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  • Une réconciliation des droites sur le sujet de l'immigration ?

    6a00d83451619c69e20223c84a663a200c-250wi.pngNicolas Dupont-Aignan a déclaré vendredi que Marine Le Pen avait signé sa proposition de référendum sur l'immigration, qui propose le rétablissement des frontières, le vote de quotas annuels par le Parlement et la limitation de l'immigration familiale :

    « Marine Le Pen a signé ma proposition de référendum.J'ai repris cinq points précis qui ont été proposés par Les Républicains, qui ont l'accord du Front national et qui ont l'accord de Debout La France ». « Si la droite continue la guerre des ego, la petite guerre des chefs, la division, elle sera balayée de l'Histoire, et mon devoir c'est de proposer un chemin »

    Le député de l'Essonne avait proposé dimanche dernier au président du parti Les Républicains Laurent Wauquiez et à Marine Le Pen une rencontre sur l'immigration, une « première brique pour la réconciliation des droites ». 

    Virginie Calmels, vice-présidente déléguée des Républicains, s'est opposée à un accord avec Nicolas Dupont-Aignan. « Ni accord, ni rencontre », a renchéri Damien Abad, lui aussi vice-président LR.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Skripal : un coup dans l'eau pour le contre-espionnage anglais

    Le laboratoire chargé par les Britanniques d’analyser l’agent toxique qui a empoisonné Sergueï Skripal a rendu ses conclusions : impossible de le lier à la Russie. Et comme la victime se porte mieux, l’affaire Skripal, exploitée sans scrupule par le Royaume Uni, tourne à la déconfiture. 

    Il y a de l'eau dans le gaz de l'affaire Skripal ! Les uns après les autres, les arguments britanniques pour lancer une campagne antirusse quasiment sans précédent depuis la fin de la Guerre froide s'effondrent. Souvenez-vous, nous l'analysions dans notre dernier numéro Skripal, ex-agent double russe et sa fille auraient été empoisonnés au Novichok, un gaz de combat développé par l'URSS. Ni le mauvais timing, ni l'absence de mobile, ni le modus operandi, ni même les questions autour du Novichok (produit inexistant ou au contraire connu de tous ?) n'allaient ébranler le « story telling » de Londres, repris en boucle par les chancelleries occidentales et les médias.

    Vous l'avez donc entendu pendant des semaines il est « hautement probable » que les Russes aient fait le coup, éructait Boris Johnson quelques jours après les faits. Pour étayer cette allégation, les confidences de Porton Down. Ce laboratoire militaire spécialisé en armes chimiques aurait garanti au ministre des Affaires étrangères que Skripal avait été empoisonné par un agent neurotoxique « d'un type développé par la Russie ». Tout en finesse, Johnson accusera nommément Poutine, l'ancien du KGB, d'être derrière l'affaire.

    En conséquence, Londres demandait la plus grande fermeté vis-à-vis de Moscou à ses alliés, tout en refusant de leur fournir des preuves et en traînant des pieds pour collaborer avec l'OIAC, l'organisme international chargé du contrôle des armes chimiques. Les alliés, donc, avec un enthousiasme variable se sont plies à la solidarité. S'en est suivi un intense ballet de diplomates russes expulsés, bientôt suivi par un nombre équivalent d'officiels priés de quitter la Russie. Bref, ce seront quelque 300 diplomates de toutes nationalités qui auront récolté des miles sur leur carte de fidélité. Et ce n'était qu'un début, la Grande-Bretagne boycottant - diplomatiquement uniquement, il ne faut pas risquer une révolution - la Coupe du monde de football qui se tient cet été en Russie. Une compétition que Johnson comparera aux JO de Berlin en 1936, Moscou ressortant aussitôt les photos des athlètes britanniques tendant le bras devant Hitler. Ambiance.

    Et puis patatras ! Au milieu de ce chassé-croisé, le laboratoire Porton Down rend, le 3 avril dernier, ses conclusions, dans lesquelles il s'avoue incapable de prouver que l'agent toxique qui a touché Skirpal et sa fille venait bien de Russie. Curieusement, on n'entendra guère Boris Johnson à ce sujet, il essaiera même d'effacer ses Tweets accusant la Russie sur la foi « des rapports de Porton Down », mais trop tard. Embarrassing, isn't it ?

