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Par capillarité, le Hamas finance le terrorisme avec nos deniers publics

Gaza ! Gaza ! Free Palestine ! Ces mots retentissent partout dans les rues. Ils annoncent l’arrivée d’un tsunami planétaire, ravageant les esprits. Cette nouvelle forme de propagande née de la conjonction de l’islamo-gauchisme sartrien et du wokisme ressemble à s’y méprendre d’une part à un tatouage de médiocre qualité artistique, ineffaçable, et marquant à vie, la peau des benêts et autres idiot(e)s utiles , victime de la propagande du système politique actuel , et d’autres part soucieux de présenter à la fois un signe de ralliement et de soumission à une idéologie wokiste, au même titre que les gauchistes des années 70 portaient une chemise rouge, un foulard, rouge ou une veste rouge.  Le Tatouage s’est substitué au rouge. Quel malheur !

Ces mots tournent en boucle, à l’obstination, à la nausée, propagés à dessein par des esprits pervertis. Ils s’affichent partout, en slogan sur les murs, sur les voitures, sortent même de la bouche de nombreux idiots utiles, convertis au palestinisme. Il faut y voir une nouvelle religion islamiste, planétaire, dont le signe de ralliement de la Houma, est devenu le drapeau palestinien. Une religion aux racines destructrice, et dont la doxa sous Giscard, a été initiée dans les années 70, par Sartre et Beauvoir, suivis par des dizaines d’autres penseurs, écrivains et philosophes françaisIls sont tous à l’origine de l’invention du problème idéologique palestinien, dont on peut plus se défaire de nos jours, ni revenir en arrière, sauf à ressentir de la honte. Une honte bue, depuis que Michel Onfray a révélé en détail, leurs agissements, leur idéologie islamo-gauchiste, islamo-nazie, dans son livre phare : « L’autre collaboration » Ed. Plon. Qu’il en soit remercié de m’avoir empêché, avec beaucoup d’autres sans aucun doute, de mourir idiot. J’ai dévoré son ouvrage, qu’il m’avait dédicacé personnellement, lors de sa venue en Israël.

M’enfin s’iou plait, expliquez-moi, comment un agrégat de personnes, disons originellement évalué à plusieurs milliers, guère plus, dans les années 70, se font étiqueter pour devenir  « gazaoui, » puis  » peuple palestinien »  alors que ce peuple n’avait jamais existé dans l’histoire de cette région, sauf par l’imposture de nos penseurs idéologues. Ils sont les initiateurs, avant l’heure, du grand Remplacement des ouvriers français, chargés de la mission destructrice du peuple Juif, afin de finir le travail inachevé d’Hitler et de al-Husseini. Les historiens, auront-ils un jour, l’honnêteté éthique et morale de dénoncer, comme l’aura fait courageusement M. Onfray, au tribunal de l’Histoire, ces maitres à penser du terrorisme, afin de mettre en exergue, les conséquences de leur idéologie populiste, maoïste, gauchiste, stalinienne, antisémite irresponsable, assassine ?

Or, ces gazaouis, étaient tous quasiment illettrés et constituaient juste une main d’œuvre bon marché dans toute la région, pour construire tunnels et bâtiments. Plus tard dans les années 88, ils seront endoctrinés par le Hamas, en djihadistes, en enfants soldats, en homme ou femme bombe dans les bus israéliens, en assassins d’enfants, en terroristes, en violeurs, en barbares. Ultime point commun : tous avaient été rejetés de leur pays d’origine pour cause d’inhumanité et de sauvagerie avant d’être renvoyés, à dessein, dans l’enclave de Gaza, selon la stratégie grecque du cheval de Troie, orné d’or, qui fût comme on le sait, fatal aux troyens. Ces cas sociaux en masse, étaient, de mon point de vue,  incapables d’imaginer cette stratégie initiée par nos maîtres à penser, cités plus haut.

