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Merci pour ce moment…à grand coup de bûche de bonheur
Évoquant l’élection de Miss France diffusée samedi sur TF1, une cht’i de souche, Maëva Coucke (une insupportable provocation raciste?), le journaliste d’Europe 1 David Abiker a commis ce tweet assez drôle, en pleine polémique désormais habituelle initiée par d’ autoproclamés féministes et autres défenseurs des minorités opprimées : « je trouve que le concours miss France a une approche légèrement genrée de la compétition et assez peu inclusive des moches. » En Autriche, la récente compétition électorale législative a été elle aussi assez peu inclusive pour la gauche de manière générale, et les euromondialistes en particulier. Vainqueur de ce scrutin, le jeune conservateur assumé Sebastian Kurz du Parti populaire (ÖVP) vient de conclure une alliance de gouvernement avec nos amis de l’opposition nationale autrichienne du Parti de la liberté (FPÖ). Ceux-ci ont obtenu six portefeuilles dans ce nouveau gouvernement dont trois ministères régaliens (l’Intérieur confié à Herbert Kickl , la Défense attribué à Mario Kunasek, les Affaires étrangères à Karin Kneissl). Le président du FPÖ, Heinz-Christian Sträche, est nommé pour sa part vice-chancelier et ministre de la Fonction publique et des Sports, l’ex candidat national à la présidentielle Norber Hofer à la tête du ministère des transports…
Les nationaux Autrichiens sont donc de retour aux affaires 17 ans après les négociations menées par leur ancien dirigeant Jörg Haider qui, au terme des législatives de 1999, avait vu le FPÖ (26,9 % des voix) nouer une alliance de gouvernement en 2000 avec l’ ÖVP présidée à l’époque par Wolfgang Schüssel. Un accord qui eut alors pour conséquence la mise au ban de l’Autriche par les instances de l’UE et les médias-gardiens-du-dogme qui avaient hurlé au retour de la Bête immonde. La montée en puissance des mouvements nationaux, patriotes, populistes au sein de l’Union européenne, la résistance du groupe de Visegrad aux oukases bruxelloises, rendront cette fois beaucoup plus difficile un ostracisme aussi délirant… et nettement moins audible une propagande aussi grossière.
Le vice-président du FN Nicolas Bay, invité hier de l’émission Questions politiques pour France Inter, franceinfo et Le Monde, s’est félicité de cette entrée au gouvernement du FPÖ dont les députés européens siègent aux côtés de ceux FN au sein du groupe ENL. Nationaux qui « défendent l’identité de l’Autriche dans l’Europe des Nations », « exactement la même position que celle du Front national. » « Un accord de gouvernement de ce type n’est peut-être pas forcement exportable en France a noté Nicolas, parce que la situation autrichienne n’est pas forcément la même », mais il est « la preuve que nos alliés sont prêts à travailler à l’intérêt général des Autrichiens, mais d’une manière générale, de l’Europe et des peuples européens. »
Les lignes peuvent-elles aussi bouger en dans notre pays ? C’est la grande peur d’une large partie du microcosme politico-médiatique. Le quotidien suisse Le Temps l’exprime en expliquant à ses lecteurs que « L’Autriche inaugure une expérience dont l’issue sera scrutée par toutes les droites classiques du continent. Aux Pays-Bas, cette droite a barré la route à Geert Wilders en s’appropriant en grande partie ses idées. En France, Les Républicains espèrent renaître en s’alignant sur la politique du Front National. Ce pari de l’accommodement – dont rien n’indique qu’il barrera la route à l’extrême droite – met en jeu l’avenir même de nos démocraties. »
La juppéiste ralliée opportunément à Laurent Wauquiez, Virginie Calmels, avait créé l’émoi en affirmant la semaine dernière que son parti refusait « pour le moment » la main tendue de Marine, toute alliance, même locale, municipale, avec le FN. Cette formulation pour le moment a heurté la droite sous influence idéologique de la gauche. Mme Calmels a donc voulu rectifier le tir sur twitter et sur France info: « Jamais on ne pourra m’accuser de vouloir faire quelconques accords avec le FN. » «Pour le moment, ça n’a jamais eu lieu et ça n’aura jamais lieu », a-t-elle insisté. « Souvent, j’envie Manuel Valls. Quand il dit un certain nombre de choses sur l’islam radical, lui, on ne lui fait pas le procès de tutoyer le FN (sic). Alors que quand on est de droite, on nous fait ce procès. »
De droite ? Celle de l’humaniste-juppéiste Dominique Bussereau, président LR du département de Charente-Maritime, qui a appelé à voter PS pour faire barrage au FN, est à l’abri de ce genre de critiques. Lundi dernier sur Sud Radio, il s’interrogeait sur son ralliement éventuel au parti d’Emmanuel Macron et ajoutait: « le FN, c’est tout ce que j’exècre dans la vie politique. Pour moi, l’idée d’un rapprochement ce n’est même pas une ligne rouge, c’est une ligne violette. Cette phrase est très maladroite, il n’aurait pas fallu la prononcer. » M. Busserau par ses outrances pathétiques vis-à-vis de l’opposition patriotique représente il est vrai tout ce que le peuple de la droite des valeurs rejette. Son tweet du 28 avril dernier consécutif au soutien apporté par Nicolas Dupont-Aignan à Marine dans l’entre deux tours de la présidentielle n’a pas non plus été oublié: « Soi disant gaulliste mais en réalité pétainiste, Dupont-Aignan doit être battu aux législatives et dans sa commune. Vrai collabo. » Et M. Bussereau est un vrai quoi ?
