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  • La nature a horreur du vide

    «Courage, on les aura !» : pour célébrer le centenaire de la célèbre exhortation aux poilus du «sauveur de Verdun », le général Pétain, dans son ordre du jour du 10 avril 1916, une délégation du FN était devant le monument aux Morts de Verdun hier. Bruno Rota, conseiller départemental et secrétaire départemental FN de la Meuse, Gilbert Prot, conseiller municipal de Verdun et les militants présents ont déposé une gerbe « Courage on les aura ! »… qui a été aussitôt retirée de manière très « irrespectueuse et antidémocratique », à la demande du maire PS Samuel Hazard. Sans grande finesse, l’édile socialiste a dénoncé très bêtement une «apologie de Pétain» à Verdun  «capitale de la Paix», «aujourd’hui le symbole de la réconciliation franco-allemande» . La teneur du bref discours prononcé par Bruno Rota a également écorché les oreilles de M. Hazard qui l’a jugé sans surprise «haineux, xénophobe et contraire aux valeurs de la République ». Dans celui-ci Bruno Rota s’est livré à un parallèle entre l’envahisseur de l’époque et le tsunami migratoire qui déferle aujourd’hui sur l’Europe, «le flot incessant de migrants qui, sous prétexte de quitter un pays en guerre, se répand par-delà nos anciennes frontières (…). Nous devons veiller à ce que l’esprit de cet ordre (du général Pétain, NDLR) perdure afin de protéger nos familles et nos descendants de ces invasions (…) ». Plutôt que de crier au scandale, socialistes, libéraux progressistes, adeptes de la position de l’autruche et autres bien-pensants seraient milieux inspirés d’analyser froidement la situation en Grèce où la submersion menace directement la paix civile

    C’était à prévoir, l’Afp rapporte que de nouveau heurts,troisième incident de cet envergure depuis février, ont ainsi éclaté « à la frontière gréco-macédonienne à Idomeni et au Pirée, principal port près d’Athènes, où s’entassent des milliers des migrants qui réclament « l’ouverture des frontières » et s’opposent à leur transfert dans des centres d’accueil» ; «Car le gouvernement grec peine à convaincre les (11 000) migrants d’Idomeni et les près de 5.000 autres qui campent au Pirée, le port près d’Athènes, d’accepter un transfert dans des centres d’accueil répartis dans toute la Grèce. Ils craignent d’y être enfermés avant une expulsion, ou carrément oubliés.»

    «Les migrants du Pirée et d’Idomeni font partie des quelques  46.000 personnes arrivées en Grèce via la Turquie avant l’accord UE-Turquie entré en vigueur le 20 mars, et coincées en Grèce continentale, la plupart dans des camps organisés. Les près de 7.000 personnes arrivées depuis le 20 mars sont pour leur part retenues sur leur île d’arrivée (Lesbos, Chios, Kos, Leros, Samos généralement), en attendant leur renvoi en Turquie si les demandes d’asile qu’elles déposent actuellement par milliers sont rejetées.»

    Cette dépêche précise encore que le porte-parole du service grec de coordination de la crise migratoire, Giorgos Kyritsis, « a dénoncé l’usage dangereux et condamnable de balles en plastique, des gaz lacrymogènes et des grenades assourdissantes par la police macédonienne.» Un blâme qui évite, note Bruno Gollnisch,  de s’interroger sur la nécessité dans laquelle se trouve un pays pauvre comme la Macédoine de contenir avec les moyens du bord,  l’invasion et surtout de pointer  les vrais responsables de cette situation chaotique.

    Dans ce contexte d’immigration subie, sans oublier l’immigration dite légale qui se poursuit de plus belle, un article signé par  Martin Legendre, publié hier sur le site Contrepoints,  explique qu’ «avec un programme économique et social aussi interventionniste que l’UMP et le PS, le FN éprouvera la même impuissance contre l’islam politique.» «Un tel programme amènera le Front National à davantage s’attacher à un compromis rétablissant la paix apparente, c’est-à-dire éviter les troubles à l’ordre public, qu’à un combat frontal, contre une partie d’ailleurs fortement croissante de la population, qu’il n’aura pas les moyens de faire financer, fut-ce un combat uniquement défensif. Exactement comme les actuelles gauche et droite traditionnelle françaises.»