Ces cas d’individus infréquentables, irrécupérables, violents, dangereux étaient tous exclus de : l’Égypte, Jordanie, Syrie, Liban, Irak, Émirats, Qatar… N’oublions jamais, que tout cela n’a été rendu possible, uniquement par l’injection à Gaza, de l’idéologie de ces maîtres à penser, hélas, mille fois hélas, français sur le temps long (1975-2025). Toute cette manipulation idéologique des esprits, s’est ensuite subrepticement mise en place, par la ruse, la takia islamiste. L’objectif final était la destruction du peuple Juif de la rivière à la mer. Tout devenait réalisable et réaliste à coups de milliards d’euros et de dollars, déversés généreusement pour accréditer le plus grand mensonge du siècle : celui d’un peuple gazaoui, opprimé, spolié de ses terres, emmuré à ciel ouvert, affamé et miséreux. A force de répéter ces faux arguments inventés par le nazi Goebbels, ils ont réussi à percer la carapace émotionnelle de tout un chacun, puis celle de millions d’êtres humains dans le monde. Tous ces humains humanistes et humanitaires vont alors mettre la main à la (allah) poche, pour y retirer leur écot. Une éco-esbrouffe chiffrée en milliards de milliards pris sur vos impôts, à votre insu, pris sur les pleins d’essence ou de gasoil de vos véhicules, sur le fioul de votre chauffage l’hiver, depuis 75 ans !.. Au nom d’un faux peuple palestinien, souffrant et spolié de ses terres, au nom de la collectivité, généreuse et humaniste compatissante, sous les yeux du monde  se préparait le plus grand génocide pogromiste de Juifs depuis la Shoah.

En France l’homme nouveau de Davos, drivé par Jacques Attali, prétendait qu’il suffisait de traverser la rue pour trouver du travail. Ce soi-disant peuple gazaoui, n’a eu qu’à traverser le Jourdain, pour bénéficier d’une retraite en or, et trouver un financement à vie, pour devenir un réfugié à vie, de génération en génération. Une sorte de réservoir humain en réserve pour plus tard. Bien entendu, une retraite en or, à condition d’accepter la cause de mourir pour le Hamas et de donner ses enfants au djihad, au Hamas. Pauvres gazaouis, sans cervelle, les voilà pris au piège, de cette vie merdique, pris en charge, étonnement et à dessein, comme une marchandise d’une valeur inestimable, par l’ONU, par l’UNWRA, par le Qatar, par nous tous.

Malheur à celui qui prenait la vie d’un seul gazaoui, devenu victime de la naqba, pour cause d’attentat terroriste par exemple. En cas de mort, l’accusation d’Israël, et de son armée, qualifié de bourreau et d’assassin, faisait le tour du monde en écho, par médias interposés. On le comprend mieux aujourd’hui, mais c’était, bien entendu, un peuple voué à la mort, destiné, pour les plus sots, à servir de bombes humaines, de bouclier humain aux terroristes du Hamas. Un peuple, comme par hasard,  protégés par la presse comme la prunelle des yeux, et surveillés comme le lait sur le feu, pour mieux attendre le temps venu, d’entrer en action.

Les grands maître à penser de ce stratagème wokiste, avaient tout planifié, imaginé, pensé, comment effacer Israël de la carte ? Comment faire de cette chair à canon bon marché, un usage oh combien symbolique et émotionnel ? Des universités technologiques d’été ont même été organisés à Gaza, durant des décennies. Des distingués collègues issus de l’IUT de Cachan, tous universitaires, brillants chercheurs gauchistes, s’y sont déplacés, chaque année, des années durant, pour former des symposiums, des colloques, des instances, des conférences, des ateliers… jusqu’à même délivrer des diplômes français, pour faciliter leur immigration vers la France. Former les gazaouis et leur apprendre comment se débarrasser de leurs voisins Juifs, n’était-ce pas une noble entreprise pédagogique et rentable ! En maîtrisant, quelques années plus tard, les méthodes et la dernière technologie électronique, enseignée dans les universités Françaises, par des chercheurs. Ils ont pu ainsi apprendre à fabriquer  des roquettes, puis des missiles, puis des ballons incendiaires, puis enfin de drones explosifs au nom du slogan : « Free Palestine, from the river to the see ».

