Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
L'acharnement hystérique de la part de quelques journalistes en mal de sensations contre nos amis Bernard Germain et Pierre Cassen commence à friser le ridicule, voire l'indécent...
Depuis sa cinglante défaite à Callac, le clan d'extrémistes remplacistes, qui entendait imposer à cette petite commune (2 200 habitants) des Côtes d'Armor l'arrivée de plusieurs centaines de migrants, ne sait plus quoi inventer pour se venger. Ayant été massivement rejetés par les Callacois conscients des difficultés qu'un tel projet allait engendrer, les immigrationnistes veulent aujourd'hui faire payer leurs turpitudes à ceux qui se sont courageusement battus pour sauver leur identité et leur liberté.
Leur dernière trouvaille : déposer des plaintes pour des "menaces" qu'ils prétendent avoir reçues...
À ce sujet, il est temps de rappeler certains faits afin de remettre les pendules à la bonne heure…
Si les deux collaborateurs de la feuille d'extrême gauche locale, intitulée Le Poher, ont reçu, comme ils l’affirment, des "menaces", la présidente de l'Association des Amis de Callac et ses environs, Danielle Le Men, elle, a bel et bien été agressée par une bande de pseudo-antifas (mais vrais enragés), le samedi 28 janvier, alors qu'elle se rendait seule à la cérémonie des vœux du maire de Callac (agression au cours de laquelle un gendarme a été blessé et un véhicule de la gendarmerie endommagé). Inutile de préciser que cette attaque lâche n'a suscité aucune protestation dans "le camp du bien", au sein des sourcilleux chiens de garde de la pensée conforme, spécialistes de l'indignation à géométrie variable.
Lors des deux manifestations (17 septembre et 5 novembre), qui furent les agresseurs et qui furent les agressés ? Les paisibles manifestants callacois venus s'opposer au projet remplaciste ou la horde de gauchistes ultra violents qui tenta de briser la manif ? Sans l'intervention des forces de l'ordre, je vous laisse imaginer les dégâts...
Puisque nous en sommes à parler "menaces de mort", permettez-moi, à ce stade du développement, quelques digressions d’ordre personnel :
• D’abord, après bientôt 50 ans de militantisme nationaliste, je ne compte plus les tentatives d’intimidation dont j’ai fait l’objet. Si j’avais porté plainte à chaque fois que j'ai reçu des messages menaçants ou retrouvé la cage d'escalier des différents immeubles où j'ai habité couverte de graffitis peu amènes, les postes de police locaux seraient devenus pour moi des prolongements de mon domicile... Lorsque l'on s'engage au service d’une cause, quelle qu'elle soit, il faut savoir en accepter les désagréments, apprendre à en supporter certaines conséquences et savoir garder la tête froide en toute circonstance.
• Ensuite, en mai 1983, une charge d’un kilo de plastic a fortement endommagé trois étages de l'immeuble parisien, boulevard de Sébastopol, où se trouvait le siège du Parti des forces nouvelles dont j'étais l'un des dirigeants. Mon bureau a été "soufflé". Par chance, ou grâce à la Providence, il n'y avait alors (à une demi-heure près) personne dans les locaux. J’ai encore en mémoire cette remarque d’un des enquêteurs (dont le "zèle" déboucha sur un classement "sans suite" de l'affaire) : « Les attentats sont rarement précédés de menaces et les menaces sont rarement suivies d’attentats ». Effectivement, aucun avertissement n’avait précédé cette explosion d’origine criminelle…
• Il y a quelques mois, j'ai reçu une enveloppe dans laquelle il y avait de la poudre (?) et un mot fort peu aimable. Pas de quoi en faire un drame. L'idée ne m'est d'ailleurs pas venue de porter plainte. Laissons cela aux froussards et aux donneurs de leçons patentés...
• Les poursuites dont Bernard Germain et Pierre Cassen font aujourd’hui l’objet me remettent aussi en mémoire cette journée mémorable du début des années 2010 où notre amie Claudine Dupont-Tingaud se retrouva devant la XVIIe Chambre correctionnelle de Paris pour avoir diffusé un tract dénonçant - de manière plutôt modérée - la mauvaise foi des organisateurs d'un festival cinématographique anticolonialiste. Le hasard fit que sa comparution devait avoir lieu quelques jours après la journée annuelle de Synthèse nationale, ce qui nous permit de lancer un appel à la mobilisation. Le jour venu, la salle du tribunal était pleine de patriotes qui eurent ainsi le plaisir d’assister à la déconfiture des cinq plaignants (communistes pour l'essentiel) : non seulement la cour les débouta mais elle leur reprocha fermement d'encombrer inutilement un tribunal qui avait bien d'autres affaires à traiter.
Je ne m’étendrai pas sur les multiples mensonges propagés par les valets du système pour tenter de discréditer la Résistance nationale et identitaire, mais je tiens à souligner et à dénoncer la hargne particulière dont ils font preuve à l'encontre de nos amis.
Pourquoi ? Peut-être tout simplement parce que Bernard et Pierre, avant de rejoindre le combat national, militaient, dans leur jeunesse respective, au sein d’organisations d'extrême gauche : l'OCI pour l’un et la LCR pour l’autre. Ils ne s'en sont jamais cachés et, pour ma part, je considère que c'est une fierté de les voir désormais à nos côtés. Sans doute est-ce là ce qui exaspère le plus les derniers suppôts de l'internationalisme communiste...
Quoi qu'il en soit, nous devons les soutenir par tous les moyens. Dans quelques jours, comme nous l'avons fait au moment où le pouvoir voulait dissoudre le Bastion social, il y a quelques années, nous allons lancer une pétition nationale de soutien à Germain et Cassen. Nous allons aussi envisager des actions militantes de soutien. Nous avons lancé la semaine dernière une cagnotte pour aider notre ami Germain à supporter les frais de justice. Celle-ci a déjà rassemblé près de 2 000 euros (cagnotte électronique + dons par chèques), ce dont nous vous remercions chaleureusement (nous avons encore besoin de moyens pour faire face... n'hésitez pas à nous aider).
Le procès ayant lieu le 3 mars prochain à Lorient, nous envisageons également une mobilisation populaire.
D'ici là, nos amis ne baissent pas les bras et, samedi prochain, 25 février, ils prendront la parole à Saint-Brévin-les-Pins (44) lors du grand rassemblement contre le projet d'implantation massive de migrants dans cette commune.
Ce qui ne tue pas rend plus fort... L'obstination de nos adversaires renforce notre combativité ! Amis nationaux et nationalistes, ce nouveau combat vous appelle. Je sais qu’une fois de plus, vous saurez répondre présents et faire bloc autour de nos deux camarades. Par avance, merci !
La semaine dernière, pour aider notre camarade Bernard Germain, nous avons créé une cagnotte de soutien. Celle-ci est toujours en activité. Vous aussi, participez au vaste mouvement de solidarité nationale cliquez ici
Vous pouvez aussi adresser un chèque (mentionnez au dos "soutien BG") à Synthèse nationale BP 80135 22301 Lannion PDC
ILS SERONT À SAINT-BRÉVIN-LES-PINS
SAMEDI 25 FÉVRIER :