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Moins de médecins et plus d’avortements : la France place la mort en priorité

Moins de médecins et plus d’avortements : la France place la mort en priorité

Un pays ne peut pas avoir à la fois une politique de mort (avortement, euthanasie, …) et une politique de vie (médecins, hôpitaux, médicaments, …).

Exemple concret avec le cynisme de ce gouvernement : alors qu’il communiquait sur l’entrée de l’avortement dans la Constitution, il a sciemment réduit le nombre d’internes dans les hôpitaux.

En mars, l’avortement est entré dans la Constitution. Or, le nombre d’avortements n’a jamais été aussi élevé.

En avril, certains ont alerté sur le fait qu’il y aurait 1500 internes en moins. Mais le gouvernement a laissé la situation se détériorer.

Tandis que le nombre de postes d’internes en médecine est en chute pour la rentrée universitaire de septembre 2024 – accusant une perte de 1 510 places par rapport à l’année dernière –, le ministre de la Santé Frédéric Valletoux nie la responsabilité du gouvernement. Ce dernier avait pourtant été alerté par un groupe de travail transpartisan de l’Assemblée nationale consacré aux « Déserts médicaux » dès le mois d’avril dernier…

Selon un arrêté du 7 juillet, seules 7 974 places sont donc à pourvoir pour la rentrée universitaire 2 024… soit 1 510 de moins que l’année précédente.

Gabriel Attal s’était pourtant engagé à faire passer le nombre d’étudiants en médecine formés chaque année de 10 000 à 16 000 en 2027 pour faire face à la pénurie de médecins.

https://lesalonbeige.fr/moins-de-medecins-et-plus-davortements-la-france-place-la-mort-en-priorite/

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