    La longue argumentation de M. Legendre   se base sur un postulat totalement gratuit,  fait l’impasse sur l’ensemble de l’arsenal défendu par le FN  pour lutter contre le communautarisme, lutte qui n’est pas réductible à l’utilisation de moyens financiers, et à notre volonté politique sans faille dans ce domaine.  Ce qui changera  considérablement la donne  avec les décennies précédentes d’alternative droite-gauche. Sans même parler de l’inversion des flux migratoires que l’opposition nationale est la seule  à prôner et qu’elle mettra en place pour peu qu’elle arrive au pouvoir.

    La malignité du raisonnement de M. Legendre  est encore plus éclatante avec la comparaison délirante à laquelle il se livre et… qui arrive comme un cheveu sur la soupe : « Il faut lire  Comment Hitler a acheté les Allemands, de Götz Aly (2005), pour comprendre que la satisfaction des demandes d’assistanat des Allemands a été le fil conducteur de toute l’ascendance et du maintien au pouvoir du nazisme. L’assistanat est un cancer qui peut rapidement jeter une nation dans les bras de tout mouvement organisé pour répondre à la demande de dépendance économique des assistés. L’Islam politique, avec la confusion qu’il entretient entre la sphère civile et religieuse saura s’emparer de cette opportunité si elle se présente.»

    Pour anecdotique qu’il soit,  cet article a au moins un mérite, celui  de rappeler aussi que le fondamentalisme islamique, est une doctrine bien plus répandue que veulent bien le dire les    Sarkozy,  Bayrou,  Valls,  Juppé ou Mélenchon. Martin Legendre cite «une étude réalisée en décembre 2013 par le WZP (le plus grand centre d’étude allemand en science sociale, fondé en 1960 par tous les partis du Bundestag) (qui)  estime que le fondamentalisme religieux n’est pas du tout un phénomène marginal en Europe. Une étude portant sur près de 9 000 entretiens téléphoniques en Allemagne, France, Hollande, Autriche, Belgique et Suède auprès d’immigrés turcs et marocains établit que près de 60% d’entre eux estiment que les musulmans devraient revenir aux racines de l’Islam, 75% qu’il n’y a qu’une seule interprétation du Coran possible à laquelle chaque musulman doit rester fidèle et 65% que les règles religieuses sont plus importantes pour eux que les lois du pays dans lequel ils vivent.»

    «Ces chiffres ne portent certes que sur l’opinion d’immigrants et pas des populations musulmanes autochtones, mais il sont compatibles avec la perception croissante qu’ont beaucoup de Français qu’une part croissante de la population musulmane ne veut pas séparer statut civil et religieux et n’est pas d’accord de pratiquer sa religion dans un cadre respectueux des non-musulmans. Ils confirment également l’existence d’une opposition fondamentale et irréductible de cette fraction des musulmans à certains principes et valeurs essentielles des sociétés civiles européennes : autonomie de la femme, liberté sexuelle, liberté d’orientation sexuelle, liberté religieuse, liberté d’opinion, laïcité, combat contre le racisme et l’antisémitisme.»

    Il est cependant assez éclairant  que M Legendre, comme  les islamophobes de l‘établissement,  ne rappelle pas  qu’on ne meurt jamais que de sa propre faiblesse et que la nature a horreur du vide.  L’essor du   fondamentalisme  découle aussi  d’un échec  de l’assimilation, qui  se nourrit lui même de l’ immigration massive générée en partie  par une faible démographie autochtone;  immigration par ailleurs  justifiée par tous les lobbies faisant profession de combattre le racisme et l’antisémitisme. Et  c’est également  parce que  les principes du Beau, du Bien, du Vrai,  et les  valeurs essentielles de notre civilisation  helléno-chrétiennes sont bafoués, occultés ou tournés en ridicule que l’islamisme peut  séduire des déracinés. L’Islam - dans sa composante fondamentaliste mais pas que –   prospère   en réponse au matérialisme et  à un   vide spirituel occidental qui ne peut être comblé uniquement   à l’évidence par la déclaration des droits de l’homme,  les centres commerciaux et le mariage pour tous.

    http://gollnisch.com/2016/04/11/nature-a-horreur-vide/

  • Monsieur 12 % !

