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  • Le Coronavirus est-il vraiment dangereux ? La réponse en 4 points

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    Par Nicolas Faure, journaliste ♦ Après des jours de tergiversations et une dramatique augmentation des décès et des hospitalisations en soins intensifs, le gouvernement italien a décidé de placer l’intégralité du pays en confinement. Une décision qui peut étonner alors qu’en France, de très nombreuses personnes continuent à relativiser la dangerosité de la crise sanitaire qui vient. Le Coronavirus est-il véritablement dangereux ? Si de nombreuses caractéristiques du Covid19 restent encore méconnues, la réponse à cette question est assez claire : oui le Coronavirus peut s’avérer très dangereux pour la France et pour l’Europe.

    La dangerosité intrinsèque du virus

    1/ La létalité

    La létalité du virus est estimée par l’OMS entre 2 et 5 % des cas avérés.

    Une étude, basée à la fois sur les données du Diamond Princess et sur les données chinoises, a récemment été publiée. Si ce travail n’est pas encore « validé par les pairs » des chercheurs, il est néanmoins en phase avec toutes les estimations des experts.

    Selon les estimations des chercheurs, la létalité serait de :
    – 18 % des cas déclarés chez les + de 70 ans
    – 2,3 % des cas déclarés pour l’ensemble de la population

    La principale limite de cette estimation, c’est bien entendu que l’on ne connait pas avec précision le nombre total de personnes contaminées puisque de nombreux cas sont très légers et n’entrent donc pas dans les comptages.

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  • Aux municipales, avant tout démasquer et battre le macronisme !, par Christian Vanneste.

    Les élections municipales ont deux faces inégales selon la taille de la commune. Ce sont des scrutins locaux destinés à pourvoir villages et villes des élus qui vont les gérer, les administrer, les diriger pendant les six ans à venir, mais ce sont aussi des élections qui ont une portée nationale, de trois manières : concrètement les conseillers municipaux et les grands électeurs désignés par ceux-ci éliront à leur tour les sénateurs, plus subtilement un certain nombre de candidats vont acquérir un poids différent après leur élection à l’échelon local ou au niveau national, enfin, un nouveau rapport de forces entre les grandes formations politiques sera établi. Dans les petites communes, c’est la dimension personnelle et la responsabilité locale qui l’emportent sur le clivage politique. Plus la taille augmente, plus le choix politique, partisan, accroît son importance.

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  • Face à l’invasion, les Grecs peuvent compter sur la solidarité européenne

    La France est un pays formidable. Alors qu’en ce début du mois de mars, un pays européen est agressé par la Turquie, les médias français de grand chemin réduisent cet événement majeur à un entrefilet présentant tout au plus des « incidents » à la frontière gréco-turque. L’annulation d’épreuves sportives à cause du coronavirus semble bien plus importante dans la hiérarchie de l’information que la défense du territoire grec.

    Il y a pourtant des motifs d’espérer : les soutiens au peuple grec dans sa résistance à la tentative de submersion migratoire organisée par le gouvernement turc sont nombreux. Et ils ne se limitent pas à un soutien humanitaire, comme celui proposé par les institutions européennes, qui refusent de comprendre que l’on ne défend pas un continent avec de bons sentiments et en donnant de l’argent au pays qui vous agresse.

    Les douaniers grecs, rapidement débordés par la manœuvre du président Erdogan, qui a poussé des milliers de migrants vers la frontière grecque, ont pu compter rapidement sur de nombreux soutiens. Ces soutiens prennent de multiples formes : renforts à la frontière avec la Turquie, propositions d’appui logistique, manifestations, déclarations de solidarité au peuple grec, etc.

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  • « Paniquez, paniquez, il en restera toujours quelque chose »

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    Bernard Plouvier

    Depuis Beaumarchais, la propagande s’est multipliée de façon exponentielle : on est passé de la vitesse du cancanier à pied aux réseaux sociaux planétaires en direct. Les gens en sont encore moins sages et l’on n’a fait que faciliter la tâche des manipulateurs d’opinion.

    Voilà que nos politiciens – dont l’efficacité à la tête des États n’échappe à personne – jouent aux « lanceurs d’alerte » et aux propagateurs de panique.

