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  • Notre-Dame-des-Landes : un cas d’école oligarchique

    Il n’est pas interdit de se demander si, derrière des prospectives qui mériteraient une réflexion plus approfondie que des proclamations appuyées par des flash-balls et autres grenades lacrymogènes, des intérêts particuliers ne jouent pas un rôle notable dans toute l’affaire Notre-Dame-des-Landes. Car, après tout, il s’agit d’abord d’un grand chantier susceptible de générer une masse d’argent considérable. 

         Dans les années 1980, la France avait découvert avec surprise que son personnel politique entretenait des liens assidus avec divers affairistes afin de financer les campagnes électorales et, parfois, d’autres gâteries. C’est à Nantes que résidait l’un de ces aigrefins bien utiles pour transfuser l’argent, par d’habiles jeux d’écriture, des marchés publics dans les caisses des partis politiques. René Trager avait ainsi défrayé la chronique, révélant au juge Renaud Van Ruymbeke un certain nombre d’opérations que de providentielles lois d’amnistie allaient plonger dans les oubliettes. 

         Dans leur livre Un juge face au pouvoir, publié en 1994 et dont les assertions n’ont jamais été contredites, les journalistes Gilles Gaetner et Roland-Pierre Paringaux racontent ainsi : « Profitant des chantiers ambitieux lancés, à l’époque, par les élus socialistes de la région, Trager élargit son champ d’action. Un projet va se révéler particulièrement juteux : celui de la Zac Atlantis, un complexe commercial géant que lance le député-maire de Saint-Herblain, Jean-Marc Ayrault, futur maire de Nantes. Une vraie mine de pots-de-vin. On verra, dans le chapitre suivant, comment Trager y a récolté une commission de 600 000 francs pour le compte d’Ayrault. » 

         Dans le chapitre suivant, les auteurs rapportent la liste que l’intermédiaire avait communiqué au juge : « Les élus arrosés par Trager et les sommes remises. Ce qui donne, dans le haut du tableau : Jean-Marc Ayrault, 540 000 francs ; Joël-Guy Batteux, 600 000 ; Yves Le Lann, 500 000 ; Jacques Floch, 270 000 ; Yves Laurent, 300 000... » Une autre affaire est mentionnée, celle du bureau d’études Sagès, dont la mission, expliqua en justice son animateur, était de permettre aux entreprises « d’obtenir des rendez-vous avec les élus » dès que se présentait un marché public. Gaetner et Paringaux indiquent « que Jean-Marc Ayrault, député-maire de Nantes, Jean-Pierre Sueur, député-maire d’Orléans, et André Pinçon, maire de Laval, toucheront eux aussi de beaux chèques à la loterie électorale de la Sagès ». Ces faits concernent le financement politique et non l’enrichissement personnel. 

         Tout ceci appartient évidemment à l’histoire. C’est aussi le cas du passé de la société Vinci, spécialisée dans la construction et « le service aux collectivités ». Le journaliste Nicolas de La Casinière rappelle qu’elle est née en 2000 du regroupement de deux compagnies vendues par Vivendi, elle-même issue de la Générale des eaux qui, en 1998, avait changé son nom, « trop liée aux affaires de corruption et aux scandales de financement occulte des partis politiques ». 

         Vinci est une société brillante qui, comme Bouygues ou Eiffage, tire l’essentiel de ses revenus des contrats passés avec l’État et les collectivités locales, 70% selon le consultant Olivier Marteau. Les liens de ces grandes compagnies privées avec l’appareil d’État sont étroits. Celles-ci sont souvent dirigées par d’anciens hauts fonctionnaires, tel Xavier Huillard, président-directeur général de Vinci, polytechnicien passé par le ministère de l’Équipement, ou Nicolas Notebaert, président des filiales Vinci Airports et AGO, lui aussi polytechnicien passé par le ministère de l’Équipement. 

         L’État leur accorde une grande confiance. Une des marques les plus célèbres de cette confiance est la privatisation des sociétés d’autoroutes en 2005, réalisée à un prix si bas que le gouvernement de Dominique de Villepin dut l’imposer à l’Assemblée nationale sans vote. Vinci acquit ainsi la société ASF pour moins de 6 milliards d’euros – une excellente affaire, puisque cette filiale rapporte maintenant près d’un milliard d’euros par an et, bien que ne pesant que 12% du chiffre d’affaires du groupe, en représente 45% du résultat opérationnel. Incidemment, l’ex-Premier ministre Dominique de Villepin est devenu avocat d’affaires. Plusieurs fonds d’investissements qataris font partie de ses clients. Le fonds souverain du Qatar, QIA, est le premier actionnaire de Vinci, avec 5,3% du capital. 

         [...] 

