Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Twitter s’acharne contre Emmanuelle Ménard

    Twitter s’acharne contre Emmanuelle Ménard

    Communiqué du député :

    Cette fois-ci, c’est de l’acharnement ! Ce matin, le nouveau compte Twitter que j’avais ouvert hier a été purement et simplement éliminé. Ils disent « suspendu », mais en réalité, il n’est plus visible du tout, contrairement au précédent.

    Vous êtes nombreux à être choqués par ce traitement très spécial dont je fais l’objet. Dire que la Loi Avia – qui va permettre une censure générale des réseaux sociaux- n’est pas encore en application…

    Je suis consternée. Vous étiez déjà près de 5000 à vous être réabonnés en l’espace de quelques heures. Mieux, certains, écoeurés par ce qu’il faut bien appeler une censure brutale, se décidaient désormais à me suivre pour la première fois, « malgré leurs désaccords politiques » avec moi. Je voulais tous vous remercier de cet élan de solidarité.

    La liberté d’expression est de plus en plus menacée dans notre pays. Ça commence comme ça, par petites touches. Un puritanisme sec, vicieux s’installe lentement en France. Il est accompagné par une frange très active de la population, particulièrement portée sur la délation. Mon nouveau compte a en effet été signalé par les mêmes qui ont signalé mon tweet osant critiquer Greta Thunberg. Le politiquement correct ne fait plus seulement la loi, il sort la matraque.

    Que faire ? Pour le moment, il me reste cette page Facebook. Je vous donnerai des nouvelles ici ou via le compte Twitter de Robert Ménard. Soyons honnêtes, les réseaux sociaux ont beaucoup contribué à diffuser nos idées, ils ont permis une grande liberté d’expression, c’est aussi cela qui fait peur au pouvoir en place ; le retour de bâton est d’une certaine manière inévitable. Alors ceux qui nous dirigent vont cadenasser, sanctionner, excommunier. Même une député de la République.

  • Italie : vers une amende d’1 million d’euros pour les "sauveteurs" de migrants en mer


    Matteo Salvini. Photo © Emmi Korhonen/AP/SIPA
    valeursactuelles.com 
    La Chambre des députés a donné son accord pour un projet de loi visant à infliger une très lourde amende aux organisations humanitaires venant en aide aux migrants en Méditerranée.
    Matteo Salvini continue sa lutte acharnée contre les migrants
    Comme le relaye le site RTBF, la Chambre des députés a donné jeudi son feu vert, par 322 voix pour et 90 contre, à un projet de loi visant à infliger une très lourde amende aux organisations humanitaires venant en aide aux migrants en détresse en Méditerranée. 
    Les "sauveteurs" pourraient ainsi être menacés d’amendes jusqu’à 1 million d’euros. 
    Ce projet de loi comprend également la possibilité pour les autorités de saisir le bateau contrevenant. En juin dernier, une mesure prise en urgence sous l’impulsion du ministre de l’Intérieur italien permettait déjà de distribuer des amendes allant de 10 000 à 50 000 euros lorsque le capitaine d'un navire de sauvetage entre sans permission dans les eaux territoriales italiennes.
    135 migrants actuellement bloqués
    Cette mesure intervient au moment où 135 migrants, secourus en mer vendredi, sont actuellement bloqués sur un navire des garde-côtes italiens par le ministre de l’Intérieur qui exige une nouvelle fois un accord de répartition européen avant de les laisser débarquer. 
    « Je ne donnerai aucune autorisation de débarquer avant d’avoir reçu l’engagement de l’Europe d’accueillir tous les migrants à bord. Voyons s’ils passent des paroles aux actes. Moi je ne cède pas », a déclaré Matteo Salvini. 
    Emmanuel Macron avait annoncé le 22 juillet un accord entre 14 pays européens pour mettre en oeuvre un « mécanisme de solidarité » pour répartir les migrants secourus en Méditerranée.

  • Les ONG de «sauvetage en mer » collaborent avec les passeurs – la TV italienne en publie des preuves

    Ocean-Viking-YT-screenshot-2.jpg

    De nouveaux reportages de la chaîne italienne Rete 4 montrent comment les ONG de « sauvetage en mer » sont en contact avec des passeurs en Libye pour transporter des centaines de migrants illégaux en Italie. Le député allemand Petr Bystron exige maintenant que les procureurs fassent enfin leur travail.

