Quatre fous furieux, plus atteints les uns que les autres, croient avoir trouvé le moyen d’empêcher la paix en Ukraine. Leur projet est d’une débilité tellement confondante qu’on a peine à y croire. Mais ils assument bravement leurs intentions : frapper au cœur de la Russie pour déclencher des réactions rendant toute négociation impossible.
Comme les trois mousquetaires, ils sont quatre
Fripounette de Trognon Macreux, le grand guerrier africain, a consulté ses grigris. Abdoullah Keir Starmer, le rosbif converti à l’islam qui rêve d’un califat britiche a obtenu l’appui du grand mufti de Kaboul. Et Adolf Friedrich Merz, le Boche belliciste appelé à succéder à Olaf Ouaf Ouaf le caniche d’Ursula, rêve de se couvrir de gloire en anéantissant la Russie.
Le quatrième, c’est le Polack Donald Fuck Tusk, qui devrait participer à ce jeu de cons, si on arrive à le faire dessoûler avant l’attaque. Celle-ci devrait surpasser l’opération Barbarossa si bien commencée en juin 1941 et si mal terminée pour les Boches en mai 1945.
Ces conjectures de politique fiction sont des spéculations à peine extrapolées des signes clairs d’une « rébellion anti-Trump » qui s’est développée en Eurocrature dès le lendemain de son élection triomphale. Les dictateurs de poche ont tous la pétoche de voir des réactions similaires se développer sur le vieux continent où, malgré leurs carabistouilles électorales, leurs médias collabos et leurs délits d’opinion, les partis nationaux ont le vent en poupe.
Même écartés du pouvoir, grâce à des finasseries juridiques et des alliances contre nature, leur nombre d’électeurs ne cesse d’augmenter. Et tôt ou tard, un tsunami de patriotes et de nationalistes fera sauter les digues usées du mondialisme et submergera ses suppôts.
Anti-wokes, anti-genristes et antimondialistes, pour les gens qui aiment leur pays et sa culture, la coupe est pleine. D’ici à ce qu’ils réagissent brutalement contre tous ces délires… Surtout si la faillite morale s’accompagne de la banqueroute quand Trump excédé augmentera les droits de douane sur les produits européens exportés aux USA.
À cette angoisse d’être écartés de la mangeoire à la soupe grasse, s’ajoute une indicible haine personnelle contre Trump. Dans leur for intérieur, ces roitelets se sentent minables à côté de lui. Sa seule présence, qui piétine tous les diktats de la bien-pensance, les rabaisse à leur niveau de petites frappes sans envergure, serrant les fesses sur un siège éjectable.
La différence entre les arrivistes et les ambitieux
Pour beaucoup de gens, c’est la même chose. Pas du tout ! Les arrivistes sont des moutons qui se cramponnent à la rampe pour gravir l’escalier de la renommée, en prenant garde à ne pas trébucher. Les ambitieux sont des tigres qui sautent les marches quatre à quatre, et s’ils en ratent une, ils bondissent à nouveau et en avalent cinq au bond suivant.
Les médiocres dirigeants européens sont tous des arrivistes, à l’exception de Viktor Orban et de Robert Fico. Le Hongrois et le Slovaque servent leur pays. Le protègent de la dictature européiste et de l’invasion islamique. Ils sont bien seuls. Les autres sont soit des voyous, soit des timorés comme Meloni qui nous a déçus. Elle aurait dû suivre les conseils d’Elon Musk qui lui avait dit comment recadrer ses juges.
Donald est un véritable ambitieux que rien ne peut abattre. Pas même des snipers avec des fusils à lunette. Comme tous les guerriers, il a développé un flair pour sentir les traîtres et les opportunistes, et voir venir de loin les traquenards. Avec l’UE, il a vite compris que ceux qui le félicitaient pour son élection ourdissaient un complot pour le paralyser en Europe. Et l’obliger à poursuivre, sinon amplifier la guerre contre la Russie. Du moins ces crapules arrogantes s’en croient capables…
Ces nains n’ont pas encore compris à qui ils ont affaire
Ils s’imaginent pouvoir tirer dans le dos de Donald avant qu’il soit officiellement investi, pour le piéger et si possible l’engluer dans leur fosse à purin. Ils n’envisagent pas les mesures de rétorsion que le nouveau héros de l’Amérique serait capable de décider contre eux.
Le Premier sinistre britannique Abdoullah Keir Starmer et le président français Fripounette de Trognon-Macreux veulent convaincre le grabataire qui végète encore pour deux mois à la Maison-Blanche d’autoriser des frappes de missiles de précision à longue portée Storm Shadow sur les territoires traditionnels de la Sainte Russie. Le journal «The Daily Telegraph», a vendu la mèche en citant ses sources au sein du gouvernement britannique, qui n’a pas démenti.
