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Street Press c’est Radio Paris, TV Libertés c’est Ici Londres

Street Press est un média en ligne d’extrême gauche dont les deux principaux animateurs sont le rédacteur en chef Mathieu Molard et la journaliste aux méthodes d’antifas Daphné Deschamps (voir fin de cet édito). Ce journal, créé en 2009 par le journaliste Johan Weisz-Myara qui en est aujourd’hui le directeur de publication, situe la presque totalité de son contenu dans son combat contre ce qu’il nomme de manière obsessionnelle l’extrême droite.

De manière symbolique, ce média va donc fêter ses 16 ans dans quelques jours à la Gaîté Lyrique, ce théâtre parisien tenu par des gauchistes qui ont laissé et même encouragé 400 clandestins à l’occuper pendant de longues semaines, sachant que le manque à gagner et les réparations seraient pris en charge par la Mairie de Paris, donc par les contribuables.

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Ajoutons que Street Press, bien que pleurnichant régulièrement auprès de ses lecteurs pour récupérer de l’argent, n’a aucune inquiétude à avoir pour son avenir, puisque financé d’un côté par l’Union européenne, et de l’autre par l’Open Society de Soros. Au moins, les choses sont claires, et ce site gauchiste est financé par le système mondialiste dominant, qui lui permet d’annoncer un budget de fonctionnement annuel de 600 000 euros.

On peut donc dire sans polémique inutile que Street Press est un journal collabo, aidé par le système, comme l’était « Radio Paris », sauf qu’à l’époque l’occupant était allemand et qu’à présent, il est islamiste, pour ne pas dire musulman.

De l’autre côté de l’échiquier médiatique, parlons de TV Libertés. Annoncé dans les années 2012, la chaîne est née en 2014. Nous avons assisté avec beaucoup de sympathie à ce projet prometteur à une époque où la mouvance patriote n’avait que Radio Courtoisie comme média de réinformation et de résistance culturelle, en dehors de quelques sites comme Fdesouche, Boulevard Voltaire et, modestement, Riposte Laïque. Nous avons vu le président-fondateur Philippe Milliau, assisté de Martial Bild et de la prometteuse Élise Blaise, mettre en place petit à petit cette chaîne de réinformation, et se développer chaque année toujours davantage.

Aujourd’hui, TVL fonctionne sans la moindre publicité, sans la moindre subvention et seulement par les dons des bienfaiteurs qui, tous les ans, réussissent le miracle de permettre à la chaîne de payer le local du Kremlin-Bicêtre et une vingtaine de salariés. Bien sûr, amoureuse de la civilisation grecque et de la culture du débat, la chaîne essaie d’afficher une volonté unitaire et invite même des personnalités classées à gauche à venir s’y exprimer. Voilà ce qu’est devenu TV Libertés, une chaîne libre avec un programme exceptionnel d’émissions d’actualité, d’histoire, de culture et de débats toujours passionnants, où la parole est libre.

https://preview.tvlibertes.com/emissions

Bref, TV Libertés, c’est tout le contraire de Street Press, et pas seulement dans le positionnement politique. Remarquons d’abord qu’elle porte un nom français, alors que le site gauchiste porte un nom anglo-saxon, ce qui est très révélateur. TV Libertés est une chaîne qui pratique une vraie réinformation, qui essaie de concilier un discours de vérité en cherchant à éviter les procès qui tombent sur la dissidence. Elle se refuse à mentir, à diffuser de fausses informations pour faire de la propagande à ses idées et à ceux qui les portent.

On pourrait dire que, sans bénéficier des moyens du système, TV Libertés se donne les moyens de diffuser une réinformation avec les seuls moyens du bord, dans l’esprit de Radio Londres qui, depuis l’Angleterre, résistait à la propagande officielle du régime.

Curieusement, à dix mois d’intervalle, les deux sites ont publié deux reportages très intéressants où, curieusement, figurent les deux animateurs les plus connus de notre mouvance, Pierre Cassen et Christine Tasin.

