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  • La culture de la repentance affaiblit le mental de la nation

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    Par Ligne droite, rassemblement de Français engagés pour une droite nouvelle 

    Depuis quelques décennies maintenant, les dirigeants de la France, devenus des adeptes de la repentance collective, recherchent dans son passé tous les épisodes susceptibles d’être utilisés pour la culpabiliser. Une telle démarche ne peut qu’altérer notre identité, développer la haine collective de soi et désagréger la communauté nationale. Profondément malsaine, la pratique incessante de la repentance affaiblit le mental de la nation.

    Repentance tous azimuts

    Tel est bien l’exercice insolite auquel se livrent les responsables du Système en se penchant de façon négative sur différentes périodes de notre histoire nationale. Il y a d’abord les événements tragiques de la Seconde Guerre mondiale dans lesquels notre pays en est arrivé à se considérer lui-même comme complice de la persécution des juifs. De même, notre nation en est venue à juger la colonisation comme un épisode moralement condamnable, M. Macron allant jusqu’à déclarer pendant sa campagne électorale que des crimes contre l’humanité ont été commis à cette occasion. De plus, notre pays s’est laissé stigmatiser à propos de l’esclavage aussi bien pour le commerce triangulaire que pour la pratique qui en a été faite dans les Antilles. Et, bien sûr, la liste n’est pas close, d’autres sujets donneront certainement de nouveaux motifs de se battre la coulpe et, s’il n’y a plus rien à trouver dans la période récente, il suffira de remonter plus loin dans le passé, jusqu’aux croisades par exemple.

    Repentance officielle

    Mais le plus consternant dans ce phénomène est qu’il n’a rien de spontané. Il ne vient pas du peuple, il est certes porté par certains groupes et relayé par les médias mais il est surtout pris en charge par l’État. La plupart de ces événements font l’objet d’une reconnaissance officielle : des monuments ont été érigés, des lois ont été votées, des commémorations annuelles instituées, des demandes de pardon ont été formulées, des indemnités versées. La repentance est officielle et assumée par l’État au nom du peuple tout entier.

    Les Français pas pires que les autres

    Or, cette démarche est profondément malsaine. D’abord, elle stigmatise injustement la France et les Français. Car, les hommes ne sont pas des saints et dans l’histoire de l’humanité tous les peuples ont connu des périodes fastes et des périodes plus sombres. Or, personne ne peut raisonnablement affirmer que les Français et les Européens auraient été moralement plus condamnables que les autres peuples du monde. Sur la question de l’esclavage par exemple, seuls les Européens ont réellement mis fin à cette pratique qui, en revanche n’a pas disparu en Asie et dans les pays musulmans. Pourquoi, dès lors, les nations d’Europe et elles seules s’adonnent-elles à ce curieux exercice d’autoflagellation ?

    Nul n’est coupable pour ses parents

    Cette manie repose par ailleurs sur une atteinte aux droits fondamentaux des personnes. Nul ne peut en effet être considéré comme responsable des méfaits commis par un parent ou par un ascendant, une notion d’ailleurs propre aux valeurs européennes. Or, la repentance consiste précisément à exiger des générations actuelles qu’elles entrent en contrition pour ce qu’auraient commis les générations précédentes. Dans cet esprit, d’ailleurs, n’est-il pas révoltant que ces exercices de repentance gagnent les écoles où des enseignants culpabilisent nos enfants en déposant sur leurs épaules un fardeau qu’ils n’ont aucune raison de porter ?

    La manie de la repentance érode notre identité

    Le résultat est que cette culture de la repentance affecte gravement le mental de la nation. D’abord, elle porte atteinte à notre identité. Celle-ci est déjà mise en cause par l’invasion migratoire, l’influence culturelle américaine et les attaques contre nos valeurs de civilisation, mais le processus de repentance ne peut qu’accélérer l’érosion identitaire que connaît notre pays. Comment nos compatriotes pourraient-ils en effet rester attachés à la France, si on leur rappelle sans cesse à quel point elle est coupable ?

