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  • Ces découvertes qui détraquent la chronologie de l'Histoire

    Lascaux.jpgDès que l’on commence à prêter attention à ce que Michael A. Cremo et Richard L. Thompson appellent à juste titre « l’archéologie interdite [1] » - des découvertes qui ne cadrent pas avec la théorie officielle et sont par conséquent ignorées, écartées par une explication convaincante ou rejetées sous prétexte de falsification -, une image entièrement nouvelle et inattendue de l’ancien monde commence à émerger.

    Ces découvertes attendent encore une explication rationnelle. Si nous la possédions, l’histoire de l’homme apparaîtrait sous un jour différent. Que soit admis le bien-fondé des faits que nous allons exposer et il faudrait conclure que la naissance de la civilisation remonte à des temps beaucoup plus reculés qu’il n’est généralement estimé.

    Des découvertes stupéfiantes

    Près de Pékin, dans une grotte de Zhoukoudian, les fouilles entreprises par le docteur F. Weidenreich en 1933, mirent au jour un certain nombre de crânes et de squelettes humains. L’un des crânes appartenait à un vieil Européen, un autre à une jeune femme au crane allongé, de race typiquement mélanésienne, un troisième crâne fut identifié comme appartenant aussi à une jeune femme mais aux traits esquimaux caractéristiques. Un homme européen, une fille des tropiques, une autre fille du cercle polaire découverts ensemble au fin fond d'une grotte chinoise ! Comment, il y a environ 30 000 ans, ces spécimens humains, si éloignés les uns des autres, arrivèrent-ils en Chine ? Cet épisode, surgi de la préhistoire, reste un profond mystère. [2] [3]

    sungir tombeL’homme de la dernière période glaciaire possédait-il assez de facilités techniques pour redresser les énormes défenses incurvées du mammouth ? Jusqu’au jour où le docteur Otto Bader découvrit, en Russie, dans le tombeau de Sungir, des harpons tirés des défenses du puissant animal, aucun savant n’estimait que l’homme préhistorique ait pu avoir l’habileté de transformer une défense d’ivoire coudée en un certain nombre de harpons rectilignes. [4]

    L’équipe de Bader découvrit, sur le même site, une aiguille en os - dont nos actuelles aiguilles d’acier sont l’exacte réplique - et des milliers de perles d’ivoire [5]. De même que les harpons, les trouvailles remontaient à 28 000 ans. L’existence tout à fait inattendue d’objets fabriqués par l’homme à une époque aussi reculée entraîna la révision des concepts établis sur la technologie de l’ère glaciaire.

    Les fameux crânes de Jéricho, bourrés d’argile et de coquillages, sont d’un type nettement égyptien. Leur antiquité a été estimée à 6 500 ans avant J.-C. — à peu près 1 500 ans avant les premières manifestations de la civilisation nilotique. Cette découverte soulève maintes questions. Les têtes momifiées démontrent-elles déjà chez l’homme un désir d’immortalité ? S’il en était ainsi, nous aurions une preuve de l’existence d’une religion en un temps fort lointain. Mais la pensée métaphysique ne naît pas spontanément, elle est soumise à une lente évolution. A quelle source le peuple de Jéricho avait-il puisé ?

    34c185f00180b2fc916342bfb7f67cf4e1b137cbLe professeur Luther S. Cressman, de l’université d’Oregon, trouva dans l’Est du Nevada, à Fort Rock Cave, deux cents paires de sandales de corde, aussi habilement tressées par leur fabricant que les sandales de plage portées à Saint-Tropez. Un test au carbone 14 révéla qu’elles avaient plus de 9 000 ans, et elles sont, cependant, récentes si on les compare à l’empreinte d’une chaussure découverte dans une roche du Fisher Canyon, dans le comté Pershing, également au Nevada.

    Sur ce document, l’impression de la semelle est si nette que les traces du fil fort avec lequel elle était cousue sont visibles. Pourtant, l’empreinte remonterait au-delà de cinq millions d’années ! D’après l’opinion courante, l’homme primitif serait apparu il y a quelque deux millions d’années, mais il ne porte des chaussures que depuis 25 000 ans ! De qui vient alors cette empreinte ? [6]

    Les peintures rupestres de Brandberg, dans le Sud-Ouest africain, représentent ensemble des Noirs de la brousse et des femmes blanches, dont le type européen est encore accentué par la peinture claire qui couvre leur épiderme et celle des chevelures rouges ou jaunes. Les femmes portent des bijoux, une coiffure raffinée, ornée de coquillages et de pierres. Les gracieuses amazones sont munies d’arcs et d’outres suspendues sur leur poitrine.

    Quelques archéologues pensent que ces jeunes femmes étaient d’intrépides exploratrices venues de Crète ou d’Egypte il y aurait 3 500 ans. Elles ressemblent toutefois, et le fait vaut d’être souligné, aux Capsiennes qui vivaient il y a 12 000 ans au nord de l’Afrique. Elles ont de même le torse dégagé, les arcs, la coiffure et les bandes molletières croisées sur les jambes.

