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  • Convention entre la SNCF et SOS Racisme

    L'AGRIF dénonce la signature d’une convention entre SOS Racisme et la SNCF :

    "Nous découvrons le bulletin Flashcom de la direction de la sûreté de la SNCF daté du 2 décembre nous apprenant la signature d’une convention par le président de SOS Racisme Dominique Sopo et le secrétaire général de la SNCF, Stéphane Volant.

    Désormais l’organisation idéologique SOS Racisme sera appelée à intervenir dans les journées-formation des agents de la SNCF sur les questions de « déconstruction des préjugés » (sic !) et des actes de racisme ou de discrimination.

    Quand on connaît l’histoire de SOS Racisme, de son utilisation partisane et subversive sous le couvert du soi-disant antiracisme, l’histoire encore de ses détournements financiers et de ses querelles internes proprement racistes entre juifs et musulmans, cela constitue un véritable scandale. C’est en effet un détournement de l‘argent des voyageurs dont l’immense majorité ne partage certainement pas le drôle d’antiracisme de l’organisation néo-trotsyste jadis mise sur pied par Harlem Désir avec l’appui sous Mitterrand du parti socialiste et du gouvernement.

    Nous demanderons dès lundi un rendez-vous à Stéphane Volant afin que l‘AGRIF, qui est totalement indépendante de tous les partis, puisse, pour le moins, tout autant que SOS Racisme participer à la formation des agents de la SNCF."

    Marie Bethanie

  • Pétrole : le calme avant la tempête, d’après l’Agence internationale de l’énergie

    L’Agence internationale de l’énergie (AIE) prévient dans son dernier rapport annuel : la planète pétrole est en passe d’entrer dans une zone à très haut risque, en dépit de ce que pourrait laisser croire la chute actuelle des cours de l’or noir. Conséquence de la révolution du pétrole “de schiste” aux Etats-Unis et du ralentissement de la croissance mondiale, la baisse spectaculaire des prix du baril menace de tarir les investissements indispensables pour repousser le spectre du pic pétrolierconfirme l’AIE.

    Le chef économiste de l’AIE, Fatih Birol, avertit :

    “L’image à court terme d’un marché pétrole bien approvisionné ne doit pas masquer les risques futurs (…), à mesure que s’accroît la dépendance vis-à-vis de l’Irak et du reste du Moyen-Orient.”

    Croissance attendue de la production mondiale de brut. La production actuelle est de l’ordre de 90 millions de barils par jour (Mb/d). Source : Agence internationale de l’énergie, 2014.

    Le Dr Birol ne se risque pas à dire combien de temps pourrait durer la chute actuelle des cours du baril (en marge d’une présentation à Bruxelles, il évoque néanmoins mezza voceune période de deux ans,“peut-être”), mais quoi qu’il en soit selon lui, la tendance à terme est nécessairement à la hausse du prix de l’or noir. Il pronostique :

    “Compte tenu du temps nécessaire pour développer de nouveaux projets d’extraction, les conséquences d’un manque d’investissements pourraient mettre du temps à se matérialiser. Mais des nuages commencent à s’accumuler sur l’horizon à long terme de la production mondiale de pétrole ; ils charrient devant nous de possibles conditions tempétueuses.”

    Le profil de la tempête potentielle se dessine à l’examen du graphe de l’AIE reproduit ci-dessus :

    – le boom de la production américaine devrait prendre fin avant la fin de la décennie (conformément au diagnostic le plus récent de l’administration Obama) ;

    – en dehors des Etats-Unis, il n’y a pas de réplique significative à attendre de ce boom du pétrole “de schiste” (ou de roche-mère, à proprement parler) ;

    – les pétroles non-conventionnels nord-américains (pétrole de roche-mère aux Etats-Unis, sables bitumineux au Canada) ne suffiront pas à eux seuls à apporter une compensation des sources conventionnelles de pétrole en déclin ;

    – déjà plus que délicat à maintenir lorsque le baril était au-dessus de cent dollars(tout particulièrement pour les “majors”), le gigantesque effort d’investissement – de l’ordre de 500 milliards de dollars par an –, nécessaire afin de compenser le déclin naturel de nombre de sources de brut majeures anciennes et parvenues à maturité, apparaît d’autant plus difficile à pérenniser maintenant que le baril est tombé à 80 dollars, souligne l’AIE, en particulier pour ce qui concerne les sables bitumineux et les forages ultra-profonds au large du Brésil. En juin, alors que le baril était encore à 115 dollars, le pétrolier français Totalremisait dans ses cartonsun projet à dix milliards de dollars au Canada, parce qu’il n’offrait pas une rentabilité suffisante.

