« 38 000 euros de dégâts »
« Les portes ont été forcées, causant près de 38 000 euros de dégâts hors taxes », précise maître Marie, avocate du Crous Bretagne, qui justifie aussi ce choix de refus par la publication de posts diffamatoires sur les réseaux sociaux et sur l’un desquels il est possible de reconnaître l’une des employées du Crous.
Ainsi, dans un mail adressé aux étudiantes militantes à la FSE (Fédération syndicale étudiante) en mai, le Crous considère qu’elles n’ont pas respecté le règlement intérieur applicable dans les résidences universitaires, mais aussi dans ses autres bâtiments, et a décidé de rejeter leur demande de renouvellement de location ou d’attribution d’un logement, faite en mars.