    88% des Français ne veulent plus de cet homme, élu Président de la République par défaut, par faillite d’un système.

    Le temps d’un voyage et le retour s’annonce aussi morose que les quatre dernière années. Il y eut Molenbeek, les manifestations contre la loi El Khomry au cours desquelles des jeunes gens si peu épris d’études avaient incendié, bastonné les policiers sans que ceux-ci puissent répliquer. Ces jeunes gens tout de noir vêtus que Valls tient à conserver de par-devers lui pour je ne sais quelle obscure raison. Il y eut ce malheureux jeune policier insulté et enfariné par un lycéen pour qui l’autorité, visiblement, n’avait aucune valeur et qui s’est retrouvé en garde à vue pour un malheureux coup de poing. Il y eut aussi, sur le plan économique, la poursuite infernale d’un chômage qui n’arrête pas d’augmenter. Plus de dix millions de Français sont désormais sans emploi. Un record absolu. Puis ces « Panama Papers » qui citeraient deux membres du FN mais surtout pas le trésorier de la campagne du candidat socialiste

    Il y a surtout la calamité d’un homme qui s’accroche à son siège doré malgré 12 % d’opinion favorable. Traduction : ce sont en fait 88 % des Français qui ne veulent plus de cet homme, élu président de la République par défaut, par faillite d’un système, par erreur dont la France paiera pendant encore longtemps l’élection.

    Je m’étonne d’ailleurs qu’à ce stade, les sondeurs trouvent encore 12 % de Français croyant encore en François Hollande. Pour nous, lecteurs de Boulevard Voltaire, cela paraît surréaliste.

    Je l’écoutais encore hier, dans la cour des Invalides, hachant sa lecture d’une épitaphe adressée à la dépouille d’Alain Decaux dont il a osé dire, et sans frémir, que la religion de cet immense historien, c’était la République. Car selon Sa Majesté François, il ne peut exister d’autres religions que la sienne, celle qu’il préside, celle dont il est le dieu incarné.

    Il faut croire, d’ailleurs, qu’il se croit au-dessus de tous puisque, enfermé dans sa tour d’ivoire, il projette d’aller à la rencontre du peuple, de son bon peuple, celui dont il refuse de croire qu’il ne l’aime pas ou plus. Ses conseillers en com’ lui auraient préparé une tournée discrète pour aller convaincre, un par un, que lui seul peut, à gauche, remporter la prochaine élection.

    Bon vent, Monsieur Hollande. Ne craignez rien des mauvais citoyens : ils auront été isolés le temps de votre visite, comme vos services de sécurité savent si bien faire, afin que seuls vos 12 % de supporters puissent vous acclamer.

     dans Boulevard Voltaire

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/monsieur-12_157365.html#more-157365

  • Donald Trump enfume-t-il son monde ?

    Michel Lhomme, politologue , Métamag cliquez ici

    La campagne des primaires américaines a suscité une incompréhension horrifiée de la part de tous les américanistes et les politologues spécialistes du sujet.

    Passe encore que le vieux Bernie Sanders, qui se déclare socialiste, puisse tailler des croupières à Hillary Clinton mais qu’une personnalité aussi atypique que Donald Trump mène la course devant un Ted Cruz ultra religieux, voilà qui bouscule tous les cadres établis et au sens premier du mot, l’establishment.

    Comment ne pas voir pourtant que ces deux outsiders sont les deux faces d’une même médaille, celle de la remise en cause profonde du système ? La seule question qui reste pourtant sans réponse est la suivante : s’agit-il d’une vraie crise d’adaptation d’un système vieillissant ou le signe d’une révolte plus profonde ? Ou tout simplement ne sommes-nous pas dans le spectaculaire dans un complet enfumage de l’État profond ?