    Désormais, le Financial Times signale l’émergence de problèmes très substantiels de rentabilisation pour les projets offshore, et rend compte des vives tensions qui partagent les pays membres de l’Opep. Le rythme des forages dans le pétrole de roche-mère au Etats-Unis paraît fléchir ces dernières semaines, constate par ailleurs l’agence Bloomberg ;

    – last but not least (at all), en rouge sur le graphe, ce qui s’appelle“Middle East” correspond pour l’essentiel à la croissance attendue de la production de brut irakienne. On appréciera les implications géostratégiques vertigineuses – glaçantes ? – de l’importance future,bien davantage cruciale encore qu’aujourd’hui, que l’AIE attribue à la production de l’Irak (pays peu ou prou en état de guerre ou sous embargo depuis 34 ans), tandis que le Dr Birol constate, sans surprise, que“l’appétit”des investisseurs pour l’Irak apparaît ces temps-ci un tantinet maigrichon…

    Sur le front du climat, l’accord entre Etats-Unis et Chine intervenu la semaine dernière est à juste titre qualifié d’“historique”par Fatih Birol.

    Le président Barack Obama a engagé les Etats-Unis à réduire de 26 à 28 % leurs émissions de CO2 en 2025, par rapport au niveau de 2005. Le président chinois Xi Jinping, en retour, assure que les émissions chinoises atteindront un pic“vers 2030″.

    Cet accord est historique ne serait-ce que parce qu’il entérine la très forte probabilité d’une altération irréversible du climat (certes là encore sans surprise).

    Infographie New-York Times:

    L’avenir du charbon chinois est l’autre nouvelle majeure que recèle le rapport annuel de l’Agence internationale de l’énergie :

    l’AIE table (avec“un niveau élevé de confiance”, précise Fatih Birol) sur l’amorce en cours d’un plafonnement de la consommation chinoise de charbon.

    Agence internationale de l’énergie, 2014.

    Avec quoi la Chine choisit-elle désormais de s’alimenter prioritairement en énergie, tout en réduisant l’intensité de ses émissions de gaz à effet de serre ?

    Le développement du nucléaire en Chine promet d’être non moins spectaculaire que celui des énergies renouvelables planifié par Pékin :

    Evolution de la puissance nucléaire installée d’ici à 2040. Agence internationale de l’énergie, 2014.

    130 gigawatts (GW) supplémentaires en 2040, c’est près du double du parc nucléaire français, et environ un tiers de plus que la totalité du parc nucléaire américain, le premier du monde à l’heure actuelle. La Chine dispose aujourd’hui d’une capacité nucléaire de 12 GW.

    OILMAN

    http://fortune.fdesouche.com/367337-petrole-le-calme-avant-la-tempete-dapres-lagence-internationale-de-lenergie#more-367337

  • Le remplacement est d’abord culturel

    Zemmour, Camus ou Le Gallou le répètent à l'envi : la pire attaque contre notre civilisation est dans la langue qui s'appauvrit.

     

    De Lunel, petite ville de l’Hérault, une bonne dizaine de musulmans sont partis rejoindre les rangs de l’État islamique. Six n’en reviendront pas. 

    La Dépêche du Midi (Jean-Michel Baylet, radical de gauche) titre sur ces « jeunes tués en faisant le djihad ». En 2014, « on part faire le djihad » contre Bachar el-Assad, comme on s’engageait dans les Brigades internationales contre Franco en 1936. 

    Les édiles socialistes locaux appelèrent les musulmans à condamner ces départs, sans en chercher les causes. Lahoucine Goumri, président de l’association qui gère la mosquée, leur répondit, non sans malice, que « la première filière djihadiste, c’est Francois Hollande ».

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  • Clovis, l’inventeur de la laïcité

     

    Profondément enracinée dans l’histoire de France, la laïcité n’a pas lieu d’être défendue par les héritiers caricaturaux des bouffeurs de curés prenant pour cibles les crèche de Noël.

    Au premier rang des “valeurs” de la République se trouve l’inévitable “laïcité”. Celle dont ses thuriféraires les plus creux datent l’avènement à la loi du 5 décembre 1905 portant séparation des Églises et de l’État. Combien de sottises sont proférées en référence à un signifiant récent dont le signifié fondamental remonte à Clovis… On confond souvent laïcité et laïcisme. À la séparation juridique de la première s’est agrégée l’autre séparation de la France et de sa culture chrétienne. Celle-là avait pour mérite, excepté la méthode pour le moins brutale et vexatoire – par son anticléricalisme confinant à une véritable haine d’État – de ne pas totalement couper avec les anciennes libertés gallicanes d’Ancien Régime.