Tous universitaires, tous responsables, tous coupables indirectement de génocide, mais non identifiés ! Ces bons petits soldats du djihâd et du Hamas, se sont ensuite  répandus perfidement, dans la bande de Gaza et en Judée Samarie centre d’Israël, baptisé Cisjordanie, enfin prêts à terroriser.

Comment les services secrets israéliens les meilleurs du monde dit-on, n’ont rien vu venir, persuadés stupidement que le hamas était dissuadé ? Alors, expliquez-moi, comment à peine sortis du Moyen-âge, ont-ils pu rédiger seuls la Charte du Hamas, si bien résumée par Jacques Guillemin, et fabriquer les armes destructrices qu’on leur connait ? Ils ne l’ont pas appris tout seuls, c’est impossible !  La France de Mitterrand à Macron a envoyé ses meilleurs chercheurs, ses meilleurs universitaires pour devenir complices du génocide du 7 octobre. Alors Qui ? Y’a un loup n’est-ce pas ? J’étais moi-même universitaire observateur neutre de toutes ces  manipulations technologiques qui devront faire l’objet d’un procès US analogue à celui de Tokyo.

 https://ripostelaique/lapolitique-de-macron-est-elle-dictée-par-la-rue-arabe.html

Les lobbies du frérisme et du Hamas ont pignon sur rue au parlement à Bruxelles.

Pour corroborer mon analyse, le JDD vient de publier une enquête sur les ONG propalestiniennes lesquels se sont donné mission d’importer le terrorisme et le conflit en France. Ces ONG mènent à Strasbourg et à Bruxelles une guerre d’influence sans précédent, contre Israël. Dans l’ombre, une vaste campagne orchestrée par toute une galaxie d’ONG de soutien à la Palestine, combattant sur le terrain juridique, institutionnel cherche à abîmer, à dégrader les relations entre l’Europe et l’État d’Israël. Quelques exemples patents, relatés récemment par Sabrina Medjebeur sur CNews :

On est là sur des profils extrêmement problématiques. On subventionne à l’échelle de la France, à l’échelle de l’union européenne, une galaxie d’ONG qui sont là pour faire du lobbying anti Israël, et qui, une fois de plus, importent cette idéologie, à notre insu, mais au final c’est nous qui payons. Il est bon de différencier à ce niveau deux aspects imbriqués, les uns aux autres à dessein.

Sur l’aspect européen, il faut savoir que les lobbys des états qui fiancent notamment les Frères musulmans, le Hamas et d’autres organisations terroristes, ont pignons sur rue, au sein du Parlement européen. Si l’Histoire du Qatargate, vous parle, il faut retenir que des parlementaires européens, avaient été soudoyés, pour acheter leurs votes favorisants la coupe du monde de Football au Qatar. On constatera alors que le Qatar est très infiltré au sein du parlement européen. Il finance les lobbies, qui tapent à la porte des parlementaires. C’est de cette façon, qu’ils diluent et répandent l’argent. Tout s’achète pour le Qatar financier du terrorisme islamique. Une fois cet argent « coagulé » au sein de la Commissions européenne, des associations propalestiniennes sont ainsi légalement et ouvertement subventionnées. Par exemple, la FEMYSO sur le féminisme islamique et tant d’autres. Ensuite, cette politique de l’UE octroie des crédits, à l’État français, lequel par le biais de la politique de la ville, reverse cette manne par granularité symptomatique à l’ensemble de la politique de la ville. Cette granularité s’effectue à partir d’associations subventionnées par la politique de la ville, car étiquetées « communautaires ». Un rapport de la Cour des comptes, en 2016, indique que 80 % des associations subventionnées par la politique de la ville, le sont pour leur communautarisme. La sénatrice Goulard a même écrit un ouvrage pour dire : Comment le terrorisme est financé par les deniers publics ? Il y a une sorte de capillarité des deniers publics européens qui se coagulent dans les instances européennes mais à la fois se ramifient dans les instances locales françaises, qui forment malheureusement une ramification, un conglomérat, un agrégat d’institutions masquées, infiltrées dans les instances locales ou bien dans les associations qui font parfois même l’objet de pactes officieux et corrompus entre certains élus gauchistes locaux et certains islamistes, connus et répertoriés.