Leur nouvel allié est le candidat le plus crédible à la chancellerie des Boches, Adolf Friedrich Merz, pas encore élu mais qui a déjà posé ses fesses sur le siège gluant de la sueur fétide d’Olaf, et brandit ses diktats.
Adolf 2 est un clone du führer modèle 1933, sans la moustache pour passer inaperçu, qui a déclaré qu’une fois arrivé officiellement au pouvoir, il lancerait un ultimatum à la Russie : soit l’arrêt immédiat des hostilités en Ukraine, soit la livraison de missiles Taurus à Kiev avec l’assistance balistique pour les tirer sur Moscou et sur toutes les grandes villes russes. Comme si on pouvait parler comme ça à Vlad sans encourir des représailles !
Un tel ultimatum contrarierait sans doute momentanément les projets d’accords entre les USA et la Russie. Mais il pourrait provoquer l’anéantissement de la Germanie. On ne serait pas contre a priori, si les vents d’Est ne portaient pas les retombées jusqu’en France. Des bombes à neutrons conviendraient peut-être mieux pour calmer les Boches ?
Adolf 2 est tellement pété de thunes qu’il se croit invincible. Membre du conseil d’administration de la filiale allemande de la banque HSBC, président du conseil de gestion de l’usine Wepa et PDG du fabricant suisse de matériel ferroviaire Stadler Rail. Mais aussi président de l’aéroport de Cologne et patron de la filiale allemande de BlackRock, le plus grand fonds d’investissement mondial.
Le nouveau führer a des chevaux sous le capot de son char d’assaut ! Au pire pour lui, quand les Turcs auront fini d’occuper entièrement son pays, il pourra prendre une retraite dorée aux Bahamas ou aux îles Cayman.
Jean-Brichelle a conseillé à son chéri de faire ami-ami avec Adolf 2. « En prévision de 2027, quand t’auras perdu ton petit boulot. Si tu veux qu’il te trouve une bonne planque pour te recaser ».
Trois charlots + un poivrot = 4 nains de jardin
Entre deux cuites, le Premier sinistre polack Donald Fuck a proposé à Fripounette, à Abdoullah Starmer et à Adolf 2 de former une alliance anti-russe pour envoyer des troupes se battre en Ukraine dans le cas où Moscou et l’administration de Trump parviendraient à un accord. Là aussi le temps presse. Après le 20 janvier, plus de retour en arrière possible.
La logique des crapules européistes est d’un bêtise incommensurable. Ils prennent Trump pour un bille et Poutine pour un blaireau. En plein délire mégalo, ils affichent leur certitude de pouvoir infliger à la Russie une défaite cuisante, alors qu’ils vont faire courir l’Europe à sa perte.
Mais l’Ukranazie et son clown tragique ne sont que la partie visible de l’iceberg. Derrière toutes ces rodomontades martiales se profilent des craintes et des arrière-pensées en cascades.
L’Élysée a peur de perdre l’affection intéressée du Zygomyr. Et un peu plus la face en Afrique, si Moscou et Washington s’accordent sur un nouveau partage d’influence sur le continent noir, dont Fripounette s’est déjà fait virer comme un malpropre.
Les Anglistanais reviennent à leur politique séculaire. Tant qu’on se bagarre en Europe, c’est bon pour eux. Au plan géostratégique et économique. D’un renversement d’alliance au suivant, ils peuvent jouer les arbitres et tirer leur épingle du jeu. Une entente entre Don et Vlad les ramènerait à ce qu’ils sont vraiment. Un petite nation vieillotte, délabrée, décadente et déclinante, envahie comme le Francistan, qui n’a pas su préserver sa souveraineté. Malgré le Brexit.
Les Polacks ont la pétoche qu’une fois de plus, les deux superpuissances s’entendent pour les virer de la cour de grands. Où ils n’ont rien à faire. Pas plus que la France, les Boches et les rosbifs d’ailleurs. Avec une Ukraine libérée du Zygomyr, de ses sbires et de ses oligarques, fini les arrosages de subventions !
Donc, ils veulent continuer la guerre contre la Russie !
Les centaines de milliards d’euros dilapidés pour des échecs militaires et les vaines sanctions économiques dont l’UE a pâti cent fois plus que la Russie ne leur ont pas suffi. Décidés à s’enferrer dans cette voie sans issue, ils ne voient pas que leurs peuples s’enfoncent dans l’inflation et la misère, et que le jour où ils se révolteront, ça va faire très mal.
Ils refusent a priori tout compromis avec la Russie, alors que seuls les USA ont la volonté et les moyens de négocier une évolution politique acceptable par le Kremlin. L’Eurocrature est ruinée, ses technologies sont obsolètes, ses peuples écouillés, ses armées démotivées. Les aboiements de quatre roquets enragés n’impressionnent pas les deux molosses.
Christian Navis