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  • « Allah akhbar, on veut du fric pour nos frères musulmans »

    Lu sur L'Est Besançon ce fait divers qui s'est déroulé hier à Besançon :

    "Il est alors 8 h 50 hier matin lorsque les trois braqueurs arrivent à la jardinerie qui ouvre ses portes à la clientèle à 9 heures. Ils vont s’introduire dans les locaux par effraction d’une baie latérale. Le patron du magasin raconte : « Je m’étais levé à 4 heures du matin pour faire la route depuis la Saône-et-Loire. J’étais dans la serre pour ranger des plantes. J’ai d’abord entendu un coup de feu puis un autre et encore un autre. Maintenant, je le sais, la première balle a ricoché sur la baie en double vitrage, la deuxième l’a fissurée, la troisième l’a fait exploser. Là, je rangeais des plantes et je me suis retrouvé nez à nez avec eux. L’un a braqué son arme à 50 cm de mon ventre. Ils ont crié “Allah Akhbar, on va vous buter, on veut du fric pour nos frères musulmans partis au djihad”, ils ont aussi parlé de Charlie. Quand ils ont parlé de fric et de la caisse qu’ils voulaient, je me suis dit vulgairement que j’allais sauver ma peau parce que j’avais repensé aux événements de janvier. Je me suis obligé à rester froid et je suis entré en discussion avec eux. Je les ai pris au mot et je suis allé retrouver le directeur du magasin, on est allé dans le bureau où est le coffre, un autre salarié était là aussi. L’un s’excitait, un autre braquait l’arme, j’ai demandé au directeur d’ouvrir le coffre ».

    Au final, les trois braqueurs sont repartis, arme braquée sur les victimes, après avoir raflé la caisse contenant argent en espèces et chèques, et se trouvant dans le coffre-fort ; soit quelque 12000 à 15 000 € représentant une recette de trois jours que le directeur du magasin avait emportée la veille et rapportée ce samedi matin pour la mettre à l’abri dans le coffre avant un dépôt à la banque."

    Michel Janva

  • Vers 2017. Le Front national au pied du mur

    Par gros temps, les Français voudront être rassurés, moins sur les points d’interprétation historique du siècle dernier que sur la capacité du Front national à assurer la continuité de l’État et les rapports de force à venir avec sang-froid, méthode et sans sectarisme.

    De l’espionnage de la vie privée aux lois liberticides, de l’abus d’impôts au financement de l’anarchie migratoire, du conditionnement éducatif au reformatage sociétal, de la planche à billet monétaire au chômage de masse… Les États sont devenus les courroies de transmission des intérêts de l’oligarchie mondialisée. Cette oligarchie organise la désappropriation des populations par la spoliation fiscale vers les États et par la libéralisation vers les banques. De ce fait, la division entre libéraux et étatistes est désormais obsolète. Reste celle entre souverainistes profonds (de la famille à la civilisation) et oligarchie étatico-bancaire, qui dispose des moyens médiatiques de contrôle social et de répression des États.

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  • Irak : nouvelles de l’État Islamique


    Alors que Daesh a subi un sérieux revers avec la reprise de Tikrit par l’armée irakienne et les milices chiites, l’organisation islamique continue ses provocations.
    Une vidéo diffusée par l’organisation (voir ici) annonce l’envoi de renforts depuis Raqqa vers la province de Salâh ad-Dîn afin de bloquer la progression de l’armée régulière. Actuellement les armées s’affrontent à la raffinerie de Baiji entre Tikrit et Mossoul, images ci dessous :

    La raffinerie de Baiji
    CCYKPsuW0AABppc
    Toujours dans un souci de propagande, Daesh a diffusé une vidéo dans laquelle des barbus détruisent à coups de masse et de scie circulaire le site archéologique de Nimrod. La vidéo se termine par le plastiquage total du site. Vidéo à voir ici.

     

    Site archéologique de Nimroud

    Site archéologique de Nimroud

    http://www.contre-info.com/

  • Une radioscopie du pouvoir LGBT

    La journaliste du Monde, Raphaëlle Bacqué, consacre un livre glaçant à Richard Descoings, ancien directeur de Sciences-Po, retrouvé mort dans sa chambre d'hôtel à New York en 2012. Extrait de l'article du JDD :

    "Raphaëlle Bacqué brise les tabous en exposant au grand jour les réseaux homosexuels, racontant connexions, lieux de pouvoir, rencontres. Richard Descoings et Guillaume Pepy louent ensemble un appartement près de la place de la Madeleine, où se retrouve toute une génération de hauts fonctionnaires homosexuels venant de la Cour des comptes, du Quai d'Orsay, du Conseil d'État.

    Un extrait :

    "La vie avec Guillaume Pepy a pris une autre tournure. Les jeunes chargés de mission,  les secrétaires entendent parfois à travers la cloison des bureaux leurs violentes disputes. Jouant avec les cœurs, Richie est sans cesse happé par d’autres conquêtes, par des orgies d’alcool.A la SNCF, Guillaume s’assomme de travail, enchaîne des longueurs de piscine le matin avant de plonger dans les réunions de travail et les négociations avec les cheminots. Personne ne se doute de l’enfer qu’il vit. 'Quand je m’endors, j’entends les trains', dit-il en souriant à ses collaborateurs. [...]

    Richard a une manière de marcher au bord de l’abîme, comme s’il voulait toujours en frôler les limites, qui épuise son entourage. C’est un homme qui aime entraîner les autres dans les incendies qu’il provoque.Il fume trop, boit plus que de raison et replonge parfois dans ses anciens démons, cocaïne et ecstasy, qui lui donnent l’illusion de pouvoir vaincre le sommeil et l’adversité.

    [...] Même le directeur-adjoint Guillaume Piketty s’inquiète lorsqu’il le trouve fébrile, le matin, le front moite et les mains tremblantes au-dessus de sa dixième tasse de café. Piketty convoque parfois un délégué syndical trop revendicatif pour le prier de ménager celui qu’il appelle 'le Grand'. 'Fais attention, il est fragile, tu sais. Et c’est la seule chance que nous ayons de faire changer cette maison…' Mais 'le Grand' se moque de ces précautions. C’est un séducteur qui jouit de faire souffrir ceux qui l’aiment. Il provoque, cherche à subvertir, à 'déniaiser' les garçons qui l’entourent. Les jeunes chargés de mission du directeur ont hérité d’un surnom glaçant : 'les gitons'. [...]"

    Michel Janva

  • Entretien avec Robert Ménard sur Boulevard Voltaire

    La nouvelle affiche sur les Galeries Lafayette fait parler d’elle. Vos adversaires vous reprochent de ne faire que de la com’. Quelle est votre réponse ?

     

    RB - Que d’ordinaire ils ont tort, mais que, dans ce cas spécifique, ils ont entièrement et définitivement tort. Penser que la communication n’est qu’une façon d’informer, c’est ne rien comprendre aux rapports politiques, économiques ou sociaux. La communication n’est pas seulement discours, mais action. Encore faut-il, évidemment, avoir quelque chose à dire et un but à atteindre. […]

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