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  • La ratification fantôme

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    Georges Feltin-Tracol

    L’Accord économique et commercial global conclu entre le Canada et l’Union pseudo-européenne, plus connu sous ses initiales anglophones de CETA, est entré en vigueur le 21 septembre dernier alors que les parlements nationaux, voire les assemblées régionales, des États membres ne l’ont pas encore entériné. Le CETA s’appliquerait-il ainsi sans la moindre approbation légale ? La réponse est plus complexe dans les faits.

    La ratification de ce traité de libre-échange s’effectue en réalité en deux temps. Le 15 février dernier, le Parlement européen le ratifiait par 408 voix (venus des bancs socialistes, libéraux, centristes et conservateurs) contre 254 et 33 abstentions. Adopté, le traité s’applique dès à présent uniquement en ce qui concerne les compétences exclusives de l’Union dite européenne. Ce n’est qu’une ratification partielle, car les clauses portant sur les compétences partagées entre Bruxelles et les États membres (ou même leurs régions autonomes ou fédérées) ne peuvent pour l’instant entrer en vigueur, faute d’approbation parlementaire.

    Il y a un an, en octobre 2016, la région Wallonie alors dirigée par les socialistes s’élevait contre ce traité pendant une semaine ! Puis, fidèles à leur couardise, les socialistes wallons capitulèrent en rase campagne. La procédure de ratification a dès à présent commencé avec l’acceptation du Congrès des députés d’Espagne, de la Croatie et de la Lettonie. Elle va continuer sans trop de résistances parlementaires. En effet, sur ce point précis, les quatre États du fameux Groupe de Visegrad (Pologne, Hongrie, Tchéquie, Slovaquie) n’éprouvent aucune réticence à entériner ce document de 2 344 pages.

    Le CETA aurait dû susciter en France l’indignation non seulement des élus de l’« Hexagone asservi » du camarade Mélenchon, mais aussi la colère d’un Front national en proie à de vives querelles internes. Pour la circonstance, « marinistes », « philippotistes », « marionistes » et « jean-maristes » auraient pu se retrouver contre un traité abject qui va ruiner l’agriculture européenne, polluer notre alimentation et favoriser les firmes transnationales. Mais pour cela, il eût fallu à ce parti politique une authentique fibre sociale-identitaire. Encore une occasion ratée !

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 49, diffusée sur Radio-Libertés, le 20 octobre 2017.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • 2 - La Laïcité, mère porteuse de l'islam ? Anne Brassié reçoit Odon Lafontaine (2/2)

  • La modération des réseaux sociaux, arme de subversion massive ?

    Selon le site "gatestone institute", les modérateurs de réseaux sociaux comme facebook, recrutés pour chaque langue dans des pays de main d'oeuvre à bas prix, et donc pour les francophones à forte représentation musulmane, censureraient de façon assez systématique les contenus défavorables à l'Oumma.

    Extrait du site:

    • Les sites Internet des grands médias français sous-traitent la modération des commentaires à des sociétés dont le personnel est généralement situé dans les pays francophones à bas coût de main d'œuvre, en Afrique du Nord et à Madagascar. En France, la rumeur accuse Facebook d'en faire autant. Facebook ne confirme ni n'infirme.

    • La seule chose que l'on constate est que les islamistes haineux continuent de proliférer sur Facebook, alors que les anti-islamistes sont harcelés et voient leurs comptes fermés.

    • Les islamistes chassent en meute sur Facebook. Une fois qu'ils ont repéré quelqu'un qui leur déplait, ils le dénoncent à Facebook comme « raciste » ou « islamophobe » et leurs comptes sont supprimés.

    Si l'analyse nous semble plausible, on notera toutefois que les faits manquent de détails quant à leur relation et de sources référencées, et plus généralement que le gatestone institute est un organe de réflexion au service du mondialisme (voir son comité de direction ici, et chercher des précisions sur n'importe quel moteur de recherche), qui se plait à évoquer les risques de guerre civile liés à l'invasion migratoire, quand son idéologie en est la cause principale.

    par Paula Corbulon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/10/la-mod%C3%A9ration-des-r%C3%A9seaux-sociaux-arme-de-subversion-massive-.html

  • 1- La Laïcité, mère porteuse de l'islam ? Anne Brassié reçoit Odon Lafontaine (1/2)

  • LÉGISLATIVES TCHÈQUES : À L’EST DU NOUVEAU

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    La Tchéquie vient de prendre, elle aussi, à la faveur des élections législatives de vendredi et samedi, une orientation souverainiste et sociale.

    Après l’Autriche, la Tchéquie vient de prendre, elle aussi, à la faveur des élections législatives de vendredi et samedi, une orientation souverainiste et sociale. Relativement prospère, la Tchéquie s’inquiète avant tout de préserver, face à Bruxelles, ses libertés et son identité.