    Si, peut-être sous pression politique, le laboratoire affirme tout de même que les Skripal ont été empoisonnés au Novichok, Porton Down n'a pas toujours été aussi catégorique à ce sujet. Le docteur Robin Black, son chef, écrivait en 2016 que « les indices de l'existence éventuelle d'un tel produit sont quasi-inexistants et sa composition reste inconnue ». Comment alors identifier un produit dont la composition est inconnue ? Mystère.

    Embarrassing, Isn't it ?

    Et pire encore, si l'on ose dire, Sergueï Skripal et sa fille vont mieux ! On l'oublie presque, mais ses deux principaux protagonistes étaient bien à l'hôpital et non au cimetière. Alors qu'ils n'avaient, paraît-il, que 1 % de chance de survivre au Novichok, les voici tirés d'affaire, tout comme le policier qui les avait découverts, sorti de l'hôpital dès le 22 mars dernier. D'ailleurs, une médecin qui avait administré les premiers soins à Ioulia Skripal pendant plus de 30 minutes n'a pas été affectée ni aucune autre personne dans le voisinage de Skripal ou dans les lieux où se serait produit le gazage presque fatal.

    D'ailleurs, les rapports officiels indiquent que les échantillons de sang de Sergueï et Ioulia ont « montré une exposition à un agent neurotoxique ou à un composé similaire. » En clair, ces analyses ont montré des traces de décomposition d'un produit qui pourraient être « un agent neurotoxique de type Novitchok ou d'un agent très ressemblant. » Quand c'est flou, il y a un loup.

    Certains alliés de Londres montrent maintenant plus de mesure, à l'exemple de Berlin qui a proposé à Moscou de remplacer ses diplomates expulsés. Officiellement le Royaume-Uni continue sur sa lancée avec les menaces de Theresa May, expliquant qu elle utilisera « tous les moyens à sa disposition », « y compris militaires », contre l'ennemi russe. Un discours en droite ligne avec la nouvelle stratégie de Défense britannique, pour laquelle la menace principale n'est plus le terrorisme, mais la Russie, la Chine et la Corée du Nord.

    Les victimes des attentats de Londres ou Manchester apprécieront cet alignement manifeste sur Washington, auquel ont été priés de se plier l'ensemble des capitales européennes à l'occasion de cette affaire Skripal, qui tombait décidément à pic pour isoler une Russie rétive à l'ordre du monde occidental.

    Richard Dalleau monde&vie 19 avril 2018

  • Belle démonstration de force des jeunes nationalistes parisiens en mémoire de Sébastien

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    Mercredi soir à Paris le Comité 9 mai, soutenu par le Bastion social, a organisé la marche annuelle en mémoire de Sébastien, jeune militant décédé en 1994 suite à une manifestation durement réprimée par la police. Notons le nombre important de participants à cette commémoration. Cela prouve que chez les nationalistes, la fidélité existe.

  • Zoom : Daniele Masson - Eric Zemmour, itinéraire d’un insoumis

  • Racisme : le Conseil des droits de l’homme de l’ONU demande à l’Allemagne d’agir contre l’antisémitisme aggravé par les migrants

    Allemagne antisémitisme migrants racisme Conseil droits homme ONU
    L’Allemagne répondait ce mardi aux questions et aux remarques des autres pays membres de l’ONU réunis au sein du Conseil des droits de l’homme à Genève. Plusieurs pays se sont inquiétés de la vague d’attaques antisémites dont souffre la nation qui a organisé et exécuté la déportation systématique des juifs d’Europe pendant la Deuxième guerre mondiale. Beate Rudolf, de l’Institut allemand pour les droits de l’homme, a parlé d’un problème de longue date de l’Allemagne avec un antisémitisme ancré dans sa population, que le « nouvel antisémitisme » amené par les migrants ne ferait qu’empirer. L’Allemagne ainsi retoquée pour « racisme »… est félicitée par d’autres pays pour l’accueil qu’elle a réservé à ces migrants ! Mais d’autres représentants ont dénoncé les actes racistes qui les visent (5.700 répertoriés ces dernières années) et le manque d’efforts de l’Allemagne contre le racisme et la xénophobie.

