En novembre 2017 se tenait à Paris, au Cercle national des armées, le premier colloque mondial consacré au radicalisme islamique sur le lieu de travail. À ce colloque, organisé par le FIRM (Forum on Islamic Radicalism and Management), succédaient en 2018 deux autres sur le même thème, au Capitole à Washington, puis au palais du Luxembourg.
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ACTUS NEMESIS #1
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« Chez France Inter, ils vont quasiment se mettre en grève parce que de nouveaux journalistes vont arriver… C’est une secte…»
Hier dans son émission L’Heure des Pros 2, Pascal Praud a abordé le sujet Zemmour, qui affole la presse, puis s’en est pris au sectarisme de France Inter :
« Eric Zemmour affole la presse… Et une chaîne concurrente (BFMTV) en parle matin, midi et soir… »
« Yvan Rioufol a écrit des bouquins mais n’a jamais été invité sur FranceInter, Éric Zemmour n’a jamais été invité sur France Inter… Et ils ont un jour insulté Charlotte D’Ornellas, sans aucune sanction… »
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Les Cristeros, croisés du XXe siècle, racontés par Mauricette Vial-Andru
Mauricette Vial-Andru, auteur de nombreuses biographies de vies de saints, notamment écrites pour la jeunesse, s’est aussi penchée sur l’épopée des Cristeros.
L’association Terre & Famille lui a demandé de faire une conférence sur ce sujet, dont voici l’enregistrement vidéo.
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Clivages présidentiels républicains
Entre les deux tours des élections régionales, s'est précisée la manœuvre tendant à présenter Xavier Bertrand pour le candidat naturel de la droite à l'élection considérée comme décisive de 2022.
Et c'est le 6 juillet, sur le plateau de TF1, que l'intéressé a indiqué se présenter à l'élection présidentielle 2022 rejetant toute idée de primaire. Comme nous l'indiquions dans notre chronique du 29 juin, Xavier Bertrand s'y croit déjà et se représente en réincarnation du fondateur de la Ve république. Le sens du ridicule ne l'étouffe pas. Et il se campe en même temps comme le plus à gauche des candidats puisqu'il est le seul à avoir soutenu, "contre l'hydre fasciste" naturellement, un candidat du PCF… à sa dimension, celle du second tour d'un scrutin départemental.
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Bébés à vendre : le CNRS prépare la suite de la loi ni bio ni éthique
A son tour, le CNRS fait la propagande de la Gestation Pour Autrui. Daniel Borrillo, qui défend la GPA, fait un parallèle avec… l’avortement, comme quoi la culture de mort est un bloc :
En France, une femme a la faculté d’avorter, tout comme celle d’abandonner un enfant en accouchant sous X ou de faire un don d’embryons surnuméraires à un autre couple ou à la science. Pourquoi n’aurait-elle pas le droit de mener à terme une grossesse pour quelqu’un d’autre, pourvu que son consentement libre et éclairé soit garanti ? Il serait donc logique, selon moi, d’inscrire la GPA dans le répertoire des libertés fondamentales, de l’envisager comme une manifestation de la liberté de procréer ou de ne pas procréer.
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Les Germains contre Rome : cinq siècles de lutte ininterrompue
Les sources écrites majeures du monde antique sont romaines, rédigées en latin. Les textes nous livrent donc une vision romaine des 5 siècles de lutte qui ont opposé le long du Rhin, des limes [zone-frontière] et du Danube, les tribus germaniques à Rome. Konrad Höfinger, archéologue de l'école de Kossina, interroge les vestiges archéologiques pour tenter de voir l'histoire avec l’œil de ces Germains, qui ont fini par vaincre. Ses conclusions : les tribus germaniques connaissaient une forme d'unité confédérale et ont toutes participé à la lutte, en fournissant hommes ou matériel. La stratégie de guérilla, de guerre d'usure, le long des frontières était planifiée en bonne et due forme, au départ d'un centre, située au milieu de la partie septentrionale de la Germanie libre. Nous reproduisons ci-dessus une première traduction française des conclusions que tire Konrad Höfinger après son enquête minutieuse.
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Justice des mineurs : les foyers et centre éducatifs fermés gangrenés par le séparatisme religieux
« Discrimination ». Un mot pour résumer la peur, dire la hantise, celle qui paralyse toutes nos institutions au point de les détourner de leurs missions.
Taire la vérité par peur de discriminer, voilà dans quoi nous sommes empêtrés depuis des décennies. À ce jeu, on a pourri l’école, imposant ce nivellement par le bas qui nous vaut, aujourd’hui, la queue de peloton dans les classements internationaux.
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Revue de presse : Un Zemmour nommé désir
Catherine Rouvier
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Comme le président Macron en 2017, Éric Zemmour enthousiasme les Français car il mène la danse dans le débat d’idées.
« La bataille électorale n’est pas la bataille des idées ». Jordan Bardella, le jeune second du RN, a prononcé cette phrase dans la matinale de Pascal Praud, sur CNews, au lendemain des élections régionales, croyant ainsi couper l’herbe sous le pied du possible candidat Zemmour à la présidentielle. À l’inverse, il a sans doute, par cette phrase, donné la clé de cette “envie d’Éric Zemmour” qui monte irrésistiblement dans le pays. Ce qu’a choisi Macron, pour gagner en 2017, c’est justement la bataille des idées. Et sa facile victoire aura détruit en cinq ans beaucoup de ce que nous aimons. Donc en face, pour le chasser du pouvoir, il faut un combattant des idées.
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CiNémésis, épisode 1: La série Self Made