Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Contre l’immigration et la dépossession de nos pays par les autorités, le retour des Bonnets rouges ? [L’agora]

Bonnets rouges

Re zo re. Trop c’est trop. On en a marre. Marre de voir des centaines de milliers d’immigrés extra-européens débarqués sur les terres d’Europe sans y avoir été invités. Marre de voir une partie de ces migrants clandestins commettre des actes de délinquance en quasi impunité sur notre sol, puisqu’ils sont rarement expulsés.

On vomit lorsque l’on voit des maisons squattées, avec la complicité de l’extrême gauche, par des individus qui n’ont absolument RIEN à faire sur nos terres. On est horrifié, lorsque l’on voit nos mal élus qui semblent parfois plus préoccupés par le sauvetage de migrants en mer (et le business qui va autour) ou leurs conditions d’accueil dans nos contrées, que par le sort de millions d’Européens autochtones qui ne parviennent plus à boucler les fins de mois, qui ne peuvent plus parfois se loger. Qui attendent des logements sociaux et qui pour certains, dorment dans leur voiture ou dans des taudis, alors que nos élus locaux comme nationaux, épaulés par des associations de collaborateurs retraités (comment les nommer autrement) se démènent pour loger ici une famille syrienne, là des mineurs isolés venant de toute l’Afrique, là encore, des nord africains qui n’ont pas été foutus de contribuer au développement d’un pays qu’ils ont pourtant voulu indépendant.

Mais regardez-les s’activer, ces boomers qui s’empressent de vouloir faire venir toujours plus d’immigrés, pour qu’ils puissent se gaver dans leurs Club Med et être servis au restaurant par des nouveaux esclaves, le temps d’une retraite qu’ils veulent la plus longue possible (mais la plus tard possible pour vous, pour nous, qui travaillons…). La presse quotidienne régionale s’en donne à coeur joie pour relater la moindre initiative de soutien aux migrants. A chaque fois, des têtes grises, des mines graves, des retraités qui occupent leur temps libre à collaborer à notre disparition à moyen terme, et surtout à l’avènement d’une société où les classes moyennes et populaires subiront de plein fouet les conséquences de leurs obsessions immigrationnistes.

Ces mêmes qui nous expliquent qu’il faut faire venir massivement des immigrés pour sauver les entreprises d’hôtellerie, de restauration, du bâtiment..qu’ils ont savamment contribuées à détruire en applaudissant, masque sur la tronche et triple dose dans le corps, à la tyrannie sanitaire, au confinement, il y a deux ou trois ans en arrière. Mes lecteurs diront encore que je fais une fixette sur les boomers : il faut faire des généralités, ce qui n’impliquent pas que tous soient responsables. Mais force est de constater que leur génération est celle qui en a croqué, et qui contribue aujourd’hui à tout détruire par leurs comportement égoïstes et, vis à vis de l’immigration et de l’exotisme, quasi obsessionnels. 

Mais quand est-ce qu’on se réveille ? Nous avons gagné la bataille symbolique de Callac. Par les manifestations. Par la pression populaire. Oui, pour une fois, des partisans de l’immigration se sont retrouvés dans la peau de ce que vivent au quotidien les dissidents politiques de ce pays comme du reste de l’Occident : dans la peau de pestiférés. Mais Callac doit être la mère de toutes les batailles contre l’immigration. Cette victoire a démontré que le rapport de force et la volonté populaire finissent par payer. Il faudrait qu’il en soit de même demain, à Saint-Brévin, comme à Dublin, comme en Allemagne, comme en France, comme partout dans notre Europe.

Ne voient-ils pas que spontanément, les autochtones conscients fuient progressivement les métropoles, parce que notamment ils ne veulent plus vivre entourés d’extra-européens qui y ont fait demeure ? Nos campagnes, notre ruralité, leur « France périphérique » doit demain devenir le bastion, la citadelle, le refuge communautaire pour les nôtres et le bras d’honneur adressé à des autorités qui nous veulent du mal.

Nous avons connu les Bonnets rouges en Bretagne, à deux doigts de remporter une grande victoire avant que leaders syndicaux se couchent pour un chéquier sorti. Nous avons connu les Gilets jaunes dont les revendications n’ont jamais été entendus par les puissants qui dirigent ce pays. Nous avons vu l’effondrement progressif d’une Vème République dont tout le monde se moque aujourd’hui, qui n’a plus la moindre légitimité dans un pays où plus de 50% des citoyens en âge de voter n’y vont plus. Et pourtant, toujours rien.

Ce n’est pas d’une « menace d’extrême droite » – cet épouvantail médiatique que l’on brandit avant chaque élection ou à chaque crise – dont doivent se méfier les autorités en Irlande, en Angleterre, en Allemagne, aux Pays-Bas, en France…Non, c’est bien de la révolte et de la colère massive, de peuples qui se sentent en danger de mort et qui n’entendent pas crever sans réagir. Qui n’entendent plus obéir à ceux qui creusent leurs tombes. Qui n’entendent plus accepter l’inacceptable. Qui ne peuvent plus supporter que notre argent, votre argent, soit dilapidé systématiquement pour l’autre, jamais pour les nôtres qui peuvent bien crever la gueule ouverte puisqu’au sein des élites, tout le monde s’en moque tant qu’il en croque. Nous ne devons plus rien attendre de nos élites.

Qui sème la misère, qui sème le chaos, qui sème l’insécurité et qui oeuvre à la disparition d’une civilisation doit s’attendre un jour ou l’autre, au retour du boomerang, et à une explosion de colère inédite.

Evit ar vro, betek an trec’h. Pour le pays, jusqu’à la victoire.

Julien Dir.

Crédit photo : DR
[cc] BREIZH-INFO.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

https://www.breizh-info.com/2023/02/18/215529/contre-limmigration-et-la-depossession-de-nos-pays-par-les-autorites-le-retour-des-bonnets-rouges-lagora/

Les commentaires sont fermés.