    Lire la suite sur REINFORMATION.TV

  • La montée des islamistes en Belgique

    6a00d8341c715453ef0224e038e221200d-320wi.jpgA l'approche des élections communales en Belgique, souligne, et déplore, le site d'information 7 sur 7 en date du 7 mai, qu'en dehors de la participation des partis islamistes issus des communautés turques et marocaines, certains partis traditionnels belges n'hésitent pas d'utiliser la propagande islamique dans leur campagne électorale :
    Ainsi, c'est un parti flamand, le CD&V, – sigle correspondant à Christen-Democratisch en Vlaams, Chrétiens-démocrates et flamands, - formation membre du Parti populaire européen qui distribue à Anvers un calendrier islamique pour le mois de Ramadan avec un message : "On vous souhaite un bon Ramadan et une joyeuse fête du sucre”.
    Dans son calendrier en néerlandais, le CD&V indique comme l'année en cours 1439 du calendrier islamique, non 2018 du calendrier officiel de l'Union européenne et de la Belgique (...)

    → Lire la suite de cette chronique sur le site de l'IHS

    http://www.insolent.fr/

  • Viktor Orban pour une Europe chrétienne, loin de se laisser intimider par les menaces de Bruxelles, persiste et signe

    Le Premier ministre hongrois en remet une couche en dépit des menaces de Bruxelles: réfutant la démocratie libérale il milite pour une Europe aux racines chrétiennes fort du véritable plébiscite populaire de son parti Fidesz,  début avril. C’est le peuple hongrois qui lui a offert un nouveau mandat à la tête de la Hongrie, et il défend les positions anti-immigration et envisage une Europe des nations, dans la ligne du Front national et des autres partis eurosceptiques qui gagnent du terrain, non plus seulement en Europe de l’Est ou centrale, mais également à l’Ouest. C’est ce qu’il a déclaré devant le Parlement de son pays le 10 mai, lors de son investiture officielle pour son troisième mandat consécutif. Photo ci-dessus: prestation de serment de Viktor Orban devant le Parlement hongrois, il y a deux jours.

    Les oligarques pensaient tracer au chef du gouvernement hongrois les «lignes rouges» à ne pas franchir… Mais il en faudrait bien plus à cet homme qui s’est battu pour que son pays sorte du joug soviétique, pour renoncer à l’indépendance et à la civilisation de la Hongrie. Une Hongrie qui est restée durant trois siècles sous le joug musulman de l’empire ottoman.

    En effet lors de son discours d« ‘investiture « Viktor Orban estime que sa victoire est le signe que les Hongrois ont décidé de défier «l’ancien ordre mondial» en faveur d’une démocratie chrétienne, qui permettra à la Hongrie de «survivre et grandir» en tant que nation. «L’ère de la démocratie libérale touche à sa fin. Elle ne parvient pas à protéger la dignité humaine, est incapable d’offrir la liberté, ne peut pas garantir la sécurité et ne peut plus maintenir la culture chrétienne», a -t-il martelé. Autant de failles que la Hongrie s’évertue à combattre en construisant «la démocratie chrétienne du XXIe siècle», qui est selon lui à même de défendre le modèle de la famille traditionnelle. «Nous sommes chrétiens démocrates, et nous voulons la démocratie chrétienne», a-t-il insistéselon RT

    Narguant l’Oligarchie, Orban réfute l’immigration de masse qui mène à «la mort des nations»

    Revenant sur le quota de migrants imposé par l’Union européenne, Viktor Orban a martelé qu’il ne l’accepterait pas, soulignant que l’immigration de masse pouvait mener à «la mort des nations», et qu’il était de son devoir de défendre les intérêts du peuple hongrois et de protéger les valeurs chrétiennes. « Aujourd’hui, des milliers d’activistes rémunérés, de bureaucrates et de politiciens travaillent à Bruxelles à classer la migration en tant que droit de l’homme fondamental. Ils veulent nous retirer le droit de décider qui nous acceptons ou pas», a dénoncé le dirigeant hongrois. Viktor Orban s’en est pris à ce qu’il considère plus largement comme une dérive idéologique de l’Union européenne, à savoir le «cauchemar délirant» des États-Unis d’Europe. Il a appelé le bloc à «revenir à la réalité» et a abandonner ce projet, pour se tourner au contraire vers une «alliance de nations libres». «Mon gouvernement sera un gouvernement de Hongrois libres et de Hongrois souverains». (…)

    « Je pense que quand nous nous fixons des objectifs ambitieux… nous sommes sur la même longueur d’onde que le peuple », a-t-il déclaré face aux députés nouvellement élus au Parlement, à Budapest. « Cela encourage et autorise à faire des projets pas seulement pour quatre ans, mais pour des échéances de 10 ou 12 ans »a-t-il ajouté.

    l’«alliance de nations libres» ou l’Europe des nations, des pays centraux à ceux de l’Ouest, les peuples européens n’entendent pas mourir.

