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  • Racisme anti-blanc : la terrible affaire Jérémy Roze

    Cet étudiant en pharmacie fut tué à coups de couteaux dans le quartier Saint-Michel à Toulouse le 26 février 2011.

     

    Jérémy Roze est une victime de l’ensauvagement de la France, cet étudiant en pharmacie fut tué à coups de couteaux dans le quartier Saint-Michel à Toulouse le 26 février 2011. Les enquêteurs ont eu des difficultés à déterminer le motif de l’assassinat, en effet rien ne fut volé à Jérémy Roze, le cas du crime crapuleux était donc exclu.

    Comme d’habitude, on trouvera des excuses aux deux assassins, messieurs Icham Ouaki, âgé aujourd’hui de 22 ans, et Driss Arab, âgé lui de 24 ans ; elles sont toujours les mêmes, troubles psychologiques, enfances difficiles, ou bien encore « misère sociale ». Toutes ces circonvolutions n’ont qu’un objectif, éviter le sujet qui fâche, celui dont personne ne veut parler : le racisme anti-blanc de plus en plus fréquent et dramatique en France.

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  • Le libéralisme : ennemi de la liberté

    Il est probable que si Voltaire, Diderot ou Montesquieu avaient pu imaginer à quelle société le succès de leurs idées allait finalement donner naissance, ils auraient consacré le restant de leurs existences à rechercher la formule de l’antidote.

    Les Lumières se battaient pour le triomphe de la Liberté et de la Raison sur toutes les formes d’oppression et d’autorité, sociale ou religieuse. En lançant son célèbre cri de guerre « Écrasons l’infâme ! », Voltaire se voulait clair : ce n’est que lorsque l’obscurantisme religieux et le fanatisme moral auront été terrassés que l’Homme pourra accéder au statut d’être libre. D’ici là, il doit traquer l’Intolérance partout où elle se niche. La débusquer. Et l’anéantir.

    Notre si précieuse liberté d’expression est le fruit de ce libéralisme voltairien. Un libéralisme philosophique qui place au premier plan le droit de l’individu à penser et à agir selon ses propres désirs et représentations, à l’abri des diktats du Pouvoir et des commandements de l’Église. Un libéralisme qui défend coûte que coûte le principe de « neutralité axiologique » qui récuse à tout gouvernement le droit de juger de la valeur d’une croyance ou d’une pratique, dès l’instant où celle-ci ne nuit à personne. Un libéralisme qui fait des notions de « bien » et de « mal » une simple affaire de vision personnelle, de choix privé, de goût. Des goûts et des couleurs, on ne discute pas… et les ânes seront bien gardés !

    Le problème, c’est qu’une liberté bâtie sur les ruines de l’« infâme » est une liberté dont le socle est friable. Et il s’est effrité… Car, à partir du moment où on disqualifie par avance toute position qui se réfère à d’autres critères normatifs que celui du droit individuel ou du désir privé, on ratifie, sans le vouloir, l’adage de Saint-Just : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ! » Belle ironie pour ce pauvre Voltaire ! En appuyant sa défense du libéralisme sur une lutte à mort contre l’autorité, le conservatisme et la tradition, il ne se rendait pas compte qu’il allait, en réalité, contribuer à saper les conditions de la liberté réelle. [....]

    Charles Robin

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  • La sédation terminale est une euthanasie

    Voilà une vidéo faite par des étudiants en médecine qui explique en quoi la sédation terminale est une euthanasie. Alix Frenais, porte parole, explique pourquoi les médecins sont opposés à la sédation terminale lors du rassemblement au Trocadéro mercredi :

    "Soulager et mettre tout en place pour combattre les souffrances de nos patients, c'est OUI. Donner la mort c'est NON et c'est là tout le sens de notre engagement au sein de Soulager mais pas tuer".

    Michel Janva

  • Lanceurs d’alerte : coupables ou héros ?

     

    À travers l’histoire de trois lanceurs d’alerte américains, ce documentaire illustre la férocité des États-Unis contre ceux qui osent dénoncer le pouvoir. Un éclairage stupéfiant sur les méthodes des administrations Bush et Obama.

    http://www.contre-info.com/

     

     

  • Talibans : le carnage (Présent 8253)

    Chaque jour apporte son lot de barbarie islamiste aux quatre coins du monde. Les talibans pakistanais ont perpétré mardi la plus sanglante attaque terroriste de l’histoire du pays dans une école d’enfants de militaires, massacrant 141 personnes dont 132 enfants.