         Une caractéristique intéressante du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes est le contrat de concession accordé par un décret de décembre 2010 à la société AGO, la filiale de Vinci. Ce contrat constitue, comme le relève un observateur nantais, « la première concession aéroportuaire à capitaux privés en France », alors que les aéroports régionaux sont « exploités de longue date par les Chambres de commerce et d’industrie dans le cadre de concessions délivrées par l’État » et « restent de la compétence de l’État ». 

         La concession n’est pas accordée seulement pour le projet de Notre-Dame-des-Landes, mais inclut aussi la gestion des aérodromes de Saint-Nazaire et de Nantes Atlantique, qui génèrent un revenu copieux. Il s’agit donc, avant tout engagement de travaux, d’une bonne affaire pour Vinci, qui développe en outre ses compétences de gestionnaire aéroportuaire. La compagnie lorgne en fait sur un gros morceau : Aéroports de Paris, encore largement contrôlé par l’État, mais dans lequel elle a pu acquérir jusqu’à 8% des actions en juillet 2013 – grâce à la bienveillance du gouvernement de M. Ayrault – obtenant de ce fait un siège au conseil d’administration. 

         [...] 

         Le préfet de Loire-Atlantique, entre juin 2007 et juillet 2009, était Bernard Hagelsteen. Dans la foulée de l’enquête publique, il avait préparé « l’avis d’appel public à la concurrence » des firmes intéressées par la réalisation de l’aéroport, qui fut publié le 5 septembre 2008. Quatre groupements d’entreprises furent habilités à y répondre en mars 2009. Il s’agissait du canadien Lavalin, du groupement NGE SAS (spécialiste de travaux routiers et dont le chiffre d’affaires était à peine le double du montant du contrat) et des groupes Bouygues et Vinci. 

         L’appel d’offres fut annulé pendant l’été, officiellement « pour un problème de forme », et relancé en septembre. M. Hagelsteen quitta la préfecture en juillet 2009, pour rejoindre la Cour des comptes. Ce n’est qu’en juillet 2010 que Vinci a été désigné comme concessionnaire du projet aéroportuaire, après que NGE SAS eut été écarté, que Bouygues se fut retiré et que Lavalin eut émis « quelques doutes sur la régularité du processus ». 

         Le préfet ne semblait donc pour rien dans ce choix. Après deux ans à la Cour des comptes, il rejoignit, en avril 2011, la société Vinci Autoroutes comme conseiller du président. Je lui téléphonai. « Je voulais un travail plus actif, dit-il. Quand j’étais à la Cour, j’ai contacté diverses entreprises de transport, et Vinci a été intéressé par mon profil professionnel. Il n’y a aucun lien entre ce que j’ai fait comme préfet et ce que je fais ici. » Son transfert, visé par la commission de déontologie des fonctionnaires, créée par une loi de 1993 « relative à la prévention de la corruption », était légal. Tout comme, m’assura-t-il, il est légal de cumuler sa pension de retraite de haut fonctionnaire et les émoluments que lui verse Vinci. Il me dit que « les autoroutes ont beaucoup ont beaucoup de raisons d’avoir des contacts avec des décideurs publics ». 

         On ne doute pas que le souci de l’intérêt général dicte la conduite des responsables publics et privés. Qui n’en ont pas moins des préoccupations plus terre à terre, que révèlent les documents enfouis sur internet et que de désagréables contraintes légales obligent à y placer. En dépouillant les inventaires du site internet de l’Autorité des marchés financiers, on peut ainsi découvrir à quoi Xavier Huillard passait quelques moments de l’année 2012. Entre les mille occupations d’un président-directeur général de grand groupe et sans doute pas mal de discussions autour de Notre-Dame-des-Landes, il trouva ainsi le temps de réaliser quatorze opérations d’achat et de cession de « stock-options », actions du groupe qu’il dirigeait, à des tarifs avantageux. Une occupation pas inutile, puisqu’il s’avère que M. Huillard a touché en 2012 plus de deux millions d’euros de stock-options, s’ajoutant à son traitement estimé à 1,8 million d’euros. 

    Hervé Kempf, Notre-Dame-des-Landes

    http://www.oragesdacier.info/

  • La circulaire Taubira est un véritable passeport pour la GPA

    Ludovine de la Rochère, présidente de la Manif pour tous, déclare à Présent :

    "La circulaire Taubira est un véritable passeport pour la GPA. Les défenseurs de cette circulaire brandissent le fait que ces enfants-là sont apatrides. Ce qui est absolument faux. Ils ont la nationalité de leur pays de naissance. Sans compter que, parce qu’ils vivent en France, ils obtiendront la nationalité française au bout de cinq ans.

    Le problème est ailleurs : où est l’intérêt supérieur de l’enfant dans tout cela ? Ce que nous voulons pour les enfants, c’est qu’ils aient un père et une mère et soient attendus dans des conditions normales, et non via une GPA qui brisent tout lien familial et toute filiation.

    La Manif pour tous dénonce une nouvelle forme d’esclavage à travers cette pratique. Le mot n’est-il pas trop fort ?