    Le mouvement ANO 2011 d’Andrej Babiš a largement remporté les élections législatives, avec 29,7 % des voix, après avoir fait campagne contre la corruption, contre l’accueil des migrants imposé par Bruxelles et contre la zone euro. Il obtient 78 sièges à la chambre basse, qui en compte 200. Il sera ainsi obligé de former une coalition, mais l’ODS (droite eurosceptique) et le KDU-ČSL (chrétien-démocrate) ont annoncé qu’ils ne négocieraient pas avec M. Babiš. Il sera donc obligé de chercher la vingtaine de parlementaires qui lui sont nécessaires chez le Parti pirate ČSP (10,8 %) et/ou chez le SPD (nationaliste, 10,7 %), fermement opposé à l’intégration européenne et à l’immigration. Quatre autres partis franchissent également le seuil d’éligibilité de 5 % : le parti communiste KSČM (7,8 %), les chrétiens-démocrates KDU-ČSL (5,8 %) et deux petits partis centristes, TOP 09 et STAN.

    Les Tchèques ont, par ailleurs, rudement sanctionné le parti social-démocrate ČSSD du Premier ministre sortant Bohuslav Sobotka, qui subit un recul brutal et n’arrive que sixième, avec 7,3 % des voix. La question de l’Union européenne et de l’OTAN a été très présente dans la campagne. Mais aussi la question sociale, car la saine économie tchèque (chômage 4 %) a ses oubliés : travailleurs pauvres et retraités.

    Brexit, Catalogne et maintenant un groupe de Visegrád dopé par l’arrivée au pouvoir d’une majorité social-souverainiste en Autriche, voisine et partenaire historique. Comme si les peuples d’Europe se préparaient en vue de révisions drastiques de l’usine à gaz bruxelloise.

    http://www.bvoltaire.fr/legislatives-tcheques-a-lest-nouveau/

  • Dans la famille Merah, je demande la mère, par Caroline Parmentier

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    8971-20171021.jpgChaque jour, le procès Merah a sa bombe. Celle de l’ancien patron du renseignement toulousain d’abord : un policier avait identifié le terroriste islamiste au milieu d’une douzaine de noms de djihadistes toulousains. Il a été ignoré car sa hiérarchie privilégiait la piste de l’extrême droite. Celle du patron des renseignements Bernard Squarcini sur tous les ratés de la DCRI dans cette affaire. Et celle de la mère de Mohamed et Abdelkader Merah qui multiplie les mensonges au tribunal. 

    Abdelkader Merah est jugé pour complicité des sept assassinats dont trois enfants, commis par son frère. Le délinquant algérien, Fettah Malki, comparaît également pour avoir fourni des armes au tueur.

    Zoulikha Aziri vêtue d’une djellaba beige et d’un foulard moutarde, sexagénaire sans emploi, vivant des allocations de la France, a scandalisé l’assistance, déclenchant la colère des familles de victimes par son hypocrisie et son aplomb. Elle a chargé son fils mort pour mieux disculper celui qui est encore vivant : « Abdelkader n’a rien à voir dans l’histoire qui s’est passée. » La mère d’Abdelkader et Mohamed Merah a tenu des propos invraisemblables, réécrivant l’histoire et gardant le silence sur un élément clef de l’enquête.

    Si Mohamed était « un fou » selon sa mère (comme tous les terroristes islamistes selon nos experts, là on ne voit pas bien en quoi le discours de la mère Merah est si gênant…), Zoulikha Aziri a dépeint une image idyllique de son frère « Kader » « gentil à la maison » pratiquant « un islam normal » (ce qui n’a pas plu non plus aux sectateurs du pas-d’amalgame), quand des proches ont décrit sa violence et son prosélytisme salafiste. « C’est moi qui ai appris la religion, la prière à mon fils », « c’est moi qui l’ai envoyé en vacances et suivre des cours en Egypte », a-t-elle notamment affirmé.

    En réalité tandis que Mohamed Merah séjournait au Pakistan, Abdelkader était allé parfaire sa connaissance du coran en Égypte, à l’instigation des têtes pensantes des réseaux djihadistes toulousains : Olivier Corel, les frères Clain et Sabri Essid. Pour Zoulikha Aziri, Olivier Corel, connu par les services antiterroristes comme l’« émir blanc » et claquemuré dans sa ferme d’Artigat, dans le Gers, n’est rien d’autre que « le vieux qui vendait des moutons, on allait en acheter chez lui ».

    Sur son antisémitisme, rapporté notamment par l’ex-compagne de son fils aîné, elle lance : « Tous mes médecins sont juifs ». Une phrase qui provoque des ricanements dans la salle. Du moment qu’elle bénéficie du tiers payant.

    Au final, la mère des frères Merah aura gardé le silence sur un point clef de la procédure : les connexions effectuées chez elle le 4 mars 2012, vers 23 heures, à une annonce postée par la victime (le premier militaire assassiné par Merah) sur le site Le Bon Coin pour vendre sa moto. Imad Ibn Ziaten avait précisé qu’il était militaire, un détail qui lui a été fatal.

