Mot d’ordre en Corse : plus de burka, plus de halal, plus de prières dans les rues
Après les graves incidents qui s’étaient déroulés il y a plusieurs mois, sur une plage de Sisco, suite à une provocation musulmane, concernant la présence de « Burkinis », plusieurs attaques s’étaient développées sur des de lieux de prières, des voitures avaient été brûlées ainsi que des « Corans », etc.).
Le mot d’ordre en Corse était devenu : plus de burka, plus de halal, plus de prières dans les rues, plus de gangs arabes distributeurs de stupéfiants, pas d’attentats. Et toujours en Corse, et ce ne sont pas les médias ni la télé française, qui vous en ont informé, des manifestations anti-arabes s’étaient déroulées dans les cités habitées en majorité par les musulmans et étaient devenues quotidiennes aux cris de « Arabes dehors ! ».
La première exigence des « indépendantistes » Corse n’était plus le départ des « colonialistes français », mais à présent, celui des arabes.
Les Corses, qui s’estiment déjà sous occupation française refusent de subir la terreur islamiste et ils le font savoir avec force.
Les « Pieds Noirs » savent quelles peuvent être les réactions des Corses, quand ils supposent qu’on veut leur imposer une présence « étrangère ».
Ce fut le cas notamment dans la région d’Aléria, après 1962. Ils ont subi la colère corse avant que les insulaires comprennent que « ces nouveaux arrivants » défendaient les valeurs de l’île avant celles des métropolitains.
Ils sont devenus corses, comme ils sont devenus espagnols en Espagne.
Ils se sont assimilés parfaitement dans ces provinces où ils ont été compris et bien accueillis.
Les Corses affirment avec force qu’ils ne sont pas racistes et qu’ils sont même particulièrement hospitaliers, mais uniquement envers les étrangers qui respectent l’ordre public et n’imposent pas leur mœurs et leurs coutumes.
S’ils exigeaient le départ des arabes, c’était justement à cause de leur racisme envers les Corses, en tentant de semer la haine et la peur dans l’île.
Jusqu’à aujourd’hui, ils ont su préserver leur identité et s’il est un lieu en France où les islamistes hésiteront à provoquer des réactions incontrôlées et dangereuses, c’est bien en Corse !
Sur l’île de Beauté, ils ne peuvent pas s’enfuir et ils ont peur à leur tour, ce qui est loin d’être le cas en métropole !
Et le magazine « L’Express » l’a confirmé : la Corse est le département français qui comptabilise le moins de cambriolages et d’agressions.
Mais cette vision de la Corse serait-elle en train de changer ? Depuis quelque temps, des juges rendent une justice « peu appréciée par les Corses ».
Mais ces juges « sont-ils Corses ? »
Exemple : Un arrêté interdisait les plages de Lecci et Zonza-Santa-Lucia « aux personnes n’ayant pas une tenue correcte et respectueuse des bonnes mœurs et de la laïcité ». En deux mots, ces plages étaient interdites au « burkini ».
Or, ces deux arrêtés viennent d’être annulés « pour risque à l’ordre public »
Donc, à cause de la possibilité de « heurts », entre Corses et musulmans, il n’y aurait pas lieu d’interdire le « burkini » sur les plages corses !
Les Corses laisseront-ils « leur île » se diriger vers une islamisation ? Je n’en suis pas sûr, ou alors ce ne sont plus les Corses que j’ai connus, notamment à l’ile Rousse, ces fils de Pascal Paoli. Ceux en l’honneur de qui j’avais proposé de prénommer l’une de mes petites-filles « Kallisté » (Ancien nom de la Corse dans l’Antiquité).
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