    Il y a un an, en effet, Bystron avait engagé des poursuites pénales contre les principales ONG allemandes qui, sous couvert de « sauvetage en mer », cherchent à faire entrer le plus grand nombre possible de migrants dans l’UE. Les procureurs allemands ont toutefois refusé d’enquêter jusqu’à présent, invoquant le « manque de preuves », malgré le fait que les activités des ONG étaient bien documentées.

    Ainsi, Sea-Watch a publié une vidéo montrant comment elle a interrompu un sauvetage en cours par la Garde côtière libyenne le 6 novembre 2017, incitant bon nombre des 130 migrants qui avaient déjà été sauvés de sauter à l’eau. Cinq personnes sont mortes, dont un garçon de 2 ans. Les garde-côtes libyens ont dit à l’époque : « L’intervention non autorisée de Sea Watch a causé la mort de cinq migrants ».

    Le talk-show de Rete 4 « La Quarta Repubblica » a montré comment des migrants contactent les passeurs, qui les assurent qu’ils sont en contact avec les ONG de sauvetage comme l’espagnole « Proactiva Open Arms » et l’allemande « Sea-Watch ».

    La journaliste d’investigation Lodovica Bulian a interviewé un migrant libyen qui venait d’arriver en Italie. Le jeune homme lui a montré des groupes Facebook privés appartenant au passeur, un homme de Zuwara, qui les utilise pour promouvoir ses services :

    « Si vous arrivez en Italie, ils vous disent de faire une vidéo pour montrer à tout le monde que vous avez réussi – afin que les trafiquants puissent recruter plus candidats à la migration. J’ai fait la traversée avec l’aide de la mafia libyenne aussi. »

    Les passeurs sont de mèche avec la police libyenne, a dit le jeune migrant : « Ils soudoient la police pour qu’elle n’arrête pas leurs bateaux. La police libyenne n’arrête jamais les passeurs. Pas de souci. Ils ont un deal. »

    Sur la base des informations fournies par le témoin, l’équipe de Bulian a contacté le trafiquant, Lokman Zwari.

    Zwari gère un groupe Facebook avec 14 000 abonnés pour promouvoir le passage vers l’Europe. Les vidéos montrent des migrants heureux célébrant leur traversée, dansant et chantant au son de la musique, évidemment loin d’être en détresse en mer.

    Se faisant passer pour un migrant marocain, un membre de l’équipe de Bulian a appelé le passeur de clandestins, qui a confirmé qu’il pouvait l’amener en Italie pour 1600 euros. Quand l’appelant a demandé des garanties de sécurité, le trafiquant a dit : « Nous savons qu’il y a des navires de sauvetage en patrouille, vous serez en contact avec eux. En ce moment, l’Open Arms est en patrouille. Le Sea Watch est détenu en Italie, mais il y a d’autres navires à proximité. »

    Le passeur a ensuite envoyé la position de l’« Open Arms », le numéro de téléphone de l’ONG et une capture d’écran de l’appel via Viber, le numéro et l’info Facebook de l’ONG espagnole.

    De nombreuses ONG de « sauvetage en mer » sont soutenues par l’Union européenne et l’Open Society de George Soros. Ainsi, Sea Watch et SOS Méditerranée sont soutenues par Borderline Europe, basée à Berlin, qui finance également le site Internet « Alarmphone », permettant aux passeurs d’appeler un navire d’une ONG pour qu’il vienne chercher leur cargaison humaine.

    Soros gère aussi un réseau de fonds légaux en Italie destiné à aider la migration illégale et à forcer le gouvernement italien à accepter des migrants.

    En juin, la garde côtière européenne Frontex a publié une vidéo montrant comment les passeurs amènent des migrants près de l’île italienne de Lampedusa à bord d’un bateau de pêche et les transfèrent ensuite dans un canot pneumatique pour qu’on vienne les « secourir ». La journaliste canadienne Lauren Southern a été une des premières à documenter le problème de la mission « Defend Europe ».

    Le 29 juin, la capitaine du Sea-Watch est entrée de force au port de Lampedusa avec 40 migrants clandestins à bord, malgré les avertissements italiens de rester à l’écart, endommageant un navire de la garde côtière et mettant en danger la vie du personnel à son bord. Salvini a annoncé qu’il imposerait désormais des amendes allant jusqu’à 1 million d’euros aux ONG qui violent les eaux italiennes.