    104-White Lady Of Brandberg1 La Dame blanche de Brandberg, étudiée par l’abbé Henri Breuil, est un véritable chef-d’œuvre. Par son costume et la fleur qu’elle tient à la main, elle rappelle la fille combattant le taureau trouvée en Crète.

    A l’ouest d’Alice Springs, sur un escarpement rocheux, au cœur de l’Australie, Michael Terry découvrit, en 1962, une gravure sur pierre représentant le Nototherium mitchelli, animal du type Diprotodon dont l’espèce est éteinte depuis 40 000 ans. Sur le même lieu, le chercheur trouva six roches gravées ressemblant à des têtes de bélier qui lui rappelèrent les représentations assyriennes et égyptienes. Un personnage de grande taille - deux mètres environ - se trouve au milieu de ces figures énigmatiques.

    Coiffé d’une mitre semblable à celles que portaient les pharaons, les jambes et les cuisses musclées, l’homme est totalement différent des formes humaines, maigres et sèches, couramment dessinées par les aborigènes australiens. Assez bizarrement, l’homme est représenté horizontalement quoique en position de marche. 

    Nous sommes ici encore en face d’un mystère. Sculptures d’un Diprotodon disparu, d’un bélier, inconnu dans la grande île avant l’arrivée des Anglais, et d’un homme non indigène, portant une tiare égyptienne ou babylonienne. Les traces d’érosion de la roche sur laquelle apparaissent ces représentations permettent de leur attribuer une très haute antiquité. Des hommes du proche Orient ou d’Asie parvinrent-ils en Australie centrale à une époque reculée et, dans l’affirmative, par quels moyens ? Il semble que nos conceptions des possibilités de longs voyages qu’avaient nos lointains ancêtres doivent être révisées. [7] [8]

    Etant admis que l’homme est le produit relativement récent d’une évolution qui se serait étendue seulement sur deux millions d’années, sa coexistence avec les monstres préhistoriques, beaucoup plus anciens, est considérée comme une impossibilité par la science.

    Cependant, en Amérique du Sud, le professeur français Denis Saurat a identifié des têtes d’animaux sur le calendrier de Tiahuanaco comme étant celles de toxodons, qui vivaient à la période tertiaire, il y a plusieurs millions d’années. [9]

    image846D’après l’écrivain et archéologue américain A. Hyatt Verrill, sur un certain type de céramique, au Panama, apparaît un spécimen de lézard ailé presque identique au ptérodactyle qui existait bien avant l’homme. [10]

    En 1924, l’expédition scientifique Doheny découvrit, au nord de l’Arizona, dans le Hava Supai Canyon, une roche gravée où l’animal représenté s’apparente étrangement au tyrannosaure, debout sur ses pattes de derrière. [11]

    Ces faits, apparemment impossibles, menacent les structures de l’anthropologie. Il ne nous reste que trois hypothèses valables pour expliquer le phénomène.

    La première est que l'on pourrait très bien avoir affaire à des images déformées par des artistes anonymes et mettre sur le dos du hasard les ressemblances qui nous ont frappé.

    La seconde est basée sur la survivance (d’après les dates fixées par les paléontologistes traditionnels) de quelques animaux antédiluviens. Il suffit de se rappeler le tollé général suscité par la capture d’un cœlacanthe vivant, en 1938, alors qu’on croyait ce grand poisson osseux disparu de la surface de la Terre depuis plus de 500 millions d’années, du Vampyroteuthis Infernalis et du Mollusque de Panama dont on avait daté la mort 170 à 300 millions d’années avant notre ère.

    La troisième hypothèse est la plus sensationnelle puisqu’il s’agit de croire à l’existence dans des temps immémoriaux de créatures douées d’intelligence et extrêmement évoluées.

    Les embaumeurs de la Connaissance nient cette hypothèse avec acharnement. Mais nous, comment pourrions-nous fermer les yeux lorsqu’on nous montre des outils en bois retrouvés dans des strates géologiques vieilles de 300 millions d'années ( lire l'article 1786 : le mystère des outils pétrifiés d’Aix-en-Provence).

    Deux énigmes mésoaméricaines

    Ce fut au cours des années 50 qu’une étrange découverte eut lieu dans le Costa Rica. Des centaines de sphères en pierre, absolument rondes, tirées de roches volcaniques, se trouvaient dispersées dans la jungle. Leur dimension varie entre 2,50 m et quelques centimètres. Parmi les plus grosses, certaines pèsent jusqu’à seize tonnes. Des globes identiques sont également repérés au Guatemala et au Mexique, mais il ne s’en trouve nulle part ailleurs dans le monde. Ces énormes sphères ont soulevé maintes questions. Quelle ancienne race a pu si parfaitement les tailler et les polir ?

    spheres costa ricaLes difficultés techniques de fabrication, de transport et de mise en place durent être considérables. A moins qu’elles ne soient une formation naturelle, comme le pensent certains savants, dans quel but ces boules de pierre furent-elles confectionnées ?

