La défense de l'environnement, cause noble par elle-même, est mise à toutes les sauces politiques; les Verts allemands s'apprêtent à attaquer le congrès FN de Strasbourg, le gouvernement et Marc lepage utilisent la crainte de la pollution à des fins électorales, et Greenpeace, depuis longtemps est une entreprise idéologique et financière. Quoi de plus touchant qu'un dauphin ou un bébé-phoque ?
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Peut-on nier encore que l’UE est une association de malfaiteurs criminels ?
Ou, en d’autres termes, une expertise peut-elle être scientifique si la science n’y a pas sa place ?
C’est l’épineuse question posée par l’association Générations futures à propos de l’expertise préliminaire européenne sur le glyphosate, qui doit permettre la réautorisation en Europe de l’herbicide controversé (soupçonné d’être cancérogène et un grave perturbateur endocrinien), fin 2022. Dans une analyse rendue publique mardi 16 novembre, l’association antipesticide estime et chiffre, pour la première fois, la non-prise en compte de l’écrasante majorité des études universitaires récentes par le rapport préliminaire européen (RAR, pour « Renewal Assessment Report »), préparé par les agences réglementaires néerlandaise, hongroise, française et suédoise (ne manquez pas, sur le sujet, de relire ce que nous écrivions déjà il y a presque trois ans : https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2019/01/18/lunion-europeenne-est-bien-une-association-de-malfaiteurs/).
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Wall Street Journal : les accusations du Russiagate contre Trump n’étaient « que des boules puantes lancées par l’équipe de Clinton, dont la presse fut le promoteur crédule »
Pendant près de trois ans, au cours du mandat de Donald Trump, l’extraordinaire enquête a tenu en haleine le monde entier. Ce que l’on a appelé “l’affaire russe” ou le “Russiagate” était censé démontrer l’existence, à partir de juillet 2016, d’une “collusion entre le Kremlin et l’équipe de campagne de l’ancien président républicain”.
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Quand les médias nous vendent un avenir sans enfants
Dans nos journaux, on observe ces dernières semaines une profusion d’articles sur le thème « Ils ne veulent pas avoir d’enfants ». On peut carrément y lire des témoignages de Françaises n’ayant pas honte de dire qu’elles regrettent d’avoir enfanté. Derrière cette information, malgré tous les efforts de la presse progressiste pour présenter l’affaire comme la dénonciation salutaire d’un tabou, difficile de ne pas voir le prolongement de la guerre menée contre la société occidentale…
« Des enfants ? Non merci ! » Courrier International consacrait la semaine dernière son dossier à ces personnes qui ne souhaitent pas avoir d’enfant. Le magazine emboîtait ainsi le pas à de nombreux médias qui s’intéressent de près aux childfree.
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DR IDRISS ABERKANE : Notre élite nationale manque-t-elle d'intelligence ?
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Zemmour et Ciotti : l’alliance des Eric ?
Lors de la polémique provoquée par les propos d’Éric Zemmour devant la salle martyre du Bataclan à Paris, le seul à ne pas hurler avec la meute a été le député Les Républicains des Alpes-Maritimes, Éric Ciotti :
« Je n’ai pas à juger. Qu’est-ce qui est indigne là-dedans ? »
Une sortie qui a valu au candidat à l’investiture LR pour la présidentielle un coup de fil de remerciement d’Éric Zemmour. Plusieurs militants issus du parti Les Républicains se sont donnés pour mission de faire passer à tous les sympathisants d’Eric Zemmour encartés chez LR une consigne de vote en faveur d’Éric Ciotti.
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Têtes à Clash n°88 – Crise à l’est de l’Europe : le chantage aux migrants ?
Franck Tanguy reçoit Philippe Murer, Valérie d’Aubigny, Laurent Artur du Plessis et Cyril Bennasar.
Au programme des débats :
1) Retour sur l’allocution présidentielle : un président en campagne, tourné vers l’avenir ?
2) Chantage aux migrants par la Biélorussie sur la Pologne et l’UE : comment y répondre ?
3) Choix du candidat LR : qui pour gagner la présidentielle ?https://www.tvlibertes.com/tetes-a-clash-n88-crise-a-lest-de-leurope-le-chantage-aux-migrants
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Trois ans après les Gilets jaunes, que reste-t-il du mouvement ? [vidéo]
Trois ans après leurs premières manifestations, que reste-t-il du mouvement des Gilets jaunes ? Si la colère est toujours là selon certaines figures, dans la rue, le mouvement s’essouffle.
Katia Pecnik est allée à la rencontre de Maxime Nicolle, une ancienne figure du mouvement des Gilets Jaunes. Après avoir été surexposé dans les médias lors de la crise, il a déménagé en Bretagne pour trouver un travail.
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Alexandre Ier de Russie (1777-1825)
Petit-fils de Catherine II, accusé du meurtre de son père, adversaire, allié, puis ennemi redoutable de Napoléon, il a fait entrer la Russie en Europe.
« Il a de l’esprit, de la grâce, de l’instruction, est facilement séduisant ; mais on doit s’en défier […]. Peut-être aussi me mystifia-t-il ; car il est fin, faux, adroit ; il peut aller loin. Si je meurs ici, ce sera mon véritable héritier. »
Ce jugement, porté depuis Sainte Hélène par Napoléon sur le premier qui, en Europe, eut raison des aigles impériales, souligne deux aspects essentiels de la charismatique figure d’Alexandre 1er : son importance politique dans l’Europe du début du XIXe siècle et le caractère insaisissable de son personnage. Pour expliquer les revirements politiques, idéologiques ou encore diplomatiques qui ont émaillé son règne, on a souvent fait de lui un prince velléitaire et superficiel, un « Hamlet couronné ». À rebours de ces jugements simplistes, Marie-Pierre Rey s’appuie, dans une récente biographie, sur de nouvelles archives et sur une correspondance considérable pour décrypter toute la complexité de cet homme ambigu, jugé par ses contemporains « trop faible pour régir, mais trop fort pour être régi ».
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Quel possible pour demain ?
Le billet de Patrick Parment
La politique n’est pas une science exacte. Au regard de ce que nous propose le paysage politique d’aujourd’hui, le fait saillant reste la montée inexorable de l’abstention. Ce qui veut tout simplement dire que les politiques ne sont plus en phase avec les attentes du peuple. Un déni de réalité en quelque sorte et dont la conséquence directe est que nos élus ne le sont que par des minorités. Ce qui remet en cause la notion même de démocratie qui veut que les gouvernants soit l’expression des désirs et des aspirations du peuple. On est loin du compte depuis des décennies.