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Montpellier, Bordeaux, Achenheim : en France, la charia installe sa loi

voile islamique
Petit à petit, ce qui ressemble à la charia fait son nid. En l’espace d’une semaine, plusieurs faits d’actualité ont fait la démonstration de l’application sanglante de la loi islamique en France. Dernier exemple en date : cette attaque commise à Bordeaux, mercredi soir. Un musulman en djellaba s’en serait pris à deux de ses coreligionnaires, accusés de ne pas respecter le ramadan. « Il semble que le point de départ soit un différend lié à la consommation d’alcool des deux victimes de coups de couteau »rapporte en effet l’AFP. Rapidement présentes sur les lieux, les forces de l’ordre ont neutralisé l’assaillant mais n’ont pas été en mesure de réanimer l’une de ses victimes. « Quand vous avez un individu en djellaba, couteau ensanglanté à la main, vous avez le sang qui ne fait qu’un tour. Il faut stopper l’individu »a réagi William Maury, délégué national nuit du syndicat Alliance.

 
La veille, une autre agression intracommunautaire avait lieu à Achenheim, tout près de Strasbourg, dans le Bas-Rhin. Une jeune adolescente de 13 ans et demi, de confession musulmane, a été frappée à la sortie d'un bus par quatre jeunes mineurs, musulmans eux aussi. D'après plusieurs sources, ils lui auraient reproché de manger pendant le ramadan. La jeune fille a été blessée au visage. Une enquête de gendarmerie est en cours. Le maire a également réagi dans un communiqué : « Aucune agression, aucune atteinte à l’intégrité physique ou à la dignité n’est soutenable, encore moins acceptable, quel qu’en soit le motif ou l’origine. Je m’oppose à toute forme de violence ou de pression et à toute motivation qui la sous-entende. »
 

Ces deux événements suivent le meurtre de Shamseddine, accusé par des « grands frères » d’entretenir une correspondance amoureuse avec leur jeune sœur, ou encore le tabassage de Samara, coupable aux yeux de certains de se teindre les cheveux et de vouloir vivre « à l’européenne ». La question de la sénatrice LR Valérie Boyer au Sénat n'a rien d'artificiel : « Combien de petits Français comme Samara et Shamseddine sont-ils menacés et harcelés pour une réputation aux allures de charia ? »

À chaque fois, la sanction communautaire tombe, impitoyable. La réaction des victimes, elle, est changeante. Réellement désireuses de s’intégrer, certaines résistent à la pression. C’est le cas à Achenheim : le père de la collégienne agressée a courageusement décidé de porter plainte. C’est sans doute moins le cas à Montpellier, où la mère de Samara a semblé donner des gages aux bourreaux de sa fille lorsqu’elle est apparue sur C8 pour jurer ses grands dieux que Samara était parfaitement « pieuse » et qu’elle faisait la prière « cinq fois par jour »… Comme si l’agression d’une jeune fille moins pratiquante aurait été davantage justifiée.

À Bordeaux, les derniers mots de l’Algérien poignardé à mort, mercredi soir, sont tout autant lourds de sens. « Pourquoi tu fais ça ? Nous sommes les mêmes ! », s’est écrié le malheureux.

Une menace pour tous les Français

L’accumulation toute récente des attaques et intimidations intracommunautaires ne doit pas masquer une autre réalité : les non-musulmans sont eux aussi victimes de la charia. Les journalistes de Charlie Hebdo, Samuel Paty, le public du Bataclan, les clients en terrasse… tous sont morts parce qu’ils étaient en infraction avec le code de bonne conduite islamique. Toujours plus fournies, les milices de vertu chariatique tentent d’imposer leurs mœurs aussi bien au sein de leur propre communauté qu’auprès des « kouffars ». Les Français en sont bien conscients. Ils sont presque 70 %, aujourd’hui, à demander l’organisation d’un référendum sur la politique migratoire de leur pays.

Jean Kast

https://www.bvoltaire.fr/montpellier-bordeaux-achenheim-en-france-la-charia-installe-sa-loi/

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