    Plusieurs d’entre elles reposent sur une plate-forme rocheuse, ce qui indiquerait qu’elles y furent établies à dessein. Beaucoup sont placées en groupes, en alignements rectilignes ou orientées au nord. Il semble qu’un plan géométrique ait été suivi car certains groupements sont triangulaires, d’autres circulaires ou carrés. On a voulu attribuer une signification astronomique à ces vertiges mégalithiques.

    olmeque-teteLes têtes de pierre géantes des Olmèques, trouvées à La Venta, Très Zapotes et autres sites mexicains, peuvent être classées parmi les réalisations humaines d’un type similaire. Ces sculptures colossales, taillées dans le noir basalte, ont 1,50 m à 3 mètres de haut et leur poids varie entre 5 et 40 tonnes. Elles sont dressées sur un socle rocheux comme certaines des sphères décrites plus haut.

    Les carrières de basalte les plus proches sont éloignées de 50 à 100 kilomètres ! Comment les indigènes, dépourvus de véhicules et d’animaux de trait, ont-ils pu amener ces blocs de pierre à travers la jungle et les marécages jusqu’au point où nous les voyons se dresser ?

    Témoignages d'aventures cosmiques

    Crâne-de-Broken-HillSi nous abandonnons l’examen de ces sculptures énigmatiques pour l’étude de véritables restes humains ou animaux, nous rencontrons d’autres mystères.

    Un crâne humain est exposé au rez-de-chaussée du Musée d’histoire naturelle, à Londres. Il provient d’une caverne de Rhodésie du Nord (Broken Hill, Zambie) et il est percé, du côté gauche, d’un trou parfaitement rond qu’aucune fêlure radiaire n’accompagne, - indice généralement présent si la blessure provient d’une arme blanche. Le côté droit du crâne est fracassé.

    Les soldats tués d’une balle dans la tête offrent une apparence identique. Le crâne est celui d’un homme qui vivait il y a plus de 40 000 ans, à une époque où, comme bien l’on pense, il n’existait aucune arme à feu.

    Le Musée paléontologique de Moscou, conserve un crâne d’aurochs qui remonte à des centaines de milliers d’années. Un trou rond, très net, est visible sur son front et un examen scientifique a prouvé que, malgré ce coup qui perçait l’os, le cerveau ne fut pas touché et que la bête guérit de sa blessure. [12]

    On supposait que, dans ces temps reculés, l’anthropoïde n’était armé que d’une massue, mais le trou parfaitement cylindrique - ici encore, sans fêlure radiaire, ressemble beaucoup à celui qu’aurait fait le projectile d’une arme à feu. Une question se pose : qui a tiré sur l’aurochs ?...

    Les vestiges d'un passé immémorial

    Une météorite, d’une forme inusitée, trouvée près de Eaton, au Colorado, offre une énigme. Son analyse par un spécialiste américain, H. H. Nininger, révèle qu’elle est composée d’un alliage de cuivre, de plomb et de zinc -  autrement dit, la météorite est en bronze, métal qui n’existe pas dans la nature. [13]

    Eaton-Colorado-meteoriteAu XVIe siècle, les conquistadores trouvèrent un clou de fer de 18 centimètres solidement encastré dans le roc d’une mine péruvienne. Comme le fer était inconnu des Indiens d’Amérique avant la conquête espagnole, les découvreurs firent, à juste titre, grand cas de leur trouvaille. [14]

    bloc-de-Norristown-PennsylvanieEn novembre 1829, un bloc de marbre découvert à 24 m de profondeur dans une carrière près de Philadelphie, fut découpé en plaques. On trouva ainsi, en plein roc, une empreinte creuse de 4 cm sur 2, ressemblant aux lettres I U, mais dont les coins de l’U étaient à angles droits. [15]

    De telles trouvailles inexpliquées sont moins rares que l'on pourrait le croire.

    Citons les galets aziliens (10 000-8 000 av. J.C.), trouvés dans une caverne de l’Ariège, au Mas-d’Azil, sur lesquels étaient peints d'anciens caractères en noir et rouge. Sur d’autres pierres trouvées au même endroit figuraient des signes plus complexes, ressemblant parfois à des capitales de l’alphabet romain... [16]

    mas-dazil

    D’après le London Times du 24 décembre 1851, un certain M. Hiram de Witt avait découvert, en Californie, un morceau de quartz aurifère. L’ayant laissé tomber accidentellement, la pierre se rompit et un clou de fer, muni d’une tête, fut trouvé à l’intérieur du quartz. [17]

