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Viol barbare d’une fille juive de 12 ans par trois ados à Courbevoie, un est d’origine maghrébine, les deux autres européens convertis à l’islam : 7 et 9 ans ferme, le dernier écope d’une mesure éducative (MàJ : peine réduite en appel pour l’un des violeu

18/11/2025

En juin dernier, le tribunal pour enfants de Nanterre avait infligé une peine de neuf années de prison à ce garçon, notamment pour avoir imposé une fellation à la victime, le 15 juin 2024 à Courbevoie. Il répondait aussi d’agression sexuelle et d’injures antisémites. Ce mardi 18 novembre, la cour d’appel l’a également reconnu coupable de toutes les infractions, mais en allégeant la sanction et en prononçant une mesure éducative.

En diminuant de deux ans la peine de Dylan (le prénom a été changé en raison de sa minorité, 15 ans et quelques mois) tout en prononçant la mesure éducative, « la cour d’appel a rétabli la situation en prenant en compte les éléments de personnalité du mineur, reprend Me Blanc. Désormais, mon client va pouvoir poursuivre le travail éducatif mis en place. » (…)

Le Parisien

13/06/2025

Le tribunal pour enfants de Nanterre a condamné vendredi à neuf et sept ans de prison ferme deux mineurs jugés pour le viol à caractère antisémite d’une fille juive de 12 ans en 2024, à Courbevoie (Hauts-de-Seine).

Les magistrats ont prononcé une mesure éducative de cinq ans et un placement à l’encontre d’un troisième jeune homme, âgé de 12 ans et 10 mois au moment des faits et contre qui une peine d’emprisonnement ne pouvait pas être prononcée en raison de son âge. (…)

Les deux autres mineurs, qui ont comparu détenus, étaient âgés de 13 ans au moment des faits, donc pouvaient être condamnés à une peine d’emprisonnement. Ils encouraient une peine maximale de 10 ans. (…)

Ces deux adolescents ont comparu pour viol en réunion sur mineur de moins de 15 ans à raison de la religion. Le troisième, ex-petit ami de la victime, a lui été jugé pour complicité de ce crime. « Ses consignes et sa simple présence ont aidé à la commission de ces viols », a estimé le tribunal. « Il est indubitable que (la victime) n’aurait pas été violentée ni violée si elle n’avait pas été juive », a ajouté le président du tribunal.

Les trois mineurs étaient aussi poursuivis pour agression sexuelle sur mineur de moins de 15 ans, tentative d’extorsion, captation, enregistrement ou transmission d’images à caractère sexuel, violence en réunion avec incapacité de travail supérieure à huit jours sur mineur de moins de 15 ans et injure non publique, ces infractions étant aggravées car commises en raison de la religion. (…)

Le Parisien

06/06/2025

[…]

Puis Rayan est le premier à passer à l’acte. Il pousse Anne dans un recoin et lui impose une pénétration digitale. Dylan contraint ensuite l’adolescente à se déshabiller et à se mettre à quatre pattes. Il l’aurait alors soumise, dans un très long supplice aux confins de l’horreur et de l’indicible, à plusieurs viols successifs. Étayée par les déclarations précises et constantes de la victime, confirmée par des expertises gynécologiques et des tests génétiques, l’existence de ces viols reste toutefois contestée par Dylan.

Ce huis clos infernal s’achève par une ultime séquence d’humiliation et d’intimidation. Anne est forcée à manger des bouts de papier brûlés. Puis extorquée et menacée de mort. Ses tortionnaires lui demandent ainsi de revenir sur place dès le lendemain pour leur verser plusieurs centaines d’euros, avec interdiction de dénoncer ce qu’elle vient de subir. Sous peine de représailles contre elle et sa famille.

« Ce qu’on vient de faire, c’est 1 % de ce qu’on est capable de faire, donc tu ferais mieux de ne pas aller voir la police, sinon ça va mal aller pour toi », lui précise l’un de ses deux violeurs présumés. Juste avant de la relâcher et de la laisser sortir de la crèche, Tiago lui ordonne de se convertir à l’islam et lui demande de répéter une profession de foi. Il est 18h58. Sa séquestration aura duré 54 minutes.

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L’exploitation de son téléphone révèle aussi une consommation de contenus à caractère antisémite sur le réseau TikTok. Les enquêteurs découvrent notamment qu’il a enregistré une vidéo du drapeau d’Israël en train de brûler.

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Pour Anne et ses parents, le traumatisme du 15 juin dernier a irradié tous les pans de la vie intime, sociale et familiale. Victime de troubles anxieux, de jour comme de nuit, la jeune fille éprouve encore beaucoup de peine à se mettre en maillot de bain en public et même seule sous la douche, elle aurait « peur de toucher son corps ». Elle a aussi dû se résoudre à arrêter la gymnastique car « certaines positions pouvaient lui rappeler les faits » et ne marche plus jamais seule dans la rue.

Ses parents ont préféré déménager et la changer d’établissement.

Le Parisien

Vu sur F de Souche

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