Dans ce reportage de Street Press d’une dizaine de minutes, on découvre une curieuse Bretagne, où il n’y a ni antifas, ni Black Blocs, ni vandalisme des centres-villes de Nantes et de Rennes, ni agressions contre les étudiants mal-pensants, ni attaques contre les meetings de Jordan Bardella près de Rennes ou les dédicaces d’Éric Zemmour à Brest. Il n’y a qu’une Bretagne gangrenée par des nazis présents partout qui agressent les paisibles gauchistes, les gentils LGBT et les doux migrants.

Dans ce reportage, vu par 220 000 lecteurs, dont beaucoup dans les commentaires étrillent les nombreux mensonges, Pierre Cassen et Christine Tasin sont ciblés pour leur action sur Callac et présentés, ainsi que Riposte Laïque et Résistance républicaine, comme de dangereux islamophobes, ce qui, manifestement, pour Street Press, est très grave. Curieusement, on voit très peu d’images de sauvages agressions, juste un gars qui lance une chaise sur un autre gars, et le met KO pour le compte. Et le témoignage du pathétique Chartier, le patron du Poher, qui pleurniche sur ses malheurs et se vante d’avoir déposé plainte contre Résistance républicaine, oubliant de préciser qu’il s’est lamentablement ramassé devant les tribunaux. C’est bien peu…

Dans cet autre reportage de TV Libertés, le journaliste David Louis, sur l’émission « Contre-Enquêtes », s’interroge quelques jours après l’assassinat de Charlie Kirk par l’extrême gauche aux États-Unis sur le fait de savoir s’il pourrait arriver la même chose à un patriote français. Il questionne Mathilda, militante de Némésis, Damien Rieu, militant identitaire bien connu et lanceur d’alertes redouté des gauchistes, qui en font une cible. Il donne à plusieurs reprises la parole à Pierre Cassen et Christine Tasin. On y voit des images spectaculaires d’agressions gauchistes, et on entend des témoignages choc, comme celui de Christine Tasin, sur les menaces islamistes. Elle explique ce qui lui est arrivé après l’organisation des Assises internationales contre l’islamisation de nos pays. Pierre témoigne également des dispositions qu’il a dû prendre, dans sa vie quotidienne, face au risque de violence des islamistes.

Ces deux reportages sont intéressants à regarder et à approfondir car, au-delà de la présence de Pierre et de Christine, on y voit deux conceptions de l’information de deux sites que tout oppose. Street Press, payé par l’Union européenne et Soros, mais aussi par la publicité, se permet de mentir grossièrement à ses abonnés, au nom de la célèbre phrase attribuée à Machiavel « La fin justifie les moyens ». On pourrait ajouter la phrase de Goebbels « Plus le mensonge est gros, et mieux il passe », ou bien « Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose ».

À Street Press, cela ne pose aucun problème qu’une journaliste, Daphné Deschamps, invente des saluts nazis des militants de Florian Philippot lors des manifestations contre la dictature covidiste.

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On n’a pas davantage d’état d’âme à faire travailler cette journaliste qui agresse Jordan Florentin, alors qu’il travaillait à l’époque à Boulevard Voltaire.

On a du mal à imaginer Élise Blaise inventer des doigts d’honneur de manifestants LFI, ou agresser un journaliste de Mediapart. Question d’éthique, de déontologie et sans doute d’éducation.

À ce jour, en treize années d’existence, TV Libertés n’a jamais été prise en flagrant délit de mensonge, sinon on peut penser que les mouchards chasseurs de « fake news » se seraient jetés sur leur proie. Leurs journalistes, qui ont des convictions, se comportent en vrais professionnels et pas en médiocres militants propagandistes. Contrairement aux commissaires politiques de Street Press, ce sont des esprits libres, amoureux de la liberté, y compris et surtout de celle de leurs adversaires politiques.

Entre Street Press et TV Libertés, il y a toute la différence qui existait entre Radio Paris et Ici Londres, entre les collabos et les résistants. Seul l’occupant a changé de nature.

https://ripostelaique.com/street-press-cest-radio-paris-tv-libertes-cest-ici-londres.html

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