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  • Provocation de haine islamo-raciste dans Le Monde

    De Bernard Antony :

    6a00d83451619c69e201bb09cf255c970d-800wi.jpg"Le journal « Le Monde » a publié hier l’article d’un musulman subsaharien, Hamidou Anne, proclamant : « La France blanche, chrétienne, au risque de terroriser certains petits esprits, est finie. Terminée. »

    On est là dans le droit fil de la continuité de l’idéologie raciste anti-blanche d’Houria Bouteldja, présidente du PIR et de son « intellectuel » Saïd Bouamama, auteur principal du brûlot raciste « Nique la France ».

    Depuis des années, l’AGRIF, seule dans l’indifférence de la classe politique ou la complicité de certains, a porté plusieurs de leurs déclarations d’incitation caractérisée à la haine devant les tribunaux de Toulouse et de Paris.

    Elle a été en cette dernière affaire scandaleusement déboutée par la Cour d’appel de Paris. Mais la Cour de cassation vient de casser ce jugement de la cour d’appel de Paris et de renvoyer le procès devant la Cour d’appel de Lyon le 10 novembre.

    Pour ce qui est du camarade islamo-gauchiste Hamidou Anne, il est à observer que, tout comme Houria Bouteldja, il est un raciste non seulement anti-blanc mais également « anti-noirs chrétiens », dans le mépris des centaines de millions d’Africains chrétiens de plus en plus persécutés par l’islam jihâdiste. Aussi inculte ou négationniste qu’Houria Bouteldja ou que madame Obono, il se garde bien de considérer que le plus grand système de mise en esclavage de peuples noirs perpétué jusqu’à nos jours est le système arabo-musulman. La vérité, c’est que les racistes que sont Houria Bouteldja et Hamidou Anne veulent de l’éradication simultanée des blancs et des noirs chrétiens. L’AGRIF continuera à leur opposer la totale détermination du véritable antiracisme."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Portrait : Laurent Joffrin, socialiste libéral compatible à tous les pouvoirs

    20/10/2017 – PARIS (NOVOpress) – L’Observatoire du journalisme (Ojim), dont les portraits de personnalités du monde des médias font référence, vient de publier un portrait au vitriol du directeur de la publication et de la rédaction du journal Libération, Laurent Joffrin, “socialiste libéral compatible à tous les pouvoirs”.
    Source : ojim.fr

    Laurent Joffrin, de son vrai nom Laurent (André Marie Paul) Mouchard est né en juin 1952 à Vincennes. Il est le fils de Jean Mouchard, éditeur, propriétaire des Éditions François Beauval, devenu homme d’affaires, puis gestionnaire de fortune, aujourd’hui à la retraite, et de Chantal Michelet, décédée en 1955. Personnalité de la droite nationale, Jean Mouchard fut durant une dizaine d’années l’un des principaux collecteurs de fonds du Front National par le biais de la COTELEC (cotisation électorale). L’engagement de son père auprès de Jean-Marie Le Pen a renforcé les idées politiques de Laurent Joffrin, à l’opposé des siennes : « Entre l’âge de 12 et 18 ans, j’ai passé mon temps à convaincre mon père, à argumenter, à tenter de lui démontrer qu’il avait tort » (Le Nouvel Économiste, du 21 au 27 novembre 2003). Sa carrière se caractérise par des allers et retours incessant entre Libération et Le Nouvel Observateur.

    https://fr.novopress.info/

  • QUE FERA LE GOUVERNEMENT QUAND LE PIÈGE DE LA DETTE SE REFERMERA ?

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    Si plus personne ne veut nous prêter, ou seulement à des taux exorbitants, que se passera-t-il ?

    La récente et scandaleuse note de France Stratégie préconisant la nationalisation d’une fraction des terrains pour payer la dette de la France jette une lumière crue sur ce problème. Comment nous sortirons-nous de ce piège ? D’abord, dépasser 100 % du PIB ne rendra pas nécessairement insoutenable le poids de nos emprunts. Le Japon a dépassé les 200 % depuis vingt ans sans dommage. Au sortir des guerres mondiales, la Grande-Bretagne et la France étaient dans des situations bien pires et, dès les années 1955, les emprunts ne pesaient plus que 50 % du PIB. En 1820, l’Angleterre devait rembourser 200 % et les intérêts mangeaient la moitié des impôts. Elle s’en est sortie.

    Il y a une chance sur deux pour que la machine craque mais ne rompt pas. Si tout va bien, nous monterons à 99 % du PIB en 2019 avant de redescendre à 80 % en 2030. Mais si une nouvelle et violente crise économique se produit, si plus personne ne veut nous prêter, ou seulement à des taux exorbitants, que se passera-t-il ?

    Première solution : faire faillite (totalement ou au deux tiers), comme l’a fait l’Argentine dans les années 2000, mais alors la France sera exclue des marchés. Or, notre budget n’est plus en équilibre depuis 1974 et nos recettes ne couvrent que 92 % de nos dépenses hors le service de la dette. Le pays serait soumis à une diète insupportable. L’Argentine a laissé le choix à ses créanciers : soit ne plus rien toucher pendant trente ans, soit accepter une décote de 60 %. 98 % des débiteurs ont cédé. Les autres ont obtenu l’intégralité de leurs avoirs après une série de procès qui ont duré vingt ans. Mais le budget de l’Argentine, sans les intérêts de la dette, était alors équilibré, ce qui n’est pas le cas chez nous. Cette voie nous est donc interdite.

    Le gouvernement aura deux autres possibilités à sa disposition : la première consiste, comme le suggère France Stratégie, à confisquer les biens des Français, soit une partie des terrains, soit une partie des dépôts bancaires (comptes courants, livrets, PEL, assurances-vie) ou, plus sûrement, en mixant les deux mesures. Si les sommes extorquées aux Français couvrent 25 % de la dette, les créanciers seront rassurés et prêteront à nouveau. Confisquer 5 % des biens immobiliers et des dépôts bancaires suffira et sera mieux accepté par l’opinion.

    La deuxième méthode sera plus indolore mais, in fine, elle volera autant les Français. L’État paiera ses fonctionnaires en reconnaissances de dettes, une « fausse » monnaie qui sera acceptée dans les magasins et que le gouvernement pourra émettre autant qu’il le souhaitera, ce qui lui permettra d’équilibrer son budget. Au début, elle sera à parité avec l’euro, mais rapidement les commerçants lui appliqueront une décote de 10 %, puis 20 %, et enfin 40 %. Au final, nos dépôts bancaires perdront la moitié de leur valeur et cette évaporation remboursera nos emprunts.

    Au bilan, la crise sera violente, mais se terminera au bout de cinq ans et l’économie se relancera sur des bases assainies. Alors, quand serons-nous volés ?

    http://www.bvoltaire.fr/fera-gouvernement-piege-de-dette-se-refermera/

  • Têtes à Clash n°14 : Weinstein, Mélenchon, Macron et la Catalogne