    Il s’est avéré ensuite qu’une équipe de la TV publicitaire allemande NDR était à bord du Sea-Watch depuis 2 semaines avant l’« incident » et a sorti  le 12 juillet un film pro-« frontières ouvertes » très mis en scène.

    Depuis que l’Italien Matteo Salvini a commencé à mettre le holà en Méditerranée, le nombre de morts en mer est passé de 384 au premier semestre 2018 à 128 au premier semestre 2019, selon le HCR.

    Article complet en anglais (avec liens) : Voice of Europe

    Résumé Cenator pour LesObservateurs.ch

    https://www.alterinfo.ch/2019/07/26/les-ong-de-sauvetage-en-mer-collaborent-avec-les-passeurs-la-tv-italienne-en-publie-des-preuves/

  • Valérie Bugault explique comment les banques ont acheté les Etats

    Première vidéo d’une série de trois au cours de laquelle Valérie Bugault explique les mécanismes qui ont permis aux banques de s’emparer des Etats.

    https://www.medias-presse.info/valerie-bugault-explique-comment-les-banques-ont-achete-les-etats/110061/

     
  • "Quand allez-vous en finir avec ce laxisme insupportable?" : Bruno Bilde interpelle Christophe Castaner sur l’ensauvagement de la société

    c.castaner.jpgM. Bruno Bilde interroge M. le ministre de l’Intérieur sur l’ensauvagement dramatique de notre société lié à l’explosion des violences physiques gratuites.
    En effet, le 19 juillet dernier à Liévin dans le Pas-de-Calais, un homme a été poignardé pour une place de parking. Après avoir reçu deux coups de couteau dans la poitrine et l’abdomen, la victime a été transportée au CHRU de Lille dans un état grave.
    Le 31 décembre dernier, dans une résidence HLM de Lacroix-Falgarde en Haute-Garonne, une altercation pour une banale histoire de stationnement était à l’origine d’une attaque à la machette et d’une hospitalisation. Les Français ont encore en mémoire le meurtre sordide d’Adrien Perez, poignardé le 29 août 2018 à la sortie d’une boîte de nuit près de Grenoble, après avoir tenté de s’interposer lors d’une rixe entre ses amis et trois individus hostiles.
    La multiplication des faits divers de ce type illustre une inquiétante réalité. Aujourd’hui, en France, il suffit de presque rien pour être victime d’un déchaînement de violence inouï et dans les cas les plus graves pour perdre la vie. Aujourd’hui, en France, on peut mourir pour “un mauvais regard” comme Théo abattu d’un coup de fusil le 18 mai dernier dans les environs de Caen, pour un téléphone portable comme Marie-Bélen, agressée à la sortie du métro La Timone à Marseille, ou pour un match de football comme Mamoudou Barry, enseignant-chercheur guinéen, lynché près de Rouen avant la finale de la Coupe d’Afrique, Algérie-Sénégal.
    Selon la dernière enquête « Cadre de vie et sécurité », en 2017, 672 000 personnes âgées de 14 ans ou plus ont déclaré avoir été victimes de violences physiques commises hors situation de vol ou tentative de vol et hors ménage. La moitié de ces victimes sont des femmes. Plus inquiétant mais terriblement révélateur du sentiment d’impunité des auteurs, 67% des atteintes aux personnes se produisent le jour. L’impunité est effectivement le terreau de ces violences extrêmes puisque sur 672 000 faits révélés, seulement 200 000 sont enregistrés par les services de police et de gendarmerie et à peine 70 000 se soldent par une condamnation dont une minorité par une exécution de peine qui est rarement de la prison. Ce bilan édifiant explique qu’en 2018, 40% des agresseurs étaient des récidivistes.
    Quand allez-vous mettre un terme à cet intolérable sentiment d’impunité qui donne aux racailles le pouvoir de vie ou de mort ?
    Quand allez-vous en finir avec ce laxisme insupportable qui transforme nos rues en jungle et la vie de nos concitoyens les plus vulnérables en enfer ? Que compte faire le ministère de l’Intérieur pour assurer notre sécurité, première de nos libertés, et s’attaquer radicalement à la délinquance sauvage qui gangrène le quotidien de millions de Français ?

    Bruno Bilde,
    député du Pas-de-Calais
    Source: rassemblementnational.fr

    https://www.peupledefrance.com/2019/07/bruno-bilde-interpelle-christophe-castaner-ensauvagement-societe.html