    Ainsi, le mois dernier, furent lancées des campagnes de diabolisation de Donald Trump par ses adversaires républicains mais surtout par les membres de la communauté juive américaine avec même l’appel au boycott de son discours devant l’AIPAC (American Israel Public Affairs Committee). Or cela n’a pas du tout fonctionné : le 21 mars à Washington, seulement 300 personnes sur 18 000 participants ont quitté la salle du grand raout pro-israélien. En revanche, le candidat aux primaires républicaines a donné entière satisfaction et même plus au public israélien pour ne pas dire ultra-sioniste présent dans la salle.

    Oublié donc le « Donald » qui refusait de prendre position sur la question palestinienne tant qu’il ne serait pas à la Maison-Blanche et qui ne voulait pas dire si les États-Unis devaient reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël. Trump affirma tout de go au Congrès, qu’élu Président, il ne sera plus question qu’Israël paye l’aide militaire que lui octroie Washington. Il a même commencé par dire qu’il était d’ailleurs un « soutien de longue date et un ami réel d’Israël», rappelant qu’il avait été « grand maréchal » à la parade de la journée d’Israël à New York en 2004. De fait, avec lui à la présidence des États-Unis, a-t-il assuré, Israël ne sera plus traité « comme un citoyen de seconde zone ».

    Puis, s’en est suivi un flot ininterrompu de déclarations comme à son accoutumée qui auraient pu sortir tout droit de la bouche de Benyamin Netanyahou.

    Par exemple, sera-t-il neutre sur la question palestinienne ? Trump affirme qu’on avait mal compris ses précédentes interventions : « Les Palestiniens doivent venir à la table de négociation en sachant que le lien unissant les États-Unis et Israël est absolument incassable… Ils doivent venir en étant prêts à accepter qu’Israël est un Etat juif et qu’il demeurera un Etat juif pour toujours ».

    Neutre sur la question de Jérusalem ? Lui président, il transférera l’ambassade des États-Unis de Tel Aviv à Jérusalem, « la capitale éternelle du peuple juif ».

    Puis le candidat aux Primaires républicaines a tiré à boulets rouges sur l’Iran en l’accusant d’être « le plus grand sponsor du terrorisme mondial », d’être en Syrie pour établir un nouveau front dans le Golan contre Israël, de fournir des armes sophistiquées au Hezbollah libanais, et de soutenir le Hamas et le Djihad islamique en leur donnant 7 000 $ pour chaque attaque terroriste et 30 000 $ aux propriétaires des maisons détruites par les Israéliens (ce qui n’est pas faux mais c’est la guerre !).

    En un peu plus de vingt minutes, ce fut à l’AIPAC un tonnerre d’applaudissements ! Trump termina alors son discours sur le mode people, en déclarant que sa fille Ivanka (mariée à un juif israélien orthodoxe) était « sur le point d’avoir un magnifique bébé juif ».

    D’où vient donc Donald Trump ? Et s’il n’était en fait que le candidat forcément cynique et incontrôlable de l’« État profond » et d’ailleurs, peut-être la première manifestation politique visible de celui-ci ? Pourtant, d’ores et déjà, l’état profond américain (the deep state) se prépare à surmonter victorieusement toutes les difficultés que pourraient faire naître un Trump ou son électorat. Rappelons que l’« état profond » désigne couramment la conjonction des intérêts militaires, industriels, financiers et diplomatiques qui ont permis à l’Amérique depuis la deuxième guerre mondiale de s’imposer comme l’hyper-puissance et le gendarme du monde.