    « Pour les ethnologues, toutes les civilisations se valent, mais on ne fait durer la sienne qu’en la considérant comme supérieure aux autres », écrivait Claude Lévi-Strauss. Si donc on installe les Français dans l’idée qu’ils sont plus mauvais que les autres peuples, comment pourraient-ils faire durer leur culture et leur civilisation ? La repentance est un acide qui ne peut que corrompre le moral de la nation.

    La pratique de la repentance, symptôme d’une pathologie mentale

    Elle procède d’ailleurs d’une démarche psychotique. Que dirait-on en effet d’un homme qui se sentirait coupable des crimes commis par un ascendant ? Les thérapeutes diagnostiqueraient une maladie mentale et s’emploieraient à lui expliquer qu’il n’est en rien concerné. On lui prodiguerait le conseil d’invoquer plutôt la mémoire de ses ancêtres les plus prestigieux.

    Il n’en va pas différemment d’une nation. Pour la France, tout se passe comme si les responsables et activistes de la repentance étaient atteints d’une pathologique mentale. Et c’est particulièrement vrai pour les dirigeants politiques dont la mission devrait consister au contraire à favoriser la fierté nationale.

    L’attitude normale et saine consiste en effet à laisser dans l’ombre ce qui doit y être et à exalter et valoriser les périodes les plus glorieuses de notre passé collectif.

    La France n’en manque pas.

    Source : Ligne droite

    Crédit photo : Strecosa via Pixabay cco

    https://www.polemia.com/la-culture-de-la-repentance-affaiblit-le-mental-de-la-nation/

  • LA LIGUE DE DÉFENSE NOIRE AFRICAINE : UNE NOUVELLE POLICE POLITIQUE ?

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    Non contente d’avoir forcé la main, avec succès, à Facebook pour que soit fermée la page de Génération identitaire – après qu’ils ont symboliquement bloqué le col de l’Échelle, un lieu de passage des migrants entre l’Italie et la France –, la Ligue de défense noire africaine (LDNA) réclame maintenant la tête professionnelle de Romain Espino, porte-parole du mouvement patriote, par ailleurs salarié du Crédit agricole.

    Une vidéo tourne ainsi sur Internet, montrant l’intrusion du leader de la LDNA, Gucci Ig – rappeur de son état, qui chante notamment « Moi j’préfère le Coran, nique le pape et l’Église », injure caractérisée à l’encontre des catholiques qu’il ne ferait pas bon proférer en inversant les propositions ! – au siège social du Crédit agricole, à Montrouge (Hauts-de-Seine), pour exiger le renvoi de Romain Espino, « un traqueur de migrants », selon l’activiste noir.

    « Réclamant en vain un rendez-vous avec un responsable […], les choses auraient apparemment dérapé. Le membre de la LDNA […] estime que “la blanche à l’accueil […] doit aussi faire partie de l’extrême-droite” et qu’elle lui a “mal parlé”. Après que l’accueil du Crédit agricole s’est vidé, le militant s’est retrouvé au contact des agents de sécurité où il a élevé la voix, sur un ton menaçant » (RT France).

    La LDNA est coutumière de ces méthodes d’intimidation, comme elle l’a démontré au début de l’année en menaçant les vendeurs d’un magasin H&M, pour protester contre une publicité de l’enseigne qui, « à l’occasion du lancement de sa nouvelle collection pour les jeunes garçons, [avait] mis en ligne, sur son site au Royaume-Uni, la photo d’un petit garçon noir portant une inscription jugée raciste sur son sweat-shirt : “Coolest monkey in the jungle”. Traduction : “Le singe le plus cool de la jungle” » (Le Figaro). Les activistes de la LDNA revendiquaient, sur une vidéo, de « foutre le bordel dans le magasin [pour] leur envoyer un message ».

    L’écrivain Blaise Cendrars (1887-1961) est aussi dans la ligne de mire de cette organisation, incriminé pour ses Petits Contes nègres pour les enfants des Blancs, texte qui, loin d’être raciste, témoigne de l’intérêt de l’auteur « pour l’Afrique, quelques années après son Anthologie nègre de 1921. Si ces livres font aujourd’hui polémique, c’est pour l’utilisation du terme “nègre” dans leurs titres, jugée négrophobe » (ActuaLitté).