    Pourtant, il semble logique de raisonner froidement... et, pour une fois, les statistiques – à qui l’on « ne fait dire ce que l’on veut » que lorsqu’on les truque – aident l’homme de bon sens.

    1 – La pandémie de grippe 2009-2010 a touché, en 16 mois, plusieurs centaines de millions de personnes. La mortalité a d’abord été estimée aux alentours de 150 000 victimes. Puis les chiffres de l’OMS ont paru fort suspects et une méta-analyse publiée dans The Lancet le 26 juin 2012 faisait état d’environ 284 000 morts. Certains épidémiologistes ont même doublé cette estimation, la portant à 575 000 morts.

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  • Reconquista Sous le signe des cinq flèches

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    On a beaucoup parlé, cette année, de Christophe Colomb. En oubliant que 1992 est, aussi, le cinq centième anniversaire d'un événement capital dans l'histoire de l'Europe : l'expulsion de l'Islam hors de la terre d'Espagne. Protecteurs de Christophe Colomb, Isabelle de Castille et Ferdinand d'Aragon, les « Rois Catholiques », ont mis fin à huit siècles de Reconquista en s'emparant de Grenade.

    Cette libération du dernier territoire espagnol tenu par les musulmans a eu, pour les contemporains, une signification beaucoup plus grande que la découverte - la redécouverte, plutôt de ce que l'on n'appelait encore pas l’Amérique. Elle marque l’affirmation de la Castille, dont la montée en puissance s'est faite, au fil des siècles médiévaux, par la lutte contre les Maures.

    Guerriers et paysans

    Les musulmans, dont beaucoup étaient des Berbères, se sont installés en 771 dans la plus grande partie de la péninsule ibérique, sur les ruines du royaume wisigothique. Mais ils ont vu se dresser très vite, face à eux, les principautés qui, dans le Nord, organisaient la résistance chrétienne. Progressivement, à partir de leurs réduits septentrionaux, les chrétiens ont édifié les royaumes de Léon, de Navarre et d'Aragon. Puis la Castille, appuyée sur ces forteresses (castillos) dont elle tire son nom, est devenue le fer de lance de la Reconquête. On y conduit, de pair, repeuplement et colonisation des terres récupérées sur l'Islam. Ici, la vie est rude. Il faut toujours garder l'arme à portée de main.

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  • Le discours de Macron sur le séparatisme islamiste et ses impostures : à propos de République et de France, et de la loi républicaine

    Le discours de Macron sur le séparatisme islamiste et ses impostures : à propos de République et de France, et de la loi républicaine

    Rappelez-vous, c’était le 18 février 2020 à Bourtzwiller, quartier de Mulhouse, qu’Emmanuel Macron s’est paraît-il attaqué au séparatisme islamiste. Un premier article a déjà présenté le discours et annoncé neuf impostures. Un deuxième article a présenté les deux premières (à propos de communautarisme et de stigmatisation) ; un troisième les trois suivantes (ce serait la faute à la République, il n’y aurait pas de PROJET d’islamisation et les Frères musulmans seraient combattus). Voilà les deux suivantes.

    Sixième imposture : la République, jamais la France

    Pourquoi parler constamment de la République et si peu de la France ? Les chiffres sont éloquents : E.Macron cite 76 fois le mot « république » (contre 12 fois le mot « France ») et parfois de façon frénétique :

    «  Dans la République, il y a un ordre public qui permet de vivre libre et qui doit être respecté. Quand on trouble l’ordre public, c’est-à-dire la quiétude de chaque citoyen, que ce soit au titre de quelque justification y compris quand elle est religieuse, on ne peut l’accepter. La République peut préserver cet ordre pour que chacun y soit libre. Au fond, nous avons un socle, des lois que nous nous sommes données et il en va de notre unité, c’est que la République se tienne selon ces lois, ces valeurs, ces aspirations communes… C’est pourquoi notre ennemi est, à ce titre, le séparatisme c’est-à-dire ce phénomène que nous observons depuis des décennies qui est une volonté de quitter la République, de ne plus en respecter les règles, d’un mouvement de repli qui, en raison de croyances et d’appartenance, vise à sortir du champ républicain et ça ce n’est pas acceptable. Dans la République, on ne peut pas accepter qu’on refuse de serrer la main à une femme parce qu’elle est femme. Dans la République, on ne peut pas accepter que quelqu’un refuse d’être soigné ou éduqué par quelqu’un parce que c’est une femme. Dans la République, on ne peut pas accepter la déscolarisation pour des raisons religieuses ou de croyance. Dans la République, on ne peut pas exiger des certificats de virginité pour se marier. Dans la République, on ne doit jamais accepter que les lois de la religion puissent être supérieures aux lois de la République ».