    Vers la même époque, Sir David Brewster fit un rapport à sensation devant l’Association anglaise pour le progrès de la science. Un bloc de pierre provenant des carrières Kingoodie, au nord des îles Britanniques, contenait un clou de fer dont la pointe à l’air libre était corrodée mais dont la tige et la tête, mesurant au moins 13 mm se trouvaient incrustées dans la roche. La grande ancienneté des couches géologiques dans lesquelles ce clou fut découvert ne permet pas d’identifier les artisans qui les fabriquèrent. [18]

    Chillicothe-Illinois-coin-1871Au cours du mois de juillet 1871, Jacob Moffit, de Chillicothe, Illinois, envoya aux autorités scientifiques la photographie d’une pièce de monnaie déterrée par lui d’une profondeur de 36 m, ce qui laissait supposer une certaine ancienneté. La pièce était d’une épaisseur uniforme et semblait davantage provenir d’un atelier que d’un martelage primitif. [19]

    Les inscriptions de la pièce se situaient "entre l'arabe et le phénicien, sans être ni de l'un ni de l’autre’’. Le Pr Winchell, qui l’a examiné, a déclaré que ces motifs rudimentaires (forme d’un animal ou d'un guerrier) n’avaient été ni frappés ni gravés, mais décapés comme par un acide. [20]

    Le cas n’est pas unique, d’autres inscriptions antiques ont été découvertes aux États-Unis.

    Grave Creek StoneEn 1838, A.B. Tomlinson, propriétaire du grand tumulus de Grave Creek, Virginie occidentale, y fit creuser des excavations. Il exhuma ainsi, en présence de plusieurs témoins, une petite pierre plate et ovale, un disque recouvert de caractères gravés [21]. Un expert, le colonel Whittelsey, déclara que la pierre était une fraude [22], mais les savants du Congrès Archéologique de Nancy, en 1875, la déclarèrent authentique [23].

    Dans une communication à la Société Ethnologique Américaine, le Dr John Evans a relaté l’exhumation, en 1859, par un laboureur près de Pemberton, New Jersey, d’une hache (ou d’un levier) portant des inscriptions ressemblant beaucoup à celles du disque de Grave Creek. [24]

    En 1885, à la fonderie d’Isidore Braun de Vöcklabruck, en Autriche, un petit cube d’acier (67 mm X 47 mm) fut trouvé dans les débris d’un bloc de charbon. Une profonde incision entoure l’objet dont les arêtes furent arrondies sur deux côtés.

    Wolfsegg IronLe fils de Braun porta la trouvaille au musée de Linz. Des revues francaises comme Cosmos ( t. IV, 1886, p. 307) ou L’Astronomie (Vol. 5, 1887, p. 463) consacrèrent des articles à cette étrange découverte. Quelques savants s’efforcèrent de démontrer que l’objet était une météorite du tertiaire. D’autres proclamèrent son origine artificielle en se fondant sur l’observation de la rainure qui entoure le cube, sa forme parfaite et ses bords arrondis. Le débat est resté ouvert et l'objet est aujourd'hui conservée au Musée Heimathaus, à Vöcklabrück.

    Ces incertitudes ne peuvent s’éclairer sans une révision de nos concepts sur la préhistoire. Les faits rassemblés ici indiquent l’existence d’une technologie en des temps que nous avons estimés être l’aube de l’humanité. Deux théories peuvent expliquer l’existence des objets fabriqués décrits dans cet article. On pourrait avancer qu’une sorte de civilisation technologique existait dans un passé immémorial ou bien que la Terre fut visitée par des êtres venus d’autres mondes.

    La signification profonde de bien des pièces de musée peut avoir mis notre compréhension en échec. Certaines énigmes conservées dans le marbre, la pierre, le bois ou le bronze renferment, sans doute, un important message.

    Notes :