    Il devient évident que la violence de ces groupuscules antiracistes, à l’instar de ceux d’extrême gauche – lesquels ont encore illustré le peu de cas qu’ils faisaient de la démocratie en « chahutant »récemment Robert Ménard en Gironde, comme l’a titré, avec un indéniable sens de l’euphémisme, Le Monde –, fait peser un climat de terreur, telle une police politique autoproclamée. Il serait temps de leur rappeler que force doit rester à la loi.

    À noter que LDNA ne s’est pas encore prononcée sur la couleur des pansements !

    http://www.bvoltaire.fr/ligue-de-defense-noire-africaine-nouvelle-police-politique/

  • Dimanche 13 mai, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, invité à prendre la parole lors des commémorations de Jeanne d'Arc

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  • Marie-Madeleine Dienesch, résistante, député et secrétaire d'Etat, a milité contre l'avortement : doit-elle être oubliée ?

    6a00d83451619c69e20224df3204ad200b-200wi.pngMarie-Madeleine Dienesch est née au Caire, en Egypte, le 3 avril 1914, et fut élue député des Côtes-du-Nord en 1945. Adhérente du mouvement de Résistance Libération-Nord, militant à la libération d’abord dans les rangs de la CFTC puis en mettant sur pied l’Union féminine civique et sociale des Côtes-du-Nord, elle a accédé aux premiers rôles au sein de la section départementale du MRP.

    Député des Côtes-du-Nord de 1945 à 1981, d’abord sous l’étiquette du MRP puis au sein de l’écurie gaulliste, elle fut secrétaire d’Etat pendant six ans sous les gouvernements de Georges Pompidou, Maurice Couve de Murville, Jacques Chaban-Delmas et, enfin, Pierre Messmer. Après un bref – deux mois ! – passage au secrétariat d’Etat à l’Education nationale, elle est ensuite nommée à « l’Assistance sociale et à la réadaptation », maroquin qu’elle conserve de juillet 1968 à mai 1974.

    Marie-Madeleine Dienesch est la seule femme à avoir siégé aussi longtemps à l’Assemblée nationale sous les IVe et Ve République. Une performance d’autant plus remarquable que cette carrière s’effectue bien avant la loi sur la parité. Elle expliquait :

    "Ceux qui m’attaquaient le plus violemment n’étaient ni les communistes ni les socialistes, mais des anti-féministes viscéraux qui ne supportaient pas que des femmes aient de nouvelles responsabilités. Ils ne représentaient en fait qu’une faible partie, heureusement, du corps électoral. L’ensemble de la population avait accepté avec enthousiasme ce renouveau de la vie politique ».

    Alain Cadec, patron LR du département des Côtes-d'Armor (le nom Côtes-du-Nord a été abandonné en 1990), a décidé de baptiser un nouvel établissement public qui ouvrira en septembre à Lamballe du nom de l’ancienne député gaulliste (1914-1998).

    La section locale du Parti communiste conteste cette décision et crée un peu d'agitation relayée par Ouest-France :

    « Nous ne pensons pas compatible qu’une élue, qui a milité notamment contre la contraception et l’avortement, ait son nom porté aux côtés de notre devise républicaine où la liberté de conscience et d’expression est si fortement présente. »

    Et quelques militants ajoutent :

    "Nous nous opposons au nom annoncé par le président du conseil départemental pour le nouveau collège de Lamballe. Marie-Madeleine Dienesch a certes été résistante et ministre, mais elle a également présidé l’association Laissez-les vivre et a farouchement milité contre la contraception et l’avortement.Un collège public ne peut pas porter le nom d’une opposante aux droits de la femme et aux droits à l’égalité."

    En fait, Marie-Madeleine Dienesch avait simplement présidé une grande réunion de Laissez-les-Vivre à la Mutualité le 5 mars 1971. Mais c'est déjà trop pour les avorteurs.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La migration de masse venant d’Afrique auraient été planifiée de longue date ?