    Nonobstant, certains analystes aux États-Unis ont parlé ces derniers temps d’une bataille médiatiquement préfabriquée entre les deux principaux candidats à la Maison Blanche, Hillary Clinton, la chef de file des néo-conservateurs et Donald Trump. En août 2015 déjà, le magazine politique Cicero avait écrit que les familles Trump et Clinton étaient très amies d’où la question embarrassante : Trump pourrait-il n’être qu’un sous-marin des Clinton qui devait ridiculiser les Républicains aux yeux du public, afin que la démocrate Hillary ait toutes ses chances de l’emporter ? En fait selon Wikipédia, Trump a été membre du parti démocrate jusqu’en 2009 et a fait don de 100 000 dollars à la fondation de Clinton il y a quelques années. On dit qu’il a entretenu de bonnes relations avec Hillary Clinton et a déclaré publiquement Bill Clinton le meilleur président américain de tous les temps.

    Au surplus, les filles de Trump et de Clinton sont de grandes amies. Des collaborateurs ont découvert qu’en mai 2015, juste avant que Trump ne décide d’entrer dans la campagne présidentielle, il a eu une longue conversation avec Bill Clinton. Ce dernier a téléphoné à Trump et l’a conseillé sur la façon dont il pourrait faire bonne impression auprès des membres du parti républicain. Les Clinton étaient aussi invités d’honneur au mariage de Trump avec sa troisième femme, Mélania. De plus, par sa famille, Trump est étroitement lié avec des membres très riches du parti démocrate. Son père venait déjà en aide à de grands pontes démocrates de l’immobilier. Son beau-fils Jared Kushner, qui vient d’acheter l’ancien bâtiment du New York Times pour le prix d’un demi-milliard de dollars, est membre du parti démocrate.

    Trump est-il vraiment un candidat indépendant ? Pour qui travaille-t-il au juste ? En fait, Trump amuse énormément son public : c’est sa fonction d’outsider, d’amuseur de galerie, de bouffon du roi caché. Cynique comme l’est maintenant devenu avec elle-même l’oligarchie, il assène ainsi des vérités premières que l’on tente de faire passer pour de la déraison.

    Ceci étant dit si l’isolationnisme trumpien gagnait, cela nous donnerait après tout un bon répit, un peu de respiration. Les politiques et les intellectuels américains néo-conservateurs sont trop dangereux du fait de leur culture historique nulle et de leur irréalisme. On célèbre parfois leur culte du concret ou on se gargarise de leur pragmatisme mais il y a tout un monde entre le MIT, l’Université Hopkins et ces professeurs américains qui fondent leur pédagogie sur les dossiers de réussites et les Russes qui la font eux reposer sur l’analyse du jeu d’échecs, ce jeu que l’Arabie Saoudite veut justement faire interdire sous les tentes climatisées du désert.

     
  • STOP CLANDESTIN.

    i283445314551843436._szw480h1280_.jpgPOUR CE PRINTEMPS A OCTOBRE, ON ATTEND ENTRE TROIS ET CINQ MILLIONS DE CLANDESTINS

    DES ATTENTATS SONT MALHEUREUSEMENT A PREVOIR ET QUE VA T-ON FAIRE DE CES PERSONNES QUI COLONISENT L'EUROPE, LES JOURS SONT COMPTER, ILS VIENNENT SANS COMBATTRE AVEC LA BENEDICTION DE L'UNION EUROPEENNE ET DE NOS GOUVERMENTS BELGES ET FRANCAIS COMPLICES.

    REDUISEZ CETTE INVASION POUR NOTRE CULTURE, NOS TRADITIONS.

    LE CHOMAGE EST ENORME 7 MILLIONS EN FRANCE ET PLUS D'UN MILLION EN BELGIQUE, LES JOBS COACH NOUS DISENT DEJA QU'IL N'Y N'A PAS DE BOULOT POUR TOUT LE MONDE ET ON LES LAISSES VENIR.

    LE CHEVAL DE TROIE COMMENCE SEULEMENT.

    http://www.ligue-franco-belge2015.be/

  • Podemos et SYRIZA corrompus ? Et Nuit debout ?

    Attali et Soros s’attaquent à ce qui reste de cultures et de religions.