    • [1] Titre de leur ouvrage exceptionnel, Forbidden Archeology, the Hidden History of the Human Race, publié par le Bhaktivedanta Institute, San Diego, 1993. Version française : « L'histoire secrète de l'espèce humaine », Editions du Rocher, 2002.
    • [2] « Hommes fossiles de Chou-kou-tien et Indiens ďAmérique », Journal de la Société des Américanistes, 1940, Volume  32, p. 298.
    • [3] « Man, Time, and Fossils », Ruth Moore, 1953 , pp. 274-75.
    • [4] Sungir: An Upper Palaeolithic Site  (Posdnepaleolitischeskoje posselenije Sungir), N.O. Bader, Moscow, 1978.
    • [5] Quand d'autres hommes peuplaient la terre, J-J. Hublin, chap. 11. A lire également « L'art paléolithique d'Europe orientale et de Sibérie » de Zoi︠a︡ Aleksandrovna Abramova, p. 178.
    • [6] Voir l'artcle « Des empreintes de chaussures vieilles de plusieurs millions d'années »
    • [7] Australia's greatest rock art, Grahame Walsh, 1988, p. 68-69 et plus récemment The A to Z of the Discovery and Exploration of Australia, Alan Day, 2009, p. 66.
    • [8] The Sydney Morning Herald - 22 déc. 1974, p. 31.
    • [9] L’Atlantide et le règne des géants, D. Saurat, J’ai Lu, 1968.
    • [10] Old Civilizations of the New World, A. H. Verrill, New Home Library, New York, 1943.
    • [11] Discoveries Relating to Prehistoric Man by the Doheny Scientific Expedition in the Hava Supai Canyon, Northern Arizona, E. L. Doheny Oakland Museum, 1924, p. 10.
    • [12] Technology of the Gods, D. H. Childress, 2000, p. 83.
    • [13] « The Eaton, Colorado, meteorite » H. H. Nininger, Popular Astronomy, Vol. 51, p. 275-80.
    • [14]  Ce mystérieux clou est mentionné pour la première fois en 1572 dans la « Carta del virrey Don Francisco de Toledo a Su Magestad (...), 9 de Octubre de 1572 », Archivo de Madrid.Antonio de la Calancha revient longuement sur cette affaire, dans sa « Crónica moralizada de la Orden de San Agustín en el Perú... », p. 339 : "Entre la ciudad de los Reyes i la de Guánuco ay unas minas de plata, que llaman de Caxatanbo (...), se allá un clavo de hierrode la mesma manera (...), el qual estava tan en medio la dureza de la piedra, que para sacarlo fue forçoso que saliese a una piedra abraçado con la punta que estava buelta, como si se uviera clavado en un madero, i la uvieran redoblado para más firmeza, era de un gome de largo poco más o menos, esto fue en tienpo que governava este Reyno don Francisco de Toledo, el qual deseó ver este clavo, como cosa tan digna de consideración, i no lo pudo aver, porque luego que lo sacaron lo uvo fray Luis Próspero, Provincial de la Orden de san Augustín, que entonces era estando de partida para España, donde lo llevó, (...) ».
    • [15] American Journal of Science, V. 19, 1831, p. 361.
    • [16]« Les galets coloriés du Mas d'Azil »,  Édouard Piette, Études d'ethnographie préhistorique. Lire aussi « Les galets peints du Mas-d'Azil » A. B. Cook, L'Anthropologie, t. 14 de 1906 et les « Mémoires » de Académie des sciences, belles-lettres et arts d'Angers, 1898, p. 298.
    • [17] « A nut for geologists » London Times, December 24, 1851, p. 5 c. 6 -  Le livre des damnés, Charles Fort, éd. E. Losfeld, 1967, p. 57.
    • [18] « Queries and Statements concerning a Nail found imbedded in a Block of Sandstone obtained from Kingoodie (Mylnfield) Quarry, North Britain » in Report of the Annual Meeting, 1845, p. 51.  
    • [19] « A coin from Illinois », in American Journal of Numismatics, Vol. VI, 1870, pp. 89-92.
    • [20] Sparks from a geologist's hammerAlexander Winchell, 1887, pp. 170-71.
    • [21] « Observations respecting the Grave Creek Mound », in Transactions of the American Ethnological Society, 1845,  pp. 368-420.
    • [22] Archæological Frauds - Inscriptions Attributed to the Mound Builders, Charles Whittlesey, 1872.
    • [23] Congrès Archéologique de Nancy 1875 - Compte-rendue de la première session,Maisonneuve et cie, 1875, pp. 215-29.
    • [24] Prehistoric Man, Sir Daniel Wilson, Vol II,1862, pp. 185-86.

    Bibliographie :

    • We are not the first, Andrew P. Tomas, G.P. Putnam's, 1971.
    • Ancient Man: A Handbook of Puzzling Artifacts, William R. Corliss, 1978.
    • Forbidden Archeology, the Hidden History of the Human Race, Michael A. Cremo, Richard L. Thompson, 1993.
    • Le livre des damnés, Charles Fort, éd. E. Losfeld, 1967.
    • Les annales du mystère, Jean-Paul Ronecker, 2003.
    • Archéologie Spatiale, Peter Kolosimo, Albin Michel, 1971.
    • Discovering the Mysteries of Ancient America, Zecharia Sitchin, 2005.
    • Technology of the Gods, D. H. Childress, 2000.