    Dans différentes émissions, Kla.TV a évoqué l’opinion de personnes qui en étaient venues à conclure que la crise des réfugiés n’est pas un hasard, mais que la migration de masse vers l’Europe a été mise en marche de manière ciblée par des hommes de pouvoir comme par exemple George Soros.

    Il y a maintenant deux autres personnes qui ont étudié à fond les causes de la migration de masse d’Afrique vers l’Europe. Dans un article publié le 12 octobre dans le magazine politique et économique sur Internet Makroskop, le professeur en économie Anis Chowdhury et l’économiste malaisien Jomo Kwame Sundaram ont répondu à la question de savoir pourquoi tant de jeunes Africains essayent de quitter leur continent natal au péril de leur vie : Citation : « Dans la première moitié de cette année (2017) au moins 2 247 personnes ont perdu la vie ou ont été déclarées disparues après avoir tenté de venir en Europe par l’Espagne, l’Italie ou la Grèce. L’année dernière (2016), 5 096 décès ont été enregistrés au total. Il s’agit d’informations données par l’organisation internationale pour les migrations (OIM).

    Lire la suite sur Ça doit se savoir

  • M. Macron, l’employé modèle du Système

    Chronique de Paysan Savoyard (n°200 – mai 2018)

    L’anniversaire de l’élection de M. Macron permet de dresser un premier bilan. Au terme de cette première année de pouvoir macronien, on peut constater que les évolutions à l’œuvre depuis quatre ou cinq décennies sont en train de s’accélérer : M. Macron conduit de façon efficace la politique mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire pour laquelle le Système l’a choisi.

    • Macron-Rothschild est comme prévu le président des riches

    Conformément aux vœux de ceux qui l’ont porté au pouvoir, après l’avoir sélectionné et financé sa campagne, la politique de M. Macron est favorable aux plus riches.

    L’ISF a été remplacé par un impôt (l’IFI) qui ne pèsera plus que sur le patrimoine immobilier. Alors qu’ils constituent la plus grosse partie du patrimoine des plus riches, les actifs financiers vont donc désormais être exonérés.

    L’impôt sur les revenus du capital est lui fortement réduit. Au lieu d’être imposés à l’impôt sur le revenu, comme ils l’étaient sauf exception jusqu’à présent, impôt sur le revenu dont le taux maximum est de 45 %, les revenus du capital seront désormais soumis à un « prélèvement forfaitaire unique » de 12,80 % (en comptant les cotisations sociales, d’un niveau très inférieur à celles qui pèsent sur le travail, le PFU total sera de 30 %).

    Selon le président PS de la commission des finances, le gain de ces deux réformes, IFI et PFU peut être estimé à 1,5 million d’euros en moyenne pour chacun des cents premiers contribuables.

    M. Macron vient en outre d’annoncer la suppression de « l’Exit tax », que M. Sarkozy avait instituée afin de freiner l’exil fiscal (cette taxe pèse sur les plus values constatées lorsqu’un contribuable transfère son domicile fiscal à l’étranger).

    Enfin M. Macron a également annoncé la baisse prochaine de l’impôt sur les bénéfices des sociétés.

    Dans le même registre, on peut noter que le nombre des travailleurs détachés s’est envolé en 2017, au bénéfice des employeurs et au détriment des salariés et petits artisans français : il atteint 516 000, soit une hausse de 46 % par rapport à 2016 (étant précisé, qui plus est, que ce chiffre ne comprend ni le secteur du transport routier ni les nombreux travailleurs non déclarés).

    Comme le dit perfidement M. Hollande, son successeur est moins le président des riches que celui des hyper-riches. 

    • Active et mobilisée, la gauche anticapitaliste renforce pourtant la position de M. Macron

    Dans ce contexte, les différentes nuances et factions de la gauche anti-capitaliste (communistes, trotskystes, socialistes marxisants, écologistes, anarchistes) se mobilisent contre la politique menée par M. Macron. Le résultat de M. Mélenchon, qui a obtenu 7 millions de voix en 2017, a montré que ce courant politique est toujours bien vivant et puissant : il représente environ 20 % de l’électorat qui s’exprime, soit un score comparable à ceux qu’atteignait le PCF à son apogée.