    La GPA n’est pas autre chose que la commercialisation d’un enfant, un enfant qui est commandé et payé par le couple ou la personne seule qui a recours à cette GPA. Ce n’est rien d’autre qu’un trafic d’êtres humains. Il ne faut avoir aucune tolérance envers de telles pratiques, mais les interdire purement et simplement. La femme rapporteur de la circulaire Taubira devant le Conseil d’Etat a écrit un livre, Réinventer la famille, dans lequel elle aborde le sujet de la GPA. Que dit-elle ? Qu’il faut un débat ouvert sur le sujet. Mais il ne peut pas y avoir de débat sur un sujet aussi scandaleux, sur la commercialisation d’enfants et la marchandisation du corps des femmes.

    [...] Nous allons ensuite faire un recours auprès du comité des droits de l’enfant à Genève. Pour que les conseillers reviennent sur cette décision lâche qui va à l’encontre de notre droit français, mais aussi des conventions internationales. [...]"

    Michel Janva

  • Le FMI en Ukraine : où est l'argent ?

    L'Union européenne et le FMI souhaitent que les réformes en Ukraine produisent un résultat au bout de six mois. Selon les politiques européens il ne s'agit pas seulement de la situation relative à la sécurité, mais aussi de l'économie. Entre-temps le nouveau cabinet de Kiev a mis au point une feuille de route des réformes. Les experts trouvent que ce document n'est autre chose qu'un texte abrégé de l'accord de coalition qui ne propose aucune mesure concrète de sortie de la crise.

    La feuille de route des réformes ukrainiennes énumère les changements qui doivent intervenir dans la quasi-totalité des sphères de la vie de l'Etat depuis la défense et les questions sociales jusqu'à la gestion de la propriété d'Etat en passant pas la politique fiscale. Contrairement aux espoirs de trouver dans ce texte des mesuress plus radicales, il ne renferme que des plans irréels ou difficilement réalisables. Il ne fait même pas allusion à la façon d'atteindre ces objectifs, signale l'expert de l'Ecole des hautes études en sciences économiques Andreï Souzdaltsev :

    « Il est étonnant combien le document est loin de la situation réelle en Ukraine. Il fait abstraction de nombreux problèmes à savoir que la guerre fait rage, qu'une partie de l'économie est ruinée, qu'une autre est en sommeil, que le PIB a baissé de 7 à 8% ou que chaque mois des milliards de dollars sont dépensés pour soutenir la grivna. Sans parler de la question de savoir où prendre de l'argent pour ces réformes ? »

    La majeure partie des réformes projeté par le gouvernement d'Arseni Iatseniouk concerne la fiscalité. Dans le premier trimestre de 2015 des amendements doivent être apportés au Code fiscal pour réduire de 22 à 9 le nombre d'impôts. Des taxes non efficaces comme la taxe sur le développement de la viticulture seront supprimées. Le professeur de la chaire des finances internationales de l'Institut MGIMO Valentin Katassonov estime que l'effet de la libéralisation pourrait être nivelé par des changements prévus relatifs aux prélèvements maintenus :

    «Ces efforts pourraient être réduits à néant par le rétrécissement de la base imposable. Cela concerne aussi bien les personnes physiques, que les personnes morales. Il suffit de noter que la chute du PIB est évaluée à 7,5 % ce qui est constaté par les autorités mêmes. Cela, compte tenu de la Novorossia qui est, de fait, éliminée de la circulation. En ce qui concerne les impôts, je tiens à signaler une situation paradoxale en Ukraine. D'une part, elle est en proie à la guerre, de l'autre, les entreprises du Donbasse continuaient, au moins jusqu'à l'automne, de payer les impôts dans le budget de l'Ukraine. Aujourd'hui la Novorossia cesse d'être une source d'impôts. Cela veut dire que la base imposable en Ukraine diminue rapidement ».

    En vertu du projet de loi, les contribuables ukrainiens doivent rendre les comptes sur ce qu'ils ont gagné avant le 1er octobre 2015. Le projet autorise à ne pas préciser dans la déclaration les sources de revenus, cependant il faudra alors les révéler aux organes de l'ordre.

    Un autre chapitre est la privatisation. Selon le projet, au milieu de 2015 seules 300 entreprises sur 1 500 doivent rester en propriété de l'Etat. D'une part, les entreprises privatisées doivent fonctionner plus efficacement et le budget recevra des revenus supplémentaires tirés de leur vente. Mais la privatisation ne profite pas toujours. Les entreprises peuvent être divisées en deux groupes. Le premier, ce sont des complexes ruinées avec des équipements obsolètes. Le second, c'est un morceau de choix et les investisseurs et spéculateurs américains et européens seront les premiers à prétendre à leur achat.