    Une spécificité française

    L’historien Pierre Chaunu affirme ainsi que « comme l’admettent à l’époque certains catholiques, la Séparation est, au fond, pour eux une chance car elle leur rend, certes au prix fort, la liberté ». Le problème, néanmoins, reconnait encore Chaunu, est que « la Séparation ne fait que mettre au grand jour une réalité qu’elle accentue : la France n’est plus un pays catholique ». Or, c’est un fait que depuis le baptême de Clovis, la catholicité du roi s’est rapidement confondue avec la francité. Sauf qu’il s’agit bien plus que d’une simple question religieuse. En épousant certes le dieu de Clotilde et de ses sujets, Clovis a littéralement fondé la France. Non pas la France charnelle, mais la France politique, celle qui permettra à la monarchie de s’enraciner et à la République de s’y vautrer indument, jusqu’à la souillure, dans les draps millénaires. Dans son essai sur Clovis, une histoire de France (Lattès, 1996), Paul-Marie Coûteaux explique que « dans la personne de Rémi [évêque de Reims] et dans celle du roi, s’incarnent des préoccupations fort différentes et l’on peut dire de leur extraordinaire rencontre ce que l’on dit fort justement des traités, qu’ils se font “joindre des arrière-pensées” ». Et d’ajouter que « Clovis s’est agenouillé devant une puissance plus grande que la sienne : mais si Rémi a domestiqué une force guerrière neuve pour s’en servir de protection, la dynastie et l’État franc ont reçu une légitimité décisive, et, dans ce jeu de reconnaissance réciproque, chacun a besoin de l’autre ».

    Empereur en son royaume

    Le baptême de Clovis fut, en effet, cet acte fondateur, primordial pourrait-on dire tant il assigne prioritairement, et pour des siècles, les missions et buts du pape et du roi “empereur en son royaume”. Le roi de France ne souffre aucune concurrence dans l’État. Quant à l’Église, elle a toujours cherché à rester dans le giron de Rome pour échapper à son assujettissement par l’État. Mais elle a aussi entendu manifester, de façon constante, son indépendance à l’égard du pape. Ainsi la nation française a-t-elle su, dès l’origine, faire sienne cette réponse du Christ aux pharisiens : « Rendez à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu. » En posant le catholicisme comme religion de la majorité des Français, Napoléon inscrivait ses pas dans ceux d’Henri IV qui affirmait que, chacun dans leurs domaines respectifs, le politique et le religieux exerçaient un magistère complémentaire, sans préséance de l’un sur l’autre. Dès lors, si lointainement, politiquement et spirituellement française, la laïcité n’a évidemment pas besoin de défenseurs aussi antinationaux et stupidement aussi anticléricaux que ses actuels sectateurs, “libres penseurs”, héritiers caricaturaux des bouffeurs de curés maçonniques de la IIIe Gueuse. Il est ainsi grotesque de condamner l’érection de crèches au sein de mairies ou autres maisons communes, quand, au cœur d’icelles, tel édile ou élu invitera à rompre le jeûne du ramadan ou à fêter l’Aïd ; quand il permet l’introduction de menus halal dans les cantines scolaires ou, dans les piscines, d’horaires d’ouverture différents pour les hommes et les femmes ; quand il laisse quasiment impunies les hystéries blasphématoires des Femen, qu’il subventionne le Piss Christ et qu’il tolère les musulmans à prier dans la rue. Et quand il contourne allègrement la loi de 1905 en autorisant l’édification de mosquées, parfois avec l’aval de tribunaux administratifs complaisants, adoptant une définition plastique de la légalité. Et quand, dans le même temps, il détruit des églises, faute de les avoir entretenues durant des années 

    Laïcité à géométrie vriable

    Voici l’halahïcité du XXIe siècle ! Celle qui, dans un pays totalement déchristianisé comme le nôtre, ne retient plus de la Toussaint, de Noël ou de Pâques, que ses avatars consuméristes d’Halloween, de jouets frappés d’obsolescence programmée et de vacances low cost, pour le plus grand bonheur du « divin marché » (selon la formule du superbe essai éponyme de Dany-Robert Dufour). Un Tariq Ramadan peut faire mine de défendre les racines chrétiennes de notre pays quand, jour après jour, celui-ci est en proie à une islamisation rampante, inéluctable et déterminée. Nous laisserons conclure cet immense juriste que fut Jean Rivero, lorsqu’il avertissait du danger de verser dans l’absurde, au nom d’une laïcité sourcilleuse : « L’École [ou plus largement l’État] ne peut prétendre faire ignorer à l’enfant un phénomène sur lequel l’angélus de son clocher, la croix du carrefour, l’informent à longueur de journée ; [...] fait historique, fait actuel, le fait religieux n’a pas à être systématiquement passé sous silence : et ce silence même, à le supposer possible, ne serait-il pas une option ? » Cette option s’appelle le laïcisme, soit le nom sécularisé de la dhimmitude.

