Cette accusation fait suite au partage par la maire d’une illustration soutenant le mouvement iranien « Femme, Vie, Liberté », que Toueilles a qualifié de « publication islamophobe ». La maire considère cette plainte comme nécessaire pour préserver le respect dans le débat public, tandis que son adversaire critique son silence sur des questions telles que l’interdiction de l’abaya en France. Jacqueline Belhomme a déclaré réserver ses commentaires à la justice.