Pieter Kerstens
Le docteur Micron et son assistante, Elisabeth Borne, avaient déclaré publiquement que la mort de l’adolescent à Nanterre était « inexcusable », « injustifiable » et « intolérable », en condamnant l’acte du policier dès le lendemain, mercredi 28 juin.
Après les prises de positions des plus hauts responsables de l’Etat français, quelle place reste-t-il encore à la Justice ?
Avec quelle sérénité le dossier va-t-il être instruit ?
Et contrairement à ces déclarations et aux affirmations des footeux et artistes divers, Nahel n’était pas tout à fait un « ange », mais un véritable délinquant connu des services de police à Nanterre pour plusieurs « refus d’obtempérer » et délits divers, sans avoir été condamné et donc avec un casier judiciaire vierge.
MIEUX VAUT OBEIR AUX FORCES DE L’ORDRE.
On peut se demander s’il est normal qu’un garçon de 17 ans conduise une Mercédès immatriculée en Pologne, sans permis de conduire, ni assurance. Les motards de la police avaient pris Nahel en chasse, car celui-ci roulait dans un couloir réservé aux bus et aux véhicules de secours. Refusant une première fois de s’arrêter, Nahel grille un feu rouge et manque d’écraser un piéton, puis ensuite de renverser un cycliste. Ce n’est que dans les embouteillages que les deux flics arrivent à coincer le véhicule, dont le conducteur refuse d’obéir aux injonctions des forces de l’Ordre et repart, ce qui déclenche le tir mortel.
Il est absolument inacceptable que le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, se mêle des faits divers en France et exige du docteur Micron que celui-ci « protège les citoyens algériens résidants dans l’Hexagone » !
Les syndicats de la police ont bien raison de parler de la « guerre aux nuisibles ».
En outre, la population a bien compris que le fond de ce drame concernait évidemment les séquelles de l’échec d’une intégration mal vécue. Suite à un sondage du Figaro auprès de 71.000 lecteurs, 84% sont favorables à la cagnotte lancée en faveur de la famille du policier actuellement en garde à vue. Ce mardi 4 juillet, cette cagnotte s’élevait à 1.380.000 euros, quand la cagnotte pour Nahel ne recueillait, elle, que 340.000 €, soit quatre fois moins !
PILLAGES ET RAZZIAS SONT LES DEUX MAMELLES DE LA CRAPULE.
Dès le mardi soir, 27 juin, partout en France (en aussi en Belgique) les émeutes ont émaillé les villes où les immigrés, Français de papier, ont déversé leur haine contre nos lois et règlements, contre nos us et coutumes, en cassant et en brûlant tout ce qui leur tombait sous la main, qu’il s’agisse de biens publics ou privés.
La racaille jeune et moins jeune s’est abattue comme des charognards sur les commerces les plus divers (tabacs, électroniques, parfumeries et boutiques de luxe), dont les vols se montent à plusieurs centaines de millions d’euros, qui s’additionnent à tous les dégâts survenus aux bâtiments publics et privés, ce qui va aboutir à une addition que les contribuables français vont devoir payer dans l’avenir. Merci aux gouvernants qui, au fil des années, ont ignoré les conséquences d’une immigration sauvage, dénoncée par mes camarades d’Ordre nouveau en juin 1973 et relatée par Jean Raspail dans son livre prémonitoire « Le camp des saints » la même année.