Cette droite démonétisée, celle qui conjugue trahison des promesses, impuissance une fois au pouvoir et fulminations inquisitoriales est dénoncée par beaucoup de nos compatriotes. Elle est jugée, à juste titre, grandement responsable de l’immigration-invasion, du grand remplacement, de la paupérisation-tiers-mondisation de notre pays, de son affaiblissement, de son déclassement social, économique, identitaire.
Invité ce matin de l’antenne de RTL, le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb comme M. Wauquiez et tous ses prédécesseurs place Beauvau depuis trente ans, a promis de la fermeté, une augmentation des expulsions des clandestins. « Aujourd’hui, nous ne savons qui se trouvent dans ces centres (d’accueil des migrants) . On pense qu’il y a à peu près un tiers des personnes qui sont des réfugiés, un tiers qui sont des déboutés et un autre tiers dont il faut évaluer la situation », environ 103 000 personnes a-t-il dit. Et s’il a reconnu que nous ne pouvons pas accueillir toute la misère du monde – «il y a 95 000 demandes d’asile par an, c’est-à-dire une grande ville chaque année »- il a réaffirmé de manière contradictoire la décision d’ouvrir notre territoire « à celles et ceux qui sont réfugiés des théâtres de guerre (ça fait beaucoup de monde M. Collomb!, NDLR) , qui sont prisonniers politiques, mais en même temps (sic) d’essayer de mener une politique qui permette que les migrations économiques soient menées de manière autre. » Tout cela est bien flou et quand c’est flou il y a un loup selon la célèbre formule de Martine Aubry…
Une immigration qui pèse sur des pans entiers de notre société et notamment à l’école. Valeurs actuellesrelayait l’enquête annuelle d’Ipsos sur La relation à l’autre et aux minorités , dévoilée dans Le Point, selon laquelle « plus de la moitié des professeurs interrogés admettent avoir déjà été confrontés à l’hostilité de leurs élèves sur certains sujets. Ainsi, 56% des enseignants ont déjà rencontrés des difficultés avec des élèves en cours d’histoire, notamment sur les questions de religions, de croisades et de décolonisation. Même chose en cours de SVT où 51% des enseignants ont déjà eu maille à partir avec leurs élèves, en particulier sur les sujets de biologie sexuelle et de théorie de l’évolution. Ces chiffres passent à 78% et 70% chez les enseignants en zones sensibles. »
Immigration massive qui conduit de nombreux pays occidentaux à l’acculturation… au nom du multiculturalisme, afin de ne pas heurter la sensibilité des minorités, comme si elles arrivaient dans des pays qui étaient des pages blanches, sans passé, sans traditions, sans culture autochtone. Le site canadien Le Peuple indiquait dernièrement qu’« après la compagnie General Motors qui n’ose plus parler d’un arbre de Noël, mais plutôt d’un arbre des fêtes , c’est au tour cette fois de deux autres compagnies, IGA et Vachon, de se distancier cette année des fêtes chrétiennes. Du côté d’IGA, on apprend (…) que la compagnie ne vend pas des bûches de Noël, mais des bûches du bonheur ; et sur celles-ci, on y souhaite non pas un joyeux Noël, mais de joyeuses fêtes (…). Du côté de Vachon (…) sur un emballage pour une bûche des fêtes (…) on souhaite de joyeuses fêtes plutôt qu’un joyeux Noël. » Le pli de ne plus prononcer le nom honni de Noël est pris de manière plus générale depuis longtemps par nos médias français, les grandes enseignes, la pub…
Gilles-William Goldnadel, chroniqueur dans l’émission de Thierry Ardisson sur C8, s’indignait hier soir de ce que le marché de Noël de Bruxelles ait été rebaptisé par son maire Loisirs d’hiver, tandis que la Croix rouge dans cette même ville entendait se renommer La rouge, afin de faire disparaître le mot croix… dans le but de faciliter le vivre-ensemble (?), de respecter les populations allogènes faisant appel à ses services (?). Une offensive qui est aussi le produit du travail de sape mené par des personnalités politiques, des officines et autres lobbies cosmopolites œuvrant sous nos latitudes à la mise en place de sociétés proprement orwelliennes.
