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  • Ce sera difficile pour le Fidesz de continuer à faire partie du PPE si le PPE fait une alliance avec la gauche pro-immigration

    Ce sera difficile pour le Fidesz de continuer à faire partie du PPE si le PPE fait une alliance avec la gauche pro-immigration

    La coalition avance à droite… Matteo Salvini a rencontré Viktor Orbán hier à Budapest. Le Premier ministre hongrois a déclaré :

    « Pour nous les Hongrois, la valeur la plus importante est la liberté. C’est pourquoi c’est nous qui décidons avec qui nous voulons collaborer. Ça, c’est notre principe de base. C’est avec plaisir que nous sollicitons les avis de tout le monde et que nous les écoutons, car nous sommes un pays amical. Mais quant à la décision, elle nous appartient. La situation est la suivante. C’est le peuple italien qui décide par qui l’Italie est dirigée, c’est le peuple hongrois qui choisit comment et par qui la Hongrie est dirigée. Et aujourd’hui, c’est le Premier ministre de la Hongrie qui a rencontré le vice-premier ministre de l’Italie, afin de discuter du futur de l’Europe. Nous souhaitons être davantage respectés. »

    Viktor Orbán a dit que ce sera difficile pour le Fidesz de continuer à faire partie du PPE si le PPE fait une alliance avec la gauche pro-immigration.

    La semaine prochaine c’est Heinz-Christian Strache, président du FPÖ et vice-chancelier autrichien, qui sera à Budapest.

    https://www.lesalonbeige.fr/ce-sera-difficile-pour-le-fidesz-de-continuer-a-faire-partie-du-ppe-si-le-ppe-fait-une-alliance-avec-la-gauche-pro-immigration/

  • L’UE, ennemi des peuples européens et de leur civilisation

    La question européenne occupe une place centrale dans la propagande du Système. Face à ses adversaires nationalistes et populistes, le Système se présente comme le défenseur de l’Europe. Pendant longtemps, pour promouvoir le marché unique et l’Euro, il a mis en avant le thème d’une Europe gage de prospérité : le chômage et les difficultés des classes moyennes ont depuis ruiné l’argument. Pour convaincre l’opinion de la nécessité de l’élargissement, les oligarques ont également fait valoir la nécessité d’organiser le continent européen autour des valeurs de démocratie et des droits de l’homme : là encore l’argument est devenu moins convaincant, l’Europe étant désormais le plus souvent perçue comme une institution bureaucratique, gouvernée par des technocrates non élus. Le dernier argument du Système conserve lui en revanche toute son efficacité : l’Europe est présentée comme le garant de la paix et de la solidarité entre Européens, seule à même de les protéger contre les risques du désordre mondial. Le Système parvient à convaincre sans difficulté en faisant valoir que malgré ses défauts l’idée européenne mérite d’être défendue, tandis que l’arrivée au pouvoir des populistes et nationalistes mettrait en danger la coopération entre Européens et même la paix.

    Or tout est faux dans cet argumentaire. L’Europe de l’UE est le contraire de la prospérité, le contraire de la démocratie, le contraire de la protection des populations, le contraire de la solidarité, le contraire de la paix. L’Europe de l’UE est le contraire de l’Europe.

    • L’UE ne promeut pas la paix et la solidarité entre Européens : elle organise au contraire une concurrence générale

    La propagande présente l’UE comme un ciment entre Européens, un facteur de paix, un ferment de solidarité. Or c’est faux.

    L’UE est tout au contraire construite pour l’essentiel autour du principe cardinal de libre concurrence. Elle est dès lors le théâtre de la concurrence de tous contre tous : concurrence entre entreprises, entre Etats membres, entre populations mêmes.

    La concurrence entre entreprises est normale en système capitaliste. Mais la concurrence gouverne également les rapports entre les Etats membres. Certains attirent à eux les délocalisations internes à l’Europe en jouant sur leurs faibles salaires. D’autres mettent en œuvre le dumping fiscal pour attirer les sièges sociaux et l’installation chez eux de titulaires de hauts revenus. Dans ce contexte certains Etats accumulent les excédents budgétaires et commerciaux tandis que d’autres additionnent les déficits.

    L’UE organise également une concurrence entre les populations européennes. Elle a par exemple autorisé le travail détaché, qui permet à une entreprise française, par exemple, de faire travailler un salarié, polonais par exemple, en acquittant les charges sociales en vigueur dans le pays d’origine, très inférieures à ce que sont les charges sociales imposées en France. Ce système, qui joue au détriment des salariés ouest européens, est de plus en plus pratiqué : le nombre des travailleurs détachés ne cesse d’augmenter et est actuellement en France de plus de 500.000 (voir ici).

    Soulignons que les traités européens eux-mêmes indiquent que les institutions européennes n’ont pas compétence pour procéder à une quelconque harmonisation salariale et fiscale. Les décisions en matière fiscale et salariale doivent être prises au sein du Conseil européen, à l’unanimité qui plus est : aucune harmonisation n’est envisageable dans ces conditions, les pays qui profitent du système de dumping refusant bien entendu tout accord.