    Ce courant comporte une avant-garde violente, composée des Antifas, Black-blocs et autres casseurs, qui se manifeste régulièrement. On se souvient de l’agression de policiers à Viry-Châtillon en 2016. Ces derniers mois les casseurs se sont manifestés à Notre-Dame-des-Landes, dans les blocage des facs et lors du 1er mai. On peut relever également les fréquentes agressions de militants et de cadres d’extrême-droite, telle que celle dont vient d’être victime R. Ménard (on notera que cette agression a été applaudie sur les réseaux sociaux par un grand nombre de commentateurs appartenant à la gauche anticapitaliste). Cette avant-garde poursuit la tradition violente qui est celle de la gauche communiste depuis 200 ans ; nous y reviendrons.

    Pour le Système, cette gauche anticapitaliste joue un rôle très positif. Elle permet ainsi à M. Macron de se poser en modéré et en réaliste face aux différents extrémismes de gauche et de droite : il peut ainsi mener une politique favorable aux riches, tout en paraissant occuper le centre de l’arc politique. En outre M. Macron sait qu’il retrouvera les suffrages de la plupart de ces électeurs d’extrême-gauche au moment décisif dans quatre ans. Les militants et électeurs de la gauche anticapitaliste jouent donc à la perfection le rôle « d’idiots utiles » que le Système attend d’eux. 

    • Le totalitarisme doucereux accentue son emprise

    Le Système mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire est un totalitarisme, même s’il se présente de façon doucereuse et hypocrite. La première année de pouvoir de M. Macron vient le confirmer.

    Sous le prétexte de lutter contre l’incitation à la haine, le Système continue ainsi à harceler les dissidents. Les militants de Génération identitaire qui, pour dénoncer l’immigration, avaient en 2012 occupé pacifiquement pendant quelques heures une mosquée en construction ont été lourdement condamnés il y a quelques semaines (5 militants ont été condamnés à 1 an de prison avec sursis, 5 ans de privation de droits civiques et 40 000 euros d’amende au total).

    Jean-Marie Le Pen a été condamné une fois encore (sa condamnation pour des propos « haineux » contre les Roms vient d’être confirmée le 6 mars par la Cour de cassation). E. Zemmour vient lui aussi d’être condamné une nouvelle fois, le 3 mai, pour des propos « haineux » contre l’islam. Ces derniers jours, le Système vient de faire fermer les comptes de Génération identitaire sur les différents réseaux sociaux.

    Comme l’a noté J.Y. Le Gallou, la fermeture des comptes de Génération identitaire illustre éloquemment le fait que le Système a la maîtrise de la totalité des lieux de pouvoirs et d’expression. C’est ainsi que le patron de Facebook France qui a fermé le compte n’est autre qu’un préfet, proche de M. Sarkozy : il a répondu à la demande du gouvernement et notamment à celle d’un autre préfet, responsable de la Dilcra, organisme officiel de l’antiracisme.

    Comme ses prédécesseurs, le pouvoir macronien illustre également un autre aspect du totalitarisme à l’oeuvre : l’arbitraire et le deux poids-deux mesures. Pendant que les dissidents anti Système sont condamnés et interdits, les casseurs et Black-blocs bénéficient de la plus grande mansuétude. L’agresseur principal des policiers de Viry-Châtillon est déjà sorti de prison. De même les centaines de rappeurs haineux ne sont jamais poursuivis. Les multiples discours de haine tenus par les immigrés sur les réseaux sociaux ne font l’objet d’aucune répression. Tandis que les très rares et très limitées actions hostiles contre les mosquées ont été lourdement condamnées, alors qu’elles se limitent à quelques tags, les actes de vandalisme contre les églises se multiplient sans provoquer de réaction du Système.