Me Goldnadel rappelait aussi qu’il y a vingt-et-un ans, le quotidien de référence Le Monde pouvait tranquillement évoquer dans un article l’inauguration par le maire de Paris Xavier Tibéri et sa femme de la traditionnelle crèche de Noël sur le parvis de l’hôtel de ville, bien impensable aujourd’hui… Il est certain, constate Bruno Gollnisch, que la polémique de ces dernières années sur la présence de crèches dans l’espace public est un indicateur assez révélateur de la montée en puissance des attaques contre notre mémoire. Racines, valeurs de notre magnifique civilisation helléno-chrétienne, vision du monde des peuples européens menacées aujourd’hui certes par une immigration torrentielle. Mais cette dernière n’est jamais que le fruit empoisonné – ce n’est pas le seul, loin s’en faut - d’une idéologie mondialiste qui ne manque pas de collabos, comme dirait M. Bussereau, au sein d’un Système à tuer les peuples dont les pays du sud sont aussi les victimes.
https://gollnisch.com/2017/12/18/merci-moment-a-grand-coup-de-buche-de-bonheur/
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Le véritable visage d'Edwy Plenel
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Hypocrisie : Après le Cahuzac, le cas Hulot, par Caroline Parmentier
Avec neuf véhicules motorisés, la flotte pétaradante et réchauffante de Nicolas Hulot, balance les particules fines dans les poumons des enfants et flingue les ours blancs. Bravo le commissaire politique au carbone, le tartuffe écolo ! Le respect de la planète, c’est bon pour les pauvres.
« Celui-là c’est pour transporter mes chevaux, celui-là c’est pour ma villa en Corse, celui-là c’est pour aller chercher mon pépé en Bretagne et celui-ci j’y tiens beaucoup »… Comme un enfant gâté qui refuse de donner un seul de ses milliers de jouets au Secours Catholique avant Noël, Nicolas Hulot a une bonne justification pour chacun de ses joujoux. La transition écologique, c’est pour les sans-dents.
S’il n’y a pas moins d’une douzaine de millionnaires dans le gouvernement du « président des riches », Hulot avec sa fortune estimée à 7,3 millions d’euros, détient le deuxième patrimoine de l’équipe, derrière le ministre du Travail, Muriel Pénicaud. Mais c’est surtout son impressionnante armada motorisée qui fait mauvaise impression de la part de ce chantre de la religion dominante qui fait régulièrement le procès de l’humanité et passe son temps à culpabiliser les gens : six voitures, une moto, un scooter et un bateau !
Le pollueur millionnaire
Son 4×4, un Land Rover vieux de 20 ans, véritable arme de destruction écologique massive, « reste en Corse » se défend-il. Les amoureux de l’Ile de Beauté apprécieront. Sa 2 CV, tellement bobo, vieille de 30 ans, « est conduite par sa fille ». Merci pour les poussettes qui croisent le chemin de son pot d’échappement. Son van ? C’est bien la moindre des choses car comment sa femme transporterait-elle « ses chevaux » sinon ? Et sa Volkswagen, c’est « pour les vacances en famille ». Merci pour les autres familles, celles qui stationnent derrière eux dans les bouchons du péage de Rocquencourt.
