Peu importe que ces immondices rouge-sang soient protégées par les juges de la même couleur idéologique. Peu importe que l’on passe sous silence leurs exactions, voire leurs crimes comme à Strasbourg où ils ont agressé des étudiants au couteau – dans un silence quasi total des médias péripatéticiens –, patriotes défendez-vous avec violence contre eux !
Personnellement, certains spécimens antifas ont essayé autrefois, dans les manifestations parisiennes, de me chatouiller l’entendement et le reste. Et à chaque fois, ils ont reculé parce qu’en face d’eux je montrais que j’étais assez déterminé pour répondre œil pour œil et dent pour dent, selon une loi antique babylonienne du code d’Hammourabi. Je « remercie » au passage les policiers et gendarmes qui, dans ces situations ne bougeaient pas d’un pouce, comme s’ils avaient reçu l’ordre de laisser faire les antifas. Mais ce doit être une supposition complotiste de ma part ?! Toutefois, Thibault le Vendéen – une figure des Gilets jaunes – m’avait confié que, lynché par ces mêmes antifas, les « forces de l’ordre », à quelques pas de lui, le regardaient sans intervenir.
Donc, à Toulouse, ce mardi matin, des vermines ultragauchistes – qui sont à la liberté d’expression ce que Rocky Balboa est à la danse classique ! – ont encore agressé des étudiants de l’UNI, en bons petits nazis.
Quant à ceux qui me brandiraient la reductio ad hitlerum, voici quelques actions spécifiques des antifas : saccage de librairies et livres brûlés ; profanation de tombes et de lieux de culte (de préférence chrétiens !) ; participation à des actions antisémites ; appels à l’extermination des adversaires, dont le viol de femmes (parfois des femmes du même camp sont elles-mêmes violées par leurs « frères d’armes »), terreur idéologique permanente, etc.
Certes, les étudiants de l’UNI se sont défendus ce matin à Toulouse, comme ailleurs, mais ce n’est pas suffisant et surtout : pas dissuasif. Aussi, je me permets de dire à ces étudiants qui craignent des poursuites judiciaires que, s’ils sont des milliers à répondre avec la violence nécessaire pour « faire rendre gorge à ces gens-là » – comme le promit jadis Louis XIV devant sa mère en quittant, furieux, la fête donnée en son honneur par Nicolas Fouquet à Vaux-le-Vicomte –, la pseudo-justice, acquise aux antifas, sera submergée, effrayée même, et en prime un tel retournement de situation fera des émules.
Car il faut savoir que les antifas sont des faiblards qui ne savent se battre qu’en bande. Et encore, s’ils sont confrontés à une réponse adéquate, ils détalent comme des lapins, j’en ai été témoin lorsque les courageux Zouaves Paris leur ont flanqué une raclée devant moi, boulevard Saint-Germain, à Paris. Ce qui explique sans doute pourquoi ce groupe patriote a été dissous par le pouvoir, qui montrait une fois encore combien les antifas sont ses protégés ! Et ce, jusque chez Wikipédia qui considère l’antifascisme comme une « opposition organisée au fascisme et, plus largement, à l’ensemble de l’extrême droite », au lieu d’admettre qu’il s’agit d’un terrorisme pur et simple, comme l’attestent les fait très têtus.
Sans entrer dans les détails de peur qu’un juge rouge ne charge ma mule judiciaire déjà lourde, je continuerai de me défendre face aux antifas s’ils tentent de m’agresser. Qu’ils sachent qu’ils devront en payer le prix, quel qu’il soit. En effet, je refuse de risquer ma vie en pliant devant le totalitarisme d’ultragauche orchestré par le pouvoir et composé majoritairement de petits Blancs nantis en mal de sensations révolutionnaires. Des nantis qui ne s’épanouissent que dans la haine et la destruction, ce qui est la marque distinctive des impuissants, au sens le plus soutenu du terme, c’est-à-dire qu’ils sont dépourvus de force créatrice. C’est ce que j’appelle encore le syndrome du château de sable : vous avez un enfant sur la plage qui construit un château de sable. Arrive un sale gamin incapable de faire de même et, pour se venger, il donne un coup de pied dedans. Tels sont les antifas, armés et protégés par le système, dont ils sont une servile milice, comme ils l’ont prouvé en mars 2019, assassinant le mouvement populaire des Gilets jaunes en incendiant les Champs-Élysées, provoquant ainsi une vague de protestations dans le monde. J’y étais.
Alors, ne baissons plus la tête, défendons-nous et advienne que pourra, sachant qu’en mettant la tête dans le trou, l’autruche est toujours visible des prédateurs. La lutte identitaire c’est maintenant ou jamais…
[PS : ne doutons pas que, si le maudit assassin de Louise est un diversitaire, les antifas interdiront toute forme d’hommage à la petite, d’autant que sa sœur est une ultragauchiste avérée]
Charles Demassieux
https://ripostelaique.com/pour-en-finir-avec-les-antifas-soyons-aussi-violents-queux.html