    • L’UE n’est pas européenne : elle n’est qu’un maillon de la mondialisation

    L’Europe est présentée par le Système comme un processus vers une coopération toujours accrue des Européens, pouvant aller à terme vers leur unification progressive. L’expression « construction européenne » utilisée de façon systématique vise à rendre compte de ce processus et de cette marche en avant vers un avenir meilleur. Les populations européennes sont séduites par le discours pro-européen du Système parce qu’elles sont attachées au principe de l’unification européenne : celle-ci leur paraît en effet à la fois comme une garantie de paix entre Européens et comme une nécessité face aux tentations impérialistes et agressives des grandes puissances. Or le discours de l’UE est une tromperie.

    L’UE, tout d’abord, n’est pas européenne : c’est une institution sous domination américaine. Ce sont les Etats-Unis qui ont voulu la CEE, comme le rappelle Philippe de Villiers, qui souligne notamment le rôle de Jean Monnet, personnalité aux ordres des Etats-Unis. Sur le plan de la défense en particulier, l’Europe est intégrée dans l’OTAN, dirigée par les Etats-Unis. De façon plus générale, sur le plan diplomatique, la plupart des pays européens, à commencer par l’Allemagne, donnent la priorité à leur alliance avec les Etats-Unis.

    De même, sur le plan économique, l’Europe n’est qu’un maillon de la mondialisation, laquelle a été mise en place là encore à l’initiative et sous la direction des Etats-Unis. C’est ainsi que l’UE a participé à l’entreprise d’abaissement progressif des barrières douanières, engagée dès après la seconde guerre pour constituer un marché mondial. De même l’UE a décidé, en 1988, la libération des mouvements de capitaux internationaux, non seulement au sein de l’UE mais à l’échelle mondiale : cette mesure décisive a rendu possibles les délocalisations.

    • L’UE ne protège pas les peuples européens : elle veut au contraire les diluer et les remplacer

    Le Système affirme que la construction européenne constitue pour les populations une protection. Face aux menaces qui croissent – hyperpuissance de la Chine, explosion démographique de l’Afrique, monde musulman conquérant – l’opinion est particulièrement sensible à cette dimension. Or cette promesse de protection est un mensonge.

    Bien loin de protéger les populations européennes, l’UE tout au contraire ouvre les frontières à l’immigration. Le cadre de vie des populations autochtones en est déstabilisé. Elles sont concurrencées sur le marché du travail par les immigrés qui viennent casser les salaires. Elles sont placées dans la vie quotidienne, dans la rue comme au travail, en position de stress et de risque. Un nombre croissant de pays européens, la France et la Grande-Bretagne en tête, font face désormais à un processus d’invasion.

    Malgré les inquiétudes grandissantes des populations européennes, manifestées notamment par le succès croissant des partis populistes, les dirigeants de l’UE et des pays membres répètent qu’ils ne modifieront pas leur politique d’ouverture, qu’ils ne fermeront pas les frontières et que les populations européennes devront s’adapter à un métissage inévitable. Déclarant que les Etats membres devront se répartir les réfugiés, ils veulent contraindre et punir les Etats européens récalcitrants, en prenant appui sur ce qu’ils appellent les « valeurs européennes ».

    Bien loin de protéger les populations européennes, les dirigeants de l’UE et des Etats membres ont résolu au contraire de les diluer dans un melting pot, au sein duquel européens de souche et personnes originaires de l’immigration seront fondus pour constituer, comme l’explique lumineusement Renaud Camus, une nouvelle population de consommateurs et de travailleurs interchangeables et dépourvus d’identité.

    On se situe avec l’UE dans le pur registre totalitaire. C’est le monde orwellien, dans lequel le mensonge est érigé en vérité : l’UE se déclare l’instrument de la construction européenne alors qu’elle est au contraire une machine de guerre contre l’Europe, contre ses peuples et contre sa civilisation.

    Dans ce contexte, ceux qui, comme l’ex FN, laissent penser qu’ils sont nationalistes et anti-européens commettent une grave erreur. La plupart des électeurs en effet sont profondément attachés à l’idée d’une union entre Européens, et ce à juste titre : il serait effectivement éminemment souhaitable de construire une Europe unie et solide. Cette Europe devrait choisir de mettre en commun sa défense et sa diplomatie, en laissant aux Etats membres la responsabilité des autres domaines de l’action publique. Cette Europe également devrait passer avec la Russie un accord privilégié.