Nicolas Hulot, le ministre emblématique qu’Emmanuel Macron voulait tellement dans son gouvernement, nous évoque un peu ces gourous de secte qui face à la menace d’une fin des temps qu’ils annoncent imminente, nous conseille de renoncer à tout, d’abandonner nos voitures, de ne plus manger de viande, de ne plus prendre de bains, de ne plus toucher à un sac en plastique sous peine de mort. Et que l’on retrouve dans un jacuzzi bouillonnant géant avec trente disciples, dévorant des quartiers de viande, à bord d’un yacht qui crache une marée noire…
Caroline Parmentier
Article paru dans Présent daté du 19 décembre 2017
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Les Brigandes à la Télévision russe
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La mort programmée de la Famille en Occident et les remèdes à apporter
Discours sur la Famille tenu par Fabrice Sorlin avec Alexey Komov à la Chambre Publique de la Fédération de Russie, à l’occasion du colloque sur le thème « La préservation des valeurs familiales et des traditions morales chez les différents peuples de russie » :
"Aujourd’hui, j’aimerais vous parler de « la mort programmée de la Famille en Occident et des remèdes à apporter ». Pour cela, je diviserai mon propos en trois parties distinctes :
- Dans la première partie nous parlerons de la définition de la famille naturelle et de sa place dans la Cité,
- Dans la deuxième partie nous regarderons pour quelles raisons la famille est aujourd’hui si violemment attaquée dans l’Occident ;
- Enfin, dans la troisième partie je proposerai des pistes de réflexions quant aux remèdes nécessaires pour une bonne politique familiale
Définition de la famille naturelle et place de la famille dans la Cité
Définir la famille pourrait être en soi un sujet à part entière. Son étymologie est riche et sa définition a évolué depuis l’Antiquité : la famille a ainsi désigné tout d’abord les personnes vivant sous un même toit puis par extension les personnes d’un même sang vivant sous un même toit. Mais concentrons-nous aujourd’hui sur la définition plus traditionnelle de la famille considérée comme : « La famille est la communauté fondée par l’union stable (c’est à dire le mariage) d’un homme et d’une femme, qui s’agrandit au fur et à mesure que se réalise leur projet de mettre au monde et d’éduquer leurs enfants ».
La loi de la nature a placé la famille au premier rang de toutes les sociétés. Car au sein de la société, la famille est nécessaire non seulement pour donner les individus qui la forment, ce à quoi pourraient suffire des unions passagères, mais aussi pour les conduire à leur complet développement humain par l ‘éducation. Ainsi, l’Etat qui est la communauté des communautés n’est que second dans cet ordre là. Il est utile seulement au « bien-être » des hommes ; alors que la famille est nécessaire à son existence. La famille est donc la cellule de base de la société, elle est aussi fondement de l’ordre social.
Et la loi divine, la volonté de Dieu, entérine par ses commandements ce qu’Elle a crée : en effet, dans le Décalogue donné à Moïse sur le mont Sinaï, Dieu fait dépendre la perpétuation d’Israël de la pieuse observation du culte des ascendants : « Tu honoreras ton père et ta mère ». C’est le premier des commandements qui concerne les devoirs envers les mortels. Il prolonge et complète les commandements précédents qui établissent le culte divin. Mais il a aussi une répercussion toute politique.
En effet, si la famille fonde la Nation, c’est aussi la famille qui la maintient et qui assure sa pérennité. Je suis membre d’une Nation d’abord à cause de mon père, de ma mère et de leurs parents. De la vitalité de la famille dépendra donc la vitalité de la société et de la Nation. Or, pour qu’un pays prospère, les citoyens doivent se trouver intimement unis par l’amour et la fierté qu’ils éprouvent pour leur origine commune. Et cet amour, c’est d’abord au sein de la famille que l’individu va l’apprendre.
Mais le rôle de la famille dans la Nation est immense, et il ne s’arrête pas là :
- Elle renouvelle les générations par la procréation des enfants ;
- Elle développe l’autonomie et la personnalité des enfants procréés ;
- Elle tisse des liens entre les familles et entre les individus ;
- Elle transmet la culture et développe la civilisation ;
- Elle est pourvoyeuse de citoyens puisque c’est aussi la cellule éducatrice par excellence.
Ainsi, ce n’est pas la Famille qui est pour la société, mais la société qui est pour la famille. Et c’est ce principe fondamental qui a été oublié aujourd’hui.
Cependant, il est tout aussi clair que la famille seule, ne saurait pourvoir à ses besoins propres. Aussi a-t-elle besoin d’une communauté organisée par un Etat pour subvenir à ses propres besoins comme la nourriture, la santé, le travail. Il existe donc une interdépendance vitale entre société et famille, et si l’on touche à l’un, l’autre s’en trouverait atteint.