    L’illustration la plus criante de ce deux poids-deux mesures est toute récente : tandis que, comme on l’a indiqué plus haut, les militants ayant occupé une mosquée vide et en construction viennent d’être lourdement condamnés, une manifestation de « sans-papiers », bruyante et provocatrice, avec banderoles et slogans hurlés par haut-parleur, a été organisée, avec l’appui du parti de M. Mélenchon, à l’intérieur même… de la basilique St-Denis, sans que les pouvoirs publics aient déclenché aucune poursuite.

    Dans ce même registre du deux poids-deux mesures et du laxisme à géométrie variable, on notera que la réduction de la vitesse sur les routes à 80 km/h va permettre d’accentuer la politique d’intimidation des Français moyens.

    Le Système attend probablement une occasion favorable pour se débarrasser des dissidents et pour faire taire ses plus sérieux opposants, en particulier Eric Zemmour et Renaud Camus. Il se dit que le pouvoir a mis au point depuis déjà plusieurs années le scénario d’un attentat d’extrême-droite manipulé ou fabriqué de toutes pièces, qui pourra être monté en épingle et permettra de justifier des mesures radicales contre les dissidents.

    • Le rythme de l’invasion migratoire organisée par le Système s’accroît encore

    M. Macron avait annoncé qu’il considère l’immigration comme une chance : l’accélération de l’invasion depuis qu’il est arrivé au pouvoir n’est donc pas une surprise. Les chiffres de l’immigration atteignent de nouveaux records, qu’il s’agisse des installations légales (+ 13 % en 2017 par rapport à l’année précédente), des demandes d’asile enregistrées (+17 %), des demandes d’asile satisfaites (+21 %) ou encore des visas délivrés (+13 %). C’est ainsi que le nombre des installations légales d’immigrés en 2017 a atteint le record de 262 000.

    M. Macron est actuellement en train de faire passer un projet de loi « asile et immigration » qui ne contient que des mesures « bidon » contre l’immigration clandestine, tandis que d’autres mesures, précises et efficaces celles-là, vont accentuer l’immigration (voir cette chronique). Là encore, face aux protestations en sens opposé de l’extrême-gauche d’une part, de la droite et de l’extrême-droite d’autre part, M. Macron occupe la posture du juste milieu : il parviendra ainsi sans difficulté à abuser l’opinion et à la convaincre que le projet est à la fois raisonnable et ferme, alors qu’il est en réalité destiné à accentuer l’immigration.

    Notons enfin, sur le chapitre de l’immigration, que comme ses prédécesseurs, M. Macron multiplie les concessions et les accommodements envers les immigrés. C’est ainsi que s’organisent de plus en plus souvent ces derniers mois des réunions publiques interdites aux Blancs. On imagine la réaction du pouvoir si l’extrême-droite se mettait à organiser des réunions interdites aux Noirs et Arabes…

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    Comme on pouvait le prévoir (voir ces chroniques), M. Macron, plus habile et efficace que ses prédécesseurs, se comporte comme un employé modèle du Système.

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/

  • I-Média #200 - Censure de Génération Identitaire: les médias jubilent

  • Migrants à Paris. Hidalgo en appelle au Premier ministre : « On court à la catastrophe »

    La maire de Paris Anne Hidalgo a écrit vendredi au Premier ministre pour l’alerter sur « l’impasse » des campements de migrants dans la capitale et demander « une opération de prise en charge« , alors que Gérard Collomb vient de lui opposer sèchement une fin de non-recevoir.

    « Le chaos caractérise désormais les campements de la capitale« , où vivent 2.382 migrants dont 1.570 dans le campement « du Millénaire », porte de la Villette, au point que « les ONG demandent la présence de la police pour pouvoir continuer à y intervenir« , a écrit Anne Hidalgo dans cette lettre que l’AFP a consultée.