    Pas grand monde ne se pose la question sur le financement de ces partis sortis de nulle part et qui arrivent à se tailler le chemin au plus haut de leurs États. La surprenante victoire de SYRIZA en Grèce et celle du « faiseur de roi » Podemos en Espagne, qui n’est plus gouvernée, depuis que le « Yes We Can » espagnol est venu troubler la vie politique en deux ans seulement. Désormais, en France, apparaît sur le modèle espagnol « Nuit debout ». Force est de constater que l’orientation idéologique est la même que pour SYRIZA et Podemos.

    Podemos, le parti qui veut laver plus blanc que blanc, est pris la main dans le sac du financement illicite. La loi espagnole interdit strictement le financement en provenance de l’étranger. Pablo Iglesias fait donc l’objet d’une enquête policière depuis janvier de cette année pour avoir perçu la modeste somme de cinq millions de dollars par le biais d’un homme d’affaires iranien, M. Alizadeh Azimi, qui gouverne la chaîne de télévision Hispan TV, financée par le gouvernement iranien. Pour brouiller les pistes, l’homme d’affaires a utilisé des moyens détournés, en passant par divers pays et en gonflant les factures. Ce fait met en porte-à-faux le « Monsieur Propre » espagnol, qui déclarait de manière tonitruante sur Cuatro TV : « Lorsque Podemos sera au gouvernement, JP Morgan ne pourra plus prendre son téléphone pour nous dire ce que nous devons faire. Les gens votent pour des gouvernements et non pour des banques d’investissement. » Les mollahs pourront, eux, prendre leur téléphone ?

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  • Les "petits web soldats du FN"

    Les médias mainstream ont l'air de craindre comme la peste et le choléra l'influence du web sur les électeurs. Peut-être ont-ils raison; peut-être surestiment-ils le potentiel de Facebook et Twitter sur les choix électoraux des usagers du web. Toujours est-il qu'ils estiment que le Salon Beige est très influent pour faire grimper la cote de popularité de Marine Le Pen, si l'on en croit cet article :

    "Guilhem Fouetillou, fondateur de Linkfluence qui tient à jour la cartographie politique sur la Toile, évalue la part de l'extrême droite sur le web social à 20% contre 2% à 3% en 2007. L'éventail est large : Egalité et Réconciliation d'Alain Soral, Fdesouche, Novopresse, 24heures-actu, Salon Beige, Boulevard Voltaire, TVLibertés, le Parti des Indigènes de la République, Nouvelles de France...

    "On a l'image d'une machine de propagande actionnée d'en haut comme dans l'Empire soviétique. En fait, pas du tout, c'est très explosé avec une multitude de sous-familles, des nostalgiques, des cathos, des identitaires, des xénophobes, des antisémites, des complotistes…"[...]

    Bizarre, je n'avais pas eu l'impression que votre blog préféré était destiné à la promotion de quelque personnalité politique que ce soit mais plutôt qu'il travaillait chaque jour à faire avancer le règne du Christ en France; j'ai dû me tromper quelque part...

    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les Panama Papers sont-ils le « coup de maître » des Etats-Unis annoncé dès mars ?

    Avec la publication des « Panama Papers », un article publié en mars dernier par le professeur à l’université de Genève Raphaël H. Cohen et signalé par l’éditeur suisse Slobodan Despot dans sa lettre hebdomadaire Antipresse prend des allures de prédiction.

    L’article, intitulé « Le coup de maître des USA », est paru le 14 mars 2016 sur le site de l’Agefi, l’Agence économique et financière, à Genève. Raphaël H. Cohen y explique que, à son « humble analyse, les Américains sont en train de déployer un plan diabolique qui va renflouer le trésor américain. La beauté du plan est que, sa finalité ne sautant pas aux yeux, la plupart des gens ne s’en méfient pas. De plus et surtout, il est presque imparable ».