    Cette prise de position arrive alors que Bruxelles sous l’instigation d’Emmanuel Macron  et de ses complices oligarques, tentent d’imposer par la force un moyen de punir la Hongrie de vouloir rester libre.

    Le 8 avril dernier, sous le regard médusé d’une grande partie des élites européennes, le parti de Viktor Orban, le Fidesz, a très largement remporté, avec près de 50% des voix, les élections législatives hongroises. Même si la victoire du parti de la droite conservatrice n’est pas une surprise ; son ampleur, surtout dans un contexte de participation particulièrement élevée, a complètement déboussolé les opposants au Premier ministre hongrois, aussi bien en Hongrie que dans le reste de l’Europe. En effet, peu après l’annonce des résultats, le ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, Jean Asselborn, a par exemple appelé ses partenaires européens à une réaction énergique « pour neutraliser ces tumeurs idéologiques » tout en affirmant qu’« Orban et compagnie ne sont pas des références pour l’Europe de nos enfants ».  (…)

    Outre le fait qu’il est toujours assez drolatique de voir des défenseurs de la démocratie remettre en cause des résultats on ne peut plus démocratiques, ces inquiétudes, qui peuvent apparaître à certains égards comme légitimes, ne doivent pas servir de prétextes pour tenter de délégitimer le vote des électeurs qui s’est déroulé après une campagne au cours de laquelle l’opposition a pu très largement s’exprimer. N’en déplaise à certains, le parti de Viktor Orban a largement remporté un scrutin qui n’a souffert d’aucune irrégularité, et le choix populaire qui a conduit à ce résultat doit être de ce fait éminemment respecté. En effet, on ne peut pas d’un côté se prétendre démocrate quand le verdict des urnes nous convient, et de l’autre, utiliser tous les procédés possibles et inimaginables pour tenter de discréditer un résultat démocratique quand celui-ci ne nous plait pas.Valeurs actuelles

    De même que le rejet de la Constitution européenne avait aussitôt entrainé le passage en force du traité de Lisbonne qui a mis en exercice la Constitution rejetée, de même les oligarques de la Commission européenne entendent contraindre les nations membres d’accepter les clandestins musulmans.

    La Commission européenne veut casser les peuples rebelles en leur coupant  les vivres

    Il s’agit de « Manipuler les fonds européens pour faire rentrer dans le rang les pays qui ne respectent pas les valeurs de l’UE. Pour ce premier budget post-Brexit, couvrant la période 2021-2027, Jean-Claude Juncker et son commissaire au Budget, Günther Oettinger, ont mis leurs menaces à exécution. Certains pays pourraient dès 2021 être privés de tous leurs fonds européens, ou partiellement, en fonction de la gravité des faits, s’ils violent les principes de base de l’Etat de droit.

    L’idée avait commencé à germer à la rentrée 2017, quand Berlin et Paris, agacés par l’attitude du gouvernement polonais et ses réformes judiciaires, avaient demandé à la Commission de réfléchir à des actions un peu plus concrètes que le seul dialogue. En clair: toucher directement à l’argent reçu par ces pays, la Pologne étant d’ailleurs le principal bénéficiaire des fonds structurels, avec 86 milliards sur la période 2014-2020. « (…)

    « Bruxelles veut plus précisément proposer de geler tous les fonds européens, ou une partie de ces fonds, s’il y a des doutes sur l’indépendance des tribunaux et sur celle des décisions rendues dans tel ou tel pays, en vertu d’un vote dit à la majorité renversée assez difficile à bloquer pour le ou les pays concernés. (…)
    « suspendus, réduits ou limités » Le Figaro,  c’est Jean-Claude Juncker qui a esquissé cette menace mercredi 2 mai, afin de contester la dérive que certains jugent autoritaire du régime [hongrois].  Le Temps

    Parlement européen ou caisse enregistreuse ?