    Aristide Leucate

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Clovis-l-inventeur-de-la-laicite

     

  • [Tribune] Zemmour et le délit de non-dit : le début de la fin – par Ulysse

    Mardi 16 décembre 2014, Bernard Cazeneuve prend publiquement position pour condamner des propos attribués calomnieusement à Éric Zemmour (en l’occurrence l’usage du terme de « déportation » qu’il n’a jamais prononcé). Vendredi 19 décembre 2014, I-Télé, une chaîne d’informations privée met fin à son contrat avec le journaliste.

     

    La gauche cléricale, qui sonde les reins et les cœurs, pénètre en force le mystère des intentions de l’âme a, une nouvelle fois, promulgué son jugement en sorcellerie.

     

    Littéralement, et sans avoir besoin de souscrire à aucune théorie conspirationniste, c’est donc le pouvoir exécutif qui, en pleine lumière -comme un tyran tellement sûr de sa force qu’il ne prend même plus la peine de dissimuler ses entorses à un droit qu’il prétend par ailleurs toujours respecter-, a fait pression sur un organisme privé pour qu’il débarque l’un de ses salariés, au motif que ses propos contreviendraient à l’idéologie dominante. Taubira avait déjà inventé le crime contrefactuel (vous auriez pu être nazi, donc vous êtes potentiellement nazi, donc vous êtes nazi), voilà que Cazeneuve invente le délit de non-dit : vous n’avez pas employé le terme de « déportation », mais vous le pensiez très fort, et ceci tombe sous le coup de la loi et de la justice (qui en l’occurrence ne s’est pas prononcée). La gauche cléricale, qui sonde les reins et les cœurs, pénètre en force le mystère des intentions de l’âme a, une nouvelle fois, promulgué son jugement en sorcellerie. Vous vous excusez ? Vous vous accusez. Vous ne vous excusez pas ? Vous vous accusez quand même. Vous n’avez rien dit ? Oui, mais vous avez pensé. Vous avez seulement pensé ? Oui, mais certaines pensées sont pires que des armes chimiques Monsieur, d’ailleurs si vous n’en avez pas, nous allons vous en trouver… La pénalisation du jugement, la criminalisation des intentions, c’est maintenant.

    L’évidence aveugle celui qui n’est pas assez pur pour la recevoir, comme le sens littéral finit parfois par échapper à ceux qui se perdent dans de sophistiques considérations sur les sens figurés. Car enfin, que dit Éric Zemmour qui soit si dérangeant ? Si scandaleux ? Si dur à entendre qu’il faille l’interdire à défaut de pouvoir le contredire ? Il aligne, avec plus ou moins de bonheur, (mais toujours beaucoup de courage en des temps rendus sourds à la littéralité du sens), des évidences. Quelles sont-elles ?

    1-Un peuple ne peut pas supporter sans finir par connaître une crise majeure et potentiellement meurtrière l’immigration massive de peuples aux coutumes qui lui sont radicalement étrangères, et ce, sans préjuger aucunement de la valeur des unes comme des autres. Zemmour réintroduit donc un paramètre quantitatif, (jamais indifférent au problème de la mesure), dans un champ politique qui prétend s’en affranchir au nom d’un humanisme abstrait pour lequel 1 ou bien 1 million, cela revient au même…

     

    http://fr.novopress.info/

  • Robotisation : une étape importante franchie avec un homme à bras mécaniques

    Aux Etats-Unis (Colorado), un homme a marqué l’histoire, au « laboratoire de physique appliquée de l’université John Hopkins », quand il est devenu le premier amputé des deux bras (au niveau des épaules) à porter et manier simultanément deux « prothèses modulaires ».

    Plus notable, Lee Baugh, qui avait perdu les deux bras dans un accident électrique il y a 40 ans, parvenait il y a quelques semaines à faire fonctionner le système en pensant simplement à bouger ses membres, pouvant effectuer des tâches diverses.

    (en anglais mais les images sont éloquentes)

    http://www.contre-info.com/