    Selon l’économiste suisse, lui-même homme d’affaires, ce « plan diabolique » a déjà connu trois actes. Acte I : la signature du Facta (Foreign Account Tax Compliance Act), par lequel les grandes banques – notamment suisses – se sont engagées à livrer aux Etats-Unis les noms des citoyens américains ou simples résidents aux Etats-Unis détenant des avoirs chez elles. La première conséquence est de soumettre à l’impôt les actifs qui n’avaient pas été déclarés, la deuxième est que « ces détenteurs, n’étant plus bienvenus auprès des établissements étrangers, sont très tentés de rapatrier leurs fonds dans des banques américaines. Cela a bien sûr renforcé ces dernières en augmentant leur profitabilité tout en affaiblissant leurs concurrents étrangers ».

    Acte II : par un accord bilatéral avec la Suisse, les banques helvétiques sont désormais contraintes d’acquitter une pénalité sur les actifs des Américains qu’elles ont imprudemment hébergés depuis 2008. Ce n’est pas tant le montant des sommes recueillies par le Trésor US qui compte que le message que reçoivent toutes les banques du monde : il ne devient plus très raisonnable d’accueillir des citoyens ou résidents des Etats-Unis d’Amérique…

    L’acte III s’est joué à l’OCDE : « Tous les pays, sauf les Etats Unis, se sont engagés à mettre en œuvre la Norme d’échange automatique de renseignements relatifs aux comptes financiers en matière fiscale de l’OCDE (EAR) », sachant que « le hasard faisant bien les choses, le seul pays signataire de l’EAR qui bénéficie d’une exception au devoir de transmission est… les Etats Unis. Cela en fait la star des rares pays pouvant accueillir les actifs qui fuient les pays engagés à transmettre les informations dans le cadre de l’EAR ».

    Commentaire de Raphaël H. Cohen : « Il apparaît donc que les Américains ont, jusqu’à présent, fait un parcours sans faute. Ce sont même les seuls à tirer leurs marrons du feu en profitant d’un transfert massif d’actifs vers leurs paradis fiscaux (Delaware, Nevada, Wyoming et autres) en profitant notamment du fait que leurs institutions ne sont pas soumises à l’obligation de transmettre les informations de l’EAR. Pendant ce temps, les banquiers suisses, bientôt suivis par leurs concurrents non-américains, se consument avec moins de revenus et des charges de compliance astronomiques, auxquelles les banques américaines échappent joyeusement. »

    L’économiste suisse fait alors cette prédiction – son article, rappelons-le, a été publié le 14 mars 2016 :

    « Le prochain round consistera pour les Américains à intensifier la pression pour faire en sorte que le seul refuge vraisemblable pour les actifs non déclarés soient les banques des paradis fiscaux américains (sauf pour les Américains qui sont déjà faits comme des rats, du fait qu’ils sont déjà devenus persona non grata presque partout). Pour bétonner leur attractivité, il suffira aux Américains de répliquer les méthodes mises au point avec les Suisses et peut-être même d’en inventer de nouvelles. La clé étant évidemment de décourager les titulaires d’actifs non déclarés de les laisser ailleurs qu’aux Etats Unis. La convention de l’OCDE agit ici comme un magnifique cheval de Troie : sauf si quelques grandes puissances dessaoulent, son application aboutira à faire fuir les actifs non déclarés vers les paradis fiscaux américains. A ce stade, il n’y aura plus d’autre alternative.

    Quand l’étau se sera resserré autour de ceux qui ont encore des actifs non déclarés en dehors des Etats-Unis et que l’essentiel de ces actifs seront hébergés aux USA, bien sûr dans des banques essentiellement américaines, l’heure sera venue pour le coup de grâce : faire en sorte que les détenteurs étrangers d’actifs hébergés aux USA deviennent des… sujets fiscaux américains. Ceci permettra évidemment de les taxer et de toucher le jackpot. »

    http://fr.novopress.info/

  • "Nuit Debout" : malgré les dégradations, la Mairie de Paris ne portera pas plainte

    La Mairie de Paris, qui avait réclamé à LMPT 100 000 € pour refaire les pelouses piétinées du Champ de Mars après la manif du 13 janvier 2013, ne portera pas plainte contre les dégradations de Nuit Debout :

    Marie Bethanie