    Tables des illustrations :

    • 1) Entrée de la grotte de Lascaux en 1940, avec Henri Breuil à droite.
    • 2) Tombe de Sungir
    • 3) Sandales de Fort Rock Cave
    • 4) La Dame blanche de Brandberg
    • 5) Le « dinosaure » de Hava Supai Canyon
    • 6) Sphères de pierre au Costa Rica
    • 7) Tête olmèque négroïde
    • 8) Le crâne de Broken Hill
    • 9) La météorite de Eaton
    • 10) Croquis des lettres du bloc de Philadelphie
    • 11) Les galets coloriés du Mas-d'Azil
    • 12) Croquis de la pièce découverte par Jacob Moffit
    • 13) Grave Creek Stone
    • 14) Le cube de Vöcklabruc

    http://www.inmysteriam.fr/oopart/ces-decouvertes-qui-detraquent-la-chronologie-de-lhistoire.html

  • Chouanneries

  • Scrutin proportionnel ou majoritaire : le casse-tête anti-FN

    Proportionnel ou majoritaire ? A l’Elysée, les commandes d’aspirine vont bon train, tant on réfléchit encore et toujours à comment freiner l’irrésistible ascension du Front National. Et l’exécutif socialiste semble bien être cette fois-ci devant un problème insolvable.

    Maintenir le scrutin majoritaire, c’est prendre le risque de voir la gauche disparaître quasi complètement de l’Assemblée Nationale avec peut-être moins de 10% des sièges, laissant l’UMP et le FN se partager le reste dans une répartition difficilement prévisible. Mettre la proportionnelle, c’est prendre l’assurance de voir débarquer plus d’une centaine de députés FN, un chiffre qui tournerait sans doute autour de 150, et de retirer à l’UMPS une alternance bien confortable et sans majorité absolue.

    Il existe un autre risque pour la classe politique UMPS, risque que sans doute ils ne veulent pas voir : en cas de victoire de Marine Le Pen dès 2017, le scrutin majoritaire peut donner une majorité absolue au Front National, comme ce fut quasiment tout le temps le cas avec ce mode de scrutin.

    Quoiqu’il advienne, aucun mode de scrutin n’arrêtera aujourd’hui le Front National. Il n’y a pas de solution au « problème » de Hollande.

    http://www.medias-presse.info/scrutin-proportionnel-ou-majoritaire-le-casse-tete-anti-fn/21656

  • L'Etat rémunère encore 14 personnes au service de l'ancien président Valery Giscard d'Estaing

    C'est Noël tous les jours chez Valéry Giscard d'Estaing. Selon Le Canard enchaîné, l'ancien président de la République, qui a tout de même quitté l'Elysée depuis... 1981, bénéficie toujours de 14 personnes payées à l'Etat. Et il ne veut surtout pas en avoir un de moins. Le Canard raconte ainsi que l'Elysée, après avoir muté cinq fonctionnaires soupçonnés d'avoir pris en photo François Hollande et Julie Gayet depuis les appartements privés du président, a cherché à recruter des militaires plus fiables.
    Mais où les prendre en ces temps de disette budgétaire ? "Certains gisements existent, par exemple, chez les anciens présidents de la République gratifiés (aux frais de l'Etat), d'un personnel pléthorique : Giscard emploie pas moins de 14 collaborateurs (chauffeur, cuistos, agents de sécurité, secrétaires ! Dont deux marins", écrit Le Canard. Des cuistots payés par l'Etat pour un ex-président qui a quitté l'Elysée il y a 33 ans ? On se pince pour le croire. Le pire dans l'histoire, c'est que Giscard a refusé que le ministère de la Défense lui récupère un marin en allant se plaindre à Matignon. Et il a obtenu... gain de cause.

    Source : "L'Ex échappe à un attentat", Le Canard enchaîné n°4911, 11.12.2014

    Politique.net :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EuEAykEuFuFBWqkWjj.shtml

  • Pour une écologie alternative

    Les mots s’usent, se pervertissent, se trahissent. L’« écologie politique », que prônent un quarteron d’affairistes, dont le fonds de commerce s’éploie glorieusement entre les limites spongieuses du radicalisme de gauche, aux marécages nécrosés du gauchisme radical, ne fait vivre que de petits commerçants en peine de marché, qui peinent à trouver une clientèle fidèle, et encore davantage un pas-de-porte dans l’allée du pouvoir. Ces déchets rejetés par la vague soixante-huitarde n’ont d’ambition que de se recycler en modestes convives du dîner du Siècle.

    Ils ont déshonoré, au même titre que le mot « politique », de respectueuse mémoire, celui d’« écologie », si émouvant, car il suggère une mise en ordre raisonnée de notre maison (oikos). Le terme « économie », quant à lui, évoque les lois (nomoi) de la demeure. S’agit-il donc de la même bâtisse ?

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  • Familles : le gouvernement vous souhaite une mauvaise année

    Deux décrets publiés aujourd'hui au Journal officiel entérinent la réforme du congé parental, visant selon le gouvernement à mieux le répartir entre les deux parents, mais qui va de fait en réduire la durée pour les mères.

    Un premier décret du ministère des Affaires sociales rebaptise la prestation versée durant le congé parental, qui devient la prestation partagée d'éducation de l'enfant (Preparee) et remplace le complément de libre choix d'activité (CLCA). Un deuxième décret modifie la durée du congé parental, conformément à cette loi et au budget de la Sécurité sociale pour 2015.