    Talibans : le carnage (Présent 8253)L’assaut de l’école de Peshawar s’est achevé après plus de sept heures de combat par la mort des six tueurs. Les récits de survivants racontent comment les talibans sont passés de classe en classe en abattant à la chaîne des enfants parfois âgés d’à peine dix ans. Les traquant jusque sous les bancs pour les achever. Une méthode dont s’était inspirée Mohamed Merah en assassinant chez nous les enfants de l’école juive Ozar-Hatorah de Toulouse.

    Le carnage a été revendiqué par le Mouvement des talibans du Pakistan (TTP), principal groupe islamiste du pays et auteur de l’attaque contre Malala en 2012, qui a choisi cette école car « les enfants de plusieurs hauts gradés de l’armée y étudient ». Islamabad a en retour réaffirmé sa détermination à éradiquer ce groupe dont les attaques ont tué plus de 7 000 personnes dans le pays depuis 2007.

    Sur son lit d’hôpital, l’un des survivants, Shahrukh Khan, 16 ans, gardera longtemps en mémoire l’image de ce taliban qui criblait de balles les écoliers et comment lui-même s’est tordu de douleur mais retenu de crier lorsqu’il en reçut deux aux jambes, faisant le mort. Après avoir longtemps « attendu d’être fusillé, les yeux fermés », il perdra connaissance mais se réveillera à l’hôpital, miraculé.

     

    Le bilan est effroyable : hors assaillants, l’attaque a fait 141 morts, dont 132 enfants et 124 blessés dont 121 enfants, a annoncé dans la soirée le porte-parole de l’armée, le général Asim Bajwa. L’hôpital public Lady Reading de Peshawar a été assailli par des parents noyés de chagrin en voyant arriver les dépouilles de leurs enfants aux uniformes trempés de sang.

    « La charia la plus stricte »

    Souvent accusée par le passé de liens troubles avec des groupes armés islamistes, l’armée s’est décidée en juin dernier après plusieurs années d’hésitation, à lancer une offensive contre le TTP dans le Waziristan du Nord, une zone tribale située à la frontière afghane et considérée comme son principal bastion. Le TTP n’a pas réagi pendant plusieurs mois et s’est même divisé en factions rivales dont certaines semblent avoir abandonné le « djihad » contre le gouvernement pakistanais décrété en 2007 pour le punir de son alliance avec les « infidèles » américains. Mais d’autres, extrêmement fanatisées et violentes, sont déterminées à massacrer méthodiquement les civils faute de pouvoir affronter l’armée.

    Le TTP, qui réclame l’instauration dans le pays de « la charia la plus stricte », a détruit des centaines d’écoles ces dernières années. C’est ce groupe qui a tenté en 2012 d’assassiner Malala Yousafzaï, la jeune militante pour l’éducation couronnée cette année du Prix Nobel de la paix. Le chef actuel du TTP, le mollah Fazlullah, a encore accentué le radicalisme religieux du mouvement et sa sauvagerie.

    Caroline Parmentier

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  • Politique étrangère française en Syrie : les huiles du Quai d’Orsay agissent par idéologie

    Ils savent que la politique étrangère menée par la France en Syrie est une catastrophe… Mais rien ne va changer, ou presque.

    Lu sur le site Secret Défense : La politique de la France en Syrie est un échec. Forts de ce constat, les diplomates cherchent une issue praticable. «Nous sommes très pragmatiques», reconnaît l’un d’entre eux, au cœur du dossier, qui en appelle au «réalisme». Au Quai d’Orsay, le ton a changé. Il est vrai que, poursuivie avec entêtement depuis le printemps 2011, la stratégie de confrontation directe avec le régime a abouti à une impasse : Bachar al-Assad est toujours là, le groupe djihadiste Daesh s’est taillé un vaste fief et l’opposition modérée, activement soutenue par Paris, n’est pas en passe de conquérir le pouvoir, loin s’en faut. Les frappes américaines contre Daesh et al-Nosra (affilié à Al-Qaïda), qui épargnent le régime, n’ont rien arrangé. En langage diplomatique, on explique que «la situation s’est considérablement complexifiée et qu’elle est singulièrement bloquée». En langage plus trivial, on dirait simplement : on s’est planté et il faut nous sortir de là. «On est tous en train de réfléchir, confie une source, on ne s’interdit aucune solution, même si on a nos lignes rouges», comme le maintien d’Assad au pouvoir ou, pire encore, un accord tacite avec lui pour combattre l’Etat islamique.

    Il est vrai que ce serait horrrrrible de soutenir la politique de Bachar El Assad contre les égorgeurs de l’État Islamique. Mieux vaut déstabiliser encore plus le pouvoir syrien et ainsi favoriser l’expansion des fanatiques venus du monde entier pour massacrer femmes et enfants.

    http://www.contre-info.com/