantes, sans s’assurer que tout cela est financé ou finançable, et sans tenir compte d’une conjoncture mondiale marquée actuellement par un ralentissement.

    La Cour des comptes, c’est le gendarme des comptes publics, une sorte de super-commissaire aux comptes. Son rapport d’été est alarmant. Il constate que le gouvernement a accumulé les dépenses et les annonces de dépenses, et en particulier 10 milliards d’euros de mesures destinées à calmer les Gilets jaunes, en décembre 2018, plus 5 milliards de baisses d’impôts annoncées en avril 2019, ceci pour les plus importantes. Mais chaque ministère anticipe actuellement son petit dérapage personnel.

    Du même coup, le déficit public, qui était descendu à 2,5 % en 2018 (chiffre qui plaçait néanmoins la France en queue de peloton, avec l’Espagne), est annoncé à la hausse : on parle désormais d’un déficit de 3,1 % pour 2019. Ce chiffre est évidemment mauvais. Il nous placerait au dernier rang des pays de la communauté européenne. Il nous ferait sortir des règles de la C.E., qui interdisent un déficit supérieur à 3 %. En dernier lieu (et cela, c’est une bonne chose), il paralyserait l’Europe dans sa volonté de sanctionner l’Italie pour dépassement de ce fameux plafond de 3 % de déficit. Car, en effet, comme imaginer que l’on sanctionne l’Italie et pas la France ?

    Incapacité pathologique à faire baisser les charges de l’Etat

    Ce dérapage inattendu, et qui ruine l’image d’un gouvernement expert dans les questions économiques et meilleur défenseur des épargnants, a pour origine une incapacité, une impossibilité que l’on pourrait qualifier de pathologique, à faire baisser les dépenses de l’Etat. Surtout quand ces dépenses outrancières trouvent leur origine dans un sureffectif sans rapport avec les besoins d’une société moderne. Ce sureffectif, que Macron lui-même estimait à 120 000 postes (chiffre déjà bien inférieur à celui d’un Fillon, par exemple : 500 000 postes), est pour l’instant ramené à rien du tout.

    Après tout, si par son pouvoir de séduction, Macron peut vaincre les réticences de Bruxelles et de Merkel, ne nous en plaignons pas.

    Pour l’heure, la dette établit un record des faibles taux d’emprunt, donc rien à craindre de ce côté… à moins que la conjoncture ne se retourne, que les taux d’intérêt augmentent. Dans ce cas, l’appel d’air financier serait considérable et terriblement préjudiciable aux Français.

    Que les taux d’emprunt augmentent, et ce sera en effet une hécatombe chez les petits emprunteurs, puis nous aurons la phase d’appauvrissement général. Le sacro-saint – et si progressiste – « principe de précaution » devrait au contraire pousser le gouvernement à se préparer à cette hypothèse de hausse des taux. Mais par peur au regard des risques sociaux, ou par procrastination, cette question a été mise entre parenthèses. De ce point de vue, le couple Le Maire-Darmanin apparaît comme plus socialiste que les socialistes passés.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-droite-portefeuille-qui-sest-refugiee-chez-macron-va-dechanter/

  • Grand remplacement : la preuve par les prénom

    Grand remplacement : la preuve par les prénoms

    L’INSEE a publié comme chaque année les chiffres de l’Etat Civil relatifs aux prénoms attribués aux enfants nés en France depuis 1900. Ces fichiers sont téléchargeables via ce lien.

    Pour la 4ème année consécutive, Fdesouche publie en exclusivité le baromètre des naissances enregistrées en France sous prénom musulman. L’analyse de l’octroi de prénoms musulmans pour les naissances en France en 2018 révèle :

    • Un taux national qui atteint les 21,6%
    • Un taux de croissance qui parait ralentir : une augmentation de 0,3% au regard de 2017, cette croissance était en moyenne de 0,7% depuis 2000.
    • A noter cependant la nette augmentation des « prénoms rares », c’est à dire ayant enregistré moins de 3 naissances au niveau national sur l’année, qui complexifient la mesure
    • Les statistiques indiquent un taux de prénom musulman estimé à 1/3 des prénoms rares (essentiellement des variations orthographiques de prénoms ou des prénoms composés), représentés en rouge sur le graphe.
    • Sur cette base, l’estimation du taux national d’octroi de prénom musulman en France corrigé serait à 24,2% mais en raison de son caractère incertain, nous en restons au chiffre ci-dessus.