    L'équipe du Fonds monétaire international a évalué les résultats du travail du gouvernement ukrainien les ayant qualifié de décevants : l'Ukraine n' a pas accompli de nombreuses réformes recommandées par le Fonds. Toutefois Kiev réussit en attendant à trouver des créanciers. Ainsi un accord de crédit d'un montant de 200 millions d'euros sera prochainement signé entre l'Ukraine et la Banque européenne d'investissement. Il a été déclaré que l'argent sera alloué au redressement des systèmes de survie et de l'infrastructure du Donbass. Mais les systèmes de survie ont subi des dégâts particulièrement importants dans les régions contrôlées par les miliciens. Kiev comment va-t-il les redresser ? Pour ce faire, il faut poursuivre les combats et libérer d'abord le territoire avant d'engager le rétablissement de l'infrastructure. Mais alors il est question de la poursuite de la guerre. D'autant plus que 200 millions d'euros sont une somme microscopique étant donné que des villes entières ont été détruites dans le Donbass.

    L'intégration européenne de l'Ukraine a déjà coûté cher à l'Occident. Le président de la République tchèque Milos Zeman a déclaré récemment que le soutien financier de l'Ukraine était une dépense insensée. Car des tranches déjà versées à l'Ukraine afin de rembourser une partie des dettes, de réaliser des réformes et de développer la démocratie ont disparu sans laisser de traces. Cela oblige le FMI à devenir plus prudent dans ses relations avec Kiev.

    Igor Siletski

    La Voix de la Russie :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuEllplpFFBvaKNwTg.shtml

  • Strasbourg vent debout contre la fusion des régions Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne

  • « Nationalisme: ce mot qu’ils ont voulu nous faire oublier… »

    Un petit rappel ne fait jamais de mal, surtout lorsqu’il s’agit de la rhétorique utilisée par certains…

    Les grands orateurs de notre société, les intellectuels généralement de gauche, les érudits et les maîtres de la novlangue n’ont pour la plupart retenu qu’une partie de la définition de « nationalisme », celle qui est assimilée à la xénophobie, sans même conserver son sens intrinsèque, l’idée de la nation dans laquelle il n’y a aucune connotation raciste, juste une idée de la nation et d’une identité autour de celle-ci. Cela tant et si bien que le nationalisme est complètement assimilé comme étant le rejet de l’autre, et il est tellement facile de rappeler « les sombres heures de l’histoire » avec le national socialisme, alors qu’étrangement, personne dans ce cas ne retient le mot socialisme…..

    Pourtant, si on regarde bien, il y a de nombreux points communs que nous ne pouvons que constater:

    Le nationalisme répond initialement à cette définition:

    Mouvement politique d’individus qui prennent conscience de former une communauté nationale en raison des liens (langue, culture) qui les unissent et qui peuvent vouloir se doter d’un État souverain.

    Source: Le Larousse

    C’est avant tout l’idée de nation qui prime, d’identité autour d’un même thème, et s’ils se sont autant évertués à nous faire assimiler le nationalisme comme étant discriminatoire, c’est pour pouvoir faire de la France une simple région d’une Europe fédéralisée, le pays perdant son titre de nation à part entière.

    Si nous regardons bien, que nous reste-t-il de réellement français?

    • Nous n’avons plus de frontières si ce n’est dans la rhétorique, de ce côté là nous sommes déjà une région du nouvel ordre mondial tel que l’ont évoqué Sarkozy (voir ici et ici)ou Obama (voir ici) dans leurs discours.
    • Nous avons perdu le droit à la planche à billets en 1973 avec la loi Pompidou-Rothschild, nous forçant à emprunter sur des marchés privés et directement responsable de l’endettement incommensurable de la France (voir ici).
    • Nous avons également perdu la bourse de Paris qui n’est plus parisienne que de nom puisqu’elle a été rachetée par le New York Exchange, elle est donc maintenant américaine (voir ici).
    • Une partie de l’or français ne l’est plus non plus, il a été vendu par Sarkozy himself à ses copains américains pour sauver le dollar sans que les USA n’aient à vendre la moindre once de leur côté (voir ici)! Et ne parlons pas de la banque de France qui envisage également de vendre de l’or pour survivre (voir ici)…
    • La banque de France n’est plus vraiment française non plus, elle est européenne, faisant partie de l’Eurogroup, ce qui est en fait la mise en place d’une finance centralisée (voir ici). « Un seul état, une seule finance« , cette rengaine me rappelle quelque chose…
    • Nous avons aussi perdu la gestion de notre pays avec le pacte budgétaire européen puisque ces chers politiciens PS-UMP ont permis cette « évolution » dans notre système, c’est donc Bruxelles qui va pouvoir décider pour nous, enfin…. Nous…. (voir ici)
    • Et n’oublions surtout pas notre patrimoine! Bradé, vendu, exporté, délocalisé et mondialisé! Entre les USA, la Chine et le Qatar pour ne citer qu’eux, la France est devenue une grande braderie qui flingue ses valeurs et ses symboles.

