Ce reportage de Vincent Lapierre, près du théâtre Gaîté Lyrique, lors de l’expulsion des clandestins, dits mineurs isolés, au bout de près de 4 mois d’occupation, est difficilement supportable. On y voit le courageux reporter, très tendu, craindre à tous moments une agression physique de la part d’antifas qui l’insultent, le qualifiant de raciste, de fasciste ou même de nazi, en scandant des slogans hostiles contre sa personne, de type « Sale raciste, casse-toi ».
On le sent entamé par ces slogans, car pour qui connaît Vincent, c’est un garçon gentil, qui aime les gens, n’hésite pas à donner la parole à des marginaux de toutes origines et ne les juge jamais avec condescendance. S’il est hostile à une immigration sans limite, il ne montre jamais d’animosité contre les étrangers qu’il interroge, et en plus, il serait plutôt socialement de gauche, favorable au régime vénézuelien…
Les CRS, même s’ils font ce qu’ils peuvent, ne sont pas en état, à tout moment, d’assurer sa sécurité. Deux fois, des antifas tentent de lui voler son matériel, il s’en sort miraculeusement.
Nous voyons en action toute la vermine gauchiste qui manipule les faux mineurs isolés, et qui multiplient les provocations à l’encontre des forces de l’ordre, qu’elles accusent de frapper des mineurs malades. Toutes les manipulations sont permises, et les forces de l’ordre marchent sur des œufs, craignant l’incident qui sera filmé et exploité par les gauchistes. Ils savent qu’ils ne seront pas couverts si une campagne médiatique se déclenche contre eux.
Nous avons droit à deux entretiens particulièrement forts. Celui d’une doctoresse, vivant dans le quartier, qui raconte l’enfer quotidien des habitants du coin, et qui témoigne qu’elle s’est fait voler ses papiers et des documents importants dans la voiture de son mari, fracassée lors d’une nuit. Et puis, nous avons le gros crétin bobo suffisant, incapable de répondre à la question de Vincent Lapierre sur le nombre de mineurs isolés que la France doit accueillir, mais qui l’insulte, considérant cette question comme d’extrême droite. Cas incurable d’un gros con, qu’on devine grand bourgeois à digicode…
Mais le pompon sera cette petite conne, dont les traits montrent qu’elle est bien née, mais qu’elle coche toutes les cases. Avec son keffieh palestinien, elle se livre, à la 28e minute, à un minable numéro de théâtre, pour se mettre en valeur et faire de l’exhibitionnisme, sous les rires de trois petites imbéciles qui jouent le rôle de son public. Elle est presque voilée, ce qui montre qu’elle est déjà soumise à l’occupant, et que cela sera une excellente islamo-fellatrice. Elle se permet de faire la leçon aux CRS, accusés de trahir leur classe sociale (qu’elle ne connaît pas). Elle les insulte, sachant qu’elle ne risque rien, parce qu’elle sait que les consignes la protègent. Cette petite conne se permet de parler au nom du peuple, alors qu’elle pue la petite bourgeoise de 20 ans qui surjoue son rôle de révoltée à deux balles, et se prend pour une grande résistante antifasciste. On se prend à espérer que si une personne devait être agressée ou violée dans les prochaines heures par ses protégés, ce soit quelqu’un comme elle et ses copines.
Comment peut-on imposer à des CRS de rester stoïques devant un tel discours, et comment cette imbécile peut-elle ne pas se prendre un coup de matraque et se faire embarquer, et juger, pour insultes aux forces de l’ordre ?
Y aura-t-il seulement une plainte contre elle de la part du Préfet de police, voire même du ministre de l’Intérieur ? Bien sûr que non ! Pas touche aux miliciens antifas, pas touche aux petites bourgeoises qui jouent les gauchistes dégénérées, pas touche à la racaille !
Paul Le Poulpe
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