Processus révolutionnaire contre la famille
« Si quelqu’un avait la diabolique intention de ruiner une nation, qu’il commence par ruiner la famille » disait très justement Monseigneur Fiordelli (Evêque de Prato en Italie). Or, depuis le siècle dernier, la famille et la vie humaine font l’objet d’une attaque généralisée et sans précédent de la part d’idéologues qui cherchent à imposer leur vision totalitaire de la société.
L’idéologie communiste d’abord dans la poursuite de son idée constructiviste et universaliste : les Bolchéviques ont été les premiers à s’attaquer aux nations en mettant en œuvre une politique de destruction de la famille, celle-là même qui favorisa en premier l’avortement et la contraception à grande échelle. A la chute du communisme, les Etats-Unis d’abord et l’Union-Européenne ensuite, dans leur poursuite de leur idéologie mondialiste et totalitaire, ont finalement pris le relais de cette guerre contre les nations souveraines, en s’attaquant à la dignité de la personne et la famille.
Cette stratégie de destruction des nations est aujourd’hui menée sur un double front :
- Un front extérieur : c’est celui du choc des civilisations. Des guerres fomentées et soutenues par l’Occident au Moyen-Orient (Syrie, Irak), ou en Afrique du nord (Lybie). C’est Daesh et l’état islamique, c’est la terreur et les attentats ;
- Un front intérieur : c’est celui du combat idéologique contre les traditions, contre la famille et contre la vie humaine. C’est le combat de l’homosexualisme et du LGBTisme. C’est la gay-pride, le mariage homosexuel et la théorie du genre, c’est la GPA et la PMA, ce sont les Femen et les Pussy Riot.
C’est ainsi qu’un rapport de Kissinger en 1974 (qui sera approuvé par le président Ford l’année suivante) propose une orientation nécessaire pour asseoir l’hégémonie des Etats-Unis sur le monde : ils conditionnent l’aide alimentaire aux pays du Tiers-monde, à l’adoption de mesures drastiques de limitation des naissances. Plus récemment en juin 2014, le vice-président des Etats-Unis Joe-Biden affirmait avec force, devant un parterre d’avocats, que « la protection des droits LGBT était au-dessus des cultures nationales et des traditions sociales ».
Plus proche de nous, l’Union Européenne, inclut systématiquement le droit des homosexuels comme condition d’entrée dans l’U.E. Depuis près de deux décennies toutefois, la Russie a engagé, en puisant dans les ressources de sa grande civilisation, un redressement spirituel sans précédent, pendant que l’Occident continue son auto-destruction. C’est pourquoi les patriotes français et européens, attachés à leur culture, à leur tradition et à leur civilisation tournent aujourd’hui leur regard vers la Russie, dernière nation chrétienne d’Europe et porte-étendard de la lutte pour la défense de la famille.
Quels remèdes ?
Le Pape Léon XIII dans son encyclique Rerum Novarum (1891) disait « A qui veut régénérer une Société en décadence, on prescrit avec raison de la ramener à ses origines ». Ainsi, pour que l’Occident retrouve sa splendeur et redevienne le phare qu’il a longtemps été dans le concert des nations, il doit avant tout renouer avec son héritage chrétien. Pour cela, le premier acte serait de rompre avec les idéologies nées de la Révolution française dont le slogan était, « du passé faisons table rase ». Idéologies qui ont ensuite été imposées avec force et violence au moment de la Grande Terreur de 1792, et qui s’est ensuite propagée dans toute l’Europe à la faveur des guerres napoléoniennes.