    Bref, il faut arrêter d’écouter tous ces bien-pensants qui souhaitent l’assimilation nationalisme-xénophobie-français de souche simplement pour mieux démanteler le pays et le rendre « régionalisable » dans une Europe qui n’a rien de respectueuse envers ce que nous sommes et représentons.

    Notez une chose au passage, l’expression « français de souche » puisque suivant les mêmes personnes, le français de souche est blanc et catholique, et surement raciste, une aberration totale puisque français de souche définit une personne née sur le territoire et dont les parents sont eux-mêmes français, quelles que soient leurs origines.

    A l’heure actuelle, être nationaliste ne signifie pas être raciste mais vouloir protéger son pays et ce qu’il représente, c’est aller contre la mondialisation, contre toute idée de « nouvel ordre mondial », contre les délocalisations, mais combien ont oublié le tout premier sens de ce mot?

    Le conseil du jour: prenez un dictionnaire, et amusez-vous à relire certaines définitions plus ou moins oubliées comme patriotisme, liberté, démocratie….

    http://lesmoutonsenrages.fr/nous-sommes-manipules/nationalisme-ce-mot-quils-ont-voulu-nous-faire-oublier/

  • L'orage gronde dans l'Armée

    Antoine Martinez, Général (2S), Président de l’association des officiers de réserve, écrit dans Les 4 vérités :

    "[...] Nos forces armées n’en peuvent plus, depuis qu’avec la fin de la guerre froide, nos responsables politiques, manquant de vision à long terme, ont considéré qu’il était temps d’engranger les dividendes de la paix, démontrant ainsi qu’ils n’avaient rien compris à la conduite des affaires dans un monde régi par les rapports de force. « Si vis pacem, para bellum. » C’est parce que l’État consent un effort pour disposer d’une défense efficace que la nation peut vivre en paix avec tous les bienfaits qui en découlent. Car les menaces n’ont pas disparu, bien au contraire. Et, paradoxalement, nos forces armées n’ont, depuis 25 ans, jamais été aussi lourdement engagées à l’extérieur. Pourtant, elles sont confrontées à une baisse drastique et continue de leurs budgets. Et cette baisse affaiblit dangereusement notre outil militaire et met en péril la sécurité de la France. C’est ainsi que, depuis 25 ans, l’armée de terre a perdu plus des deux tiers de ses effectifs, l’armée de l’air plus de la moitié de ses avions et la marine opère avec un porte-avions indisponible au moins dix-huit mois tous les sept ans. Déjà, avec le Livre Blanc de 2008, un lourd tribut était imposé à nos armées avec, notamment, une réduction de 54 000 hommes à réaliser entre 2009 et 2014. On pouvait penser qu’un arrêt serait alors décidé dans le démantèlement de notre outil militaire après cette sérieuse saignée. C’était mal connaître l’inconséquence de nos responsables politiques qui considèrent les budgets de la Défense comme une variable d’ajustement. Finalement, sur le seul plan des effectifs, en dix ans, c’est 80 000 hommes que les armées auront perdus. Ce n’est plus une saignée, c’est une hémorragie insupportable qui pourrait conduire à une réaction dont nul ne peut prédire, à ce stade, la nature.

    Une chose est certaine : l’orage gronde. Selon nos autorités politiques, les nouvelles déflations d’effectifs n’entraîneraient pas une diminution de nos capacités. On croit rêver devant un tel déni de la réalité. Et ce déni révèle une méconnaissance totale du fonctionnement d’une force armée au combat. Nos camarades de l’armée de terre sont certainement les plus touchés car, manquant d’un minimum de culture militaire, nos élites politiques les considèrent comme des pions peu spécialisés et donc interchangeables sur le terrain en fonction des besoins, ce qui est complètement faux. Nos forces armées n’en peuvent plus de s’entendre dire que la Défense doit participer à l’effort budgétaire actuel. Faut-il rappeler que la part du PIB consacrée à la Défense est passée, en 30 ans, de 3 % à moins de 1,5 %? En revanche, des milliards sont gaspillés, chaque année, par exemple pour couvrir des dépenses de toutes sortes causées par une immigration extra-européenne incontrôlée ou par l’Éducation nationale incapable de remplir sa mission. Face à ces gaspillages irresponsables comparés au démantèlement suicidaire de notre outil militaire, les langues se délient aujourd’hui pour dénoncer le comportement des hommes politiques. Sous quelle forme se produira ce grand coup de gueule de la Grande Muette qui semble désormais inévitable? Démissions? Manifestations? Désobéissance? Jusqu’à ce jour, les gouvernements étaient sereins quant à la gouvernance des armées; il se pourrait, si les chefs militaires soucieux de l’intérêt général, refusent de nouvelles restrictions, que ce scénario idyllique ne soit plus d’actualité."