    Sans mise à l’abri des migrants présents dans les campements de Paris, « on court à la catastrophe » estime la maire de la capitale. […]

    msn

    http://www.fdesouche.com/1004009-migrants-a-paris-hidalgo-en-appelle-au-premier-ministre-on-court-a-la-catastrophe

  • CRITIQUER GEORGE SOROS, CE N’EST PAS ÊTRE ANTISÉMITE, M. PLENEL

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    Le 9 mai dernier, Valeurs actuelles publiait une série d’articles avec, pour titre, « Le milliardaire qui complote contre la France ». Cette enquête avait pour but d’investiguer sur l’homme d’affaires américano-hongrois George Soros. Ce nabab qui n’hésite pas à employer sa fortune pour financer des ONG qui « guident la société vers un mondialisme triomphant tout en combattant l’enracinement ».

    Ces articles ont fort déplu à des intellos de gauche qui, une fois de plus, ont vu derrières ces lignes l’ombre de la bête immonde.

    Ainsi, l’essayiste Raphaël Glucksmann, le fils d’André, compare l’enquête au plus grand pamphlet antisémite en tweetant : « Le protocole des sages de Sion, version 2018. Le remake hongrois vient d’être traduit en Français. »

    Edwy Plenel, le directeur de Mediapart, ami de Tariq Ramadan, s’en prend de manière identique à l’hebdomadaire : « Quand le complotisme mainstream de l’hebdo islamophobe Valeurs actuelles flirte avec le vieil antisémitisme du milliardaire juif cosmopolite (sic) qui financerait l’anti-France. »

    Enfin, Thomas Snégaroff, historien pour France Info, considère qu’avec la couverture du magazine, « le vieil antisémitisme n’est pas mort ».

    Ces attitudes sont inquiétantes car elles impliquent, si on les suit à la lettre, qu’il est interdit de parler d’un milliardaire, quelle que soit son action, autrement que pour en dire du bien, et ce, parce qu’il serait juif. Or, Soros – et c’est le moins que l’on puisse dire – est un personnage contestable et les critiques qui lui sont adressées visent ce qu’il fait et non ce qu’il est. Il faudrait que nos amis révisent un peu leur définition de l’antisémitisme.

    Justement, il est avéré que M. Soros utilise sa fortune pour détruire le fondement des peuples, promouvoir le mondialisme et imposer l’immigration de masse.

    C’est aussi un spéculateur qui, en septembre 1992, pariant sur la baisse, vend à découvert dix milliards de livres, provoquant une pression sur la Banque d’Angleterre qui fera sortir la devise du Système monétaire européen. Lui, par contre, encaissera une plus-value d’environ 1,1 milliard de dollars.

    C’est aussi cet homme, soi-disant défenseur de la démocratie, qui s’empresse de donner 400.000 livres britannique (453.000 euros) à une organisation pro-UE qui tente d’influencer le vote des députés britanniques sur l’accord final du Brexit. Confronté aux critiques, le financier décidera d’ajouter 100.000 livres de plus.

    C’est encore le dénonciateur des réseaux sociaux pour leurs pseudo-« fake news ». C’est lui qui demandera à l’Union européenne de contrôler et cadenasser ceux-ci.

    Heureusement, Soros a un grand détracteur : Benyamin Netanyahou. Celui-ci, après avoir soutenu Viktor Orbán face au milliardaire, accusa ce dernier de manipuler les manifestants contre l’expulsion d’Israël des migrants et demandeurs d’asile africains. Donc, si un plus un égal deux et si combattre Soros, c’est être antisémite, alors le Premier ministre israélien est antisémite !

    On a le droit de critiquer les dires et les actes de M. Soros comme ceux de M. Zemmour, et ce n’est pas de l’antisémitisme.

    Mais l’empressement de cette gaucho-sphère à ressusciter artificiellement et bruyamment ce « vieil antisémitisme » fantasmatique ne sert-il pas à détourner l’attention d’un autre antisémitisme, ce « nouvel antisémitisme » d’origine islamique dénoncé par l’appel des 300 du 22 avril dernier qui rappelait ces faits : « Onze Juifs viennent d’être assassinés – et certains torturés – parce que Juifs par des islamistes radicaux » ?

    http://www.bvoltaire.fr/critiquer-george-soros-nest-etre-antisemite-m-plenel/