    « Il n’y avait personne chez moi, j’étais seule », affirme Zoulikha Aziri. Elle reconnaît qu’Abdelkader était bien chez elle vers 19 h 30, mais affirme qu’il n’est resté que 20 minutes avant de partir et dit ne pas avoir vu Mohamed. Les policiers n’ont jamais pu établir qui des deux frères s’était connecté à cette annonce.

    « Qui était derrière votre Freebox ? », demande le président.

    « Y’avait personne, j’étais seule, y’avait personne ! (…) Peut-être ils se trompent les techniciens. »

    Une proche de la famille Merah a raconté mardi à la barre que Zoulikha Aziri lui avait dit juste après les attentats être « fière de son fils pour avoir mis la France à genoux ».

    Caroline Parmentier

    Article paru dans le quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/

  • Jean-Yves Le Gallou : “La victoire institutionnelle du gauchisme a posé un couvercle sur la droite. Il est temps d’agir”

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     L’énarque et ancien député européen Jean-Yves Le Gallou, président du think tank Polémia, présente les grandes lignes du 3ème forum de la dissidence, qui se tiendra à Paris le 18 novembre prochain. Extraits.

    Invasion migratoire, Français égorgés sur leur propre sol, islamisation galopante, ensauvagement de l’Europe, délire idéologique permanent… Il est temps de monter sur le ring et d’accepter la confrontation avec le réel qui a trop longtemps été refusée. Le samedi 18 novembre, nous nous emploierons à préparer l’offensive alors que l’élection présidentielle a été un formidable gâchis. (…)

    La droite n’est aujourd’hui plus que l’ombre d’elle-même. Les Républicains – qui en sont les gardiens théoriques – l’ont liquidée. La droite existe encore chez certains membres de ce parti et chez certains membres du Front national mais elle n’irrigue plus la vie politique comme avant. La victoire institutionnelle du gauchisme a posé un couvercle sur la droite. (…)

    (…) Les idées de droite sont plébiscitées mais souffrent d’un défaut d’incarnation. Un des objets du colloque sera de réfléchir à la représentation politique d’une vision anthropologique majoritaire chez les Français. (…)

    Ne plus se préoccuper de la diabolisation, c’est refuser le diktat de ces médias qui sont, pour la plupart, militants de gauche. C’est ne plus avoir peur de ne plus les écouter. De ne plus trembler à chaque évocation de termes destinés à effrayer. On doit pouvoir parler de tous les sujets – même les plus polémiques – avec tenue mais sans crainte.

    On doit envoyer paître le politiquement correct ! Agir, c’est prendre le destin de la droite en main. C’est ne plus rester spectateur d’une recomposition politique lente et douloureuse.

    Pour accéder à l’intégralité de cet entretien, cliquez ici.

    https://fr.novopress.info/208083/jean-yves-le-gallou-la-victoire-institutionnelle-du-gauchisme-a-pose-un-couvercle-sur-la-droite-il-est-temps-dagir/

  • Conférence Dextra du 27/10 : Le Grand remplacement au quotidien, par Paul Fortune

    Chers amis, chers camarades, 
    Pour le vendredi 27 octobre, nous avons la joie et l'honneur de recevoir l'écrivain Paul Fortune, qui, à travers son roman Poids lourd, traitera du Grand remplacement au quotidien.
    Nous vous attendons nombreux pour cette nouvelle conférence.
    A vendredi !

  • Allemagne : l’avenir institutionnel de l’AfD et la chute des partis traditionnels

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    Olivier Tisier, correspondant de Métamag et Méridien Zero en Allemagne ♦

    Les germanophiles de la radio qui ne fait pas de quartier Meridien Zero  peuvent écouter chaque semaine La Chronique d’Outre-Rhin du 4 et 18 octobre. Elle nous informe, sur le terrain, des derniers événements de notre grand voisin. Métamag se félicite de pouvoir inaugurer une nouvelle collaboration en reprenant chaque semaine une version écrite de cette chronique hebdomadaire signée Olivier Tisier. Que toute l’équipe de Méridien Zero en soit ici remerciée. Pour la première contribution, nous avons fait une synthèse des deux dernières émissions. ML.

    Peut-on  anticiper les conséquences  de l’entrée des candidats de l’AfD à l’assemblée ? Ce sont sans doute des épreuves que ces représentants devront affronter au sein de la salle pleinière de l’assemblée. A commencer par les sièges qu’ils occuperont. Qui acceptera de s’asseoir à côté d’un représentant de l’AfD. Mais cela reste dérisoire par rapport aux autres embûches à venir. En effet, selon la presse, l’administration du Bundestag refuse d’apporter son aide au parti pour la constitution d’un groupe de préparation à la composition d’une “fraktion”. Sans groupe, pas d’attachés. Or, la constitution d’un groupe est nécessaire pour avoir la possibilité juridique d’être reconnu comme une entité. Selon les estimations, la nouvelle “fraktion” de l’AfD pourrait embaucher 300 employés.

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