    Michel Janva

  • François Hollande relance la polémique sur le droit de vote des étrangers

    « Je suis favorable au droit de vote des étrangers », c’est ce que a nous rappelé François Hollande, hier après midi durant son discours d’inauguration au musée de l’Histoire de l’immigration ouvert en 2007. Alors que sa côte de popularité est au plus bas et que le fameux collectif des « frondeurs » prend de l’ampleur, François Hollande souhaite unifier la gauche en reprenant un de ses thèmes favoris : l’accueil des étrangers. « Il faut que la France soit représentée par toutes les couleurs, toutes les forces vives du pays »  a‑t‑il expliqué avant de comparer l’arrivée des 200 000 immigrés par an sur le sol français à une accumulation de« talents » et de « chances ».

    Dans cet éloge de l’immigration, François Hollande évoque tout de même la poussée du Front National

    Tout à fait. Si il attaque le Front National en les traitant de démagogues, mais il dénonce aussi la poussée des nationalismes en Europe dont on a vu l’illustration aux dernières élections européenne, en les comparant, je cite : « A des vents mauvais qui soufflent de plus en plus ». Quant à la montée de l’islam radical en France, il assure que l’islam est tout à fait compatible avec les lois de la République.

    Le président qui voulait rassembler les Français, ignore une fois de plus les Français de souche

    Eh oui ! Le président refuse toujours de prendre en compte l’avis des Français sur le sujet. Pourtant, dans un récent sondage Odoxa, 60 % des Français, seraient opposés au droit de vote des étrangers.

    L’immigration n’est pas une fatalité ? 

    Eh non ! Contrairement à l’idéologie bien pensante qui sévit en France depuis près de 40 ans. En Espagne par exemple, une loi de sécurité citoyenne a été adoptée jeudi dernier par le congrès des députés qui prévoit une reconduite immédiate des immigrés clandestins à la frontière.

  • Qu’est-ce que la base de l’UMP aujourd’hui ?

    Lu dans Minute :

    "La stratégie de reconquête arrêtée par Sarkozy est claire. Les nominations de Laurent Wauquiez au poste de secrétaire général ou de Madeleine Bazin de Jessé, fondatrice du mouvement des Veilleurs et de Sens commun, dans l’esprit de la Manif pour tous, sont clairement des signaux envoyés à la droite conservatrice, celle qui va à la messe. Mais qu’est-ce que la base de l’UMP aujourd’hui ? En majorité des sexagénaires et septuagénaires retraités, souvent éligibles à l’ISF, acquis à la droite pour des raisons financières et accessoi - rement par un réflexe de « common decency », ce concept cher à George Orwell qui rejette le paraître et l’artificiel au profit des éléments structurants de notre société. Laurent Wauquiez, sorte de gendre idéal, coïncide parfaitement avec ce moule et assume sa proximité idéologique avec Patrick Buisson. Nathalie Kosciusko-Morizet, première vice-présidente est évidemment en décalage."

    Michel Janva

  • Revue de presse : ça déménage

    Le monde politique est un monde dur, souvent violent et cruel. Pas seulement en raison des luttes pour le pouvoir entre dirigeants politiques, voire des rivalités qui peuvent apparaître au sein des mêmes formations, mais aussi du fait de l’adversité que l’exposition de ses idées sur la place publique peut générer. A fortiori pour ceux qui ne manient pas les concepts mous et consensuels des docteur Morphine de l’Etablissement et luttent frontalement contre le Système. Les militants frontistes en savent quelque chose. Surtout les plus anciens. Certes, le climat autour du FN s’est majoritairement sensiblement pacifié ces dernières années. Mais la longue liste des militants, élus, candidats frontistes agressés physiquement, calomniés, victimes de mises à mort sociale, dont les enfants, les conjoints ont été eux aussi parfois persécutés et menacés est là pour témoigner de la haine qui anime les adversaires du courant national et patriotique.

    Nous n’oublierons jamais, et Bruno Gollnisch le rappelle souvent, les sacrifices consentis par les parias du FN et autres militants de la première heure de la cause nationale, populaire et sociale, traînés dans la boue par la caste des bien-pensants. Ce sont eux qui ont permis au FN d’être et de durer. Sans eux, le FN ne serait pas aujourd’hui, sous la conduite de Marine Le Pen, dans la situation historique de mener enfin nos idées au pouvoir.

    Une violence dont le journaliste de télévision qui accompagne Florian Philippot sur les photos publiées par Closer témoigne indirectement dans une lettre ouverte adressée hier à la directrice de ce magazine pipole, madame Pieau, et publiée sur le site Rue 89.

    Sous le pseudonyme de « Tyto Alba » ( pour les curieux il s’agit du nom savant de la chouette effraie ou dame blanche) il explique les conséquences sur sa vie privée et professionnelle des photos publiés par Closer. Ainsi, alors même dit-il qu’il ne partage pas les idées du FN, et malgré son engagement pour « les causes gays » et « la lutte contre l’homophobie », il a été « la cible de menaces de mort, d’une chasse à l’homme venant s’ajouter à la violence de cette exposition», «(marquant son) image» «de façon indélébile au sein de (sa) profession ».