    Pour un premier enfant, ce congé est porté de six mois maximum à un an, à condition que les deux parents le prennent. Sinon, il restera à six mois. A partir du deuxième enfant, sa durée reste limitée aux trois ans de l'enfant, mais chacun des deux parents ne pourra prendre que 24 mois maximum. Si l'un prend 24 mois, les 12 mois restants devront donc être pris par le second parent pour bénéficier de la durée maximale.

    Michel Janva

  • Dix ans après la France, l’Italie vit sa crise des banlieues, mais cela n'a rien à voir

    «Droit au logement, droit au travail, nous ne les avons pas, ils ne les auront pas.» 

    C’est le nouveau slogan scandé en Italie du Nord au Sud, de la périphérie de Naples à Bergame, en passant par Bologne et bien d’autres villes encore. Mais c’est dans une paisible banlieue romaine que tout a commencé, à Tor Sapienza, avec, début octobre, une première manifestation regroupant 200 personnes protestant contre l'ouverture d'un centre d'accueil pour immigrés. Le 15 novembre, ce sont près de 5.000 personnes qui protestaient dans le centre de Rome pour demander un plus grand contrôle de l'immigration et plus de sécurité.

    Antonio Castronovi habite Tor Sapienza. Lorsque, en novembre, il observe ses voisins manifester avec violence contre la présence d’un centre pour réfugiés, il est frappé. Non pas par les insultes racistes – «sales nègres on va vous brûler» –, ni par les menaces de mort adressées aux réfugiés politiques barricadés dans le centre d’accueil. Ce qui a choqué l’auteur de Le periferie nella città metropolitana («Les banlieues dans la ville métropolitaine»), c’est l’expression désespérée d’un besoin de revanche sociale :

    «On reproche à ces immigrés leur position de privilégiés.» 

    Ce sentiment d’infériorité par rapport au dernier arrivé est partagé par les riverains des banlieues les plus dégradées de la ville. Comprendre comment cette ancienne bourgade communiste s’est transformée en théâtre de violentes protestations virant au racisme, et en terrain d’infiltration du mouvement d’extrême droite Casapound, c’est mettre un doigt sur la fragmentation géographique et sociale des banlieues. Si, dix ans après la France, l’Italie s’apprête à vivre sa crise des banlieues, les manifestations et les causes du malaise sont loin d'être similaires. Difficile à croire quand on entend les propos racistes lancés à l’encontre des immigrés, ce quartier périphérique de l’est de Rome a pourtant été créé par un militant antifasciste dans les années 1920: le cheminot Michele Testa.

    Dans les années 1960, des usines comme Peroni, Litograf ou Fiorucci s’installent dans le village. «Tor Sapienza devient alors une zone ouvrière, de gauche, plutôt paisible, jusqu’à la fermeture de certaines usines, évènement qui crée un premier malaise», explique Adriana Goni Mazzitelli.

    Une explosion complexe 

    Dans les années 1970, dans le cadre d’une vaste action de lutte contre la pauvreté à Rome, Tor Sapienza s’agrandit avec la construction de case popolari (HLM) de grands immeubles où sont logées des personnes qui étaient à la rue. Le docteur en anthropologie culturelle poursuit:  

    «Du jour au lendemain, plusieurs milliers de personnes sans travail s’installent dans ces immeubles, censés abriter également des magasins, magasins qui ne verront jamais le jour.» 

    La première fracture est née : les anciens habitants de Tor Sapienza ne voient pas de bon œil les nouveaux venus installés dans la partie haute du quartier, le quartier Morandi, qui est celui qui se révolte aujourd’hui.

    Car, si ce sont les habitants du quartier historique qui commencent à manifester pacifiquement, les nouveaux venus d’antan prennent vite le relais. L'anthropologue explique:

    «Ils vivent dans des conditions désastreuses, et les mouvements d’extrême droite comme Casapound et Forza Nuova sont venus souffler sur les braises. Il s’agit d’une explosion complexe, mais on peut comprendre la rage de ces habitants, qui se révoltent contre une situation hors de contrôle, plus que contre les immigrés.» 

    Et c’est bien la première différence avec les émeutes des banlieues françaises en 2005: si les habitants des banlieues faisaient front commun contre l’Etat, la périphérie italienne est sociologiquement divisée.

    Le risque de diffusion 

    Comme Tor Sapienza, nombre de banlieues ont connu un bouleversement de leur composition sociale dans les années 1970 avec la construction des HLM. Antonio Castronovi raconte:

    «L’installation d’une population pauvre dans ces immeubles s’est faite hâtivement, et ces case popolari n’ont depuis jamais subi d’intervention. Aujourd’hui, elles s’effondrent. Au malaise social, renforcé par la crise, s’ajoute le malaise lié au logement, et les anciens exclus se révoltent.» 