Israël ne peut sortir ni vainqueur, ni indemne de cette guerre lasse

Roby Spiegel est un immense et incontournable penseur d’origine belge, qui vit depuis son alyah à Tel Aviv. Son analyse ultra lucide, et implacable sur la situation du conflit israélo -palestinien mérite d’être lue. Quant à l’attitude les dirigeants occidentaux, le qualificatif de « bande de lâches » n’est absolument pas usurpé.

Voici son analyse : Israël se trouve aujourd’hui dans une guerre dont il ne peut ni sortir vainqueur ni se retirer indemne. Non parce qu’il manquerait de puissance militaire mais parce que cette guerre a été soigneusement conçue pour être perdue, quelle que soit l’issue. Le 7 octobre a marqué plus qu’une attaque. Car c’était un piège. Un choc pensé pour enfermer Israël dans une impasse. En massacrant des civils et en enlevant des otages, le Hamas n’a pas lancé une offensive pour obtenir des concessions. Il a mis en place une stratégie de pourrissement. Une guerre sans fin, sans vainqueur, sans horizon. Le Hamas ne cherche ni un état ni une victoire militaire. Il cherche la disparition d’Israël, et pour cela, il est prêt à tout perdre. Gaza peut brûler, ses enfants mourir, ses infrastructures s’effondrer car cela lui est égal, pourvu qu’Israël saigne. C’est une stratégie sacrificielle, nihiliste, presque religieuse dans sa logique. Et elle repose sur deux piliers : l’enlisement militaire, et la manipulation émotionnelle des opinions occidentales. Car le véritable champ de bataille, ce ne sont pas les ruines de Gaza. Ce sont les plateaux de télévision, les réseaux sociaux, les universités américaines et européennes et les manifestations dans les rues des grandes villes. Le Hamas a compris ce que bien des stratèges israéliens ont sous-estimé, car dans un monde gouverné par l’image, la guerre ne se gagne plus avec des chars, mais avec des récits. Sa force est dramaturgique, pas militaire. En retenant des otages, le Hamas rend tout compromis impossible. En se dissimulant dans les hôpitaux et les écoles, il rend toute riposte insoutenable.

Chaque action d’Israël est détournée pour apparaître comme une faute morale. Dans cette guerre asymétrique, chaque victoire militaire devient une défaite médiatique. Et le monde, saturé d’images mais privé de contexte, réagit aux émotions plus qu’aux faits. Ce piège n’aurait pas fonctionné sans la collaboration des démocraties occidentales. En exerçant la pression sur le pays attaqué plutôt que sur les preneurs d’otages, elles inversent la logique morale. En reconnaissant un État palestinien sans exiger le désarmement du Hamas, elles offrent une récompense politique au terrorisme. Et ce faisant, elles encouragent sa répétition. Il faut aussi parler de ceux que Lénine appelait les idiots utiles.