    C’est donc Bruxelles qui peut décider quel pays est conforme aux valeurs européennes ou pas, et qui peut couper les aides du pays. Le Parlement doit valider cette mesure. La seule solution pour empêcher la punition serait une majorité qualifiée (au moins 15 États sur 27, représentant 65% de la population de l’UE). Ces fonds d’aides européens sont très importants pour la Hongrie. Ils représentent chaque année près de 5 milliards d’euros, soit 4% du PNB hongrois, ainsi qu’entre 2 et 3 points de croissance. Ils financent également 55 % des investissements publics. valeursactuelles.com

    Pour réfuter la voix du peuple, il suffit aux oligarques de l’UE de prétendre qu’elle n’est pas libre:

    Les observateurs de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) ont estimé dans un rapport cette semaine que si les opérations de vote s’étaient déroulées dans des conditions satisfaisantes, « la capacité des électeurs à voter en connaissance de cause »avait en revanche été entravée par la « rhétorique xénophobe » ambiante et la « partialité des médias ». Plusieurs partis d’opposition n’ont pas assisté à la prestation de serment, en signe de protestation. A l’issue de cette cérémonie, le Premier ministre a expliqué dans un discours fleuve que les législatives d’avril couronnaient les changements impulsés lors de son arrivée au pouvoir en 2010. « Cela prouve que les gens pensent aussi que nous avons eu huit années bénéfiques », a-t-il assuré. AFP

    Quand on connaît la prise de pouvoir totale des médias mainstream au service du candidat Macron, le prétexte de « la capacité des électeurs à voter en connaissance de cause » ne peut apparaître que comme le justificatif des oligarques à leurs actes tyranniques contre les peuples des nations d’Europe. Les oligarques de la Commission européenne se cooptant entre eux à Bruxelles, ce n’est pas la souveraineté des peuples qui risquent de les étouffer. La réponse de Budapest ne s’est pas faite attendre comme on le voit. Il faut se rappeler qu’à l’origine de cette volonté de faire passer les pays récalcitrants sous les fourches caudines du mondialisme de la Haute finance se trouve Emmanuel Macron, qui, à peine élu s’est empressé d’activer les sanctions de Bruxelles contre la Pologne et la Hongrie.

    Macron qui n’a pas eu honte de recevoir le prix Charlemagne, alors que Charlemagne est l’un des plus grands artisans historiques de la chrétienté européenne.

    Voir aussi: Immigration: Macron s’est empressé d’activer les sanctions de Bruxelles contre la Pologne et la Hongrie

    http://www.medias-presse.info/viktor-orban-pour-une-europe-chretienne-loin-de-se-laisser-intimider-par-les-menaces-de-bruxelles-persiste-et-signe-pour-une-europe-chretienne/91596/

  • L’immigration, toujours une « chance pour la France » ?

    3605392322.jpgUn communiqué du MNR :

    Les Dernières Nouvelles d'Alsace du 7 février 2018 ont donné l'information suivante (ça n'a pas fait beaucoup de bruit à la télé...) : « 32 000 Euros d’allocations perçus avec une fausse identité : le prévenu relaxé » 

    Cet Algérien de quarante-neuf ans avait produit un faux acte de naissance irakien ; à la suite de ses démarches auprès de la Caisse d'Allocations Familiales du Bas-Rhin, il avait touché 32 000 € d'allocation pour adulte handicapé, et d'aide au logement, en deux années et demie. La CAF a été déboutée de sa demande de remboursement des 32 000 euros versés.

    Qu'en pensent les journalistes et associations « droit-de-l'hommistes » ?

    Quand nos hommes politiques, et notre justice, s’arrêteront-ils de favoriser honteusement les immigrés au détriment des Français ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Lucien Cerise sur Radio Courtoisie : Formatage social et manipulation des radicalisés (avril 2018)

  • Génération Identitaire sur les écrans et dans les studios

    IMG_0910-1550x660-600x255.jpg

    Les 21 et 22 avril 2018, Génération identitaire menait une opération au Col de l’Échelle, dans les Alpes, près de Briançon. Une action qui a fait grand bruit. L’OJIM a écouté ce que radios, télévisions et réseaux sociaux en ont dit.

    Une action qui s’est invitée jusqu’à l’Assemblée Nationale.

    L’OJIM a déjà analysé l’événement, juste après l’action menée par Génération identitaire.

    Au vu du poids des radios, réseaux sociaux et télévisions dans le paysage médiatique, il est intéressant de faire un focus sur la manière dont ces médias ont rendu compte des menées des Identitaires. Un rappel toujours utile : d’après un sondage réalisé à la demande de l’hebdomadaire Valeurs Actuelles et publié le 26 avril 2018, 76 % des Français souhaitent être consultés par référendum au sujet de la politique migratoire de la France. Notons aussi que l’action s’intitulait « Defend Europe », une expression qui gêne globalement les médias, de toute nature, étant donné son caractère non nationaliste. Chez les Identitaires, ce qui pointe c’est plutôt la notion de « préférence de civilisation », notion d’ailleurs théorisée par un Institut, distinct de Génération Identitaire, qui vient de publier son Manifeste.

