On apprend donc que pour la deuxième fois – on ne dit pas seconde, des fois qu’il y ait une troisième – l’ancien président de la République aurait subi un cambriolage dans l’appartement parisien qu’il occupe avec Julie Gayet, dans un quartier huppé de Paris, dans le 20e arrondissement. Un lieu où il y a peu de vivre-ensemble, bien éloigné de la réalité de Barbès qu’on découvre lors de ce passionnant échange entre Vincent Lapierre et Jean-Eudes Gannat.
Comble de l’ingratitude, à deux reprises, ce sont des Algériens qui ont cambriolé la maison des tourtereaux. Dire que Hollande en a fait rentrer des centaines de milliers supplémentaires, qu’il n’a pas arrêté de demander pardon pour la colonisation, qu’il a fait du honteux 19 mars 1962 un jour où l’État français commémore une défaite, c’est vraiment trop injuste. Mais on remarquera que cambrioler Hollande, cela vaut l’expulsion immédiate ou la prison pour les voleurs algériens, alors que des multirécidivistes qui attaquent des Français des classes populaires sont rapidement remis en liberté.
Mais il faut reconnaître que le couple Hollande-Gayet a eu plus de chance que le couple Tapie, qui avait subi, deux années avant la mort de Bernard, un très violent cambriolage à domicile de la part de voyous africains. Pourtant, Nanard avait essayé de les amadouer en leur disant qu’il avait toujours été de leur côté, mais les autres lui avaient cabossé la tête, malgré tout, ainsi qu’à sa femme, et volé tout ce qu’ils pouvaient.
De nombreux Français, qui ne portent pas François Hollande dans leur cœur, auraient sans doute savouré qu’il arrive la même chose à Flanby, cela aurait été un juste remerciement pour les millions de clandestins qu’avec sa copine Merkel il a fait rentrer en Europe en 2015.
Voir Hollande son air stupide et son visage tuméfié, ayant perdu toutes ses dents, raconter ses mésaventures auraient sans doute comblé d’aise tous ceux qu’il appelait avec mépris les sans-dents.
L’imaginer humilié, déshabillé, à poil, à genoux, implorer la grâce en pleurnichant, en gémissant qu’il a défendu Théo, qu’il a essayé de sauver Léonarda, qu’il a fait rentrer des millions de Noirs et d’Arabes, qu’il a combattu les racistes du Front national, qu’il a préparé la guerre contre Poutine (ce dont les racailles se moquent éperdument), supplier ses agresseurs qu’ils ne touchent pas à Julie, se sacrifier pour éviter que sa Belle ne subisse les derniers outrages, etc. Eh bien, cela n’aurait pas fait pleurer beaucoup de monde. Les sans-dents, ils pleurent les morts de Charlie, du Bataclan, de Nice et toutes les victimes de l’islamisation de la France, dont Hollande qui a leur sang sur les mains est complice.
Mais il se trouve que le couple Hollande-Gayet n’était pas là, même si ces imbéciles – convaincus que leur maison était bien gardée par les policiers – avaient juste oublié de fermer la porte d’entrée. Une raison supplémentaire pour dire que ce bon à rien, devenu par le plus grand des hasards secrétaire du Parti socialiste en 1997 et président de la République en 2012 a vraiment une chance de cocu !
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