    L’union nécessaire des Européens est une évidence. Parce qu’ils constituent une civilisation. Parce qu’ils ont la même culture religieuse. Parce qu’ils cultivent les mêmes mœurs européennes. Parce qu’ils pratiquent des langues de même origine indo-européenne. Parce qu’ils appartiennent à la même race. Parce qu’ils sont menacés sur leur territoire, en tant que peuples et en tant que civilisation. Mais cette union entre Européens suppose de combattre et de répudier l’UE…

    Voir également cette chronique : « La construction européenne est une escroquerie »

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/

  • Matteo Salvini et Viktor Orban partenaires dans la lutte contre l’invasion migratoire

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    Matteo Salvini et Viktor Orban se sont retrouvés le long de la barrière anti-migrants dressée par Budapest il y a bientôt 4 ans. Des images qui illustrent bien ce qui unit la Hongrie et l’Italie : la lutte contre l’immigration. Les deux hommes entendent monter une alliance de partis anti-immigration en Europe après les élections européennes.

    Matteo Salvini a ainsi redit son souhait de travailler avec le Premier ministre hongrois sur l’immigration :

    Le problème n’est pas de redistribuer les migrants en Europe, le problème est d’avoir une Europe qui protège ses frontières terrestre et maritimes.

    Viktor Orban a même ajouté qu’il serait difficile à son parti, le Fidesz, de trouver sa place au parlement européen si le PPE n’allait pas dans le sens d’une collaboration avec des partis comme la Ligue du nord. La semaine prochaine, il doit recevoir le vice-chancelier autrichien Heinz-Christian Strache, président du FPÖ, le parti de la Liberté d’Autriche.

    https://fr.novopress.info/214431/matteo-salvini-et-viktor-orban-partenaires-dans-la-lutte-contre-linvasion-migratoire/

  • Le numéro hors série de Présent sur l’écologie est sorti

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    Chez votre marchand de journaux ou sur le site de Présent cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Véronique Besse à Nicolas Dupont-Aignan : “Les Amoureux de la France n’existent plus. Vous les avez fait voler en éclat”

    Véronique Besse à Nicolas Dupont-Aignan : “Les Amoureux de la France n’existent plus. Vous les avez fait voler en éclat”

    Nos amis du PCD nous ont transmis une lettre de Véronique Besse, ancien député MPF et maire des Herbiers, fondatrice des Amoureux de la France, à Nicolas Dupont-Aignan, datée du 8 avril, prenant acte de la fin de cette démarche… et sa nécessité toujours actuelle. Extrait :

  • La France : un bateau ivre !Jacques Myard

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    La France ressemble à un bateau ivre sans cap, malmenée par de multiples vents souvent contraires.

    Le mouvement des gilets jaunes a imprimé sa marque de samedi en samedi, accaparant les télévisions des chaînes d’information continue.

    De plus, les mouvements de grève, notamment dans les hôpitaux, prennent de l’ampleur…

    Face à ces mouvements, le président de la République fait le spectacle et bat la campagne, fidèle à son style et à ses méthodes, il annonce ses décisions dans une conférence de presse, à charge, pour ses ministres, pour la plupart non informés au préalable de la pensée jupitérienne, de prendre des notes pour assurer le service après-vente…

    Relevons, aussi, qu’il fait un véritable tête-à-queue par rapport à ses décisions du début de mandat, reconnaissant ainsi ses propres fautes.

    L’impact sur le mouvement des gilets jaunes a été sans surprise, c’est-à-dire nul, et a entraîné une nouvelle mobilisation, lors du 1er Mai, qui atteste de la totale incapacité du gouvernement à reprendre l’initiative pour faire cesser ces manifestations pré-dominicales – sans parler des émeutes.

    Pourquoi une telle incapacité pour reprendre l’initiative ?

    La réalité est assez simple, elle tient en quatre mots : « totale perte de crédibilité » d’Emmanuel Macron : il est KO debout, maintenu par la minerve des institutions dont la solidité lui maintient la tête droite, hors de l’eau.

    Un chose importante à savoir, sa perte de crédibilité a gagné son propre camp et aussi les généreuses fées donatrices…

    On assiste à la répétition du quinquennat Hollande, qui réussit à continuer à rester au pouvoir, maintenu par cette même minerve ; mais il existe une singulière différence entre Emmanuel Macron et François Hollande : ce dernier suscitait l’indifférence avec un brin d’ironie, Emmanuel Macron suscite le rejet et la haine.

    C’est là une réalité qui crée une situation quasi insurrectionnelle sur fond de revendications sociales et d’insécurité grandissantes.

    La sortie politique de cette situation critique dont l’issue est, au mieux, une mort lente du quinquennat, au pire des affrontements répétés – alors que les forces de police et de gendarmerie sont épuisées -, ne peut passer que par la dissolution de l’Assemblée nationale et des élections législatives.

    Jupiter ne le fera pas, sachant qu’il irait inéluctablement du Capitole à la roche Tarpéienne.

    Samedi après samedi, nous retrouverons en conséquence les gilets jaunes sur les chaînes d’information continue, jusqu’à ce que ça casse…

    Jacques Myard

    https://www.bvoltaire.fr/la-france-un-bateau-ivre/