    Pourquoi ces précisions ? Une raison simple : trois semaines après l’action menée dans les Alpes, force est de constater l’inculture politique de la majeure partie des journalistes prenant la parole ou la plume au sujet des courants identitaires, inculture caractérisée par :

    Le fait de reprendre automatiquement les mêmes mots et paragraphes, la plupart du temps récupérés dans une dépêche AFP, parfois copiés collés sur internet.
    Le sentiment que ces journalistes découvraient l’existence des Identitaires donne sérieusement à penser au sujet de ce qui s’enseigne dans les écoles de sciences politiques ou de journalisme.

    Un surprenant contexte ?

    Plusieurs faits étonnent tandis que radios et télévisions essaient (parfois) de rendre compte de ce qui s’est passé dans les Alpes et de ce qu’est Génération Identitaire.

    Durant deux semaines, aucune des émissions de radio et de télévision ayant consacré des reportages ou des débats à l’action de Génération Identitaire n’a invité un de ses membres à s’exprimer. Ce qui est encore plus choquant concernant les débats : Génération Identitaire est une organisation politique associative reconnue par la République, et donc légale ; l’action conduite dans les Alpes est également légale. La procédure judiciaire un temps ouverte a été fermée au bout de 48 heures. Une image parmi d’autres vient à l’esprit : le logeur des djihadistes, par exemple, assassins du Bataclan, omniprésent dans le petit écran.

    La parole a été donnée à l’un des représentants de Génération Identitaire… le 1er mai 2018. Mieux vaut tard que jamais, sans doute. C’était dans Bourdin direct.

    Début mai, Facebook ferme les comptes de Génération Identitaire, bien qu’aucun tribunal n’ait condamné l’organisation pour des faits entrant dans la charte du réseau social. Cette fermeture est liée à la demande d’une “Ligue de Défense noire africaine“, mouvement luttant contre la négrophobie et le racisme, prônant le respect de la communauté noire et menant des actions sociales & humanitaires.

    Ce compte Twitter et sa page Facebook qui parlent de « soldats » au sujet de ses membres, est suivi par… 250 personnes, est totalement inconnu, existe… peut-être ? Et obtient la fermeture du compte d’une organisation suivie sur Facebook par plus de 120 000 personnes, dont les idées sont en ce même moment en train de faire débat dans l’ensemble de la presse, et du pays. Surprenante conception de la démocratie et de la liberté d’expression. Sur son compte Twitter, Jean-Yves Le Gallou indique ceci :

    Jean-Yves Le Gallou@jylgallou 

    Pour info: le patron de Facebook en France est @laurentsolly ex @TF1 ex chef de cab de @NicolasSarkozy : messieurs les censeurs bonsoir! @DefendEuropeID https://twitter.com/_licra_/status/991706475864174594 

     La fermeture n’a sans doute pas été demandée que par le groupuscule Twitter cité plus haut. C’est ce que semble laisser entendre cet étrange tweet de Frédéric Potier :
    Frédéric Potier@FPotier_Dilcrah

    Je confirme, et ce n'est pas un incident technique... https://twitter.com/_licra_/status/991706475864174594 

    Il n’est pas anodin de signaler que Frédéric Potier est le monsieur lutte contre « le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT » de la République française. Un fonctionnaire dont le domaine de compétences s’exerce dans à la DILCRAH.

    Bien qu’ayant mené une enquête fouillée, nous n’avons :

    ‣ pas trouvé de traces (sur aucune image, dans aucun article, aucune intervention de ses membres) de propos ou actes assimilables au « racisme, antisémitisme, haine anti LGBT » perpétrés par des militants de l’action Defend Europe menée dans les Alpes.

    ‣ de même, malgré toutes nos recherches, nous n’avons pas trouvé trace d’un quelconque rendu de tribunal ou d’une procédure judiciaire ayant conduit à la condamnation de l’action menée par Génération Identitaire pour cause de « racisme », « antisémitisme » ou « haine anti LGBT ».

    Du coup, une question simple se pose : au sein d’un État de droit, républicain, comment le représentant du gouvernement responsable de la Dilcrah, Frédéric Potier, justifie-t-il le fait de demander (« ce n’est pas un incident technique », écrit-il) la suspension de la liberté d’opinion et d’expression à l’encontre d’une association légale à caractère politique n’ayant en rien enfreint la loi, dans son domaine de compétences comme par ailleurs ?

    Texte repris du site OJIM

    https://fr.novopress.info/