    C’est pourquoi, si personne ne semble vraiment s’étonner de ce qui s’est passé à Tor Sapienza, tout le monde s’accorde pour mettre en garde contre une situation qui peut exploser ailleurs: «ailleurs en Italie, notamment au centre-sud mais aussi à Turin ou Milan, et puis évidemment dans les autres banlieues de la capitale», estime l’urbaniste Paolo Berdini. Pour lui, les banlieues italiennes ont connu une croissance trop importante, «bien plus qu’en France: dans la périphérie romaine, des quartiers ne bénéficient même plus de transports les reliant au centre-ville!».

    La comparaison avec la France est dans toutes les têtes: les épisodes de violence à Tor Sapienza évoquent les émeutes de Clichy-sous-Bois en 2005, notamment dans la crainte d’une diffusion de la crise. Mais les raisons sous-jacentes à ces manifestations divergent. Mafia, rapport à l’immigration, gestion politique: c’est un mal-être tout italien que connaissent les banlieues du bel paese.

    Sur le banc des accusés, on trouve tout d’abord le «modèle Rome», mis en place par l’ancien maire Walter Veltroni dans les années 2000.

    «C’était un incroyable artifice publicitaire qui vantait l’efficacité de la politique de la capitale par rapport au reste de l’Italie, étant donné que le PIB de Rome à l’époque affichait une croissance vertigineuse.» 

    Dans ce sillage, un nouveau plan d’aménagement censé relancer les investissements privés est approuvé. Paolo Berdini, qui a collaboré à l’ouvrage Rome Moderne, déplore:

    «La ville a trop grandi, les périphéries se sont dilatées et aujourd’hui il n’y a même plus l’argent pour les transports en commun, surtout pour une banlieue qui est de plus en plus éloignée.» 

    L'anthropologue Federico Bonadonna n’a pas de mots beaucoup plus tendres pour le modèle Rome, et critique la politique d’accueil inconditionné de l’ancien maire Veltroni:

    «Entre 2001 et 2006, près de 10.000 personnes sont évacuées des bidonvilles et placées dans des centres d’accueil ouverts à l’occasion, comme les onéreux “villages de solidarité” à destination des Roms, qui entre 2004 et 2008 ont coûté près de 15 millions d’euros l’année.» 

    L’enquête qui a abouti, début décembre, au démantèlement d’un vaste réseaux mafieux à Rome, conforte ces critiques.

    Système mafieux 

    Un système de corruption aurait permis de fausser des appels d'offres et de bénéficier de fonds publics destinés entre autres à des centres d'accueil pour réfugiés. Luca Odevaine, ancien chef de cabinet adjoint de Walter Veltroni et qui se chargeait de la création des centres d’accueil, a été arrêté pour association mafieuse. C’est à travers lui que la mafia romaine a fait de l’immigration une mine d’or. Luca Odevaine aurait reçu 5.000 euros par mois pour les services rendus, en particulier à l’entrepreneur Salvatore Buzzi, à la tête d’un empire qui vivait sur le business des Roms et de l’immigration, et qui a affirmé que les immigrés «sont plus rémunérateurs que la drogue». 

    L’argent était donc détourné, et les structures d’accueil «ont été installées dans des banlieues romaines déjà en voie d’effondrement. Roms et immigrés deviennent ainsi les boucs émissaires des habitants de ces quartiers, dans une Italie qui vit une mutation sociologique importante», pointe Federico Bonadonna.

    Si la confrontation entre les habitants historiques des banlieues et les immigrés se passe mal, c’est aussi qu’il s’agit d’un phénomène récent. N’ayant pas eu d'histoire coloniale longue, le pays n’a été confronté aux étrangers qu’au début des années 1990 – si l'on exclut la présence des Erithréens dès les années 1940. «Vingt-cinq années, ce n’est pas beaucoup pour changer une culture peu habituée à se confronter à autrui», estime Federico Bonadonna, qui milite pour la mise en place d’un modèle d’intégration positif, tout en ayant le courage d’intervenir avec fermeté dans les contextes criminels pour les éradiquer. 

    «En Italie l’immigration a pendant longtemps été perçue comme un phénomène passager, les nouveaux venus occupaient donc au départ des zones centrales, les quartiers près des gares», précise Adriana Goni Mazzitelli. Ce n’est que maintenant qu’ils s’installent là où vit la classe moyenne inférieure italienne. 

    Apaiser le malaise des banlieues italiennes est alors un vaste chantier: du logement à l’intégration des immigrés en passant par le développement des transports, les banlieues nécessitent d’une stratégie politique et sociale à grande échelle. 

    Mais on doute que les investissements arrivent vite, dans une ville toujours empêtrée dans les scandales mafieux: il ne se passe pas un jour dans la capitale italienne sans qu’une nouvelle information vienne confirmer l’ampleur du réseau criminel romain. 

    Source

    http://www.oragesdacier.info/2014/12/dix-ans-apres-la-france-litalie-vit-sa.html