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  • Un candidat LREM aux municipales logé en HLM en plein cœur de Paris alors qu’il est propriétaire d’un appartement

    Le Parisien a révélé mercredi qu’un certain Mohamed Midani M Barki, peintre et candidat LREM en 17e position sur la liste de Pierre-Yves Bournazel pour les municipales dans le 18e arrondissement de Paris, occupait un logement social (HLM) avec sa compagne tout en étant propriétaire de son propre appartement. Le logement social en question, d’une superficie de 73m² et situé en plein cœur de Montmartre, lui est loué à 652 euros par mois et 188 euros de charges mensuelles. Il l’avait obtenu en 2000.

    Problème, le Parisien révèle que Mohamed Midani M Barki dispose également d’un appartement place du Tertre, dans le 17e arrondissement, dont il est propriétaire. Il en avait même « un autre de 30 m² » mais l’a « vendu ». L’un de ses appartements lui aurait rapporté 11 070 euros sur la seule année 2015. Il continue de louer celui de la place du Tertre sur une plateforme. Sa compagne serait aussi propriétaire d’un appartement dans le 18e arrondissement.

    Contacté par le Parisien, Mohamed Midani M Barki déclare qu’il n’a « rien à se reprocher »« rien à cacher »« J’ai attendu 14 ans pour obtenir ce logement. Et la RIVP (Régie immobilière de la ville de Paris, dont dépend son HLM, NDLR] connaissait l’existence de nos appartements », explique-t-il. Une sortie qui passe mal à l’approche des élections municipales alors que que l’une des priorités du programme d’Agnès Buzyn est de « mieux contrôler le logement social », et que Pierre-Yves Bournazel, tête de la liste du 18e où figure Mohamed Midani M Barki, souhaite « un meilleur suivi des familles »

    Valeurs actuelles

    https://www.tvlibertes.com/actus/un-candidat-lrem-aux-municipales-loge-en-hlm-en-plein-coeur-de-paris-alors-quil-est-proprietaire-dun-appartement

  • Le site du Parti de la France fait peau-neuve...

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    Le nouveau site du Parti de la France est enfin disponible : www.parti-de-la-france.fr

    Il a été entièrement revu et rebâti par un nouveau webmaster, sous la direction de Jean-François Touzé, Délégué général du PdF.

    Plus clair, plus pratique, plus lisible, il répondra mieux aux attentes de nos militants, adhérents, sympathisants et même simples curieux qui souhaitent découvrir le Parti de la France.

  • A Nantes, la droite est représentée par Eléonore Revel

    A Nantes, la droite est représentée par Eléonore Revel

    Communiqué de Pascal Gannat, conseiller régional Président du Groupe Régional Alliance pour les Pays de la Loire, sur les élections municipales :

    Tête de liste FN aux dernières élections régionales, j’ai quitté le RN avec 4 colistiers sur les 11 restants, en désaccord avec la ligne de gauche de ce parti comme dernièrement le vote par ses députés, de la motion de censure de la gauche sur les retraites et non de celle de la droite contenant d’excellents et très réalistes propositions.

    Les 5 élus de notre groupe avaient signé l’Appel d’Angers pour l’Union des droites, dont j’étais l’un des initiateurs. De ce fait, sur le plan et régional local, nous appelons à voter pour un certain nombre de listes RN en Pays de Loire, parce qu’elles représentent une volonté d’Union des forces des droites, bien que la direction du RN en rejette le principe. Nous aurions souhaité pouvoir soutenir au moins une liste LR présentant la même volonté : il n’en existe pas dans notre région.

    Nous appelons donc à voter pour les listes suivantes :

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