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Les ONG immigrationnistes devant la justice italienne, par Olivier Bault
Libérée au début de l’été 2019 sur ordre d’un juge italien marqué à gauche, la militante allemande d’extrême gauche Carola Rackete, ancien capitaine du Sea-Watch 3 qui avait forcé le passage vers le port de Lampedusa avec son chargement de « migrants », fait aujourd’hui partie des signataires d’un appel en faveur de l’ONG italienne Mediterranea Saving Humans. Celle-ci fait l’objet d’une enquête du parquet de Raguse, en Sicile, à propos de la prise en charge rémunérée (pour un montant total estimé à 125 000 euros) le 11 septembre 2020, en vue de leur transfert vers l’Italie, de 27 candidats à l’immigration illégale en Europe qui avaient été récupérés par le navire-citerne danois Maersk Etienne. Les signataires de l’appel protestent contre « l’attaque politico-judiciaire » en cours contre les ONG comme Mediterranea Saving Humans.
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SECRETS D’HISTOIRE
Sous la direction de Jean-Christian Petitfils, un collectif d’historiens apporte un éclairage nouveau sur vingt énigmes de l’histoire de France grâce à des documents parfois inédits et à des preuves indiscutables.
Les « Enigmes de l’histoire », filmées en noir et blanc et racontées par André Castelot et Alain Decaux, firent la joie du petit écran à une époque où l’unique chaîne de télévision d’Etat exprimait une exigence culturelle aujourd’hui trop rare.
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L'avènement de l'ethno-socialisme (rediff)
Dr. Pierre Krebs
Genève, 20 Janvier, 2013
Quand la vérité n’est pas libre, la liberté n’est pas vraie, disait Jacques Prévert. Et il clignait de l’œil. Mais notre peuple à qui on a désappris les valeurs essentielles de la vérité et les règles élémentaires de la liberté ne comprend même plus les clins d’oeil et il se laisse hacher menu, chaque matin, dans la machine-à-mentir du Système quand il ne se couche pas à plat ventre, le visage dans la poussière, devant les idoles en matière plastique de Mammon.
Que faire alors ? interroge l’homme révolté.
Et le sage de lui répondre : Traque le mensonge et laisse éclater la vérité sur la place publique! – Fort bien. Seulement, lorsque la vérité a été dite et les mensonges oubliés, il reste encore les menteurs, rétorque l’homme révolté.
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Louis XVIII face à la question sociale : quelles leçons en tirer ?
La toile est un champ de bataille et il n’est pas certain qu’il soit le meilleur vecteur du débat d’idées car, trop souvent, elle n’est que le lieu du lynchage, de l’invective et de la calomnie : cela en est souvent désespérant pour qui conçoit la « disputatio » politique comme un moyen de faire progresser ce qui paraît nécessaire pour le pays et ses populations, ou comme celui d’élever les hommes vers des causes honorables, par l’intelligence et la réflexion… Mais elle peut parfois permettre, entre gens de bonne volonté, d’évoquer quelques vérités et de les valoriser quand elles sont ignorées de l’éducation nationale comme des médias. Ainsi, sur la Révolution française et la question sociale, par exemple. Voici ci-dessous les extraits d’une réponse qu’il m’est arrivé de faire il y a quelques semaines sur un réseau social bien connu… (Le débat portait sur la condition ouvrière en France.)
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Si le coup de « farce » est possible.
Le billet coloré d’Amaury de Perros
Le 22 janvier 2021, un trouvère (certes, du genre pénible) publiait un billet dans France-Soir, dont nous reproduisons ici la partie la plus explosive : « De même, et si de besoin, il est du devoir de l’armée française pour assurer la sûreté du peuple français […] de procéder à la mise à pied des auteurs du coup d’État – c’est-à-dire de l’actuel gouvernement ; et ce, afin de rétablir le droit républicain. ».
Aux armes, baladins !
Plutôt bien tournée, cette diatribe relève davantage de l’inconscience et de la bêtise crasse (j’entends déjà des « même pas étonné… »). Nous sommes ici forts éloignés d’un Déroulède, d’un Rochefort ou d’un Maurras.
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Le vrai vaccin sera celui qui chassera le Covid des esprits
Le vrai vaccin sera celui qui chassera le Covid des esprits. Depuis un an, date du premier confinement (17 mars 2020), les Français ne cessent de se contaminer par le virus de la peur.
Celui-ci, parce qu’il asphyxie le pays, est bien plus mortel que tous les variants. Or l’angoisse est quotidiennement alimentée par les discours anxiogènes de l’Etat et de ses experts scientifiques et médicaux. « Le moment est venu », a dit ce mercredi, sur RTL, Martin Hirsch, directeur général de l’Assistance-Publique-Hôpitaux de Paris, plaidant pour un retour rapide au confinement en Ile-de-France, au moins le week-end. Cela fait douze mois que des garde-chiourmes en blouse blanche monopolisent la parole. -
Ce que personne ne dit dans les débats sur le revenu universel, par Clément Martin (Les Identitaires)
Le revenu universel consiste à verser à tous les membres d’une communauté nationale une allocation mensuelle.
Voici quelques uns de ses principes :
* d’un montant égal pour tous
* sans contrôle des ressources ou des besoins
* sur une base individuelle
* de façon inconditionnelle et sans exigence de contrepartie.Étonnamment, il est défendu pour des raisons différentes par la gauche… et la droite.
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Corporations et corporatisme. Des institutions féodales aux expériences modernes
Aujourd’hui connoté péjorativement, le mot corporatisme est employé pour désigner le fait de défendre les intérêts, les droits, d’une entreprise, d’un groupe. Mais qu’en est il réellement ? Cet ouvrage nous montre à quel point ce sens est réducteur. C’est en effet faire l’impasse sur ce qu’ont réellement été les corporations, le rôle qu’elles ont joué au sein de la société et le développement de la pensée corporatiste, véritable troisième voie entre marxisme et capitalisme. Autant d’éléments que Guillaume Travers s’attache à expliquer dans cet ouvrage.
Qu’ont été les corporations médiévales ? Le mouvement ouvrier a‑t-il récupéré des éléments de la pensée corporatiste ? Quelles leçons tirer des tentatives modernes de rétablissement des corporations ? Guillaume Travers s’attache à répondre à ces questions dans un ouvrage clair, précis et synthétique.
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Vénalité des charges ; rempart de la liberté ?
(Le Parlement de Paris au XVIIIe siècle. Source : crcv.hypotheses.org )
Quiconque ouvre un livre sur l’Ancien régime ou la révolution y verra la vénalité des charges marquée d’un sceau d’infamie.
Qu’est-ce au juste ? La plupart des offices de magistrat dans les parlements, les cours de justice subalternes, les conseils du roi et les grandes fonctions de l’Etat étaient vendus à titre viager ou héréditaire par la roi et donc transmissibles par voie successorale moyennant le versement d’un droit de mutation à l’Etat. Ainsi, on pouvait être avocat au Châtelet de père en fils, ou conseiller à la Chambre des comptes de père en fils.