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14 juillet 2016 : l’attentat de Nice, c’est le mythe du « village mondial » en train de crever !

Le 14 juillet 2016 à Nice, Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, au volant d’un camion poids lourd prend pour cible une foule de civils, sur la promenade sur près de deux kilomètres, à l’issue du feu d’artifice donné pour la fête nationale. L’attaque terroriste cause la mort de 86 personnes, fait 458 blessés et prend fin quand le terroriste est abattu par la police. L’attentat est revendiqué le 16 juillet par l’organisation terroriste État islamique (dite « Daech »).

Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, tunisien né à M’saken le 

Il est connu des services de police pour des faits de délinquance depuis 2010, son casier judiciaire comportant cinq condamnations pour violences, vols et dégradations, mais ne fait pas partie des fichés S du département. Peu de temps avant l’attentat, en janvier 2016, il percute des voitures avec sa camionnette de travail, probablement parce qu’il s’était endormi au volant. Placé à cette époque sous contrôle judiciaire, il écope le 24 mars d’une peine de six mois de prison avec sursis pour violence volontaire (commis avec une arme par destination, en l’occurrence une palette), lors d’une altercation en marge de cet accident de la route.

Le parcours classique et banal de ces 

Ils sont venus chez nous parce qu’ils y ont été importés. Ils y restent parce qu’il fait meilleur y vivre que dans leurs pays, tombés en ruines depuis le départ des « colonisateurs blancs ». Comprendre qui les a fait venir et pourquoi, nous permettra d’éliminer, politiquement, les responsables de cette submersion.

Ils ne repartiront pas tant que nous ne serons pas intervenus dans leurs pays d’origine pour que la vie y redevienne acceptable. Et ils ne « remigreront » de toutes façons pas de leur plein gré.

Ils ne s’assimileront pas non plus chez nous parce qu’ils sont, comme nous, des individus avec une identité, une appartenance religieuse, ethnique, culturelle, nationale, bref avec des racines, ce qui est normal et même estimable. Mais leurs racines et les nôtres ne sont pas compatibles.

C’est le mythe du « village mondial » et des « hommes interchangeables » qui est entrain de crever et c’est tant mieux.

Cornelis Anthonisz La destruction de la Tour de Babel (1)

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