Cette affaire met en lumière un aspect peu connu du milieu transgenre : les pathologies mentales dont certains adeptes du transgenrisme se disent eux-mêmes atteint. On trouve sur les réseaux sociaux beaucoup de ces individus affichés comme tels et qui déclarent, en effet être atteints de diverses pathologies psychiatriques. L’état de leur “santé mentale” étant, de leur propre aveu, une préoccupation majeure, entre rendez-vous chez le psy et périodes dépressives ou délirantes. Mais là où le problème est inquiétant c’est que ces questions de santé mentale sont sur-valorisées dans ce milieu. En gros, être “trans” sans être atteint de différents troubles autistiques ou de schizophrénie ce n’est pas “cool”. D’où la propension de certains jeunes tentés par le transgenrisme de s’inventer des pathologies mentales, voire de s’en créer pour bien rentrer dans le moule de la “communauté”.