C’était Lorène. Tuée de 57 coups de couteau par une pourriture écolo de 15 ans d’origine turque. Sa mort n’a ému personne, on n’a fait aucune recherche sur l’origine de l’assassin, sur sa religion. Les parents de la victime n’ont pas été reçus à l’Assemblée nationale par la gauche, et personne n’a demandé de minute de silence en sa mémoire. Ni pour des dizaines d’autres victimes, souvent jeunes, assassinées, toujours par les mêmes, parce qu’au mauvais endroit au mauvais moment, comme ils disent…
Mais il a donc suffi qu’un Bosniaque rom, qui n’aurait jamais dû être en France si son père avait été expulsé 25 ans plus tôt, assassine un clandestin malien dans une mosquée pour que La France Insoumise nous fasse le coup de l’islamophobie, fasse un rassemblement dès le lendemain, obtienne une minute de silence à l’Assemblée nationale, ce qu’aura pas Lorène – pour qui personne n’a rien demandé – et bien sûr accuse Retailleau d’être coupable du meurtre, rien de moins.
Et le pire est que des Bayrou, des Wauquiez et toute la caste médiatique nous fait le coup de l’islamophobie. Pour avoir voulu faire de l’humour, à l’occasion d’une législative partielle, en Bourgogne, le candidat du Parti de la France, Alexandre Hinger, qui a affirmé que la CAF était le 6e pilier de l’islam, voit les plaintes contre lui se multiplier, même si sa vidéo a été vue 3 millions de fois sur Twitter !
Bien évidemment, selon la gauche, Aboubakar a été tué parce que musulman, par un islamophobe (ce qui s’avérera faux). Bien évidemment, la question de savoir si l’assassin de Lorène, d’origine turque, était un musulman n’a jamais été évoquée, le procureur ayant lourdement insisté sur sa proximité supposée avec Adolf Hitler, pourtant jamais cité dans le manifeste qu’il a envoyé avant de tuer l’adolescente de 57 coups de couteau.
Par contre, dans la vraie vie, celle que ne veut surtout pas connaître Mélenchon et ses nervis LFI, l’ensemble de la gauche et les journaleux, voilà ce qui se passe vraiment, en France, et hélas, ce n’est qu’un petit résumé.
Tous les faits évoqués ci-dessous donnent raison à Erik Tegnér, le directeur de Frontières, qui met les pieds dans le plat, expliquant que la seule immigration qui pose problème, c’est l’immigration africaine, ou arabo-musulmane.
Un conflit à la sortie d’une boite de nuit qui se règle à la machette, avec un mort, en principe, c’est signé.
Des rodéos dans un petit village, avec tabassage au sol d’un conseiller municipal qui a osé intervenir, c’est aussi une marque de fabrique…