    Si le microcosme politico-médiatique a globalement dénoncé les méthodes de Closer, la presse s’est aussi penchée sur l’arrivée au FN, au sein du cabinet de Marine Le Pen, plus précisément auprès son directeur Philippe Martel, de Julien Odoul, 28 ans, historien de formation, aux évolutions politiques assez fulgurantes.

    Après un court passage par le PS pour voter Laurent Fabius à la primaire de 2006 est-il rapporté, il devient ensuite centriste, occupant notamment les fonctions de secrétaire national en charge du Conseil militant chez les Jeunes du Nouveau centre, le parti d’Hervé Morin. Sa carrière politique débuta véritablement entre 2009 relate L’Express, comme assistant du centriste André Santini jusqu’en 2011, avant de devenir secrétaire général du groupe du parti européiste UDI, au conseil général de Seine-Saint-Denis.

    En janvier 2011 il déclarait encore à L’Express : « Le centre véhicule toutes les valeurs qui sont les miennes ». Mais n’est-ce pas Bruno Gollnisch qui évoquait ces derniers jours la conversion fulgurante du futur Saint Paul sur le chemin de Damas ?

    Valeurs actuelles précise que «c’est Marion Maréchal-Le Pen, qu’il a rencontrée lors des universités d’été du FN à Marseille, en 2013, qui lui a présenté la présidente (du FN). Julien Odoul l’affirme: «Marine Le Pen est la seule alternative pour 2017, c’est elle qui arrive à rassembler les patriotes». Il se définit volontiers comme souverainiste, anti fédéraliste et étatiste» , c’est-à-dire à l’exacte opposé de la doxa centriste.

    Ce magazine et Libération ajoutent avec une petite pointe de perfidie que « petite particularité, Julien Odoul a posé pour Têtu. Si en 2011 il se disait très fier d’avoir fait ces photos pour le magazine gay, maintenant qu’il est au FN il assure que c’était pour payer ses études : «Je ne suis pas gay, d’une part, (et) pas communautariste, d’autre part Je ne suis pas un militant LGBT». Ce qui est plutôt une bonne nouvelle puisque ce militantisme là, mais est-il nécessaire de le redire ici, est inconciliable avec le fait de militer au FN.

    L’amour de la France et des Français d’abord, la constance dans son engagement patriotique, autant de qualités basiques mais essentielles du militant national. Nous évoquions lundi le cas de Fatima Allaoui, membre de l’UMP passée au SIEL une de composantes du RBM , il y a quelques mois, avant de le quitter pour rejoindre de nouveau l’UMP où elle a été nommée secrétaire nationale à la formation professionnelle par NKM. Finalement démise de ses fonctions au sein du parti sarkozyste au bout de quatre jours, Florian Philippot a proposé lundi sur i-Télé à la jeune femme de « venir au Front National. Si elle est patriote, sincèrement patriote -je pense qu’elle l’est, d’après ce qu’on m’a dit-, alors elle a sa place au Front National.»

    C’est a contrario un problème de place qui a conduit à la mise en examen le 11 décembre (automatique dans les affaires de diffamation et d’injure publique) de l’ex ministre aux Personnes handicapées, la députée socialiste Marie-Arlette Carlotti, pour injure publique à caractère racial. Selon le militant PS et avocat Hacen Boukhelifa, Mme Carlotti aurait déclaré en début d’année lors d’une réunion qu’elle refusait de faire un « ticket » avec lui pour les élections municipales au motif qu’elle avait « déjà un candidat arabe de la diversité sur (sa) liste ». « Il n’a qu’à aller voir Samia Ghali (candidate PS dans le 8e secteur) pour qu’elle le prenne dans les quartiers nord)», aurait-elle poursuivi.

    Le racisme, réel ou supposé est pourtant une obsession affichée de la gauche et même d’une large partie de la droite. Eric Zemmour est ainsi de nouveau la cible de toutes les attaques suite à son entretien accordé au quotidien italien Corriere della Sera en date du 30 octobre. Celui-ci a été «opportunément» traduit par Jean-Luc Mélenchon et mis en ligne sur son blogue lundi. Une suite en quelque sorte du débat qui a opposé les deux hommes sur RTL le 12 décembre.

    Sur cette antenne, le dirigeant du Front de Gauche avait de nouveau étalé son immigrationnisme gaga digne du Medef et sa vision désincarnée du peuple français et d’une France réduite à l’héritage de 1789. Tout à fait dans la ligne des élucubrations cosmopolites de la secte du Grand orient à laquelle il appartient.

