Hier c'était Donald qui s'était fendu d'un tweet très sec : "je sais qu'Emmanuel veut bien faire, mais personne ne parle au nom des Etats-Unis" (c'était au sujet de l'Iran).
Aujourd'hui, le deuxième "pan sur le bec" vient de Vladimir, à Brégançon, en réponse à une pique macronienne mal venue sur les droits de l'homme en Russie : "je rappelle qu'en France, il y a eu 11 morts et 2 000 blessés lors du mouvement des Gilets Jaunes".
Que Macron se fasse moucher par la terre entière, cela nous est bien égal.
Le drame est pour la France, et pour son image de marque dans le monde (comme on dit dans le jargon), et, là, c'est beaucoup plus dommageable...