Cet anti-théisme et cette haine de l’ordre naturel chrétien sont aujourd’hui incarnés en France par ce qu’on appelle la « laïcité », mais qui n’est en réalité qu’un extrémisme laïciste, une nouvelle religion athéiste toute entière tournée contre la chrétienté et vers le culte de l’Etre suprême et de l’individu. En France comme ailleurs, le culte de l’individu a trouvé à chaque fois son apogée lors de la légalisation de l’avortement. Car c’est en banalisant et en acceptant le meurtre de l’enfant innocent à naître dans le ventre de sa mère, que les idéologies totalitaires, ont réellement porté un coup fatal à l’ordre naturel des nations et l’ordre divin des choses. L’avortement prive les nations de centaines de milliers d’être humains par an. Il crée de graves problèmes de stérilité sur les femmes qui le pratiquent. Il est en partie responsable de la chute vertigineuse des courbes démographiques en Europe et aux Etats-Unis. Il traumatise des centaines de milliers de femmes, qui contrairement à ce que les médias disent, vivent bien souvent avec un remords qui les ronge tout au long de leur vie. Il ouvre grand la porte aux attaques des ennemis de la famille, comme on peut le voir en Occident avec la théorie du genre, la PMA, la GPA…
Ainsi, il me semble que la première des politiques à apporter si nous voulons défendre les familles, et les nations souveraines, c’est d’abord une politique de lutte contre l’avortement. Cette politique passera nécessairement par une politique de communication pour expliquer qu’un fœtus n’est pas un amas de cellules, mais bien un être humain en devenir, qui possède déjà une âme. Elle passera ensuite par la mise en place de structures d’accueil et d’aide pour les femmes en détresses. Par la possibilité pour les femmes de pouvoir accoucher sous X et par l’ouverture de centres d’accueil pour les nouveaux-nés. Elle passera enfin par la mise en place d’une politique d’aide sociale et financière pour les familles nombreuses, et les parents les plus démunis, afin qu’ils puissent s’occuper dignement de leurs enfants. En France, vous le savez, la volonté politique n’est pas de lutter contre l’avortement : plutôt que d’accueillir l’enfant à naitre, avenir de la Nation, l’Etat juge préférable d’accueillir des centaines de milliers de migrants tous les ans…
Nous avons en revanche, de multiples structures qui travaillent depuis plus de trente ans dans le domaine de l’avortement en se battant concrètement sur le terrain pour sauver les bébés à naître et souvent leurs mamans victimes de l’acharnement de leurs familles. Elles ont une véritable expertise dans le domaine et seraient heureuses d’échanger avec vous si vous le désirez. En conclusion, j’aimerais simplement ajouter qu’il ne faut pas perdre de vue que toutes ces mesures à mettre en place aujourd’hui pour servir la famille, aussi difficiles soient-elles, assureront la vitalité de nos pays demain."
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L'État républicain n'assume pas les conséquences de ses actes
Ce n'est certainement pas une surprise pour les lecteurs du Salon Beige, mais en cette occurrence, le bouchon est poussé très loin, comme le présente ce reportage.
Notez que ce reportage a été présenté lors du premier journal télévisé de RT France, en français, dont vous trouverez l'intégrale ici.
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Pierre Yves Rougeyron : Que Lire volume 1 Livres pour Noël
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MACRON, MAY, MERKEL and C°
Pieter Kerstens
Gauche, Droite …Droite, Gauche… en 40 ans et depuis Giscard d’Estaing, tous nous ont entraînés vers le chaos et la décadence. Ils n’ont pas su, pas pu ou pas voulu anticiper les bouleversements économiques, sociaux, culturels ou financiers auxquels la France et l’Europe devaient « Faire Face ». Sans évoquer ici la révolution annoncée par l’Intelligence Artificielle et la numérisation généralisée.
Pourtant hier, moins qu’aujourd’hui, le constat est évident :
- Le chômage est endémique.
- Les impôts sont confiscatoires et deviennent insoutenables.
- Lassés des vaines promesses (qui selon Charles Pasqua « n’engagent que ceux qui y croient ») et outrés par les mensonges successifs de ceux qui nous gouvernent, les peuples expriment leur profond mécontentement, à longueur de manifestations et d’élections.
- La drogue est en vente libre aux portes des écoles.
- L’insécurité ne cesse de se développer dans nos villes, à tel point que des élus conseillent aux femmes de ne plus circuler sur la voie publique à la nuit tombée !
- La bureaucratie, nationale et européenne étouffe toute envie d’entreprendre.
- La corruption des élus n’a pas disparue, malgré les déclarations multiples des élites qui devraient, elles, montrer l’exemple.
- Avec Schengen, la flotte Frontex en Méditerranée et les accords européens, l’immigration « sauvage » n’est toujours pas contrôlée et bien au contraire conduit depuis des années à une véritable invasion de hors-la-loi, d’inassimilables et des délinquants.
Nul doute que la mafia socialaud-écolo-libéro-démocrato-capitaliste va payer chèrement ses dérives et ses excès lors des prochaines consultations électorales dans l’Hexagone et ailleurs en Europe.
Et si, selon les spécialistes, d’autres attentats ont lieu et que d’après les économistes on assiste à un krach financier ou une nouvelle crise économique, alors une cinglante défaite s’annonce pour les laquais du Nouvel Ordre Mondial et les complices de la société multiculturelle.
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LE SIÈCLE D’OR DES PAYS-BAS (XVIIᵉ S.) | 2000 ANS D’HISTOIRE | FRANCE INTER