    Dans ce même article posté sur son blogue, le sans-culotte du Front de Gauche ose laver le catastrophique Front populaire, le gouvernement de Léon Blum de ses responsabilités dans le désastre de 40! Classe politicienne qui a refilé au vieux Maréchal, accessoirement homme de gauche et républicain, l’ardoise de ses erreurs et de ses lâchetés. Ce qui n’empêche pas M. Mélenchon de conspuer de manière obsessionnelle le « traitre Pétain » dont le portrait indique-t-il, orne «l’horrible affiche (sic) qui invite à aller voir l’exposition aux archives de France sur la collaboration. Beuark ! ».

    « Beuark »? M. Mélenchon, les collabos d’un mondialisme dont l’immigration de peuplement est une conséquence parmi d’autres, reprochent à M. Zemmour d’avoir déclaré à ce journal transalpin que les musulmans «vivent entre eux, dans les banlieues», que «les Français ont été obligés de les quitter». «Cette situation d’un peuple dans le peuple, des musulmans dans le peuple français, nous conduira au chaos et à la guerre civile».

    A la question « mais alors que suggérez-vous de faire : déporter 5 millions de musulmans français? », l’essayiste répond: « Je sais, c’est irréaliste, mais l’histoire est surprenante. Qui aurait dit en 1940 qu’un million de pieds-noirs, vingt ans plus tard, seraient partis d’Algérie pour revenir en France? ».

    Pour ceux qui se penchent honnêtement sur le programme du FN, qui connaissent la position ferme mais mesurée qui est celle de l’opposition nationale et patriotique quand il traite d’immigration, les différences (de taille) apparaissent entre le discours zemmourien et celui du Front.

    Le FN n’a jamais stigmatisé les immigrés (ce dont se défend également M. Zemmour dont les propos sont plus nuancés que leur résumé), mais dénonce les politiques d’immigration massive mises en place par la droite et la gauche depuis Giscard.

    Le FN n’est certainement pas en guerre contre les musulmans et l’islam. On peut être de toute évidence un parfait musulman et un authentique patriote français. Mais il est certain que les revendications religieuses, le prosélytisme communautariste de certains extrémistes mahométans sont nourris mécaniquement par l’immigration de peuplement. Celle-ci interdit de facto toute assimilation et transforme effectivement la physionomie et le climat régnant dans de nombreux quartiers. C’est en niant cette réalité là que le mal prospère.

    Le programme défendu par le FN vise justement à éviter cette « guerre civile » ou à tout le moins ce chaos social, économique, identitaire, qu’Eric Zemmour juge inéluctable. Contrairement à l’auteur du « suicide français », le FN ne sombre pas dans un fatalisme, bien étranger au génie de notre pays, de notre civilisation helléno-chrétienne. Sinon à quoi bon se battre? Aide-toi le ciel t’aidera!

    Il n’en reste pas moins que Bruno Gollnisch, partisan de la liberté d’expression, du droit de penser en dehors des clous, exprime instinctivement sa solidarité avec Eric Zemmour qui voit s’abattre sur ses épaules les pires anathèmes et amalgames.

    Dans sa recension de cette « affaire » Europe 1 qui croit utile de rappeler qu’ Eric Zemmour est «un juif originaire d’Afrique du nord» (une information utile au débat ?) évoque les réactions du ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve qui parle « d’odieuses attaques » contre «le vivre-ensemble». Ou encore «l’Observatoire national contre l’islamophobie, qui dépend du Conseil français du culte musulman (CFCM) », qui dénonce des «propos (qui) viennent s’ajouter à une litanie de déclarations abjectes et sans fondement de ce prêcheur de haine patenté à l’encontre de l’islam et des musulmans ».

    Pour faire bonne mesure, le pseudopode du PS SOS racisme annonce qu’il va porter plainte contre un homme « mû par une haine tenace envers les populations arabo-musulmanes ». Pas en reste, le patron des députés socialistes, Bruno Le Roux, appelle à chasser M. Zemmour des médias: «il est temps que les plateaux télé et les colonnes des journaux cessent d’abriter de tels propos». Toujours cette vieille pulsion totalitaire qui est dans l’Adn de la gauche…

    Nous ne pouvons que conseiller à nos belles âmes antiracistes, aux bourgeois du PS, du Front de gauche, des médias, à tous les militants béats et /ou hypocrites du vivre-ensemble, de quitter les quartiers white, blancos comme dirait Manuel Valls, dans lesquels ils vivent tous. Qu’ils mettent leurs actes en conformité avec leurs propos, déménagent et s’intallent dans les quartiers pluriels que décrit Eric Zemmour.

    Ce serait là le signe d’un engagement citoyen fort et la preuve indubitable que M. Zemmour est un fou haineux aux fantasmes délirants. Après tout l’immersion dans le quotidien des Français est parait il très tendance dans les médias…

    http://gollnisch.com/2014/12/17/revue-de-presse-ca-demenage/