Certains d’entre eux se trouvent, hélas, au sein même du peuple juif ou d’Israël. Animés d’un scrupule moral presque sacrificiel, ils veulent à tout prix incarner une forme de pureté éthique. Leur exigence est sincère, mais si détachée des réalités qu’elle en devient aveugle. Ils analysent cette guerre comme s’ils avaient affaire à des démocrates européens, alors qu’ils font face à une organisation terroriste fondamentalement étrangère à leur cadre mental. A cela s’ajoute parfois une motivation plus subtile, moins avouée : le besoin d’être perçus comme des bons Juifs aux yeux de leurs cercles non juifs, de continuer à être invités, félicités, écoutés à condition, bien sûr, de montrer qu’ils ne sont pas comme les autres, qu’ils savent prendre leurs distances avec Israël.

Ce souci d’acceptabilité sociale, aussi humain soit-il, devient politiquement dangereux quand il vient cautionner, même indirectement, le discours de ceux qui souhaitent la disparition d’Israël. Car le Hamas n’a pas besoin d’être soutenu. Il lui suffit qu’Israël soit affaibli, délégitimé, isolé. Et dans cette entreprise, toute voix juive ou israélienne qui doute publiquement du droit d’Israël à se défendre devient, malgré elle, un levier de cette stratégie. Soyons lucides : un cessez-le-feu assorti de la libération de tous les otages, sans la reddition du Hamas, est un mirage. Le Hamas n’a aucun intérêt à terminer cette guerre. Les otages sont ses armes, ses projecteurs, ses gages de survie. Il les maintiendra, car leur existence maintient le conflit. Ils ne sont pas faits pour être libérés. Ils sont là pour durer, pour servir. Et pendant que cette guerre de récits fait rage, ses effets ne s’arrêtent pas aux frontières d’Israël. Partout dans le monde, et de manière particulièrement flagrante ces derniers jours, les actes antisémites explosent : insultes, agressions, boycott des artistes israéliens, intimidation de touristes, pressions dans les universités, attaques contre des commerces ou des écoles juives. L’antisionisme radical, mis en scène par le Hamas et relayé sans filtre par certains médias et activistes, se transforme en une haine palpable, concrète, quotidienne. Ce climat d’hostilités engendre un profond malaise au sein des communautés juives, partout sur la planète.

Beaucoup n’osent plus dire qu’ils sont israéliens. D’autres se taisent sur leur identité juive. Il ne s’agit plus d’un débat d’idée   s: il s’agit de sécurité. La violence symbolique, médiatique et diplomatique contre Israël alimente un antisémitisme décomplexé, qui met en danger des millions de Juifs n’ayant rien à voir avec le conflit armé. Ce n’est pas seulement Israël qui est ciblé. C’est ce qu’il représente. Et tous ceux qui lui sont liés.

Dès lors, deux chemins, tous deux tragiques se présentent : 1-Continuer l’opération, coûte que coûte, pour démanteler le Hamas jusqu’au dernier tunnel, au prix d’innombrables vies, dans un isolement croissant, et sans aucune garantie de succès. Ou 2-se retirer, laissant le Hamas debout, et acceptant implicitement qu’un nouveau 7 octobre se prépare. Ce n’est plus une question de victoire. C’est une question de forme : quelle forme de défaite est la moins dangereuse ? Quelle perte est la moins irréversible ? Dans ce piège chaque mouvement est anticipé par l’ennemi, même le courage devient vulnérable. Et le plus tragique est sans doute là : la stratégie du Hamas fonctionne. Non pas parce qu’elle est brillante, mais parce qu’on la laisse fonctionner. Parce qu’on continue de juger Israël selon les critères d’une guerre conventionnelle, alors que ce à quoi il fait face est une machine à manipuler les émotions, à retourner la morale, à instrumentaliser la compassion. Dans ce théâtre cruel, ce n’est pas le réel qui compte. C’est l’image du réel J’aspire de toutes mes forces au retour des tous les otages, de tous nos soldats et à la fin de ce conflit qui permettra à toute une nation de se reconstruire et de vivre comme elle l’a toujours désiré depuis sa création : en paix et en sécurité.

Patrick Granville

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