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Après le massacre de Nashville par un transgenre, des questions…

A Nashville (USA), une femme à barbe se considérant “transgenre” a tué 3 enfants et 3 adultes par arme à feu dans une école primaire chrétienne. Selon les autorités américaines, cette femme aurait laissé un “manifeste” expliquant son geste.

Aucun élément sur ce manifeste n’a, à l’heure où nous écrivons ces lignes, été rendu public, nous ne savons donc rien de ses motivations.

Cette affaire met en lumière un aspect peu connu du milieu transgenre : les pathologies mentales dont certains adeptes du transgenrisme se disent eux-mêmes atteint. On trouve sur les réseaux sociaux beaucoup de ces individus affichés comme tels et qui déclarent, en effet être atteints de diverses pathologies psychiatriques. L’état de leur “santé mentale” étant, de leur propre aveu, une préoccupation majeure, entre rendez-vous chez le psy et périodes dépressives ou délirantes. Mais là où le problème est inquiétant c’est que ces questions de santé mentale sont sur-valorisées dans ce milieu. En gros, être “trans” sans être atteint de différents troubles autistiques ou de schizophrénie ce n’est pas “cool”. D’où la propension de certains jeunes tentés par le transgenrisme de s’inventer des pathologies mentales, voire de s’en créer pour bien rentrer dans le moule de la “communauté”.

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